Monlong

Monlong est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre.

Monlong

Paysage dans les environs du village de Monlong

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac
Maire
Mandat
Michel Fis
2020-2026
Code postal 65670
Code commune 65316
Démographie
Gentilé Monlonais
Population
municipale
103 hab. (2019 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 26″ nord, 0° 27′ 54″ est
Altitude Min. 372 m
Max. 529 m
Superficie 7,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Monlong
Géolocalisation sur la carte : France
Monlong
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Monlong
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Monlong

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, la Sole et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Monlong est une commune rurale qui compte 103 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 515 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. .

    Ses habitants sont appelés les Monlonais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Monlong se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 32 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 15 km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Lassales (2,0 km), Tajan (2,0 km), Recurt (2,5 km), Gaussan (3,2 km), Laran (3,4 km), Arné (4,0 km), Sabarros (4,1 km), Caubous (4,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Monlong fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[4].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Communes limitrophes de Monlong[5]
    Gaussan Lassales
    Recurt Monléon-Magnoac
    Tajan Réjaumont Arné

    Hydrographie

    Le Ruisseau de La Sole, affluent de rive droite de la Petite Baïse, arrose la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec la commune de Recurt.
    Le Ruisseau de Ribanès, affluent de rive gauche du Gers, forme la limite nord avec la commune de Gaussan.
    Le canal de la Gimone forme une partie de la limite est avec la commune d'Arné.
    Le Ruisseau du Gers traverse la commune du sud au nord à l'ouest du village et forme une partie de la limite sud avec la commune de Tajan.
    Le Ruisseau du Tajan forme une partie de la limite sud avec la commune de Tajan.
    Le Ruisseau de Fourquet, affluent de rive droite du Gers, arrose la partie est de la commune.
    Un canal d'irrigation provenant du canal de la Neste traverse le village en direction du Gers au nord.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 008 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gavarnie », sur la commune de Gaussan, mise en service en 1992[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 7,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 466,6 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 40 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[18] : les « prairies de la vallée du Gers entre Monlong et Lassales » (22 ha), couvrant 2 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Monlong est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[I 2],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42 %), zones agricoles hétérogènes (40,4 %), prairies (12,2 %), zones urbanisées (3,5 %), terres arables (1,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 74[I 5].
    Parmi ces logements, 74,5 % sont des résidences principales, 11,3 % des résidences secondaires et 14,2 % des logements vacants.

    Risques naturels et technologiques

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D929.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Monlong à l'est de Galan.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[23] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : du gascon mont long (latin montem longum).

    Nom occitan : Montlong.

    Histoire

    Cadastre napoléonien de Monlong

    Le plan cadastral napoléonien de Monlong est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[24].

    Politique et administration

    La mairie en 2020.
    La Poste en 2020.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 1995 mars 2001 Albert Noilhan    
    mars 2001 mars 2014 Michel Castets    
    mars 2014 en cours Michel Fis    

    Historique administratif

    Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, canton de Castelnau-Magnoac, chef-lieu à Monléon-Magnoac (1790) puis Castelnau-Magnoac (1801)[25].

    Intercommunalité

    Monlong appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.

    La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

    Services publics

    La commune de Monlong dispose d'une agence postale.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28]. En 2019, la commune comptait 103 habitants[Note 8], en diminution de 9,65 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    359311391376444436496505515
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    424378380377354388326321335
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    280302281232221213199211180
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    172152163147119110104112103
    2019 - - - - - - - -
    103--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[31].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]5,8 %11,1 %14,3 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 56 personnes, parmi lesquelles on compte 78,6 % d'actifs (64,3 % ayant un emploi et 14,3 % de chômeurs) et 21,4 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 37, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 10].

    Sur ces 37 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 94,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Jean-Baptiste en 2020.
    L'église.
    Le monument aux morts municipal.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or à la bande d'azur, accompagnée de deux grenades de gueules, feuillées de sinople.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Monlong et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Monlong et Trie-sur-Baïse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Monlong », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Gavarnie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Monlong et Gaussan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Gavarnie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Monlong et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Monlong », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « prairies de la vallée du Gers entre Monlong et Lassales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
    24. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Monlong
    25. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    26. « Liste des juridictions compétentes pour Monlong », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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