Principauté d'Orange
La principauté d'Orange est une ancienne principauté souveraine créée en [1],[2], date à laquelle Bertrand Ier des Baux ( – 1181) fait reconnaître son titre de prince par l'empereur Frédéric Ier Barberousse[2]. Elle est presque entièrement enclavée dans le Comtat Venaissin et a sa capitale dans la ville d'Orange, dans l'actuel département de Vaucluse, en France.
Pour les articles homonymes, voir Orange.
Pour le vin, voir principauté-d'orange (IGP).
Armoiries des princes d’Orange aux siècles suivants : D'or, au cor d'azur, lié, enguiché et virolé de gueules. |
Statut | Monarchie, État vassal du Saint-Empire romain germanique |
---|---|
Capitale | Orange |
Langue(s) | Français, occitan (provençal) |
1181 | Érection en principauté |
---|---|
1713 | Traités d'Utrecht |
1181 | Bertrand Ier des Baux |
---|---|
1650-1702 | Guillaume III d'Orange-Nassau |
Entités précédentes :
Entités suivantes :
Le titre de princesse d'Orange est actuellement porté par la princesse héritière Catharina-Amalia des Pays-Bas, de la maison d'Orange-Nassau. Le nom de Guillaume d'Orange est rendu célèbre par le Roman de Guillaume d'Orange, chanson de geste du XIIe siècle qui met en scène, lors de la prise d'Orange au IXe siècle, Guillaume Corb Noz ou le Pieux (752 – 812), duc d'Aquitaine.
Le plus fameux des princes d'Orange est Guillaume Ier de Nassau, dit le Taciturne. Au XVIe siècle, lors des guerres de religion, il s'allie avec les protestants français lorsqu'il prend la tête du soulèvement des Grands Pays-Bas (qui englobaient la Hollande, la Belgique et une partie du Nord de la France, dont l'Artois et la Flandre romane) contre Philippe II d'Espagne, qui veut restreindre les droits acquis par les vieilles chartes pour mieux combattre le protestantisme. Il épouse Louise de Coligny, la fille de l'amiral assassiné à la Saint-Barthélemy.
Histoire
Le comté d'Orange, situé dans la partie nord de l'actuel département de Vaucluse, aurait été fondé par Charlemagne. Le comté d'Orange, devenu principauté d'Orange en 1181[3], était un fief du Saint-Empire romain germanique, car il faisait partie , avant son érection en principauté, du royaume d'Arles. Le comté puis la principauté bénéficiaient donc des droits féodaux et de la souveraineté propres aux terres d'Empire.
Le domaine est passé vers 1070 à la maison d'Orange-Nice, puis (entre-temps devenu le comté d'Orange) en 1173 à la maison des Baux, puis la principauté est elle-même passée en 1388 à la maison de Chalon, et en 1544 à la maison de Nassau. Le dernier descendant de la maison de Chalon, René de Nassau-Chalon, marié à Anne de Lorraine (fille du duc Antoine de Lorraine), laissa la principauté à son cousin Guillaume Ier d'Orange-Nassau, dit le Taciturne, qui n'était pas un descendant des princes originels. La principauté d´Orange est rattachée unilatéralement au Dauphiné par le roi de France Henri II en 1551, qui doit cependant la restituer à Guillaume Ier en 1559.
- Page de couverture des ordonnances de la principauté (1567)
- Page de garde avec le sceau de Guillaume de Nassau, prince d'Orange
Louis XIV occupe plusieurs fois le territoire de la principauté dans le cadre des guerres menées contre le stadhouder Guillaume III d'Orange (qui devient plus tard le roi Guillaume III d’Angleterre et d’Écosse) : en 1673, 1679, 1690 et 1697.
À la mort de Guillaume III, profitant des démêlés concernant sa succession, Louis XIV a occupé la principauté à partir de 1702[4],[5]. Il revendique la Principauté d'Orange devant le Parlement de Paris. Celui-ci lui reconnaît le domaine éminent et attribue le domaine utile à François-Louis de Bourbon-Conti, héritier des Chalon qui ont été supplantés au XVIe siècle par les Nassau. L’acquisition est reconnue au traité d'Utrecht, en 1713. La principauté d'Orange sera réunie au Dauphiné en 1734, mais la maison d'Orange-Nassau avait renoncé à ses droits sur le territoire dès 1713. Enfin, en 1793, la principauté sera comprise dans le département de Vaucluse.
Délimitation
D'une superficie d'environ 180 km2, la principauté occupait un territoire de forme allongée d'environ 19 km de long sur 15 km de large, orienté d'ouest en est du Rhône aux Dentelles de Montmirail. Elle comportait aussi des enclaves en Dauphiné.
Elle comprenait les communautés d'habitants suivantes :
- Bouchet (du XIIIe au XIVe siècle seulement)[7];
- Causans (aujourd'hui, partie de Jonquières[C 1]) ;
- Châteauneuf-de-Redortier (aujourd'hui, partie de Suzette[C 2]) ;
- Condorcet (enclave en Dauphiné)[8]
- Courthézon[C 3] ;
- Derboux (aujourd'hui, partie de Mondragon[C 4]) ;
- Gigondas[C 5] ;
- Jonquières[C 6] ;
- Monbrison[9],[8] (enclave de la Principauté d'Orange dans le Dauphiné, jouxtant le Comtat Venaissin)
- Montmirail ;
- Montréal-les-Sources[9]
- Montségur [8]jusqu'à son rattachement au Comté de Grignan de Provence
- Orange[C 7] ;
- Saint-Blaise, aujourd'hui dépendant de Bollène [C 7] (il y subsiste un donjon ruiné et une chapelle romane)
- Suze-la-Rousse[9]
- Suzette[C 8] ;
- Saint-André-de-Ramières (aujourd'hui, partie de Gigondas) ;
- Tulette[9], du XIIème s. au XVIème s., date à laquelle elle fut annexée par le Dauphiné;
- Villebois-les-Pins[9] (enclave en Dauphiné), où, en 1256, il y avait un hommage du seigneur Guillaume des Baux, Prince d'Orange, au sénéchal de Provence
- Violès[C 9].
Postérité
La descendance des princes d'Orange est innombrable :
- Maison de Chalon d'Arlay d'Orange : en 1544, à la mort de René de Chalon-Nassau, la postérité du prince Louis est certes éteinte (Nassau ou Seyssel-La Chambre ; ce qui n'empêcha point la revendication du titre princier par une branche des Nassau — voir ci-dessous — et une branche des Seyssel-La Chambre, les deux non issues de l'ancienne lignée des princes d'Orange), mais il reste la descendance du frère cadet du prince Louis, Jean de Chalon seigneur de Vitteaux et de L'Isle-sous-Montréal, tige des comtes de Joigny, et celle de leur sœur Alix de Chalon, femme de Guillaume V de Vienne, seigneur de Sainte-Croix, Seurre et Saint-Georges, Joux, Bussy, fils de Guillaume IV. La première conduit aux Mailly-Nesle[10] : voir ci-dessous ; la seconde à Jeanne de Hochberg et à sa postérité : Orléans-Longueville, Condé-Soissons et Savoie-Carignan-rois d'Italie, Savoie-Nemours, d'Albert de Luynes (cf. Louis-Henri de Bourbon-Soissons), Brissac et Villeroy (cf. 1), Matignon-Grimaldi de Monaco, Colbert de Seignelay et Montmorency...
- Maison des Baux-de-Provence : postérité notamment dans les seigneurs des Baux comtes d'Avellino (alliés par exemple aux Poitiers-Valentinois : Diane en descend), et dans les branches italiennes : les del Balzo ducs d'Andria (cf. Marguerite des Baux x Pierre Ier de Luxembourg comte de St-Pol, Brienne et Conversano : Henri IV descend de leur arrière-petite-fille Marie de Luxembourg) ; et les Orsini del Balzo (5) issus des del Balzo di Soleto (4), avec une immense descendance européenne : cf. les articles Aliénor Plantagenêt et Tarente.
Revendication du titre de prince d'Orange
Guillaume III désigna dans son testament comme héritier Jean Guillaume Friso de Nassau, descendant en lignée mâle du frère du Taciturne et par les femmes du Taciturne lui-même. Celui-ci fut désigné héritier des princes d'Orange aux Pays-Bas, et plusieurs de ses descendants furent stadhouders. Cette prétention se fondait sur la loi salique et sur le testament de Guillaume III, mais sans possession territoriale réelle depuis 1702 († de Guillaume) / 1713 (Paix d'Utrecht). La France ne leur permit en effet jamais d'obtenir quoi que ce soit de la principauté elle-même, mais ils en portèrent le titre chez eux. C'est ainsi que ce titre fit partie, comme titre souverain, de la titulature des derniers stadhouders des Provinces-Unies et de la famille royale néerlandaise actuelle, la maison d'Orange-Nassau.
Après l'annexion par la France en 1673, Louis XIV autorisa en 1706 Louis de Mailly-Nesle, marquis de Nesle (1689-1764), héritier de la maison de Coligny, à porter le titre de prince d'Orange[11]. Ce dernier n'eut que des filles, mais cela n'était pas un obstacle empêchant une éventuelle succession (par trois fois les femmes avaient transmis le titre : Tiburge d'Orange, Marie des Baux, Claude de Chalon), et Charles de Vintimille (bâtard présumé de Louis XV mais officiellement fils légitime de Pauline-Félicité de Mailly-Nesle et de Jean-Baptiste (1720-1777) comte de Vintimille du Luc) était sans doute apte à recueillir l'héritage. Cependant, une branche cadette de la famille de Mailly, non issue du bénéficiaire, prit ensuite le titre de courtoisie de « prince d'Orange » avec Adrien-Joseph-Augustin-Amalric (1792-1878) et son fils Ferry-Alexandre de Mailly d'Haucourt (1821-1872)[12],[13].
- Maison de Bourbon-Conti
Louis XIV réunit Orange à la Couronne et donna cette principauté en 1712 à Louis Armand II de Bourbon-Conti (1695-1727 ; descendant de Marie de Luxembourg ci-dessus), fils de François-Louis, le Grand Conti (1664-1709), lui-même l'héritier de Jean-Louis d'Orléans dernier duc de Longueville, à la mort de ce dernier en 1694.
Liste des princes d'Orange
Maison des Baux
N° | Nom | Blason | Naissance | Créé prince d'Orange | Cessé d'être prince d'Orange |
Mort | Autres titres | Princesse d'Orange |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1. | Bertrand Ier des Baux | 1110/1115 | 1173 Après la mort de son frère-frère, Raimbaut, comte d'Orange, le comté d'Orange aurait été élevé au rang de principauté en 1163 par l'empereur romain germanique Frédéric Ier Barberousse. |
avril/ | Seigneur des Baux | Thiburge II d'Orange | ||
2. | Guillaume Ier | 1155 | avant le | Coprince (avec ses frères); Seigneur des Baux | 1. Ermengarde de Mévouillon 2. Alix | |||
3. | Guillaume II | - | avant le | Coprince (avec ses frères); Seigneur des Baux | Précieuse | |||
4. | Raymond Ier | - | avant le | 1282 | Seigneur des Baux | Malberjone d'Aix | ||
5. | Bertrand II | - | 1282 | après le | Seigneur des Baux | Éléonore de Genève | ||
6. | Raymond II | - | après le | 1340, après le | Seigneur des Baux et de Condorcet | Anne de Viennois | ||
7. | Raymond III | - | après le | après le | 1. Constance of Trian 2. Jeanne de Genève | |||
8. | Marie des Baux | - | wikt:Dame d'Arlay, Cuiseaux et Vitteaux | Jean Ier |
Maison de Chalon-Arlay
Les seigneurs de Chalon et d'Arlay étaient une branche cadette de la maison régnante du comté de Bourgogne, appelée Maison d'Ivrée ou Anscarides. Elle accède à la tête de la principauté par le mariage de Jean III de Chalon-Arlay avec l'héritière des Baux-Orange.
N° | Nom | Portrait | Blason | Naissance | Créé prince d'Orange | Cessé d'être prince d'Orange |
Mort | Autres titres | Princesse d'Orange |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
9. | Jean Ier de Chalon | - | - | Seigneur d'Arlay, Cuiseaux et Vitteaux | Marie des Baux | ||||
10. | Louis Ier | - | 1390 | Seigneur d'Arlay, Arguel, Orbe et Echelens | 1. Jeanne de Montbéliard 2. Éléonore d'Armagnac 3. Blanche de Gamaches | ||||
11. | Guillaume II | - | - | Seigneur d'Arlay et Arguel | Catherine de Bretagne | ||||
12. | Jean II | - | 1443 | Comte de Tonnerre; seigneur d'Arlay, Arguel et Montfaucon; amiral de Guyenne | 1. Jeanne de Bourbon 2. Philiberte de Luxembourg | ||||
13. | Philibert | Vice-roi de Naples; prince de Melfi; duc de Gravina; comte de Tonnerre, Charny, Penthièvre; vicomte de Besançon; seigneur d'Arlay, Nozeroy, Rougemont, Orgelet et Montfaucon, lieutenant général de l'armée impériale | non marié |
Maison d'Orange-Nassau
René de Nassau hérita de son oncle Philibert la principauté d'Orange et prit alors le nom et les armes de la maison de Chalon-Orange. Il est resté dans l'histoire sous le nom de René de Chalon plutôt que comme « René de Nassau-Breda »[14]. À sa mort, sans héritier légitime direct, ses possessions passent à son cousin germain Guillaume, mettant fin au lien entre la maison de Chalon et la principauté d'Orange.
Guillaume Ier de Nassau (1544-1584), dit Guillaume le Taciturne, cousin du précédent, fut le premier stadthouder des Provinces-Unies. À l'origine comte d'un petit comté allemand faisant partie du duché de Nassau et héritier de son père de quelques fiefs en Hollande, il agrandit ses possessions aux Pays-Bas (seigneurie de Bréda entre autres) par l'héritage de son cousin René, prince d'Orange, alors qu'il n'avait que 11 ans.
Les princes souverains d'Orange
Le titre de noblesse personnelle
Le titre royal pour le prince héritier
À la suite de l'établissement du Royaume uni des Pays-Bas pour Guillaume Ier (1772-1843), le titre de prince d'Orange devient par la loi le titre porté par l'héritier du trône.
Littérature
Dans le roman catalan du XVe siècle Curial et Guelfe (Curial i Güelfa), la principauté d'Orange, et donc le titre, est octroyé au héros, Curial, par le roi de France[21].
Dans Le Poème du Rhône, de Frédéric Mistral, le personnage principal est le Prince héritier d'Orange, venu découvrir le pays de ses ancêtres[22].
Dans La Tulipe noire d'Alexandre Dumas, l'un des personnages principaux est le prince Souverain d'Orange, soutenu par les troupes orangistes face aux frères de Witt.
Notes et références
Références
- Jean-Claude Castex, Histoire des relations diplomatiques franco-anglaises durant la guerre de succession d'Espagne (monographie), Vancouver, Éditions du Phare-Ouest, 2e éd. revue et corrigée (1re éd. ), 201 p., 15,24 × 22,86 cm (ISBN 978-2-921668-07-1 et 2-921668-07-6, OCLC 682257955, BNF 42506715, présentation en ligne), p. 22-23, n. 5 [lire en ligne (page consultée le 2 avril 2016)].
- David Berthod, « Deux monnaies de la principauté d'Orange », OMNI, no 1, , p. 77-79 (lire en ligne, consulté le ).
- « France, le trésor des régions », sur mgm.fr (consulté le ).
- Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, coédition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, (ISBN 2-7449-0139-3), p. 241
- Mireille Vidor-Borricand, Une université méconnue. L'université d'Orange, p. 31, Éditions Borricand, Aix-en-Provence, 1977 (ISBN 2-85397-003-5)
- (en) The New American Cyclopædia. 16 volumes complete., Article on Principality of Orange, D. Appleton And Company,
- Jean Pagnol, Valréas et "l'enclave des papes" tome 1, Aubenas, Lienhart, , 297 p.
- Charles-Laurent SALCH, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, PUBLITOTAL, , 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)
- Michel de la Torre, Drôme : le guide complet de ses 371 communes, DESLOGIS-LACOSTE, (ISBN 2-7399-5026-8), Suze-la-Rousse
- « de Mailly-branche de Nesle, p. 15 puis 17-20 et 26-27 », sur Racines&Histoire
- Abbé Ambroise Ledru, Histoire de la Maison de Mailly, tome 1, Paris, Librairie Emile Lechevalier, (lire en ligne), p. 451-455
- Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, tome IV, page 506.
- Eric Hamoir, Qualité princière et dignités nobiliaires: essai comparatif sur les distinctions de dignités au sein du second ordre dans divers pays, Éditions de la Librairie Encyclopédique, 1974, page 84.
- (en) Marion Ethel Grew, The House of Orange, 36 Essex Street, Strand, London W.C.2, Methuen & Co. Ltd,
- Johannes Baptist Rietstap, Armorial général, contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , p. 746
- (en) Herbert H. Rowen (trad. du japonais), The princes d'Orange : the stadholders in the Dutch Republic, Baltimore, Cambridge University Press, , 2e éd., 1200 p. (ISBN 978-0-8063-4811-7, LCCN 65021472), p. 29
- « Site officiel de la Maison royale néerlandaise en anglais, see tour de Noordeinde Palace, Royal Archives, Front Entrance Hall » (consulté le )
- (en) K(enneth) H(arold) D(obson) Haley (trad. du japonais), The Dutch in the Seventeenth Century, Thames et Hudson, , 1re éd., 216 p., poche (ISBN 978-0-15-518473-2, LCCN 72157880), p. 78
- Anonymous, « Wapenbord van Prins Maurits met het devies van de Engelse orde van de Kouseband » [archive du ], Exhibit de a painted woodcut de Maurice's Arms encircled by the Order de the Garter in the Rijksmuseum, Amsterdam, Rijksmuseum, Amsterdam (consulté le )
- Site officiel de la Maison royale néerlandaise sur Willem-Alexander « Copie archivée » (version du 24 novembre 2010 sur l'Internet Archive)
- http://www.lekti-ecriture.com/editeurs/CURIAL-ET-GUELFE.html
- Le Poème du Rhône, qui est l’aventure du prince d’Orange, http://www.biblisem.net/etudes/brucmist.htm
Références à Cassini
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Causans », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Châteauneuf-de-Redortier », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Courthézon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Derboux », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Gigondas », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Jonquières », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Orange », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Suzette », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Violès », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Histoire de la principauté d'Orange par A. de Pontbriand, 1891, sur Gallica
- Jacques de Font-Réaulx, « Le trésor des chartes des Baux », p. 141-150, dans Provence historique, tome 4, fascicule 17, 1954 (lire en ligne)
- Jacques de Font-Réaulx, « Le testament de Tiburge d'Orange et la cristallisation de la principauté », dans Provence historique, 1956, numéro spécial Mélanges Busquet. Questions d'histoire de Provence (XIe – XIXe siècle), p. 41-58 (lire en ligne)
- Rémy Porte, L’héritage de la principauté d’Orange. Enjeu entre le protecteur des Provinces-Unies et le roi de France, dans Revue historique des armées, 2008, no 253 (lire en ligne)
Bibliographie complémentaire
- Rémy Porte, « L’héritage de la principauté d’Orange. Enjeu entre le protecteur des Provinces-Unies et le roi de France », Revue historique des armées [En ligne], no 253, 2008.
Liens externes
- Répertoire d’autorité matière encyclopédique et alphabétique unifié • Bibliothèque nationale de France (2)
- Portail de la monarchie
- Portail des Pays-Bas
- Portail de l’Occitanie
- Portail de Vaucluse