Puylaroque

Puylaroque est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Puylaroque

Mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes du Quercy caussadais
Maire
Mandat
Gilles Valette
2020-2026
Code postal 82240
Code commune 82148
Démographie
Gentilé Puylaroquain
Population
municipale
694 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 15′ 06″ nord, 1° 36′ 41″ est
Altitude 230 m
Min. 149 m
Max. 320 m
Superficie 35,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quercy-Rouergue
Législatives Première circonscription
Localisation
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Puylaroque
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Puylaroque
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Puylaroque
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Puylaroque
Liens
Site web http://www.puylaroque.com/

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Lère, le Candé, le ruisseau de Sietges, le ruisseau de Tourtourel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « causse de Gaussou et sites proches »), un espace protégé (« géoparc des causses du Quercy ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Puylaroque est une commune rurale qui compte 694 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 2 433 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Puylaroquains ou Puylaroquaines.

    Géographie

    Puylaroque est un village situé dans le Quercy, en limite du Lot sur la Lère.

    Communes limitrophes

    Géologie

    Le territoire de Puylaroque est à cheval sur deux formations géologiques distinctes : le Quercy Blanc, caractérisé par des calcaires meubles d'origine tertiaire, et le causse, caractérisé par des calcaires beaucoup plus anciens d'origine jurassique (ère secondaire). De par cette différence de sous-sol, on distingue deux formations végétales :

    1. Le Quercy Blanc, où l'on note la présence d'espèces végétales particulières telles que le robinier (Robinia pseudoacacia) ou le peuplier (Populus sp.).
    2. Le causse de Limogne, est, quant à lui, caractérisé par des formations végétales beaucoup moins exigeantes en eau. On peut trouver le chêne pubescent (Quercus pubescens), le genévrier (Juniperus sp.) ou le noyer commun (Juglans regia L.).

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Lère, le Candé, le ruisseau de Sietges, le ruisseau de Tourtourel, le Rieucros, le ruisseau de Coffinié, le ruisseau de Coumbel, le ruisseau de Madel, le ruisseau de Mouillagol, le ruisseau de Salepeyssou, le ruisseau des Frayssinades et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 38 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    La Lère, d'une longueur totale de 45,1 km, prend sa source dans la commune de Saillac et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Albias, après avoir traversé 14 communes[4].

    Le Candé, d'une longueur totale de 18,1 km, prend sa source dans la commune de Labastide-de-Penne et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la rivière la Lère à Caussade, après avoir traversé 7 communes[5].

    Réseaux hydrographique et routier de Puylaroque.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 852 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Vincent », sur la commune de Saint-Vincent-d'Autéjac, mise en service en 1993[12] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 771,8 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 33 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[16] à 14 °C pour 1991-2020[17].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].

    La commune est dans le périmètre du « géoparc des causses du Quercy », classé Géoparc en mai 2017 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[20],[21].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « causse de Gaussou et sites proches »[23], d'une superficie de 198 ha, un ensemble de petits causses sur sol karstique, argileux du bord du plateau du Quercy blanc. Il s'agit du site à orchidées le plus intéressant de Tarn-et-Garonne[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[25] :

    • les « bois d´Aubrelong, vallée de la Lère morte et vallons annexes » (1 470 ha), couvrant 8 communes dont trois dans le Lot et cinq dans le Tarn-et-Garonne[26] ;
    • les « pelouses marno-calcaires du plateau de Belfort-de-Quercy et Labastide-de-Penne » (1 188 ha), couvrant 4 communes dont deux dans le Lot et deux dans le Tarn-et-Garonne[27] ;
    • la « vallée de Saint Symphorien » (41 ha), couvrant 4 communes du département[28] ;
    • la « vallée Sèche de Mouillagol et plateau de Ganiole » (458 ha), couvrant 3 communes du département[29] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[25] : le « causse de Caylus, vallée de Sietges et haute vallée de la Lère » (8 815 ha), couvrant 13 communes dont cinq dans le Lot et huit dans le Tarn-et-Garonne[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Puylaroque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[31],[I 1],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,1 %), terres arables (22,6 %), prairies (9,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,7 %), zones urbanisées (1,3 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Antonin Tressens    
    1791 1792 Louis Lacassagne    
    1792 1795 Jean Rescoussié    
    1795 1796 Jean Bastide    
    1796 1797 Joseph Capin    
    1797 1798 Pierre Rescoussié    
    1798 1800 Jean Andrieu    
    1800 1804 Joseph Capin    
    1804 1815 Joseph Latreilhe    
    1815 1817 Pierre Louis Labarthe-Pradal    
    1817 1826 Jean Jacques Louis Capin    
    1826 1830 Pierre Louis Labarthe-Pradal    
    1830 1834 Melchior Louis Tressens    
    1834 1834 Guillaume Laroque    
    1834 1837 Guillaume Joseph Capin    
    1837 1848 Jean Pierre Joseph Marie Capin    
    1848 1852 Jean Pierre Breil    
    1852 1857 Joseph Caudesaigues    
    1857 1870 Jean-Etienne Caudesaigues    
    1870 1873 Jean Louis Melchior Bastide    
    1873 1877 Jean-Etienne Caudesaigues    
    1877 1878 Pierre Murat    
    1878 1892 Urbain Hippolyte Sers    
    1892 1924 Marie Charles Louis Eugène Capin    
    1924 1925 Louis Laporte    
    1925 1929 Gabriel Andrieu    
    1929 1942 Guillaume Laurent Loupiac    
    1942 1944 Jean Marie Cavaillé    
    1944 1945 Jean Freycinet    
    1945 1965 Angély Jean Canihac    
    1965 1983 Ismaël Louis Pierre Bessières    
    1983 1989 Frédéric Diemer    
    1989 2008 Julien Courdesses    
    2008 2014 Pierre Birmes    
    2014 En cours Gilles Valette    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Cutting (Moselle).

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2019, la commune comptait 694 habitants[Note 10], en augmentation de 3,58 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0801 6922 0952 0892 1252 3272 3412 4332 354
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2852 2182 1652 0722 0371 9431 8541 7521 566
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5511 5331 305991928821795809737
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    686629606614580576638656670
    2018 2019 - - - - - - -
    701694-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 330 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 690 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 390 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]10,3 %8,8 %13,5 %
    Département[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 407 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2 % d'actifs (61,7 % ayant un emploi et 13,5 % de chômeurs) et 24,8 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 115 emplois en 2018, contre 131 en 2013 et 132 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 255, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,6 %[I 10].

    Sur ces 255 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 81 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 7,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    66 établissements[Note 13] sont implantés à Puylaroque au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble66100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    710,6 %(9,6 %)
    Construction1522,7 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1522,7 %(29,7 %)
    Information et communication23 %(1,9 %)
    Activités financières et d'assurance11,5 %(3,4 %)
    Activités immobilières34,5 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    57,6 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1218,2 %(13,6 %)
    Autres activités de services69,1 %(9,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,7 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 66 entreprises implantées à Puylaroque), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[38] :

    • Pharmacie Du Trebuchet, commerce de détail de produits pharmaceutiques en magasin spécialisé (953 k€)
    • EURL LRF, production d'électricité (147 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations58362932
    SAU[Note 16] (ha)1 5131 5411 2411 126

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 58 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 36 en 2000 puis à 29 en 2010[41] et enfin à 32 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[42],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 513 ha en 1988 à 1 126 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 35 ha[41].

    Vie pratique

    Enseignement

    École primaire Jean Moulin (80 élèves)[43].

    Santé

    Une pharmacie, un médecin, des infirmières, une kinésithérapeute.

    Culture

    Une médiathèque et un grand choix d'associations.

    Services

    Des commerçants, un bureau de poste.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Architecture sacrée

    Architecture civile

    • Plusieurs maisons gothiques.
    • Château d'eau de la fin du XIXe début XXe siècle appelé « Pech Calem »[46]. Ce château d'eau est toujours en service de nos jours : il alimente Puylaroque en eau potable depuis les nappes aquifères situées dans le sous-sol calcaire.
    • L'ancienne gendarmerie de Puylaroque, située au cœur du village, est aujourd'hui une propriété privée. La façade a été recrépie en 2006 grâce à un enduit à la chaux, afin de protéger les pierres utilisées pour la construction de la bâtisse originelle. Au XIXe siècle, la maison était une gendarmerie (création de la maison vers 1870). On peut encore distinguer les différentes parties de la maison (écuries, bâtiment principal destiné à l'administration). Enfin, la maison a été une boucherie-charcuterie jusqu'au milieu des années 1980, dont la vitrine a été démolie lors de la réfection de la façade en 2006.


    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'azur au puits d'argent, maçonné de sable, posé sur une roche aussi d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Razoua, Notes et documents pour servir à l'histoire civile et religieuse de Puylaroque, Forestié, 1883.
    • Jackye Vaïsse, Le XXème siècle à Puylaroque : Chronique d'un village du Tarn et Garonne, Lys Editions Amatteis, 2009.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Puylaroque » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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