Marcq-en-Barœul
Marcq-en-Barœul est une commune française située dans le département du Nord en région Hauts-de-France, faisant partie de la Métropole européenne de Lille.
Marcq-en-Barœul | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Bernard Gérard (LR) 2020-2026 |
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Code postal | 59700 | ||||
Code commune | 59378 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marcquois(e) | ||||
Population municipale |
38 486 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 2 741 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
1 051 609 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 40′ 16″ nord, 3° 05′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 51 m |
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Superficie | 14,04 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lille-2 | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | marcq-en-baroeul.org | ||||
C'est une ville résidentielle aisée du département du Nord, classée 17e ville de France pour la proportion de foyers redevables de l'ISF[1]. C'est à Marcq-en-Barœul que les branches du « Grand Boulevard » (artère qui relie Lille à Roubaix et Tourcoing) se rejoignent.
Géographie
Localisation
Marcq-en-Barœul est une ville du nord de la banlieue lilloise, située en bordure du pays de Ferrain, en Flandre romane.
Elle est traversée par une rivière canalisée, la Marque.
Le nom de « Marcq » - comme celui de la rivière - signifie à la fois marais et frontière, ce qui n'est pas incompatible car à cette époque, la notion de frontière correspond moins à une ligne arbitraire qu'à des zones relativement désertes entre deux peuples.
Le Barœul est une ancienne région englobant Marcq-en-Barœul, Mons-en-Barœul et une partie de l'actuelle Villeneuve-d'Ascq.
Voies routières
Le , le Grand Boulevard est ouvert entre Lille, Roubaix et Tourcoing. Marcq-en-Barœul se situe sur le nœud du boulevard. La commune est également traversée par l'autoroute A22 et la RN356.
Transports en commun
En étant sur le nœud du tramway d'Alfred Mongy, Marcq-en-Barœul est desservie par les deux lignes (Roubaix et Tourcoing). Le tramway s'arrête sur cinq stations de commune soit : Saint-Maur, Buisson, Brossolette, Clemenceau - Hippodrome et Croisé Laroche. Cette dernière station fait le nœud entre les deux lignes. En allant vers Tourcoing, la ligne T s'arrête également à Foch, Le Quesne, Cerisaie - Centre d'affaires et Château Rouge. Seule la station Acacias est desservie sur la ligne R, en allant vers Roubaix.
La commune est également desservie par les lignes de bus de la société Ilévia : lignes 50, Corolle, Liane 91, 88, 86 et 12.
Transports ferroviaires
Même si la commune est traversée par les lignes de Fives à Mouscron (frontière) et de Lille aux Fontinettes, elle n'a pas de gare. La plus proche est celle de La Madeleine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 9 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Marcq-en-Barœul est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[18] et 1 051 609 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].
Marcq-en-Barœul est une ville qui s'est beaucoup développée sur le plan économique dans les années 1980 avec la création de plusieurs parcs d'affaires. Historiquement installée sur la ville depuis son origine, la société Lesaffre, leader mondial de la levure, y emploie près de 500 personnes. La société Holder (boulangeries Paul) est venue la rejoindre, faisant de Marcq-en-Barœul la ville du pain et du levain.
Près de 1 500 entreprises et commerces y sont recensés aujourd'hui.
Le nombre d'habitants a également pris son essor avec de nombreux programmes immobiliers.
Elle fait partie des grandes villes du Nord avec ses 40 000 habitants.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (83,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (61,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,2 %), terres arables (12,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Quartiers
La ville est découpée en 8 quartiers:
- Belles terres
- Bourg - Centre-ville
- Briquetterie
- Buisson / May-Four / Pellevoisin
- Croisé-Laroche / Rouges-Barres
- Mairie /Quesne
- Plouich / Clemenceau / Calmette
- Pont / Montplaisir
Environnement
La qualité de l’eau de la Marque s’est fortement améliorée[réf. nécessaire] depuis les records de pollution des années 1970 puisqu'un important chantier de requalification a été engagé pour plus de 40 millions d'euros cofinancés par l'Europe. La gestion de cette rivière canalisée est désormais de la compétence de la Communauté Urbaine de Lille. la ville redécouvre aussi le triangle des rouges-barres, friche ferroviaire et espace de nature spontanée, enclavée sur douze hectares entre trois voies ferrées, qu’elle partage avec la ville de Mons-en-Barœul. L’Agenda 21 communal incite la population et les entreprises à mieux gérer, protéger et restaurer la nature qui est restée très présente à Marcq puisqu'un tiers de son territoire est en zone agricole protégée par le SCOT soit 500 hectares. Après vingt ans de négociation entre l’association du Triangle des Rouges-Barres, RFF (le propriétaire du site) et les deux villes où se situe le terrain, le triangle s’est ouvert au public (sur rendez-vous ou en visites guidées) en . Les visiteurs peuvent ainsi prendre connaissance des mesures de gestion restauratoire, écologique et donc différenciée mises en place (prairie pâturée par des poneys, restauration de la roselière, mare…) avec la contribution d’associations de protection de la nature et du site.
L’usine Lesaffre se trouve en plein cœur de la ville. La fabrication de levure se fait par fermentation. C’était une source de pollution olfactive qui a été largement maitrisée[réf. nécessaire] grâce à des travaux importants.
Toponymie
Issue du germanique marko, « marécage ». Le nom de Marcq renvoie aux notions de marais et de frontière[25].
Histoire
La ville fut au début une zone peu habitée entre les peuples Atrébates et Ménapiens. Puis, après la conquête romaine de Jules César, la ville fut colonisée comme le prouve la découverte d'une villa gallo-romaine mise au jour près de la Marque (la rivière devenue aujourd'hui canal) en 1965. La ville, comme le reste de la région, fut ensuite envahie par les peuples germaniques.
Au Moyen Âge, la commune devint le territoire de chasse des rois carolingiens. Puis la ville devint un centre dans lequel la bourgeoisie s'installa et déteindra sur le pouvoir local pendant quelque temps à l'aide du suffrage censitaire ou encore sous le Consulat et l'Empire. La Révolution et les évènements qui l'ont suivie ou encore la guerre de 1870 n'auront pas d'incidence sur la vie de la commune d'environ 2 700 habitants.
La garnison de Menin brûla la plus grande partie des maisons de ce village en 1580.
En 1667, Louis XIV logea à Marcq, au château dit la Tour-de-Marcq. La Bonne-Maison des Ladres était un hôpital qui rendit de grands services au XIIIe siècle ; en , Walter, évêque de Tournai, fit un règlement qui établit que les frères et sœurs de cette maison auraient à demeurer séparés les uns des autres, et que les frères auraient soin des hommes malades, et les sœurs des femmes et filles, ce qui fut approuvé par la comtesse Jeanne. Les biens de cette maison passèrent, par arrêt du Conseil du , à l'hôpital Saint-Sauveur de Lille pour l'indemniser des pertes que cet établissement avait essuyées.
En mai 1682, des lettres données à Saint-Cloud confirment le titre de comte pour Pierre de Croix, chevalier, seigneur de Wasquehal,Marcq-en-Barœul, Mourbecque, Flers, Escou, Belsage, Esquesme, etc., colonel du régiment royal de cavalerie wallonne en 1673, puis brigadier des armées du roi en 1676, puis commandant de cavalerie dans la place de Saint-Omer, et dans celle d'Aire (Aire-sur-la-Lys), Bergues, Dunkerque, Gravelines, Furnes, Bourbourg, Cassel et Ypres. Il obtient également de décorer ses armes d'une couronne de marquis et la faculté d'appliquer le titre de comte sur la terre de son choix[27].
Jacques Legroux fut curé de Marcq de 1730 à 1734 ; il est auteur de plusieurs ouvrages, dont un seul a été imprimé sous le titre suivant : Summa statutorum Synodalium cumprœvia sinopsi vitœ episeoporum Tornacensium. On voit son épitaphe dans la chapelle de gauche de l'église de Marcq-en-Barœul.
Des implantations d'industries ont lieu à la fin du XIXe-début XXe, avec les risques inhérents à ce genre d'activité : le , la fabrique de feux d'artifice de la Rianderie explose et fait trois morts[28].
Les guerres mondiales vont l'affaiblir comme les autres villes de la région, mais grâce à l'industrie, la ville à la sortie de la guerre ou pendant l'entre-deux-guerres voit son économie et sa population exploser pour stagner depuis les années 1970. Pour exemple, la construction d'infrastructures comme l'hippodrome des Flandres en 1931.
C'est à Marcq-en-Barœul que la chocolaterie Delespaul-Havez a fabriqué le premier Carambar en 1954.
Politique et administration
Liste des maires
Politique de développement durable
▪La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[29].
▪La ville a également mis en place une prime vélo et une aide à l'achat d'une trottinette électrique[30].
▪Dans le cadre d'un projet (forêt urbaine), la Ville propose à des habitants volontaires un arbre à planter à leur domicile. L'enjeu est 6 000 nouveaux arbres plantés entre 2020 et 2026.
Jumelages
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[31],[Note 8]
En 2019, la commune comptait 38 486 habitants[Note 9], en diminution de 2,3 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 18 122 hommes pour 20 448 femmes, soit un taux de 53,02 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La commune de Marcq-en-Barœul fait partie de l'académie de Lille.
- Éducation
- Groupes scolaires (école élémentaire et école maternelle) :
- Publics
- École élémentaire Jules Ferry
- École élémentaire Marcel Pagnol
- École maternelle Marie Curie
- École maternelle Henri Matisse
- École élémentaire Victor Hugo
- École maternelle Georges Méliès
- École élémentaire Charles Péguy
- École maternelle Françoise Dolto
- École élémentaire Raymond Derain
- École maternelle Blaise Pascal
- École maternelle Cognacq Jay
- École élémentaire Louis Pasteur
- Groupe Scolaire "Arbre Vert"
- Groupe Scolaire Léonard de Vinci (anciennement Ecole élémentaire Montaigne et Ecole maternelle Desrousseaux)
- Groupe scolaire Niki de Saint Phalle (anciennement Ecole élémentaire Paul Langevin)
- École européenne Lille Métropole
- Privés
- Notre Dame de Lourdes (Maternelle + élémentaire)
- École élémentaire Jean Bosco
- École maternelle Notre Dame des Jeunes
- École Saint Aignan (Maternelle + élémentaire)
- École Saint Christophe (Maternelle + élémentaire)
- Publics
- Cinq collèges
- Collège Rouges Barres (public)
- Collège du Lazaro (public)
- École européenne Lille métropole (public)
- Collège privé de Marcq (privé)
- École Jeannine-Manuel (privé)
- Quatre lycées
- Lycée Yves Kernanec (public)
- Lycée Professionnel Régional Alfred Mongy (public)
- École Jeannine-Manuel (privé)
- Lycée privé de Marcq (privé)
- CEPI Management de la Chambre de commerce et d'industrie de Lille Métropole.
- Un institut médico-éducatif, Le Mesnil de la Beuvrecque, géré par l'Association des Papillons Blancs de Roubaix Tourcoing
- Groupes scolaires (école élémentaire et école maternelle) :
Hippisme
La ville de Marcq-en-Barœul possède un champ de courses hippiques : l'hippodrome Serge-Charles, le seul en activité dans le département du Nord. Construit en 1931, cet espace vert de trente hectares est ouvert au public et est un des plus beaux de l'agglomération. Il comporte :
- une piste intérieure en herbe, réservée aux galopeurs, longue de 1 500 mètres et dotée d'une ligne droite finale de 350 mètres ;
- une piste extérieure en cendrée, réservée aux trotteurs, développant 1 665 mètres et dotée d'une ligne droite d'arrivée longue de 380 mètres.
En son centre est aménagé le Golf des Flandres.
Golf
La ville compte deux golfs :
- Le Golf des Flandres, aménagé sur l'hippodrome Serge-Charles ;
- Le Decathlon Marcq-en-Baroeul Inesis Golf Park
Rugby
La ville de Marcq-en-Barœul héberge un club de rugby à XV, l'Olympique Marcquois Rugby.
Créé en 1971, le club a accédé en Fédérale 2 en fin de saison 2016/2017. Il compte 600 licenciés et appartient au Comité des Flandres ; son école de rugby est classée première des Flandres et première au Nord de Paris.
Le club bénéficie d'un parrainage avec le Stade toulousain depuis 1999, grâce à Gérard Labbe, ancien président de la section amateur du Stade Toulousain et Marcquois de naissance. Les rencontres ont lieu au stade Georges Defrance, qui en fut son premier président. En 2012, les minimes de l'OMR ont organisé et gagné le Super Challenge de France Espoirs, qui oppose les clubs de fédérale.
Depuis le début de la saison 2017-2018, l'équipe sénior joue les matchs à domicile au Stadium Nord à Villeneuve-d'Ascq
Hockey sur Gazon
- Le PHC (Polo Hockey Club)
Volley-ball
Le Volley Club Marcq-en-Barœul joue en première division durant deux ans au début des années 2000. Le club évolue actuellement en Division Excellence Féminine, la deuxième division nationale.
Tennis
La Ligue des Flandres de tennis, qui dépend de la Fédération française de tennis, a son siège sur le territoire de la commune et a accueilli sur ce site des compétitions d'envergure nationale et internationale[36]. La ville accueille en 1987, le premier tour de la Coupe Davis où l'équipe de France bat la Corée du Sud par 5 victoires à zéro[37]. En 2014 puis en 2017, l'équipe de France s'entraîne à Marcq-en-Barœul afin de préparer la finale de Coupe Davis qui se joue au stade Pierre-Mauroy[38].
Handball
En 1970 naît l'Olympique Marcquois Handball qui sera dissous en 1991 pour donner naissance au club de Marcq Handball. Ce dernier augmente en nombre de licenciés, donne naissance à de multiples équipes qui évolueront en championnat départemental et se voit mettre à disposition un éducateur sportif par la mairie. À partir de 2000, l'accent est mis sur la professionnalisation et le club étend ses ambitions au niveau régional. En 2009, le MHB organise son premier tournoi international qui deviendra annuel, accueillant des équipes venues de tout l'Europe. Un an plus tard, le Cécihand est créé au sein du club. En 2011, l’association dirigée par Didier Vanhuys compte 260 licenciés et 13 équipes qui évoluent dans les championnats départementaux et régionaux.
Football
L'Olympique Marcquois de Football, crée en 1921 évolu en Championnat de France de football de National 3, et joue au stade Georges Niquet (2500 places), et parfois au Stadium Lille Métropole.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 34 739 €, ce qui plaçait Marcq-en-Barœul au 6 868e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[39].
Marcq-en-Barœul est la commune de plus de 20 000 habitants la plus riche du département du Nord.
Emploi
Le taux de chômage de la commune s'élevait, en 2016, à 12,1 %, un chiffre supérieur à la moyenne nationale (9,7 %)[40] mais légèrement inférieur à la moyenne départementale (12,9 %)
Entreprises et commerces
Au cœur de la Métropole Lilloise, Marcq-en-Barœul fait partie de la « couronne nord » de la Communauté urbaine de Lille Métropole qui regroupe plus de 1 500 unités économiques (dont 500 commerces et services). 80 % d'entre elles font partie du secteur tertiaire avec la communication, les banques, l'informatique, les professions libérales, les NTIC...
Il existe aussi de grands groupes industriels dans l'agroalimentaire comme le Groupe Lesaffre (leader mondial de la levure), Eurocandy (fabricant du Carambar), Groupe Holder (PAUL, Ladurée…) ou encore Union Biscuits, ils rendent la ville plus connue, de même que les usines et bureaux d'autres enseignes réputées comme Kiloutou, Promod, KPMG, Alcatel, Cap Gemini, Altima, Ilévia, Franfinance, CGI-CGL...
En 2009, L'olivier - assurance auto y ouvre son premier centre d'appels[41].
Ces infrastructures sont réparties dans les zones industrielles suivantes :
Domaine du Buisson, Espace République, Parc de la Campagnerie, Parc d'Affaires du Château Rouge, Parc du Cheval Blanc, Parc Europe, Parc des Rouges Barres, Parc de la Marque, Parc d’entreprises de la Pilaterie.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Hôtel de Ville, construit en 1936 et inauguré le , les architectes René Gobillon et Gaston Trannoy.
- La maison Art-Déco Jules Notelaers, 21 avenue Foch, réalisée en 1933 par l'architecte belge R. Vandenheede, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1995[42].
- L'hôtel classique, situé avenue de la République, a été réalisé par l'architecte Maillard. Il a été construit entre 1926 et 1929, à la demande d'Ernest Desurmont, un industriel parisien, auteur du pneu de vélo entoilé. L'hôtel classique détient un jardin à la Française. Aujourd'hui, il abrite le Conservatoire communal de Marcq-en-Barœul.
- La maison Duprez, construite en 1933 par l'architecte Paul Duprez, se situe à l'angle de la rue Delcenserie, fait partie d’un groupe de quatre. Celle-ci accroche le regard par sa forme complexe. La façade principale, celle de l’entrée, se détache telle une tour. Le décor se compose de frises en mosaïque représentant des feuilles de chênes-houx, nom affiché de cette maison[43].
- Une ancienne forge, située dans le bourg de la ville, daterait du XIXe siècle, et est faite entièrement de briques à l'extérieur, et à l’intérieur, les murs sont à rouges-barres. Aujourd'hui, on peut voir une partie consacrée à l’ancienne forge, et le reste est une librairie.
- Le patrimoine ferroviaire de l'ancien dépôt de tramway de Ilévia, dont plusieurs machines sont classées monument historique.
Catholiques
- L'église Saint-Vincent, place du Général De Gaulle, du XVIe siècle, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1987[44]. Elle renferme notamment deux toiles de Pharaon de Winter de 1881 (Les saintes femmes au tombeau et L'adoration des bergers). Elle fait partie de la paroisse de la Bonne Nouvelle.
- L'église Saint-Louis, rue Pasteur. Elle fait partie de la paroisse Jean XXIII.
- L'église Saint-Paul, est de style flamand, et se situe du Général Gallieni. Elle fait partie de la paroisse Jean XXIII.
- L'église Notre-Dame-des-victoires, rue Jacquard, construite en 1976-1977, par l'architecte Paul Dessauvages, de facture moderne. Elle fait partie de la paroisse Jean XXIII. Depuis juin 2020, l'église a la spécificité d’accueillir une paroisse particulière: la paroisse Mar Charbel, du nom du saint moine éponyme. À la suite du souhait de plusieurs familles, libanaises, franco-libanaises et irakiennes, un prêtre maronite, envoyé par Mgr Nasser Gemayel, officie au moins une fois par mois, en français, en arabe et en syriaque[45]. En accord avec l'archevêque lillois, la paroisse Mar Charbel (signifiant Saint Charbel) dépend donc l'éparchie maronite de France et d’Europe. Cette création s'inscrit aussi dans des liens de fraternité et de solidarité antérieurs puisque la paroisse Jean XXIII est jumelée, depuis 2007, avec la paroisse libanaise Saint-Élie à Antélias.
- L'église du Sacré-Cœur, rue de l'Abbé Lemire, construite en 1986, et consacrée le 21 juin 1987. L'église fait partie de la paroisse de la Bonne Nouvelle.
- La Chapelle Saint-Jean du Quesne , rue Hélène Boucher, qui fait partie de la paroisse de la Bonne Nouvelle.
- L'église Notre-Dame-de-Pellevoisin de Lille, appartenant au doyenné de Marcq-en-Barœul mais située sur le sol de la commune de Lille.
- Les calvaires Destombes (pavé stratégique) et Breton (avenue de la Marne).
- La Chapelle du Collège et lycée privé de Marcq, chemin du Collège, réalisée par l'architecte Charles Leroy (sauf le clocher).
- La Chapelle du Lazaro, rue du Lazaro, classée monument historique en 1951[46].
- La Chapelle de la maison de retraite Saint-Maur, rue Christophe Collomb.
- La chapelle carrière Dal, construite en 1888.
- L'oratoire Saint-Maur. Ce dernier fut construit par les Sœurs de l'Enfant-Jésus en 1871.
Personnalités liées à la commune
- Famille Scrive, famille d'industriels
- Jean-Jacques Fockedey (1758-1853), homme politique, membre de la Convention
- Charles Leroy (1816-1879), architecte néogothique
- Charles de Gaulle (écrivain) (1837-1880), écrivain, défenseur de la langue bretonne et du celtisme. Il est l'oncle du général de Gaulle qui porte le même prénom que lui
- Benoît Bodendieck (1837-1887), sculpteur
- Gustave Mesureur (1847-1925), fondateur de l'Association pour les réformes républicaines, puis du Comité d'action pour les réformes républicaines, il devient en 1901 le premier président du Parti radical-socialiste
- Pharaon de Winter (1849-1924), peintre
- Hector Franchomme (1860-1939), ingénieur Centralien de Lille, fait construire une usine chocolatière à Marcq-en-Barœul, future fabrique du Carambar
- Gaston Trannoy (1880-1955), architecte de la mairie
- Paul Hantson (1897-1952), gymnaste, et champion de France d'athlétisme à six reprises.
- Solange Lamblin (1900-1984), femme politique
- André Cheuva (1908-1989), footballeur et entraineur, vainqueur de la Coupe de France à quatre reprises, record de victoire qu'il partage avec Guy Roux
- Gérard Deledalle (1921-2003), philosophe
- André Gernez (1923-2014), médecin adepte des méthodes dites non conventionnelles
- Jean Debuf (1924-2010), haltérophilie, médaillé de bronze aux Jeux olympiques d'été de 1956
- Serge Charles (1927-1994), maire de Marcq-en-Barœul
- Philippe Noiret (1930-2006), acteur, il a reçu deux César du meilleur acteur
- Jean Verdun (1931), écrivain
- Pierre-Étienne Heymann (1935), comédien, metteur en scène et pédagogue français
- Bernard Sinclair (1937-2015), baryton associé au répertoire d'opéra-comique et d'opérette, mais aussi d'opéra
- Marc Ronet (1937), peintre
- Francis-Charles Pollet (1945), industriel, fondateur de Promod
- Élisabeth Bourgois (1950), écrivain
- Jean-René Lecerf (1951), homme politique
- Vahid Halilhodžić (1952) entraîneur du LOSC Lille entre 1998 et 2002
- Bernard Gérard (1953), homme politique
- Christian Wasselin (1959), écrivain, musicologue
- Hervé Ghesquière (1963-2017), journaliste de télévision
- Mathieu Maton (1981), footballeur, vainqueur du Championnat d'Europe des moins de 19 ans 2000 avec l'équipe de France
- Benjamin Bollen (1984), acteur français et également spécialisé dans le doublage
- Mathieu Horb (1985), joueur de rugby à XV et à sept
- Julie Debever (1988), footballeuse
- Gradur (1990) rappeur, il y vit actuellement
- Samanta Jimenez (1993), joueuse néerlandaise de volley-ball
- François Vérove (1962-2021), tueur en série et motard de la garde républicaine
Culture et animations
- Un cinéma, le Colisée-Lumière équipé des dernières technologies (3D).
- Une médiathèque, La Corderie (Elle tient son nom de l'ancienne corderie Delobel dans laquelle elle a été construite). Elle possède également un hall d'exposition.
- Une école de musique, d'art dramatique et de danse.
- Un orchestre à cordes Arcangelo.
- Plusieurs salles d'expositions.
- Deux théâtres
- Théâtre Charcot
- Théâtre de la Rianderie
- Le Musée régional des télécommunications en Flandres
Héraldique
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Les armes de Marcq-en-Barœul se blasonnent ainsi : « D'argent à la croix d'azur. »
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Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Où vivent les riches en France ? », sur journaldunet.com, JDN, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Marcq-en-Barœul et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Marcq-en-Barœul et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « 2000 ans d'histoire Vie Administrative et Politique Le nom de Marcq », sur www.marcq-en-baroeul.org (consulté le ).
- « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Amédée le Boucq de Ternas, opus cité, p. 347.
- Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, La Voix du Nord éditions, 1998, page 37
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Marcq-en-Barœul, consultée le 7 novembre 2017
- https://www.marcq-en-baroeul.org/votre-ville-en-action/developpement-durable/1166-la-ville-offre-une-aide-a-l-achat-d-une-trottinette-electrique
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marcq-en-Barœul (59378) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Benjamin Waldbaum, « La ligue organisatrice de la phase finale - Les Flandres récidivent ! », sur fft.fr, Fédération française de tennis, .
- Sébastien Petit, « France-Suisse, ce sera bien à Lille », sur eurosport.fr, .
- Coupe Davis : les Bleus dans leur bulle avant la finale, l'Equipe du 15/11/2017
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- « Comparateur de territoire − Commune de Marcq-en-Barœul (59378) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- « L’olivier Assurances s’enracine dans la métropole », sur http://www.eco121.fr.
- Notice no PA00135489, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Marcq-en-baroeul.org - 9 - Chêne-houx », sur marcq-en-baroeul.org (consulté le ).
- Notice no PA00107738, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Nouvelles des paroisses catholiques de l'Armentiérois n°68 (pages 20 et 21), journal paroissial trimestriel, mars 2021.
- Notice no PA00107737, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Pour approfondir
Bibliographie
- Paul Delsalle, Histoire de Marcq-en-Baroeul, Éditions des Beffrois,
- Patrick Ansar, Chapelles, calvaires et oratoires de Marcq-en-Barœul
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Joël Marcq et Serge Le Roux, « Introduction », Marché et organisations, vol. 4, no 2, (ISSN 1953-6119 et 2264-525X, DOI 10.3917/maorg.004.0011)
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