Néoules

Néoules est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Néoules

Néoules, placette de l'Étoile.
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Christian Ryser
2020-2026
Code postal 83136
Code commune 83088
Démographie
Gentilé Néoulais, Néoulaise
Population
municipale
2 828 hab. (2019 )
Densité 113 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 43″ nord, 6° 00′ 48″ est
Altitude Min. 305 m
Max. 700 m
Superficie 25,08 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Néoules
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Garéoult
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Néoules
Géolocalisation sur la carte : France
Néoules
Géolocalisation sur la carte : Var
Néoules
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Néoules
Liens
Site web neoules.fr

    Géographie

    Localisation

    Néoules est un village qui se situe au cœur du Var, au sein de la Provence Verte. Entouré de vignes, il est à 30 minutes de la mer (Hyères, Toulon). C'est un peu le centre de la Provence, car comme le disaient les anciens avec une certaine pointe d'humour "Marsilho, Z'aï, Draguignan, Neùlo es où mitan" (Marseille, Aix, Draguignan, Néoules est au centre). En effet, Néoules est à la même distance de toutes ces villes (60 kilomètres).

    Administrativement, le village est rattaché au canton de Garéoult.

    La commune s’étend sur une superficie de 2 508 hectares et repose sur quatre sources : Font Veille, Font Robert, Font Gayaou et Font Marcellin. Située à l’écart des grands axes et flux de circulation du secteur (RD 54, RD 5 et RD 64), Néoules offre une tranquillité et un cadre de vie incomparables.

    C'est une des 43 communes du pays de la Provence Verte, qui a obtenu le label « Villes et Pays d'art et d'histoire »[1].

    Géologie et relief

    Adossé au massif de la Verrerie[2] et du Saint Clément (705 mètres)[3], ensembles boisés dominant vers le sud la vallée du Gapeau par la barre de Cuers, le village de Néoules fait face à la montagne de la Loube (850 mètres) de l’autre côté de la plaine arrosée par l’Issole. Il est situé sur un coteau rocheux à une altitude de 325 mètres.

    Sismicité

    La commune se situe en zone de sismicité : faible. Bâtiment existant de catégorie d'importance III[4].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    On compte cinq sources sur la commune[5] :

    • Font Gayaou, première source alimentant le village,
    • Font Vieille,
    • Font Robert,
    • Font Marcellin, appelée « la mère des eaux »,
    • La Servette.

    Cours d'eau

    Climat

    Le climat de Néoules est dit tempéré chaud. D'après la classification de Köppen et Geiger, le climat y est classé Csb[15].

    Voies routières

    La commune se situe sur la D 68 Garéoult - Méounes-lès-Montrieux, entre les départementales 12 et 43 qui relient Brignoles à Toulon.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Transports routiers

    Le transport collectif est assuré par le réseau régional "Zou !"[16].

    Lignes SNCF

    Les gares SNCF les plus proches sont :

    Aéroport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Ports en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Histoire

    Il semblerait, comme en témoignent la grotte préhistorique de la Baume (abri sous roche) qui se trouve sous le village fortifié de Saint-Thomé, ou encore les vestiges romains trouvés au quartier de Trians (ruines de la chapelle Notre-Dame située à l'emplacement d'une ville gallo-romaine), que Néoules ait été depuis longtemps habitée. Cependant, les origines du peuplement restent méconnues. Le Regay, avent situé au sud-est du village, a livré de la céramique préhistorique[18] sans que l'on sache s'il s'agissait d'un habitat ou d'une réserve d'eau. Les âges du bronze et du fer n'ont, jusqu'à présent, livré aucun site archéologique. Il faudra attendre la mise en valeur de la plaine à l'époque romaine pour ainsi voir apparaître un certain nombre de fermes parmi lesquelles celles de Trians et du quartier Saint-Jean. Mais, à l'heure actuelle, il n'en reste aucun vestige architectural visible.

    Le premier établissement de population s'est effectué sur le piton de Saint-Thomé en raison de sa double position géographique et stratégique. Au XVIe siècle, ce site fut abandonné au profit des terres agricoles où se sont constitués les hameaux de la Bataillère et Font Gayou, ainsi que le village actuel (qui s'appelait Ribière) et ce, autour du château édifié entre janvier et novembre de l'année 1585 (délai mentionné sur le devis de commande de l'époque) et de l'église Saint-Jean-Baptiste édifiée, elle, en 1565.

    En 1200, le territoire fait partie de la seigneurie de Signes. Charle Ier, comte de Provence, fait son entrée en Provence en 1246 à Aix, tout d'abord, puis à Brignoles. À la suite d'une affaire criminelle, son autorité est reconnue. Dans l’enquête sur les droits et revenus de Charles Ier d'Anjou en Provence de 1252 (ERC n° 359-362), on lit qu’un hôpital existe alors sur le territoire. La même année, une autre enquête indique que l’hôpital se situe hors du castrum et que l’enceinte possède un portail (AD13, B 347). Mais Charles Ier ne conserva pas longtemps la seigneurie de Néoules. En effet, dans le cadre de sa politique de prise de contrôle des principales villes de Provence, la seigneurie de Néoules lui servit de monnaie d'échange avec plusieurs autres seigneuries ou parts de seigneuries (Signes, La Roquebrussanne, Méounes, Meynarguette, Le Béranger, Orves) afin d'acquérir la juridiction et les droits temporels détenus par l'évêque de Marseille. Cette transaction fut conclue le , et l'évêque de Marseille devint, de fait, le principal seigneur de Néoules, bien que le village appartienne au diocèse de Toulon.

    Au XVIe siècle, le village (descendu de la colline Saint-Thomé au quartier Ribière) est possédé par plusieurs seigneurs (les sieurs Reybiol et Blancart, ainsi que l'évêque de Marseille).

    À partir de 1657, un certain André Allard se met à acheter, petit à petit, les différentes parts de la seigneurie de Néoules, si bien qu'avant la fin du XVIIe siècle, il en est le seul et unique seigneur. Jean-François Allard[19], né en 1750, fut le dernier seigneur de Néoules. Thérèse Henriette lui succéda. Cette parente est devenue par la suite marquise de Grimaldi-Régusse, ce qui explique que les archives des Allard furent déposées au palais des Princes de Monaco.

    En 1721, Néoules est atteint par l'épidémie de peste venue de Marseille, tuant plus de 300 habitants.

    En 1908, à la suite de la révolte des vignerons de 1907, Néoules crée la deuxième cave coopérative du Var.

    Héraldique

    Blason
    D'azur à trois noix d'or[20],[21],[22] .
    Détails

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2020

    Mairie.

    En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

    • total des produits de fonctionnement : 3 095 000 , soit 1 119  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 884 000 , soit 1 043  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 877 000 , soit 317  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 750 000 , soit 271  par habitant ;
    • endettement : 2 614 000 , soit 945  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 10,38 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,20 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 97,70 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 060 [24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1874 1875 César-Frédéric Émeric    
    1878 1881 Victor Émeric    
    ca. 1893   M. Brémond    
    Les données manquantes sont à compléter.

    (décès)
    Henri Émeric[25] (1885-1940) RG Président de coopérative vinicole
    Réélu en 1935
    Louis Joulian[26] (1895-1980) SFIO Commerçant
    Élu en 1945, réélu en 1947 et 1953
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca. 1980   Alphonse Rumello    
    André Guiol (1954- ) PS puis TdP Ancien chef de bureau d'études
    Sénateur du Var[27] (2020 → )
    Conseiller général du canton de La Roquebrussanne (2008 → 2015)
    6e vice-président de la CA de la Provence Verte (2018 → 2020)
    Réélu en 2001, 2008, 2014 et 2020
    en cours Christian Ryser[28] (1949- ) DVG Commerçant retraité, ancien 1er adjoint

    Politique environnementale

    La commune fait partie du parc naturel régional de la Sainte-Baume, créé par décret du [29].

    Urbanisme

    Typologie

    Néoules est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[30],[31],[32]. Elle appartient à l'unité urbaine de Néoules, une unité urbaine monocommunale[33] de 2 712 habitants en 2017, constituant une ville isolée[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[36],[37].

    Néoules dispose d'un plan local d'urbanisme[38] et relève du schéma de cohérence territoriale de la Provence verte, approuvé en [39].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,6 %), zones urbanisées (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), cultures permanentes (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[41].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].

    En 2019, la commune comptait 2 828 habitants[Note 3], en augmentation de 9,91 % par rapport à 2013 (Var : +4,68 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    460513485611666627613598625
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    634630580599574420360342360
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    369337353318318323335305316
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3044393726191 1101 6172 2062 2642 486
    2015 2019 - - - - - - -
    2 6512 828-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Santé

    Les professionnels et établissements de santé[47] les plus proches :

    • Médecins généralistes à Garéoult[48].
    • Dentistes à Garéoult.
    • Kinésitherapeute à Garéoult.
    • Infirmières à Garéoult.
    • Pharmacie ouverte au village en 2017.
    • Ophtalmologiste à Brignoles.
    • Hôpital à Brignoles.
    • Radiologie à Rocbaron et Brignoles.

    Cultes

    Catholique, paroisse de Garéould, église Saint-Jean-Baptiste à Néoules[49], diocèse de Fréjus-Toulon.

    Lieux et monuments

    • Le château Renaissance, édifié en 1584[50] est aujourd'hui divisé en plusieurs habitations privées.
    • L'église Saint-Jean-Baptiste[51] édifiée en 1528 et agrandie en 1567, et sa cloche de 1723[52]. La première église paroissiale de Néoules était dédiée à saint Thomas[53].
    • Monuments commémoratifs[54] :
      • Monument aux morts[55] avenue de la Libération[56],
      • Plaque commémorative dans l'église Saint-Jean-Baptiste,
      • Conflits commémorés 1914-1918 et 1939-41945[57],
      • Conflits commémorés AFN - Algérie (1954-1962)[58].
    • Chateauloin (tour gardant l'entrée du village)[59].
    • La Pierre Plantée de Néoules[60] : signalé comme dolmen probable par le commandant Laflotte en 1929[61],[62], il ne s'agit pas d'une structure mégalithique mais d'un simple clapier comme l'a attesté une fouille de sauvetage entreprise en 1985 par Philippe Hameau[63].
    • La fontaine républicaine[64].
    • Bassin abreuvoir, lavoir[65].
    • Le château d'eau de l'avenue Font-Marcellin[66].
    • La ragaie de Néoules[67].
    • La grotte profonde de la Baume, abri sous roche, d'où jaillit la source Fouan Croutado[68].

    Économie

    Agriculture

    • Coopérative vinicole « L'Indispensable »[69]. C’est à Néoules que fut créée, en 1908, la seconde cave coopérative du Var. Elle a été agrandie en 1911[70].
    • Château de Trians, domaine viticole du XVIIIe siècle[71],[72].

    Entreprises et commerces

    Centrale solaire photovoltaïque.
    Festival 2019.
    • Brasserie artisanale « La Blonde & la Brune »[73].
    • Apiculteur ; Les Ruches de Saint Thomé ; Oliveraie du Peyronnier ; Truffes[74]...
    • Centrale solaire photovoltaïque dans le massif de la Verrerie, d'une puissance de 24 MWc, mise en service en 2012[75],[76].

    Animation et tourisme

    • Animations créées par l’association “Châteauloin-Chemins Pluriels”[77].
    • Le Festival des musiques du monde[78].
    • Création d'Esprit de Cirque[79]. Le chapiteau a été monté à l'année depuis [80].
    • L'hébergement touristique est assuré grâce à des gîtes et chambres d'hôtes[81]; commerces de proximité : café-restaurants "Les Vignes D'or" et "Lissole", pizzeria "La Campagnette"[82]...
    • Le patrimoine architectural du village[83] et les sites environnants offrent des promenades pour tous les publics.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. La commune de Néoules et le Pays d’art et d’histoire de la Provence Verte
    2. Massif de la Verrerie
    3. Randonnée Le Pilon Saint-Clément
    4. Didacticiel de la règlementation parasismique
    5. Le patrimoine de la commune
    6. Fiche cours d'eau L'Issole (Y5100600)
    7. L'eau dans la commune de Néoules
    8. Schéma d'alimentation en eau potable : État des lieux
    9. Rivière L'issole
    10. Fiche cours d'eau Ruisseau de la Foux (Y5101280)
    11. Ruisseau de la Foux
    12. Ruisseau des Pourraques
    13. Ruisseau de Néoules
    14. Ruisseau du Cendrier
    15. Climat de Néoules
    16. Le transport en commun
    17. Gare d'Aix-en-Provence
    18. La céramique préhistorique -connaissance des techniques par la méthode expérimental
    19. Essais historiques sur le parlement de Provence : depuis son origine jusqu'à sa suppression, 1501 - 1790, Volume 1 Prosper Cabasse 1er janvier 1826, Pihan Delaforest : Jean-François Allard
    20. Val d'Issole : Néoules, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    21. À la sainte Marie-Madeleine
    22. Héraldique : Néoules
    23. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 22 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    24. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    25. Notice ÉMERIC par Jacques Girault, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
    26. Notice JOULIAN Louis, Paul. par Jacques Girault, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 25 juillet 2018
    27. Conseil municipal du 26-10-2020
    28. Guide des Maires » Néoules, sur le site amf83.fr (consulté le 2 décembre 2020)
    29. décret de constitution du Parc naturel régional de la Sainte-Baume
    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Unité urbaine 2020 de Néoules », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    34. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    35. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur insee.fr (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. Plan local d'urbanisme
    39. Schéma de Cohérence Territoriale de la Provence verte
    40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    41. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    46. École, Collèges et Lycées
    47. Professionnels et établissements de santé
    48. Professionnels de santé
    49. Saint Jean Baptiste
    50. Le château
    51. L'église Saint Jean-Baptiste
    52. Notice no PM83000394, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Jean-Baptiste
    53. La première église paroissiale
    54. Monuments commémoratifs
    55. Monuments aux morts de la guerre de 1914-1918, sur dossiersinventaire.maregionsud.fr/
    56. Monument aux Morts avenue de la Libération, Plaque commémorative dans l'église Saint-Jean Baptiste
    57. Conflits commémorés 1914-18 et 1939-45
    58. Conflits commémorés AFN - Algérie (54-62
    59. Néoules-revue: études religieuses, histoire locale, questions agricoles, Volumes 1 à 3, 1899, 85 pages
    60. Dolmen de la Pierre Plantée
    61. La Pierre Plantée de Néoules, Commandant Laflottes, Bulletin de la Société préhistorique de France, Année 1929 Volume 26 Numéro 5 pp. 317-319
    62. La pierre Plantée de Néoules (Var), par Commandant Laflotte. Bulletin de la Société préhistorique française Année 1928 25-6 pp. 302-303
    63. Le dolmen de Néoules dit «La Pierre Plantée», Rapport de fouilles N°03513, 1985, Philippe Hameau, Direction régionale des Affaires culturelles Provence-Alpes-Côte d'Azur
    64. La fontaine républicaine
    65. Lavoirs du Var
    66. Le château d'eau de l'avenue Font Marcellin
    67. Le ragaie de Néoules, cavité « active » avec la présence d’une rivière souterraine
    68. Communes du Var, Grottes et sanctuaires, par Jeannine de Ridder et Émilie Michaud-Jeannin
    69. « coopérative vinicole L'Indispensable, enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur) », notice no IA83001355, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    70. Néoules, village de la Provence Verte
    71. Domaine de Trians
    72. Le patrimoine et l'économie de la commune
    73. (fr+en)Brasserie Artisanale La Blonde & La Brune à Néoules, en Territoire Provence Verte et Pays de la Provence Verte
    74. Les Ruches de Saint Thomé
    75. NEOULES / La centrale solaire photovoltaïque a été développée par la société Akuo Energy et installée par Phoenix Solar avec des modules SunPower de technologie Monocristalline
    76. Ferme photovoltaïque de Néoules : Étude d'impact et suivi de travaux paysagers
    77. Festival de Néoules
    78. Le Festival Châteauloin
    79. Esprit de cirque à Néoules
    80. Conservatoire d'Art Equestre
    81. Hébergements
    82. Le village
    83. Le patrimoine architectural
    84. L'évêque de Marseille en est le seigneur principal, tandis que les d'Emenjaud, d'Arcussia ou Émeric, se partagent les parts restantes du pouvoir seigneurial
    85. Historique de la commune
    86. Provincia : bulletin de la Société de statistique de Marseille, Société de statistique, d'histoire de d'archéologie de Marseille et de Provence, juillet 1926
    87. Le château a été construit (ou reconstruit) en 1584 par François Blancard, co-seigneur de Néoules. Il y eut toujours plusieurs co-seigneurs à Néoules, jusqu’au dernier qui était Jean François Allard
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