Campistrous

Campistrous est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre.

Campistrous

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses
Maire
Mandat
Xavier Sarniguet
2020-2026
Code postal 65300
Code commune 65125
Démographie
Gentilé Campistrousiens
Population
municipale
313 hab. (2019 )
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 11″ nord, 0° 22′ 41″ est
Altitude 540 m
Min. 435 m
Max. 615 m
Superficie 10,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de la Barousse
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Campistrous
Géolocalisation sur la carte : France
Campistrous
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Campistrous
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Campistrous

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Baïse, la Baisole, la Baïse Darré et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Campistrous est une commune rurale qui compte 313 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. Ses habitants sont appelés les Campistrousiens ou Campistrousiennes.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Campistrous se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 21 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à km de Lannemezan[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Houeydets (2,2 km), Lannemezan (3,2 km), Clarens (3,3 km), Castelbajac (3,8 km), Lagrange (3,8 km), Bégole (4,0 km), Bonrepos (4,5 km), Lutilhous (4,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Campistrous fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[5].

    Carte de la commune de Campistrous et des proches communes.
    Communes limitrophes de Campistrous[6]
    Castelbajac
    (sur 100 m)
    Bonrepos, Galez Clarens
    Houeydets Lannemezan
    Lagrange Capvern

    Hydrographie

    La Baïsole, affluent de rive gauche de la Baïse, qui prend sa source sur la commune, traverse la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec les communes de Houeydets et Lagrange.
    La Baïse Darré, affluent de rive gauche de la Petite Baïse, traverse la commune du sud au nord et forme la limite est avec les communes de Lannemezan et Clarens.
    Les Ruisseaux le Ricaud et les Guègues, affluents de rive gauche de la Baïse Darré, traversent la commune au sud.
    Les Ruisseaux de Boute-Ségure et le Barran, affluents de rive gauche de la Baïse, traversent la commune au nord-est avant de prendre la direction de la commune de Galez.

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'Océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

    La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1989 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records CAMPISTROUS (65) - alt : 593 m 43° 07′ 36″ N, 0° 21′ 54″ E
    Statistiques établies sur la période 1989-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1989 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,8 1,4 3,6 4,8 9 12 13,8 14,2 11,2 8,5 3,9 1,5 7,1
    Température moyenne (°C) 5,2 5,9 8,5 9,6 13,8 16,9 18,8 19,2 16,1 13 8,1 5,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 9,7 10,4 13,4 14,4 18,6 21,7 23,7 24,2 21 17,6 12,3 10 16,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −11,9
    28.01.05
    −12,9
    08.02.12
    −10,6
    01.03.05
    −4,1
    21.04.1991
    −1,1
    05.05.19
    1,7
    01.06.06
    5,6
    11.07.1993
    5,5
    29.08.1998
    1,9
    28.09.07
    −3,8
    16.10.09
    −8,2
    17.11.07
    −11,2
    16.12.01
    −12,9
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    22,2
    06.01.1999
    24,1
    24.02.1990
    27
    21.03.1990
    27,9
    30.04.05
    31,1
    17.05.06
    35,1
    22.06.03
    37,5
    20.07.1989
    36,9
    13.08.03
    32,2
    14.09.20
    29,8
    07.10.09
    25,3
    01.11.1999
    23,6
    16.12.1989
    37,5
    1989
    Ensoleillement (h) 113,2 136,1 168,6 169,7 186,2 215,6 215,8 202,2 189,9 156,7 119,3 115,3 1 988,6
    Précipitations (mm) 88,8 72,9 84,1 126 125 86 78,7 63,1 81 87,9 112,9 96,8 1 103,2
    Source : « Fiche 65125001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[8] : les « landes et bocages du ruisseau de Banchet » (52 ha), couvrant 2 communes du département[9] et les « landes, prairies et tourbières de Chourine et du cap de la Lanne » (75 ha)[10] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[8] : les « landes humides de Capvern et plateau de Lannemezan » (1 172 ha), couvrant 6 communes du département[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Campistrous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[I 2],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Le château d’eau.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (64,7 %), forêts (17,4 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (2,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 163[I 5]. Parmi ces logements, 82,5 % sont des résidences principales, 5,5 % des résidences secondaires et 12,0 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D939 et par la route départementale D17.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Campistrous à l'ouest de Lannemezan

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[15] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • de Campristonibus, latin (1300, enquête Bigorre) ;
    • de Campistrous, (1342, pouillé de Tarbes) ;
    • de Campistronio, latin (1342, pouillé Tarbes) ;
    • de Campistros, (1369, Larcher, Castelbajac).1 ;
    • Campistrous, (1389, Larcher, Castelbajac) ;
    • Campistros, (1429, censier de Bigorre) ;
    • Campistrous, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : peut-être campèstre.

    Nom occitan : Campistrons.

    Histoire

    Monographie

    Cadastre napoléonien de Campistrous

    Le plan cadastral napoléonien de Campistrous est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[17].

    Politique et administration

    La mairie en 2019.
    Le foyer rural en 2019

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1964 1983 Louis-Simon Abadie    
    .. ..      
    mars 2001 mars 2020 Jean-Claude Clarens PRG  
    mars 2020 en cours Xavier Sarniguet    

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Toulouse, élection de Comminges, marquisat de Castelbajac, canton de Lannemezan (depuis 1790)[18].

    Intercommunalité

    Campistrous appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en et qui réunit 57 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21]. En 2019, la commune comptait 313 habitants[Note 6], en augmentation de 1,29 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    380351464460473487465503519
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    510511488484466451450460415
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    412402413363322319337315304
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    314361333364343341315307303
    2014 2019 - - - - - - -
    316313-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[24].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 142 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 328 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 130 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 8]3,7 %4,5 %6,1 %
    Département[I 9]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 165 personnes, parmi lesquelles on compte 78 % d'actifs (72 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 22 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 38 emplois en 2018, contre 50 en 2013 et 68 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 121, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48 %[I 12].

    Sur ces 121 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 7 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 92,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Michel en 2019.
    Une croix.
    Le monument aux morts municipal.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent au mont de sinople sommé d'un arbre du même, accosté de deux ânes affrontés de sable, au chef d'azur chargé d'une croisette cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, accostée de deux étoiles du même.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Campistrous » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan » (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Campistrous
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Campistrous » (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Campistrous » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Campistrous » (consulté le ).
    13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Campistrous et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Campistrous et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Campistrous et Lannemezan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Campistrous », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche du Poste 65125001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Liste des ZNIEFF de la commune de Campistrous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « ZNIEFF les « landes et bocages du ruisseau de Banchet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « ZNIEFF les « landes, prairies et tourbières de Chourine et du cap de la Lanne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF les « landes humides de Capvern et plateau de Lannemezan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    16. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie de Campistrous en 1887
    17. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Campistrous en 1829
    18. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    19. « Liste des juridictions compétentes pour Campistrous », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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