Ormoy-Villers

Ormoy-Villers est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Ormoisiens.

Pour les articles homonymes, voir Ormoy et Villers.

Ormoy-Villers

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
Maire
Mandat
Pascal Etain
2020-2026
Code postal 60800
Code commune 60479
Démographie
Gentilé Ormoisiens
Population
municipale
677 hab. (2019 )
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 49″ nord, 2° 50′ 39″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 131 m
Superficie 10,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Ormoy-Villers
Géolocalisation sur la carte : France
Ormoy-Villers
Géolocalisation sur la carte : Oise
Ormoy-Villers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Ormoy-Villers

    Géographie

    La commune est desservie par la gare d'Ormoy-Villers, située sur la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) et desservie par les trains de la ligne K du Transilien (Paris-Nord - Crépy-en-Valois). Située dans un milieu rural, Ormoy-Villers se trouve à quelques minutes en voiture de la ville de Crépy-en-Valois et se situe sur un axe Compiègne - Paris. Ormoy-Villers ne se trouve qu'à 35 minutes de la zone commerciale de Compiègne, celle de Creil-Saint-Maximin, ainsi que celle de Claye-Souilly. La commune se trouve aussi à environ 30 minutes de l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Ormoy-Villers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), terres arables (44,5 %), zones urbanisées (4,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    • Ormoy est citée sous les formes de Ulmeto en 1182[21], apud Ulmaium vers 1200[21], Ulmeium en 1245[21], ife Urmeio en 1258[21], d’Ormay vers 1269[21], Ormerum vers 1330[21], Ulmerium, Ormeyum in mediis campis, Ourmoy vers 1380[21], Ormoy en 1410[21], Ormoy-emmi-les-Champs, Ormoi[Quand ?][22], en 1793 le nom de la commune est orthographié Ormoi Villers ; sur la carte de Cassini la commune est dénommée Ormoy-Esmy-les-Champs puis le Bull. des Loi de 1801 évoque, Ormoy-mi-les-Champs, et le village devient ensuite Ormoy-Villers[23].

    Ormoy remonte à un type toponymique gallo-roman *ULMETU (latin ulmus « orme »), le suffixe -ETU (autrement noté -etum) est un suffixe à valeur collective utilisé pour désigner un ensemble de végétaux appartenant à la même espèce, d'où le sens global pour Ormoy de lieu planté d'ormes . La forme féminine du suffixe : -ETA a donné le suffixe -aie, encore productif dans cet usage (ormaie, saulaie, etc.). Les formes anciennes d'Ormoy montrent une évolution -ei > -oy caractéristique du picard et de l'Est de la France, alors qu'il est resté plus généralement -ei, noté -ey ou -ay ailleurs dans le domaine d'oïl (cf. picard le Quesnoy = normand le Quesney). Le déterminant complémentaire emmi-les-Champs signifie au milieu des champs .

    • Petit-Villers est mentionné en tant que Villares in mediis campis[Quand ?], Villares super Ulmeium[Quand ?], Villers-emmi-les-Champs[Quand ?], Vilers, Villers-sur-Ormoy[Quand ?], Villiers[Quand ?][24].

    Dans la région, l'usage veut que le nom Villers, seul ou placé en tête d'un composé, se prononce « vilère », en tant qu'appellatif toponymique suffixé -villers, il se dit « vilé »[25].

    Le village d'Ormoy est cité dans une bulle du pape Lucien III. Le village de Villers-Esmi-les-Champs (actuellement Petit Villers) lui a été associé en 1773[réf. nécessaire].

    Préhistoire

    Toute la zone a connu une occupation préhistorique.

    Le préhistorien Étienne Patte a notamment découvert des haches polies, des éclats de silex, une pointe de flèche et un menhir (en 1909) sur le « Mont de Rouville » au lieu-dit « le champ de bataille » dans le bois Ormoy-Villers, presque à la limite des communes d’Ormoy et de Rouville, ainsi qu’un « polissoir à cuvette » à Ormoy-Villers [26],[27] (qui a ensuite disparu). Il signale un dolmen à peu près à égale distance entre Nanteuil-le-Haudoin et Ormoy-Villers (avec silex du Grand-Préssigny) ; rem : des débris d’un autre dolmen ont été à l’époque signalé au sommet de la Côte du Camp à Mareuil-sur-Ourcq.

    Histoire

    Une activité économique à l'époque de l'empire romain est attestée par la découverte en 1840 d'un trésor de cinq cents monnaies, dans les fondations d'une maison du village[28].

    Au XIIe siècle la seigneurie d'Ormoy appartenait déjà au chevalier Colard d'Ormoy. Le château fut détruit au cours de la jacquerie en 1358, reconstruit en 1711 et démoli lors de la Révolution française. Une ferme subsiste avec les restes du château, une autre datant du XVIIe se trouve avec les traces d'une église au Petit-Villers. L'église Saint-Martin (IMH) qui date des XIIe et XVe siècles et ne possède pas de clocher, est rattachée au groupement touristique des « 35 clochers » de la vallée de l'Automne. Une partie du territoire communal est boisée (Bois-du-Roi)

    Ormoy, village de plaine situé au cœur d'une grande région agricole, sur la route de Crépy-en-Valois à Nanteuil-le-Haudouin, s'adosse au massif forestier du Bois-du-Roi où l'on trouve au lieu-dit la Terrière un mégalithe haut de 7 m surnommé la Pierre au coq. Ce massif forestier, dans les premiers au nord de Paris, s'inscrit dans un riche et rare complexe écopaysager de grand intérêt faunique et floristique (ZNIEFF, ZICO, ZPS, Natura 2000).

    Ce village était aussi un important centre de tri, nœud ferroviaire avec de nombreux raccordements permettant, et ce dès 1861, de relier Amiens à la ligne de Paris-Soissons, à celle de Paris-Reims, ainsi qu'à une ligne allant à Chantilly via Senlis et une dernière allant à Mareuil-sur-Ourcq.

    En 1939, le village se trouve sur le tracé de la ligne Chauvineau, une série de fortifications légères chargées d'assurer une dernière couverture de Paris en cas d'invasion.

    Les 11 et de violents combats opposent des soldats français appartenant notamment aux 8e, 30e et 61e BCP, appuyées sur la ligne Chauvineau aux forces allemandes. Ceux-ci entraînent des destructions dans le village.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2003[29] Pierre Barier   Démissionnaire
    2003[29] 2014 Daniel Cokelaere SE Retraité (cadre dans le secteur privé)
    2014 2020 Ghislain Gilbert   Retraité
    15/03/2020 En cours Pascal Etain   Maître de conférences de droit Université Paris-Dauphine

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2019, la commune comptait 677 habitants[Note 8], en augmentation de 6,11 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    198208249244306304308326290
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    311332303299295348337397453
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    431420421535480530507512528
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    558537627610645655655644638
    2014 2019 - - - - - - -
    635677-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 327 hommes pour 333 femmes, soit un taux de 50,45 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    1,2 
    4,8 
    75-89 ans
    6,4 
    15,8 
    60-74 ans
    12,9 
    28,1 
    45-59 ans
    26,3 
    19,7 
    30-44 ans
    18,1 
    14,6 
    15-29 ans
    16,7 
    16,7 
    0-14 ans
    18,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Héraldique

    Les armes d'Ormoy-Villers se blasonnent ainsi :

    deux écus accolés d’or au lion de gueules et d’azur aux trois bandes d’or.


    Lieux et monuments

    Chœur de l'église.
    La pierre au Coq, bloc de grès, curieuse formation naturelle dans le bois du Roi.

    Monument historique

    Ormoy-Villers ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    • Église Saint-Martin, place de l'Église / Grande-Rue (inscrite monument historique par arrêté du [35]) : Sa partie la plus ancienne, le chevet du chœur, est de style roman et date de la première moitié du XIIe siècle. Au cours de la seconde moitié du XIIe siècle, le chœur de deux travées a été voûté d'ogives, et au XIVe siècle, sa superficie a été doublée par l'adjonction d'un collatéral, mais peu de vestiges subsistent de cette époque. L'église souffre lourdement sous la guerre de Cent Ans, et les parties orientales sont en grande partie rebâties à la période gothique flamboyant, à la fin du XVe siècle. La nef et son bas-côté, sans style véritable, pourraient comporter des parties du XIIe siècle, mais le mur du nord date sans doute de la reconstruction flamboyante, et la façade est moderne. Sur le plan architectural, l'église Saint-Martin n'offre rien de bien remarquable. C'est une petite église rurale dont la relative complexité témoigne des vicissitudes du temps. Sa silhouette particulière, avec un pignon percé de deux fenêtres orienté vers le sud, et un bas-côté rustique, empêchent la confusion avec toute autre église des environs. L'intérieur, un peu sombre et voûté à un niveau assez bas, vaut surtout pour son ensemble de mobilier cohérent du XIXe siècle[36].

    Autres éléments du patrimoine

    • Plusieurs fermes de caractère, présentant une architecture typique de la région dans un bon état de conservation.
    • La mare (à l'entrée ouest du village) : jadis importante pour la lutte contre d'éventuels incendies et l'abreuvage des troupeaux, mais aujourd'hui disparue dans la plupart de villages.
    • La forêt « bois du Roi » avec une zone de sol sablonneux, de landes sèches et de chaos rocheux. Une partie de ce bois privé est ouvert au public pour permettre la visite de cette zone naturelle remarquable, sur deux sentiers balisés de 1 350 m et de 2 150 m, avec une aire de pique-nique. La principale curiosité de la forêt est la fameuse « Pierre au coq », bien connue par les marcheurs. Si sa forme actuelle n'évoque plus grand chose, elle ressemblait auparavant (comme son nom l'indique) à un coq. L'accès à la forêt se fait par la rue du bois et le pont qui enjambe la voie ferrée désaffectée de Mareuil près du cimetière - table d'orientation.
    • Découvertes archéologiques : voir par exemple la publication d'Étienne Patte sur le polissoir d'Ormoy-Villers en 1910.
    • Monument en hommage aux soldats des 8e, 30e et 61e BCP tombés pour la défense d'Ormoy-Villers : situé à la sortie sud du village, au bord de la route menant à Nanteuil-le-Haudouin. Non loin du monument, on peut voir un blockhaus de la ligne Chauvineau.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 256 p. (lire en ligne), p. 148-150

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Trumilly - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Ormoy-Villers et Trumilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Trumilly - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Ormoy-Villers et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, p. 1254.
    22. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 148 – 149.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Ibid., p. 150.
    25. Vie et Langage, Numéros 214 à 225,Larousse, 1970, p. 286.
    26. Le polissoir d’Ormoy-Villers (Oise) BSPF, 24 mars 1910
    27. Patte, E. (1926). Menhir du Mont-de-Rouville et Polissoirs à Ormoy-Villers (Oise).—Polissoir de Mareuil-sur-Ourcq. Bulletin de la Société préhistorique de France, 23(7/8), 162-166.
    28. Roblin Michel (1965). Le culte de saint Martin dans la région de Senlis. In: Journal des savants,, n° pp. 543-563; http://www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1965_num_3_1_1112
    29. Robin Assous, « Daniel Cokelaere est le nouveau maire », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ormoy-Villers (60479) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    35. « Église Saint-Martin », notice no PA00114794, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité départemental de tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 35.
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