Pélissanne
Pélissanne (Pelissano en provencal) est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la Métropole d'Aix-Marseille-Provence.
Pélissanne | |||||
Centre-ville provençal | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Bouches-du-Rhône | ||||
Arrondissement | Aix-en-Provence | ||||
Intercommunalité | Métropole d'Aix-Marseille-Provence | ||||
Maire Mandat |
Pascal Montécot 2020-2026 |
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Code postal | 13330 | ||||
Code commune | 13069 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pélissannaise, Pélissannais | ||||
Population municipale |
10 487 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 549 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 37′ 56″ nord, 5° 09′ 04″ est | ||||
Altitude | 84 m Min. 70 m Max. 295 m |
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Superficie | 19,11 km2 | ||||
Unité urbaine | Salon-de-Provence (banlieue) |
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Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Pélissanne (bureau centralisateur) |
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Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-pelissanne.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Pélissannais.
Géographie
Situation
Ce village est situé à 6 km de Salon-de-Provence, 26 km d'Aix-en-Provence et 55 km du centre-ville de Marseille.
Communes limitrophes
Accès
- En voiture
- depuis le nord et le sud : deux sorties sur l'autoroute A7, sortie no 27 Salon Nord, ou bien après échangeur A7/A54, sortie no 15 Salon Sud.
- depuis l'ouest : par l'autoroute A54, sortie no 14 Salon Ouest.
- l'ancienne nationale 7 aujourd'hui D 7n.
- la D 15, depuis Lambesc, Rognes et Le Puy-Sainte-Réparade.
- la D 572, depuis Saint-Cannat.
- En bus
La ligne no 8 du réseau Libébus, le réseau de transports urbains de l'Agglopole Provence[1]. La ligne no 14 du réseau Libébus faisant la liaison entre Salon-de-Provence et Lançon.
- En train
- depuis Paris, l'est, le nord et l'ouest : par TGV jusqu'à la gare d'Aix-en-Provence TGV ou la gare d'Avignon TGV, puis navette autocars direction Salon-de-Provence.
- autres : par train corail ou TER jusqu'à la gare d'Avignon-Centre ou la gare de Miramas, puis TER (ligne d'Avignon à Miramas via Cavaillon) jusqu'à Salon-de-Provence.
- En avion
- aéroport Marseille-Provence, puis navette autocars direction Salon-de-Provence - ou taxi (40 kilomètres).
Sismicité
À la suite du décret du définissant le zonage sismique de la France, les Bouches-du-Rhône ont été découpés de la manière suivante[2] :
- Zone II, zone qui correspond à une « sismicité moyenne » : les cantons de Lambesc, Peyrolles-en-Provence et Salon-de-Provence, tous trois de l'arrondissement d'Aix-en-Provence ;
- Zone Ib, zone qui correspond à une « sismicité faible » : les cantons d'Aix-en-Provence et Trets de l'arrondissement d'Aix-en-Provence, les cantons d'Eyguières et Orgon de l'Arrondissement d'Arles et les cantons de Berre-l'Etang, Istres-Nord et Istres-Sud de l'arrondissement d'Istres ;
- Zone Ia, zone qui correspond à une « sismicité très faible » : tous les autres cantons de l'arrondissement d'Aix-en-Provence, les cantons d'Arles-Est, Châteaurenard et Saint-Rémy-de-Provence de l'arrondissement d'Arles, les cantons de Marignane, Martigues-Est et Martigues-Ouest de l'arrondissement d'Istres, et enfin le canton de Roquevaire de l'arrondissement de Marseille ;
- Zone 0, zone qui correspond à une « sismicité négligeable » : tous les autres.
Faune et flore
C'est dans le massif des Costes que l'on peut rencontrer la faune et la flore méditerranéenne. On y rencontre lapins, perdrix, passereaux, busards et même des aigles de Bonelli (espèce protégée). Le massif est parsemé de thym, romarin, orchidées (protégées sur la zone), chênes verts, pins d’Alep, genévriers et oliviers que l’on cultive pour produire une huile d’olive de qualité.
Climat
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1981-2010 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,1 | 1,6 | 4,1 | 6,8 | 10,6 | 14,3 | 16,4 | 16,8 | 13,5 | 10,2 | 5,3 | 2,2 | 8,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 11 | 12,4 | 15,7 | 18,4 | 22,8 | 26,9 | 30,2 | 29,7 | 25,3 | 20,6 | 14,6 | 11,4 | 20 |
Précipitations (mm) | 51 | 35 | 36 | 57 | 49 | 26 | 11 | 33 | 78 | 85 | 66 | 51 | 580 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
11 1,1 51 | 12,4 1,6 35 | 15,7 4,1 36 | 18,4 6,8 57 | 22,8 10,6 49 | 26,9 14,3 26 | 30,2 16,4 11 | 29,7 16,8 33 | 25,3 13,5 78 | 20,6 10,2 85 | 14,6 5,3 66 | 11,4 2,2 51 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Hydrographie
Pélissanne est traversée par la Touloubre d'est en ouest et le canal de Matheron, dérivation locale du canal de Craponne, du nord au sud. Le canal EDF longe la commune à l'ouest ; toutefois il ne fait partie de la commune que pour quelques mètres seulement.
Urbanisme
Typologie
Pélissanne est une commune urbaine[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Salon-de-Provence, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[6] et 61 835 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (26 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), cultures permanentes (16,4 %), terres arables (4,2 %), forêts (2,8 %), prairies (2,1 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Histoire
Héraldique
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'azur à un pélican d'or, au chef d'argent, chargé de trois flammes de gueules.
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Faits historiques
Dès l’Antiquité, Pélissanne est une ville carrefour. Les fouilles archéologiques, autour de la chapelle Saint-Laurent, commencées dans les années soixante-dix ont permis la découverte de nombreux vestiges de la période néolithique. Des vestiges importants ont ainsi été mis au jour : une villa gallo-romaine datant du Ier siècle av. J.-C. ainsi que des fondations d'une église du Ve siècle et de sa nécropole. Les voies auréliennes des Côtes et de Redourtière relient alors Pélissanne aux grandes villes romaines.
Moyen Âge
Raymond Martini (?-av.1358) fut un notaire originaire d'Aix et de nombreuses fois clavaires. Lorsqu'il fut baile de Pélissanne ; il acheta le , les droits comtaux de cette localité avec Guillaume Maximi, de Barcelonnette[13].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le roi de France, Charles VI, intervient et envoie le sénéchal de Beaucaire, Enguerrand d’Eudin, auquel se rallie Guillaume-Roger de Turenne. Pélissanne, possession de ce dernier, se trouve donc neutre en début de guerre, et du côté angevin à la fin de la décennie[14].
La ville signe son rattachement au territoire français en 1483 lors de l'annexion par Louis XI de la Provence. Au XVIe siècle, l’agriculture connaît un nouvel essor grâce à la construction du canal de Craponne. De nouveaux moulins sont installés sur son cours et s’ajoutent aux moulins situés sur la Touloubre. Peu à peu, la vieille ville devient un quartier résidentiel avec de nombreux hôtels particuliers encore visibles aujourd’hui. Après la Révolution, l’artisanat se développe.
Le village est touché par le séisme de 1909 en Provence. Il fait référence à un séisme de magnitude 6,2 sur l'échelle de Richter qui s'est produit dans le Sud-Est de la France et qui toucha les villes de Salon-de-Provence, Vernègues, Lambesc, Saint-Cannat et Rognes dans le massif de la Trévaresse en Provence. C'est le tremblement de terre de magnitude la plus élevée enregistré à ce jour en France métropolitaine.
La commune de Pélissanne était défenderesse dans la célèbre affaire du canal de Craponne.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires qui se sont succédé à la mairie de Pélissanne :
Jumelages
La commune de Pélissanne est jumelée avec Miliès (Grèce) depuis 2007.
Population et société
Enseignement
- Maternelle : Roux-de-Brignoles, Enjouvènes, Jeanne-d'Arc et Plan-de-Clavel.
- Élémentaire : Enjouvènes, Plan-de-Clavel, Jeanne-d'Arc, Yvette-Besson et Vincent-Garcin
- Collège Roger-Carcassonne.
Sport et activités
- Courses de taureaux camarguais dans les arènes.
- Football : un terrain en synthétique, une plaine sportive et un terrain stabilisé. Le club de la ville, l'US Pélican, joue en rouge et noir.
- Tennis : 4 courts au tennis club pélissannais + 2 nouveaux réalisés en 2010
- Activité plein-air de la Prouvenque : Skate-park, boulodrome, terrain de basket
- Stade d'athlétisme
- Salle Paul-Tacher : lieu de rencontres sportive de baske-tball, volley-ball, handball, danse
- Salle Malacrida : salle des fêtes de Pélissanne reconvertie à maintes reprises en terrains de badminton, salle de danse
- Salle des Sports : un dojo, une salle de boxe, une salle de fitness et un studio de danse
- Espace jeunes : terrain de basket en plein-air
Manifestations culturelles et festivités
- Le Grand Marché se tient tous les dimanches avenue du Général-de-Gaulle, rue où est située "La Poste", et connait une très grande affluence.
- Le Corso Fleuri a lieu chaque année depuis 1950 le dimanche des Rameaux et en nocturne le pour les fêtes populaires.
- Le Raid Aventure Pélissanne ayant lieu chaque année au mois de mai depuis 2013 est une course d'obstacles organisée par l’association sportive le X-terra Aventure Pélissanne.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Bottero, l'auteur de La Quête d'Ewilan, de Les Mondes d'Ewilan, etc. y a demeuré jusqu'à sa mort le .
- Costanzo W. Figlinesi, peintre impressionniste italien y est décédé le .
- Louis Jacques Mandé Daguerre, il immortalisa le clocher d'origine de Pélissanne (avant le tremblement de terre de 1909) lors de sa première expérience publique de photographie en .
- Jean-Loup Chrétien, 1er spationaute français, demeura à Pélissanne de 1970 à 1977 alors qu'il était pilote d'essais au centre d'essais en vol d'Istres.
- Franck Chevallier, athlète français, ancien directeur technique national vécut à Pélissanne.
- Pierre Gaulon, auteur de littérature jeunesse et de Polars résidant à Pélissanne. Son roman La Faille se déroule dans la campagne pélissannaise.
- Antoine Pierre Jaubert (1748-1822), avocat au parlement de Provence, député des Bouches-du-Rhône de 1802 à 1808, est né à Pélissanne.
Économie
- Pélissanne fait partie de la métropole d'Aix-Marseille-Provence.
Culture et patrimoine
Monuments laïques
- Le centre-ville historique : ancienne cité fortifiée.
- Le beffroi est édifié en 1556 à l’emplacement du pont-levis qui commandait l'entrée du castrum. Lors de sa reconstruction en 1702, on le pare d’un magnifique dôme en fer forgé, œuvre du maître horloger Quintrand de Lambesc et quelques années plus tard d’un cadran solaire sur la façade sud.
- La fontaine du Pélican a été inaugurée en 1770. Construit en pierre de Calissanne, son bassin en forme de trèfle entoure une colonne surmontée d'une sculpture représentant les armes de la ville. Elle est classée monument historique depuis 1942.
- Le lavoir des Passadouïres XIXe siècle, construit en 1863 afin de dégager l'ancien lavoir de la place Cabardel devenu trop encombré. Le lavoir est remarquable par ses cinq bassins rectangulaires et son séchoir encore utilisé aujourd'hui.
- Le moulin à huile des Costes.
- Le canal de Craponne XVIe siècle.
- Les ruines du château de la Penne.
- Les voies romaines et pré-romaines.
- La borne milliaire de Bidoussanne, Inscrit MH (1941)[15].
Monuments religieux
- L'église Saint-Maurice de Pélissanne de style dorique italien date de 1824. Elle est consacrée à saint Maurice et saint Jean Chrysostome. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1994[16].
Le clocher quant à lui, date de 1625. Détruit lors du séisme de 1909 en Provence, sa reconstruction s'est achevée en 1913. - La chapelle des Pénitents gris.
- La chapelle Saint-Laurent.
Espaces verts
- Le parc Maureau.
- Le parc Saint-Martin.
- Les bords de la Touloubre.
Patrimoine culturel
- Le Musée archéologique municipal, est fermé depuis 2006 . Il situé dans l'ancien hôtel de ville, édifice inscrit en 1976 au titre de monument historique[17].
Patrimoine naturel
Le massif des Costes est l'étendue de collines se situant sur les communes d'Alleins, Aurons, Lambesc, Pélissanne et Salon-de-Provence. Ses collines sont plus ou moins boisées, en fonction des nombreux incendies, laissant place à la garrigue.
Galerie
La porte du beffroi, entrée dans la vieille ville . La fontaine du pélican . Passage couvert dans une rue de la vieille ville. Une rue de la vieille ville. Le moulin à huile des Costes.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
- Site Internet de Libébus.
- La sismicité des Bouches-du-Rhône
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Salon-de-Provence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- AD du 13, série B1593f.36v.
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 407 et 413 (note 61).
- « Borne milliaire », notice no PA00081399, base Mérimée, ministère français de la Culture
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00132720
- « Hôtel de ville (ancien) », notice no PA00081402, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Maurice Barrielle, Histoire de Pélissanne & sa région, chez l'auteur, Pélissanne, 1999 (ISBN 2-9514730-0-1)
Liens externes
- Site officiel de la mairie de Pélissanne
- Pélissanne sur le site Géoportail de l'Institut géographique national
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