Pommiers (Gard)

Pommiers est une commune française située dans l'ouest du département du Gard en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Pommiers.

Pommiers
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays viganais
Maire Denis Toureille
Code postal 30120
Code commune 30199
Démographie
Gentilé Pommiérois, Pommiéroises[1]
Population
municipale
55 hab. (2019 )
Densité 8,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 07″ nord, 3° 36′ 30″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 628 m
Superficie 6,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Vigan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Pommiers
Géolocalisation sur la carte : France
Pommiers
Géolocalisation sur la carte : Gard
Pommiers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Pommiers

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Glèpe, le ruisseau de Coularou et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « causse de Blandas » et les « gorges de la Vis et cirque de Navacelles ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Pommiers est une commune rurale qui compte 55 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 348 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelés les Pommiérois ou Pommiéroises.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Héraldique

    Les armes de Pommiers se blasonnent ainsi :

    D'or au pommier de sinople fruité au naturel[2].


    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 390 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Vigan », sur la commune du Vigan, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 405,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 45 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[16] :

    • le « causse de Blandas », d'une superficie de 7 913 ha, fait partie des causses méridionaux, un ensemble régional original unique en Europe. Il est le plus grand ensemble de formations herbeuses sèches semi-naturelles en France et abrite un grand nombre d’espèces endémiques[17]

    et un au titre de la directive oiseaux[16] :

    • les « gorges de la Vis et cirque de Navacelles », d'une superficie de 20 277 ha, qui offrent aux oiseaux les milieux nécessaires à la reproduction, à l’hivernage ou au repos en phase migratoire. Il compte, à différentes périodes de l’année, un grand nombre d’espèces remarquables à l’échelle européenne[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[19] : le « bois de la Tessonne » (507 ha), couvrant 5 communes du département[20] et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[19] :

    • le « causse de Blandas » (9 113 ha), couvrant 12 communes dont 11 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[21] ;
    • les « gorges de la Vis et de la Virenque » (9 620 ha), couvrant 16 communes dont 10 dans le Gard et 6 dans l'Hérault[22] ;
    • les « vallées amont de l'Hérault » (21 533 ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Pommiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 1],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (94,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Roger Valibouze    
    2001 2021 Gérard Séverac    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2019, la commune comptait 55 habitants[Note 9], en diminution de 9,84 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    223251251260279309331348314
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    330309284280287275250259242
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    23022022015413313212811189
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    696382726160747262
    2014 2019 - - - - - - -
    6155-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]15,2 %20,6 %13,8 %
    Département[I 5]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 30 personnes, parmi lesquelles on compte 82,8 % d'actifs (69 % ayant un emploi et 13,8 % de chômeurs) et 17,2 % d'inactifs[Note 10],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte emplois en 2018, contre 6 en 2013 et 6 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 21, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 8].

    Sur ces 21 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 43 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 81 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    Deux établissements[Note 11] seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Pommiers au [I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations11322
    SAU[Note 12] (ha)259317294238

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 238 ha[33],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. http://www.habitants.fr/habitants_pommiers_30199.html
    2. Le blason de la commune sur Gaso
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Le Vigan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Pommiers et Le Vigan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Le Vigan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Pommiers et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pommiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR9101383 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR9112011 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pommiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « bois de la Tessonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « causse de Blandas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « gorges de la Vis et de la Virenque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « vallées amont de l'Hérault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    32. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pommiers - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Liens externes

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