Péré (Hautes-Pyrénées)

Péré est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Péré.

Péré

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses
Maire
Mandat
Charles Rodrigues
2020-2026
Code postal 65130
Code commune 65356
Démographie
Gentilé Péréens
Population
municipale
59 hab. (2019 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 14″ nord, 0° 18′ 41″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 574 m
Superficie 4,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Péré
Géolocalisation sur la carte : France
Péré
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Péré
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Péré

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région des Baronnies, dont le nom est issu d’une légende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Lène et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Péré est une commune rurale qui compte 59 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 250 habitants en 1866. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. .

    Ses habitants sont appelés les Péréens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Péré se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 15 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à km de Tournay[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Caharet (1,1 km), Lutilhous (1,7 km), Bégole (2,7 km), Lagrange (3,0 km), Mauvezin (3,2 km), Gourgue (3,8 km), Capvern (3,9 km), Ricaud (4,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Péré fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

    Carte de la commune de Péré et des proches communes.
    Communes limitrophes de Péré[6]
    Lanespède Bégole
    Ricaud Caharet
    Mauvezin Lutilhous

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Lène, le ruisseau Chauquet, le ruisseau de Coustalats et le ruisseau de Ricaud, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le Lène, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros à Ozon, après avoir traversé 8 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 072 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Campistrous », sur la commune de Campistrous, mise en service en 1989[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 103,2 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 28 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[22] : les « coteaux de Capvern à Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-Pyrénées[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Péré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[I 2],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69 %), zones agricoles hétérogènes (30,9 %), prairies (0,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 32[I 5].
    Parmi ces logements, 73,2 % sont des résidences principales, 6,7 % des résidences secondaires et 20,1 % des logements vacants.

    Risques naturels et technologiques

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D817 et la route départementale D157 et est traversée par l'autoroute A64.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Péré au sud-est de Tournay.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[27] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • De Pero, latin (1342, pouillé de Tarbes) ;
    • Péré, dès 1759 (registres paroissiaux). Péré et Bordesbieilles apparaissent fréquemment comme noms de personnes (ibid.). Dans un acte de 1673 citant tous les habitants du lieu de Bordes Vieilhes alias Péré, ceux-ci portent tous, sans exception, le patronyme de Péré ;
    • Peré (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : du gascon perèr (= poirier, du latin pirarius).

    Nom occitan : Perèr.

    Histoire

    Cadastre napoléonien de Péré

    Le plan cadastral napoléonien de Péré est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[28].

    Politique et administration

    La mairie en 2020.
    Le foyer rural en 2020.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1988 mars 2014 Roger Cambours    
    mars 2014 en cours Charles Rodrigues    

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Toulouse, élection de Nébouzan, viguerie de Mauvezin, canton de Lannemezan (depuis 1790)[29].

    Intercommunalité

    Lutilhous appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en et qui réunit 57 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32]. En 2019, la commune comptait 59 habitants[Note 8], en augmentation de 9,26 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7195117121148151140129213
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    220222250184174173167168142
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    151142130124116107978577
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    656249464555646753
    2014 2019 - - - - - - -
    5559-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2017[35].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]3,7 %5,3 %15,6 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 43 personnes, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (62,2 % ayant un emploi et 15,6 % de chômeurs) et 22,2 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 5 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 28, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,5 %[I 10].

    Sur ces 28 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge en 2014.
    Le cimetière.
    Le monument aux morts municipal.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur au mont cousu de sinople sommé d'une croix latine d'argent, au chef d'or chargé de deux poires feuillées au naturel.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Péré » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Péré et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Péré et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Péré et Tournay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Péré », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Péré », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « le Lène »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Campistrous - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Péré et Campistrous », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Campistrous - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Péré et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Péré », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « coteaux de Capvern à Betplan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    28. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Péré en 1829
    29. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    30. « Liste des juridictions compétentes pour Péré (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    35. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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