Montvalent

Montvalent est une commune française située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie. Ses habitants sont les Monvalentais et les Monvalentaises. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Montvalent

Vue de l'église au milieu du village.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Guilhem Cledel
2020-2026
Code postal 46600
Code commune 46208
Démographie
Gentilé Monvalentais
Population
municipale
287 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 56″ nord, 1° 37′ 09″ est
Altitude 170 m
Min. 95 m
Max. 322 m
Superficie 27,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Martel
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Montvalent
Géolocalisation sur la carte : France
Montvalent
Géolocalisation sur la carte : Lot
Montvalent
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Montvalent
Liens
Site web Site officiel de la Mairie

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Dordogne quercynoise » et les « vieux chênes des Imbards »), un espace protégé (le « cours lotois de la Dordogne ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Montvalent est une commune rurale qui compte 287 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 257 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Montvalentais ou Montvalentaises.

    Géographie

    La commune est située sur le Causse de Gramat en rive gauche de la Dordogne,

    Communes limitrophes

    Montvalent est limitrophe de sept autres communes.

    Carte de la commune de Montvalent et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Montvalent[1]
    Creysse Martel Floirac
    Meyronne Miers
    Rocamadour Alvignac

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 761 hectares ; son altitude varie de 95 à 322 mètres[2].

    Voies de communication et transports

    Accès avec la route départementale RD 840 ancienne route nationale 140 entre Martel et Gramat (voir aussi ancienne route nationale 681) et avec le train en gare de Saint-Denis-près-Martel ou en gare de Rocamadour - Padirac sur la ligne Brive - Toulouse entre Floirac et Padirac la de gare de Montvalent étant fermée.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 951 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cressensac », sur la commune de Cressensac-Sarrazac, mise en service en 1991[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 021,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : le « cours lotois de la Dordogne », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6 ha[19].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[21] :

    • la « vallée de la Dordogne quercynoise », d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[22] ;
    • les « vieux chênes des Imbards », d'une superficie de 33,09 ha, un site remarquable par la présence de Limoniscus violaceus, situé sur plateau calcaire (causse de Gramat)[23] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :

    • « la Dordogne quercynoise » (2 081 ha), couvrant 24 communes dont deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt dans le Lot[25], qui comprend de nombreuses espèces déterminantes (soixante-six animales et cinquante végétales) ;
    • les « pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac » (3 605 ha), couvrant 10 communes du département[26],
    • les « rocher Sainte-Marie, puech d'Aussel, vallon du Limon et combes tributaires » (369 ha), couvrant 3 communes du département[27] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :

    • le « plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac » (10 133 ha), couvrant 11 communes du département[28] ;
    • la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 28 communes[Note 7] : deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Montvalent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[30],[I 1],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,9 %), forêts (27,6 %), zones agricoles hétérogènes (23,9 %), prairies (7,1 %), eaux continentales[Note 9] (2 %), terres arables (0,4 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Montvalent est basé sur le mot latin montem qui désigne un endroit élevé et sur valent qui montre sa valeur militaire et sa solidité[33].

    Histoire

    Montvalent était le centre de la vicomté de Brassac. Vendu par Guillaume ou Raymond de Brassac les derniers vicomtes entre 1174 et 1183 au vicomte de Turenne.(Raymond II de Turenne).

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[34],[35].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement de Gourdon de la communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne et du canton de Martel.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1794 Léon Aubial    
    1794 1796 Bernard Delmas    
    1796 1800 Joseph Ortal    
    1800 1802 Bernard Delmas    
    1802 1814 Pierre Fouihlade    
    1814 1816 Jean Christophe Fouilhade    
    1816 1824 Jean Pierre Antoine Calmels    
    1824 1830 Joseph Ortal    
    1830 1833 Jean Pierre Joseph Lasserre De Larroque    
    1833 1845 Jean Baptiste Bissac    
    1845 1848 Léon Andral    
    1848 1854 Jean Pierre Antoine Calmels    
    1848 1848 Jean Baptiste Bissac    
    1854 1858 Antoine Ortal    
    1858 1870 Ferdinand Fouilhade    
    1870 1878 Joseph Bressol    
    1878 1896 Simon Vitrac    
    1896 1935 Pierre Delmas    
    1935 1945 Robert Fage    
    1945 1947 Baptiste Mazet    
    1947 1959 Louis Isorche    
    1959 1971 Georges Verdet    
    1971 1987 André Launois    
    1987 1989 Pascal Ingrand    
    1989 2001 Olivier Negret    
    2001 2008 Xavier Pautre    
    2008 2020 Catherine Calvy    
    2020 En cours Guilhem Clédel Radical Plus jeune maire du département

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2019, la commune comptait 287 habitants[Note 10], en diminution de 2,38 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    860792837862922883890926925
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9111 257888851806795766712676
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    596586526424417376345317262
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    228212214197233267299302285
    2019 - - - - - - - -
    287--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 163 134 240 163 143 142 149 157
    Nombre de communes du département 340 340 340 340 340 340 340 340

    Enseignement

    Montvalent fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 139 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 278 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 880 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]8,9 %8,9 %9,4 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 182 personnes, parmi lesquelles on compte 81,5 % d'actifs (72,1 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 18,5 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 62 emplois en 2018, contre 59 en 2013 et 47 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 138, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,3 %[I 10].

    Sur ces 138 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 35 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 2,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    38 établissements[Note 13] sont implantés à Montvalent au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble38100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    923,7 %(14 %)
    Construction615,8 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    923,7 %(29,9 %)
    Information et communication12,6 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance25,3 %(2,8 %)
    Activités immobilières12,6 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    513,2 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    37,9 %(12 %)
    Autres activités de services25,3 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,7 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 38 entreprises implantées à Montvalent), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations25181612
    SAU[Note 16] (ha)8931 2461 8991 485

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 18 en 2000 puis à 16 en 2010[47] et enfin à 12 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[48],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 893 ha en 1988 à 1485 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 124 ha[47].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Dolmen de Barrade.
    • Dolmen de Barthe Soubronne : dolmen à vestibule avec une table de près de m2 et une très belle dalle de chevet (1,80 mètre de long pour 1,10 mètre de haut).
    • Dolmen des Placels : dolmen qui a conservé son tumulus.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en Corrèze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en Corrèze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montvalent » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montvalent » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montvalent » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montvalent » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
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