O filii et filiæ
L’O filii et filiæ est une hymne du temps pascal, notamment du dimanche de Pâques. Elle s'attribue en général à un cordelier, le frère Jean Tisserand. Or sa caractéristique particulière suggère la possibilité d'une hybridation entre le chant ecclésiastique et le folklore.
Texte
refrain |
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Alleluia, alleluia, alleluia. |
latin | français |
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O filii et filiæ, Et Maria Magdalene, A Magdalena moniti, Sed Joannes Apostolus In albis sedens Angelus, Discipulis astantibus, Postquam audivit Didymus, Vide, Thoma, vide latus ; Quando Thomas Christi latus, Beati qui non viderunt, In hoc festo sanctissimo, De quibus nos humillimas, |
1. Réjouissez-vous, fidèles de tout âge et de tout sexe, 2. Marie-Magdeleine, 3. Deux Apôtres avertis 4. Mais l'apôtre saint Jean 5. Un ange vêtu de blanc, 6. Les disciples étant assemblés, 7. Thomas entend dire que Jésus est ressuscité ; 8. Thomas, voyez mon côté, lui dit Jésus, 9. Après que Thomas a vu le côté de Jésus, 10. Heureux ceux qui, sans avoir vu, 11. Que l'on n'entende que des louanges et des cantiques de joie 12. Rendons à Dieu, avec le dévouement et la reconnaissance |
Il n'existe pas de texte officiel selon le rite romain. C'est pourquoi il y a de nombreuses variantes. Ce texte était une version destinée aux diocèses de Toulouse et d'autres, mais celle qui était insérée en 1815 dans un recueil à la base du bréviaire romain, comme celle de Paris[1].
Voir aussi une version en douze strophes au-dessous.
Partition
Exécution en ligne avec partition :
[écouter en ligne] (2 enregistrements, de la Schola Sanctæ Scholasticæ et du chœur de l'abbaye de Pluscarden)
Historique
Origine
Si, au XIXe siècle, John Mason Neale considérait que l'origine remonterait au XIIIe siècle[2], le manuscrit le plus ancien ne fut publié qu'au début du XVIe siècle. Sur son titre, un Franciscain, Jean Tisserand, se présentait comme auteur tandis qu'un manuscrit du Vatican contient d'une œuvre d'un compositeur décédé vers 1514. D'où, il est probable que la composition de texte fut effectuée à la fin du XVe siècle. Or, faute d'indice définitif, l'origine et la datation exactes restent encore incertaines[ld 1].
Sans doute l'origine de la mélodie est-elle un contrafactum d'une séquence du XIIe siècle Annus novus in gaudio. Jacques Viret remarquait la ressemblance entre l'hymne et le Kyrie IX en grégorien dit Cum jubilo[3],[4]. Un autre air fut écrit par Melchior Vulpius en 1609[5], qui était la deuxième version de mélodie.
Jacques Viret s'apercevait encore l'origine particulière, fusion entre le grégorien ecclésiastique et le folklore (ronde joyeuse), qui peut expliquer la popularité de cette hymne[3]. C'était également l'avis de l'académicien Ernest Renan qui soulignait une caractéristique archaïque de l'hymne O filii et la séquence Victimæ paschali laudes, laquelle est très différente de la composition ecclésiastique du psalmodie, soit récitatif. Il s'agit au contraire des chants légers qui seraient les échos des chansons anciennes, conservées jusqu'ici grâce à Pâques joyeuses[6]. Encore faut-il retrouver des manuscrits concrets pour conclure.
Dans les archives
Titre du livre : S'ensuyt une très belle salutation, faicte sur les sept festes de Nostre Dame, laquelle l'on chante au Salut à Sainct Innocent à Paris. Et la fist et composa frère Jehan Tissarant ; Avec l'Alleluya du jour de Pasques. Et avecques ce les Graces à Dieu en françoys.
ALLELUYA.
O filii et filie,
Rex celestis, rex glorie,
Morte revixit hodie. Alleluya.
Et Mane prima sabbati,
Ad hostium monumenti
Venit plorans mater Christi. Alleluya.
Et Maria Magdalene
Et Jacobi et Salome
Venerunt corpus ungere. Alleluya.
Et Johannes apostolus,
Cucurrit Petro citius
Monumento fuit prius. Alleluya.
In albis sedens angelus
Predixit mulieribus :
« In Galilea est Dominus. » Alleluya.
« Vide, Thomas, vide latus
Vide pedes, vide manus,
Noli esse incredulus. » Alleluya.
Quand Thomas vidit Christum,
Pedes, manus, latus suum,
Dixit : « Tu es Deus meus. »
In hoc festo sanctissimo
Sit laus et jubilatio.
Benedicamus Domino. Alleluya.
Ex quibus nos humilitas,
Devotas atque debitas
Deo dicamus gratias. Alleluya.
Juste avant 1900, Léopold Delisle, directeur de la bibliothèque de l'École des chartes, découvrit un manuscrit mentionnant le nom de Jean Tisserand († 1494[7]). Il s'agissait du manuscrit Rés. p. Ye.301 de la bibliothèque nationale de France (voir le texte en neuf strophes au-dessus)[ld 2]. L’Alleluya était suivi d'une poésie en six strophes desquelles les deux dernières sont[ld 3] :
Dieu doint bonne vie au bon roy Françoys,
A la bonne royne, a son bon conseil,
A la compaignie qui este icy ;
Et aux trespassez Dieu face mercy !
Alleluya, alleluya, alleluya, kyrieleyson.
Christe eleyson, kyrieleyson, Christe audi nos.
A nostre daulphin [ François (1518 - † 1536) ], a tous bons françoys,
A son accordee, dame des Angloys [princesse Marie[8]],
Que Dieu par sa grace leur doint tant regner,
Que les voye en F[r]ance tous deux couronnez !
Alleluya, alleluya, alleluya, kyrieleison.
Christe eleyson, kyrieleyson, Christe audi nos.
D'où, d'après la datation de Léopold Delisle, le manuscrit le plus ancien remonte au début du XVIe siècle (entre 1518 et 1536)[ld 3]. Celui-ci est la seule source qui ait mentionné le nom de Jean Tisserand auquel l'attribution est do nos jours citée par de nombreux documents.
Un précieux témoin se trouve dans la Bibliothèque apostolique vaticane. Ce manuscrit Cappella Sistina 42 contient une œuvre de Johannes Prioris († vers 1514), qui était un motet composé de deux textes en latin, Alleluia. O filii o filiæ rex cælestis et Et Maria Magdalene et Jacobi et Salome venerunt[9]. Quoique l'on ne sache pas si l'œuvre était en usage au Vatican, elle présente un forte lien avec la France. Le compositeur était en effet, à partir de 1507, le maître de chapelle royale sous le règne de Louis XII[10]. Le manuscrit fut copié à Rome entre 1503 et 1512 pour le chœur de la chapelle Sixtine, mais aucun compositeur italien ne le suivit, sans doute en raison d'un texte selon la liturgie locale.
Tels sont les témoignages surs au début du XVIe siècle.
Premières publications
Le texte imprimé le plus ancien est un manuscrit conservé à la bibliothèque nationale de France, manuscrit Rés. B8991[ld 4]. Il s'agit de quelques strophes de l'hymne dans les Heures de Notre-Dame à l'usaigne de Paris sorties en 1573, chez Jean Le Blanc[ld 4].
La mélodie ancienne se trouve dans les Airs sur les hymnes sacrés, odes et Noëls pour chanter au Catéchisme[11]. Il s'agissait d'un recueil publié en 1623 chez Pierre Ballard à Paris tandis que l'hymne à quatre voix parmi lesquelles la seule soprano est la mélodie se trouve en tant que pièce n° 26[12]. Il faut remarquer que l'usage n'était pas destiné à la liturgie, mais était réservé au catéchisme. Ce livre de chant avait été édité par un Jésuite, Michel Coyssard, qui avait fait une anthologie issue des éditions de Lyon, de Tournon et d'Anvers[12].
L'utilisation de l'hymne fut promue par quelques publications importantes. La première publication distinguée était l’Office de la semaine sainte selon le bréviaire et missel de Paris[ld 1]. Ce livre de chant fut sorti en 1674. L'hymne était intitulée Au Salut, Cantique de Rejoüissance[2] . Cette version devint une référence de cette hymne (voir la partition au-dessus). Ensuite, l'hymne fut imprimée dans un processionnal sorti à Nantes en 1678[ld 5].
Hormis la France, les traces anciennes se trouvent en Allemagne, plus précisément chez ses Jésuites. Un texte en allemand avait été imprimé en 1671[2]. Puis, leur Symphonia Sirenum Selectarum, édition 1695 à Cologne, contenait cette hymne. S'il s'agissait d'un livre de chant, son texte n'était autre qu'une variante : « Alleluia ! Alleluia ! Finita iam sunt prælia. Est parta iam victoria ! Gaudeamus, et canamus : Alleluia ! »[5].
Évolution
En 1738, le Calendrier historique avec le journal des cérémonies[13] en parlait dans la partie qui contient les renseignements relatifs aux fêtes mobiles : on pouvait alors aller l’entendre à Pâques au collège des Jésuites lors des vêpres solennelles, « après lesquelles il est chanté en musique. Ce cantique joyeux est pareillement chanté en plusieurs Églises par de belles voix de religieuses »[14].
L'hymne se caractérisait et se caractérise de son usage auprès de nombreux diocèses en France[2]. L'usage se distinguait notamment au soir de Pâques, au moment de l'adoration eucharistique[2]. Aussi la publication du texte était abondante à Paris et ailleurs[2].
Il est vraisemblable que le Saint-Siège ne l'autorisa jamais dans le rite romain. D'où, le texte officiel n'existe pas.
Paraphrase pour orgue
Hymne liturgique réservée au temps pascal, l’O filii et filiæ inspirait assez nombreux organistes, notamment organistes français. En effet, le cérémonial de Clément VIII, qui fut sorti en 1600 à la suite du concile de Trente, recommandait la composition en orgue en faveur de l'offertoire, qui est un long et solennel moment avec la procession[15]. C'est la raison pour laquelle, à partir du XVIIe siècle, les organistes français distingués préféraient paraphraser la mélodie de ce chant, tels Nicolas Lebègue, Pierre Dandrieu. De nos jours, certaines œuvres restent en usage, disposées par de grandes maisons d'édition.
Usage actuel
L'hymne reste toujours en usage. Cependant, dans le rite romain officiel, le texte ne se trouve pas. Ce chant populaire demeure une liturgie locale, mais avec une grande popularité en France[2]. Selon le texte, l'utilisation est réservée au temps pascal.
Mise en musique
À la Renaissance
- Johannes Prioris (vers 1460 - † vers 1514) : motet Alleluia. O filii O filiæ et Et Maria Magdalene, Bibliothèque apostolique vaticane manuscrit Cappella Sistina 42[9]
Musique baroque
- Volckmar Leisring (1560 - † 16...) : œuvre pour Pâques à 8 voix en double-chœur[16]
- Antoine Boesset (1587 - † 1643) : motet à 5 voix avec orgue, dans le Recueil Deslauriers[17]
- Jean Veillot (15... - † 1662) : motet pour 6 solistes, chœur à 5 voix et instruments[18]
- Guillaume-Gabriel Nivers (1632 - † 1714) : motet pour soprano et basse continue (1689)[19]
- Marc-Antoine Charpentier (1643 - † 1704) :
- Michel-Richard Delalande (1657 - † 1726) :
- André Campra (1660 - † 1744) : motet pour 6 solistes, chœur à 5 voix et instruments[25]
- Charles-Hubert Gervais (1671 - † 1744) : motet pour 5 solistes, chœur à 5 voix et instruments, ChG72[26]
- Esprit-Joseph-Antoine Blanchard (1696 - † 1770) : motet pour 3 solistes, grand chœur à 5 ou 6 voix et symphonie (instruments) pour le Samedi Saint[27]
Musique classique
- François Giroust (1737 - † 1799) :
- Luigi Cherubini (1760 - † 1842) : motet pour 4 solistes, chœur à 4 voix et orchestre (1828)[30]
- Fromental Halévy (1799 - † 1862) : O filii et filiæ, souvenir du Salut de Pâques attachée à l'opéra Le Lazzarone[31]
- Franz Liszt (1811 - † 1886) : oratorio Christus, n° 13 (1872)[32]
Œuvres instrumentales pour orgue
- Nicolas Lebègue (vers 1631 - † 1702) : offertoire pour orgue, dans le Livre d'orgue, tome 3[33]
- Pierre Dandrieu (1664 - † 1733) : œuvre pour orgue ou clavecin[ae 1]
- Jean-François Dandrieu (vers 1682 - † 1738) : offertoire pour clavecin ou orgue, dans le recueil Noël, O filii, chanson de saint Jacques et carillons[34] [partition en ligne]
- Michel Corrette (1707 - † 1795) : variations pour orgue ou clavecin (1782)[ae 2]
- Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier (1734 - † 1794) : œuvre pour clavecin ou piano-forte (1784)[35]
- Josse-François-Joseph Benaut (vers 1743 - † 1794) : variations pour orgue[36],[ae 3]
- Alexandre-Pierre-François Boëly (1785 - † 1858) : Thème O filii et filiæ et 3 variations pour orgue, dans l’Offertoire pour le jour de Pâques, op. 38, n° 10 (posthume, 1860)[37]
- Édouard Batiste (1820 - † 1876) : offertoire d'orgue, op. 26[38]
- Jacques-Nicolas Lemmens (1823 - † 1881) : sonate dans le recueil Trois sonates pour orgue, n° 2 (1881)[39]
- Alexandre Guilmant (1837 - † 1911) : offertoire sur O filii, op. 49, n° 2[40]
- Aloÿs Claussmann (1850 - † 1926) : offertoire d'orgue pour le jour de Pâques (1900)[41] [partition en ligne]
- Healey Willan (1880 - † 1968) : prélude n° 9 pour orgue, dans le recueil 30 Hymn Preludes for Organ[42]
- Lynnwood Farnam (1885 - † 1930) : toccata sur O filii pour orgue (1932)[43]
- Frederick Candlyn (1892 - † 1964) : prélude en faveur de Pâques sur O filii et filiæ pour orgue [partition en ligne]
- André Fleury (1903 - † 1995) : variations pour orgue[44]
- Jean Langlais (1907 - † 1991) : fugue sur O filii pour orgue, dans la Folkloric suite, op. 77, n° 1 (1952)[45]
- Jeanne Demessieux (1921 - † 1968) : variations O Filii dans le recueil Twelve Choral Preludes on Gregorian Chant Themes for Organ, n° 7 (1950)[46]
- Pierre Cochereau (1924 - † 1984) : improvisation pour orgue, dans le recueil Improvisations sur des thèmes de Pâques (1981)[47]
- John Rutter (1945 - ) : variation sur le thème de Pâques pour orgue en duo (1983)[48]
- Naji Hakim (1955 - ) : variations sur une hymne pascale (2012)[49]
Variantes selon les pays
Irlande
On constate des variations irlandaises publiées au XVIIIe siècle. D'après deux manuscrits, celles du XVIe siècle et du XVIIe siècle étaient intitulés Is truag in ces i mbiam (Triste sort que le sort de l'homme). L'autre était une adaptation du XVIIIe siècle, issue du texte latin, et qui employait la même mélodie[50].
Angleterre
Outre-Manche, l'usage de l'hymne O filii et filiæ n'était pas habituel. D'une part, le calvinisme y défavorisait considérablement l'utilisation des hymnes latines. D'autre part, son origine à partir de la France y était bien connue. En conséquence, la liturgie anglicane ne favorisait pas cette prose française[51]. Néanmoins, un auteur anonyme la publia en traduction dans Evening Office, 1748 Young men and maids, rejoice and sing. Cette dernière était adoptée dans l’Annus Sanctus (Hymnes de l'église pour le calendrier liturgique) . L'édition 1884 contenait encore une autre traduction de Charles Kent, O maids and striplings . La version la plus connue était toutefois celle de J. D. Chambers, Children of men, rejoice and sing[51]. La traduction de John Mason Neale, qui promut la célèbre hymne Veni, veni Emmanuel, était intitulée Alleluia ! alleluia ! Finished is the battle now et se caractérisait de sa composition très rythmique[51]. Auprès de l'Église catholique, E. Caswall l'avait traduite en 1849[2]. Il est à noter qu'en 1892, John Julian comptait sept traductions et quatre paraphrases à la base de la traduction de Neale[2] .
États-Unis
Une publication effectuée en 1831 à New York indique qu'était tenue la pratique de traduction en anglais, également en douze strophes. Si sa rubrique était hymne de Pâques, cette version anglaise suggère que l'usage était moins liturgique, auprès des églises catholiques américaines qui gardaient le texte latin dans la célébration[52].
Allemagne
L'hymne était citée dans une publication des Jésuites, effectuée en 1671[2]. Plus tard, la traduction en allemande fut effectuée en 1854 par le chanoine Christoph Moufang en douze strophes : [lire en ligne].
Bretagne
Il fit l'objet de plusieurs adaptations en langue bretonne. D'une part, il s'agit de simples traductions, comme Bugale Doue, selaouit (Enfants de Dieu, écoutez), par le Père Julien Maunoir, puis Alleluia kanamb viktoér (Alléluia, chantons victoire) en breton vannetais, et Sul fask, Alleluia ! en Trégor ou Haute-Cornouaille[53]. D'autre part, il existe des paraphrases, comme Mari, Rouanez an Neñvou (diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier), et Klevit tudou (diocèse de Quimper et Léon)[53].
France
Du reste d'assez nombreuses chansons et danses traditionnelles françaises reprennent tout ou partie de la musique de cet hymne, en la faisant parfois grandement évoluer[54].
Voir aussi
Références bibliographiques
- Léopold Delisle, L'Alleluya de Pâques : O filii et filiæ, dans la revue Bibliothèque de l'École des chartes, tome 61-1, 1900 [lire en ligne]
- p. 594
- p. 595 - 596
- p. 596
- p. 595, note n° 3
- p. 595, note n° 2
- Nathalie Berton-Blivet, Marie Demeilliez et Cécile Davy-Rigaux, Anthologie d'écrits de compositeurs extraits de recueils de motets, de messes et de livres d'orgue parus en France (XVIIe - XVIIIe siècles), 2014 [lire en ligne]
- p. 37
- p. 41
- p. 40
Notes et références
- Le petit paroissien romain, contenant l'office divin des dimanches et des fêtes, Propre aux Paroisses qui n'ont pas changé de Bréviaire, et qui suivent l'usage de Rome, nouvelle édition, p. 287 - 289, Jean-Matthieu Douladoure, Toulouse 1815
- John Julian, A Dictionary of Hymnology, p. 828 - 829, 1892 (en)
- Jacques Viret, Chant grégorien, p. 113, 2017
- À noter : le titre Cum jubilo était donné et officialisé par la reforme liturgique de saint pape Pie X
- (en) J. R. Watson, An Annotated Anthology of Hymns, (lire en ligne), p.59.
- Ernest Renan, Revue des Deux Mondes, tome 48, p. 116, 1881
- Data Bnf
- Jean-Baptiste Capefigue, François Ier et la Renaissance, p. 267, 1845
- Université d'Oxford
- Bernard Chevalier, La France de la fin du 15e siècle, p. 246, 1984
- Mélodie à 4 voix (composition arrangée au XXe siècle)
- Notice CMBV (Centre de musique baroque de Versailles)
- Titre complet : Maupoint, Calendrier historique avec le journal des cérémonies et usages qui s'observent à la Cour, à Paris et à la campagne
- Amédée Gastoué, L'O filii, ses origines, son auteur. La Tribune de Saint-Gervais : bulletin mensuel de la Schola cantorum, 1907.
- Denise Launay, La musique religieuse en France du Concile de Trente à 1804, p. 76, Société française de musicologie, Paris, 1993
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Adrien-Jean-Quentin Beuchot, Bibliographie de la France, p. 440, 1845
- Éditions Bärenreiter (en)
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Gilles Cantagrel (éd.), Guide de la musique d'orgue, nouvelle édition, p. 286, 2012
- Notice Bnf
- Harvey Grace, French Organ Music Past and Present, p. 52, 1975 (en)
- Université Harvard, Harvard University Bulletin, n° 53, p. 161, 1892
- Éditions Robert Forberg / Stretta Music
- Notice Bnf
- Édition Peters
- Éditions Theodore Front Musical Litterature, (en)
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Éditions Summy-Birchard Music
- Notice Bnf
- Notice Bnf
- Éditions Schott Music
- (en) « Two Religious Poems in Irish, O CUIV B. Celtica 1988, vol. 20, pp. 73-84
- The Monthly Packet of Evening Readings for Members of the English Church, tome IV, p. 317, note n° 4, 1867 (en)
- The Devout Christian's Vade Mecum, p. 280, 1831 (en)
- Hervé Queinnec, « Adaptations bretonnes de l'hymne "O filii et filiae" », sur http://diocese-quimper.fr.
- Maison Henri Plon (éd.), Chants et chansons populaires de la France, tome II, p. 16
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