Pecqueuse
Pecqueuse (prononcé [pɛkøz] ) est une commune française située à trente-deux kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Pecqueuse | |||||
L’hôtel de ville. | |||||
Logo | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Essonne | ||||
Arrondissement | Palaiseau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Limours | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Delaitre 2020-2026 |
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Code postal | 91470 | ||||
Code commune | 91482 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pescusiens | ||||
Population municipale |
548 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 74 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 38′ 48″ nord, 2° 02′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 133 m Max. 178 m |
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Superficie | 7,4 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gif-sur-Yvette | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-pecqueuse.com | ||||
Ses habitants sont appelés les Pescusiens[1].
Géographie
Situation
À vol d'oiseau, Pecqueuse est située à 32 km au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, 29 km à l'ouest d'Évry[3], 16 km au sud-ouest de Palaiseau[4], 13 km au nord-est de Dourdan[5], 16 km au nord-ouest d'Arpajon[6], 17 km à l'ouest de Montlhéry[7], 25 km au nord-ouest d'Étampes[8], 29 km au nord-ouest de La Ferté-Alais[9], 32 km au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[10], 41 km au nord-ouest de Milly-la-Forêt[11].
Hydrographie
Pecqueuse est arrosée par la Prédecelle, un affluent de la Rémarde, ainsi que par le Blin.
Relief et géologie
La commune fait partie de vastes plaines, limitrophe de la Beauce, dont le Hurepoix marque la « porte d'entrée » en provenance de Paris. Sa situation limitrophe, et la présence de deux ruisseaux, le paysage est non uniformément plat, avec les coteaux vallonnés des cours d'eau.
Lieux-dits, écarts et quartiers
La commune, d'une superficie de sept cent quarante hectares, est composée de deux quartiers principaux : le village et le hameau de Villevert, au sud de la commune. Le territoire communal compte également plusieurs lieux de vie, autour de fermes, comme celle de Fromenteau, ainsi qu'un quartier récent limitrophe de Limours, les Pommiers.
Communes limitrophes
Climat
Pecqueuse est située en Île-de-France et bénéficie d'un climat océanique dégradé, caractérisé par des hivers frais, des étés doux et des précipitations également réparties sur l'année. Les températures moyennes relevées à la station départementale de Brétigny-sur-Orge s'élèvent à 10,8 °C avec des moyennes maximales et minimales de 15,2 °C et 6,4 °C. Les températures réelles maximales et minimales relevées sont de 24,5 °C en juillet et 0,7 °C en janvier, avec des records établis à 38,2 °C le et −19,6 °C le . La situation en grande banlieue de la commune entraîne une moindre densité urbaine et une différence négative de un à deux degrés Celsius avec Paris. De même, la présence de rivières et de champs cause la formation de brumes et brouillards qui grèvent l'ensoleillement, établi à 1 798 heures annuellement, soit cinquante de moins que la capitale. Avec 598,3 [millimètres de précipitations cumulées sur l'année et une répartition approximative de cinquante millimètres par mois, la commune est arrosée dans les mêmes proportions que les autres régions du nord de la Loire.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,7 | 1 | 2,8 | 4,8 | 8,3 | 11,1 | 13 | 12,8 | 10,4 | 7,2 | 3,5 | 1,7 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 3,4 | 4,3 | 7,1 | 9,7 | 13,4 | 16,4 | 18,8 | 18,5 | 15,6 | 11,5 | 6,7 | 4,3 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,1 | 7,6 | 11,4 | 14,6 | 18,6 | 21,8 | 24,5 | 24,2 | 20,8 | 15,8 | 9,9 | 6,8 | 15,2 |
Ensoleillement (h) | 59 | 89 | 134 | 176 | 203 | 221 | 240 | 228 | 183 | 133 | 79 | 53 | 1 798 |
Précipitations (mm) | 47,6 | 42,5 | 44,4 | 45,6 | 53,7 | 51 | 52,2 | 48,5 | 55,6 | 51,6 | 54,1 | 51,5 | 598,3 |
Logement
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 3,5 % | 26,28 |
Espace urbain non construit | 1,6 % | 11,63 |
Espace rural | 94,9 % | 710,87 |
Source : MOS-Iaurif 2008[14] |
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 252. Parmi ces logements, 94,1 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 3,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour une part de 81,5 % des maisons et de 17,8 % des appartements[15].
Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 4 % étaient des logements d'une pièce, 9 % de deux pièces, 10 % de trois pièces, 16 % de quatre pièces, et 61 % des logements de cinq pièces ou plus[16].
La proportion de ménages propriétaires de leur logement était de 85,1 % et celle des locataires était de 13,7 %. On peut également noter que 1,2 % des logements étaient occupés gratuitement[17].
L'ancienneté d'emménagement dans la résidence principale, rapporté au nombre de ménages, était de 8 % depuis moins de deux ans, 19 % entre deux et quatre ans, 16 % entre cinq et neuf ans, et 57 % de dix ans et plus[18].
Urbanisme
Typologie
Pecqueuse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[19],[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].
Toponymie
Attestée sous les formes De Piscosis vers 1105[24], Piscosæ au XIIe siècle[25], valle Pecosa en 1203[24], De Pescusa vers 1205[24], Pescusa au XIIIe siècle, Pecosa[25].
L'office de tourisme du pays de Limours indique que le toponyme trouve son origine dans le mot latin piscis, signifiant endroit humide, poissonneux complété du suffixe -osa-. L'élevage, autrefois si répandu, du poisson dans des viviers est à l'origine de ce type de toponyme[26] . Dans le cartulaire du prieuré de Longpont, les terres sont appelées piscosae car marécageuses ; on y trouve des lieux-dits l’Oseraie, la Grenouillère, la Prédecelle (c'est-à-dire rivière poissonneuse)[27].
La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel[28].
Histoire
La création du village de Pecqueuse daterait du début du XIIe siècle, à la suite de la donation par deux frères, Pierre et Simon Castel, de tous leurs droits sur les terres, au prieuré de Longpont-sur-Orge. Ses dons prévoient la création d'une ville neuve, sur ses terres, regroupée l'église.
Au XIIIe siècle, le village devient la propriété de la famille Cousteau de la Barrère, puis à Jacques de Chavannes, conseiller du roi, et seigneurs de Limours.
Le développement de la population au XIXe siècle est lié l'accroissement de l'agriculture dans le Hurepoix et la Beauce. Une distillerie d'alcool de betterave est alors créée, qui fonctionnera jusqu'en 1967.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [29], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement de Palaiseau, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Essonne,
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Limours[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Gif-sur-Yvette
Intercommunalité
Pecqueuse est membre de la communauté de communes du pays de Limours, créée fin 2001, et qui succède au district rural du canton de Limours créé le [30].
Tendances et résultats politiques
- Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 83,14 % pour Jacques Chirac (RPR), 16,86 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 89,82 % de participation[31].
- Élection présidentielle de 2007 : 57,34 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 42,66 % pour Ségolène Royal (PS), 92,75 % de participation[32].
- Élection présidentielle de 2012 : 55,71 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 44,29 % pour François Hollande (PS), 93,15 % de participation[33].
- Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 60,90 % pour Pierre-André Wiltzer (UMP), 39,10 % pour Marianne Louis (PS), 69,87 % de participation[34].
- Élections législatives de 2007 : 62,63 % pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 37,37 % pour Olivier Thomas (PS), 71,70 % de participation[35].
- Élections législatives de 2012 : 56,54 % pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 43,46 % pour Olivier Thomas (PS), 76,34 % de participation[36].
- Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 26,32 % pour Harlem Désir (PS), 17,70 % pour Patrick Gaubert (UMP), 54,48 % de participation[37].
- Élections européennes de 2009 : 28,21 % pour Michel Barnier (UMP), 18,80 % pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 56,29 % de participation[38].
- Élections régionales
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 46,21 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 41,72 % pour Jean-François Copé (UMP), 75,38 % de participation[39].
- Élections régionales de 2010 : 59,20 % pour Valérie Pécresse (UMP), 40,80 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 65,36 % de participation[40].
- Élections cantonales et départementales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : données manquantes.
- Élections cantonales de 2008 : 78,66 % pour Christian Schoettl (DVD), 13,72 % pour Mouna Mathari (PS), 81,64 % de participation[41].
- Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 74,81 % pour le Oui, 25,19 % pour le Non, 37,99 % de participation[42].
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 52,35 % pour le Non, 47,65 % pour le Oui, 79,00 % de participation[43].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2019, la commune comptait 548 habitants[Note 3], en diminution de 10,6 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,4 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 286 hommes pour 262 femmes, soit un taux de 52,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Versailles. *
Elle dispose d'une école élémentaire publique construite en 2003[46] et scolarisant, en 2013, 37 élèves[53].
Culture
En 2013, une école municipale de musique est à la disposition des habitants de la commune, ainsi qu'un espace de lecture[54].
En 2022, la salle polyvalente Claude-Daragon a été revue et permet dès à présent d'accueillir toute sorte d'évènement culturel nécessitant de la sonorisation et/ou de l'éclairage (concerts, théâtre, etc...).
Sports
Le stade municipal Claude-Daragon est, en 2013, le lieu d'activité de la section football de l'Association sportive de Pecqueuse depuis 1985. Cette association dispose également d'une section tennis. Une association de remise en forme et gymnastique, l'ACA, est également basée au stade[54].
Santé
En 2013, aucun cabinet médical n'est installé à Pecqueuse, les médecins les plus proches se trouvent dans la ville voisine de Limours[55].
Autres services publics
Le bureau de poste et services des impôts les plus proches sont ceux de Limours. Concernant les services de Pôle emploi les bureaux les plus proches se situent à Dourdan et Les Ulis[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
En , puis en , la Fête de l'agriculture a été organisée par le centre d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural du Hurepoix (CIVAM)[56].
Lieux de culte
La paroisse catholique de Pecqueuse est rattachée à au secteur pastoral de Limours et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Médard[57].
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
Emplois, revenus et niveau de vie
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 47 435 €, ce qui plaçait Pecqueuse au 507e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[58].
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 408 personnes, parmi lesquelles on comptait 79,5 % d'actifs dont 73,5 % ayant un emploi et 6,0 % de chômeurs[59].
On comptait 75 emplois dans la commune, contre 95 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 302, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 24,9 %, ce qui signifie que la commune offre un emploi pour quatre Pescusiens actifs[60].
La commune de Pecqueuse partage avec sa voisine Limours, une zone d'activité économique.
Au , Pecqueuse comptait 52 établissements : quatre dans l'agriculture-sylviculture-pêche, deux dans l'industrie, sept dans la construction, trente-trois dans le commerce-transports-services divers et six étaient relatifs au secteur administratif[61].
En 2011, six entreprises ont été créées à Pecqueuse dont cinq par des auto-entrepreneurs[62].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
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Pecqueuse | - | - | - | - | - | - |
Zone d’emploi d’Orsay | 0,2 % | 3,7 % | 36,2 % | 26,2 % | 21,4 % | 12,3 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Pecqueuse | - | - | - | - | - | - |
Zone d’emploi d’Orsay | 1,0 % | 13,4 % | 3,8 % | 18,1 % | 30,5 % | 5,4 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee[63],[64],[65] |
Culture locale et patrimoine
Patrimoine environnemental
Les bosquets boisés et certains champs ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil départemental de l'Essonne[66].
Patrimoine architectural
- L'église Saint-Médard-et-Sainte-Radegonde, date du XIIe siècle. Les peintures d'ornement sont plus tardives, du XVe siècle.
- La cloche nommée Magdeleine en l'honneur de l'épouse du seigneur du lieu, valet ordinaire de la chambre du roi fut bénite en 1736[67].
Personnalités liées à la commune
Pecqueuse est la commune de naissance de Jacques François Cousteau de Labarrère (1729-1802). Général de brigade dans le génie, il servit en Allemagne, à Belle-Isle-en-Mer (1787), à Cambrai puis au Havre (1792). Il était en 1794 inspecteur général des fortifications à l'armée du Nord[68],[69].
Voir aussi
Bibliographie
- Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Pecqueuse », p. 549–551
- Yvette Bluteau, Il était une fois... Pecqueuse en Hurepoix,
- Simone Lefèvre, Une villeneuve en Hurepoix au début du XIIe siècle : Pecqueuse, Klincksieck,
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Pecqueuse », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.
- « Orthodromie entre Pecqueuse et Paris », sur le site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- Orthodromie entre Pecqueuse et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- Orthodromie entre Pecqueuse et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 06/11/2012.
- « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site personnel de Frédéric Decker (consulté le ).
- « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de l'association Infoclimat (consulté le ).
- « Occupation du sol simplifiée en 2008 - Pecqueuse », sur le site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Île-de-France, (consulté le ).
- LOG T2 - Catégories et types de logements, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
- LOG T3 - Résidences principales selon le nombre de pièces, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
- LOG T6 - Ancienneté d'emménagement dans la résidence principale en 2009, dossier de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne].
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1312.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- M. Mulon, «Le Suffixe -euse dans les noms de lieux du domaine d'oïl », XVI Congres internacional de linguistica i filologia romàniques. Actes, II, p. 282.
- Site du pays de Limours, consulté le 13 février 2013
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Schéma départemental d'orientation de l'intercommunalité de 2006 sur le site de la préfecture de l'Essonne. Consulté le .
- Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.
- Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2012.
- Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/04/2010.
- Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 16/08/2009.
- Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
- « Les maires de Pecqueuse », sur le site de l'association FranceGenWeb, (consulté le ).
- « Pecqueuse », sur le site du conseil général de l'Essonne (consulté le ).
- F.G. (avec C.Ch), « Pecqueuse : Serge Caro passe l’écharpe de maire à Jean-Marc Delaître : Après la démission de Serge Caro, maire depuis 1995, le conseil municipal a élu, ce samedi, Jean-Marc Delaître pour lui succéder », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ) « Trente-cinq années d’élu local, dont 23 en tant que maire de Pecqueuse et dix-sept passées à la Communauté de communes du Pays de Limours. Ce samedi, après le vote du conseil municipal, Serge Caro (DVD) a passé l’écharpe de maire à Jean-Marc Delaître (SE) (...) Le nouveau maire, Jean-Marc Delaître, officie dans l’équipe municipale depuis dix ans ».
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pecqueuse (91482) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
- « École élémentaire publique », sur le site du ministère de l’Éducation nationale (consulté le ).
- « Rubrique « Loisirs et Culture » », sur le site de la mairie de Pecqueuse (consulté le ).
- Médecins les plus proches, consulté le 13 février 2013
- « Fête de l'agriculture », sur le site de la fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l'homme, (consulté le ).
- « Pecqueuse », sur le site du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes (consulté le ).
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- Notice d'autorité de Cousteau de Labarrère, Anne-Jacques-François 1729-1802, consulté le 13 février 2013
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