Rémuzat

Rémuzat est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Rémuzat

Rémuzat vu du rocher du Caire.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme provençale
Maire
Mandat
Olivier Salin
2020-2026
Code postal 26510
Code commune 26264
Démographie
Gentilé Rémuzatiens, Rémuzatiennes
Population
municipale
329 hab. (2019 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 24′ 51″ nord, 5° 21′ 25″ est
Altitude Min. 425 m
Max. 1 201 m
Superficie 16,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rémuzat
Géolocalisation sur la carte : France
Rémuzat
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Rémuzat
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Rémuzat
Liens
Site web www.remuzat.fr

    Géographie

    Localisation

    Rémuzat est situé en Drôme provençale à 24 km à l'est de Nyons et à km au sud de La Motte-Chalancon.

    Relief et géologie

    Relief préalpin[1].

    Sites particuliers[2] :

    • col de Curnier ;
    • pas de l'Eygues ;
    • rocher Caillat ;
    • rocher de l'Abîme ;
    • rocher de l'Abrot ;
    • rocher de la Lauze ;
    • rocher de la Piche ;
    • rocher de Saint-Auban ;
    • rocher des Aulagneries ;
    • rocher du Banc ;
    • rocher du Lierre ;
    • rocher Long ;
    • rocher Rouge ;
    • Serre du Loup.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[2] :

    • le Rif ;
    • le Soubeyrand ;
    • l'Eygues ;
    • l'Oule ;
    • le ravin de Clarisane ;
    • le ravin de Coucourdier ;
    • le ravin de la Charbonnière.

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de la Drôme.

    Climat méditerranéen[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Rémuzat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,9 %), forêts (23,9 %), terres arables (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,5 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[2] :

    • Baravier ;
    • Béatrix ;
    • Chapelle Saint-Michel ;
    • Coucourdier ;
    • Escoucoussieux ;
    • Ferme de Saint-Auban ;
    • Ferme de Saint-Pierre ;
    • Forêt Domaniale de l'Eygues ;
    • la Casse ;
    • la Combe ;
    • la Combe du Fau ;
    • la Croix ;
    • la Crotte ;
    • la Guindonnière ;
    • la Jonche ;
    • la Pause ;
    • la Perrière ;
    • la Rourie ;
    • le Chambon ;
    • le Clos du Prieur ;
    • le Mas ;
    • le Rafour ;
    • les Adrets ;
    • les Aires ;
    • les Blaches ;
    • les Combaux ;
    • les Faysses ;
    • les Graves ;
    • les Mouillères ;
    • les Olivières ;
    • l'Espinasse ;
    • l'Homme Mort ;
    • Petit Montrond ;
    • Plantard Mort ;
    • Ponçon ;
    • Riable ;
    • Rouseyras ;
    • Viaras.

    Toponymie

    Attestations

    Le Dictionnaire topographique du département de la Drôme[9] donne les appelations suivantes :

    • 1251 : Remusa, Remusatum et castrum de Remusaco (cartulaire de l'Île-Barbe) ;
    • 1262 : castrum Remusati (cartulaire de l'Île-Barbe) ;
    • 1259 : Ramusatum (inventaire des dauphins, 269) ;
    • 1269 : castrum Ramusati (inventaire des dauphins, 218) ;
    • 1334 : Remusacum (inventaire des dauphins, 219) ;
    • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Remisaco (pouillé de Die) ;
    • 1449 : mention de la paroisse : cura de Remusaco (pouillé gén.) ;
    • 1519 : mention du prieuré : prioratus de Remusaco (rôle de décimes) ;
    • 1576 : Remusac (rôle de décimes) ;

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de la Drôme.

    Préhistoire

    Âge du Bronze : sépultures et de pointes de lance[1].

    Antiquité : les Gallo-romains

    Dans le quartier Saint-Auban, à deux kilomètres au nord de l'ancien village sur la même rive, ont été trouvés des monnaies impériales, une ampoule de verre irisée, à col allongé, appartenant à un type courant aux Ier siècle et IIe siècle, une plaque de porphyre vert antique et de nombreuses tegulae[10].

    En 1935, un habitant du pays a trouvé, sur le même site, un petit ustensile en or se composant d'un couteau long de 11 cm et d'une petite spatule de 8 cm, suspendus par un œillet à un anneau. Acheté par l'abbé Van Damme, il a été identifié par H. Desaye, conservateur du musée de Die où il est aujourd'hui conservé, comme un instrument de toilette de l'époque romaine provenant vraisemblablement d'une sépulture[11].

    L'existence d'une villa romaine et même d'un petit sanctuaire païen à cet endroit, près d'une source abondante, d'où proviendrait le bloc d'architrave gallo-romain présentant une frise de rinceaux corinthiens dans lequel la table d'autel de la chapelle chrétienne a été taillée, semble probable à l'abbé Van Damme[12].

    Du Moyen Âge à la Révolution


    Au haut Moyen Âge, Rémuzat est dans la dépendance de l’abbaye de Bodon, fondée au début du VIe siècle par Jean, évêque de Sisteron et dont saint Marius[13], compagnon de Donat du Val fut le premier abbé[14] .

    Détruite au VIIIe siècle, l’abbaye de Bodon passe sous l’autorité de la puissante abbaye lyonnaise de l’Île Barbe qui est à la tête d’un très important domaine à la fois religieux et temporel (de nombreux seigneurs rendent hommage à l’abbé de Île Barbe pour des domaines parfois importants)[15].

    Selon l’abbé Van Damme, c’est à l’influence de l’abbaye que l’on doit le nombre important de petites chapelles aujourd’hui disparues que comptait alors la commune : Saint-Auban, Saint-Quenin, Saint-Pierre de Soubeyran et Langoustier à la Combe de Rémuzat[16].

    Au XIIe siècle et XIIIe siècle, le Val d’Oule (Vallis Olle), dont fait partie Rémuzat et qui comprend Cornillon, Cornillac, St-May, Lemps, Pommerol et La Charce, appartient à la puissante Famille de Mévouillon, qui s’est progressivement constitué une entité politique indépendante qui prendra le nom de Baronnies à partir de la fin du XIIIe siècle, dans un contexte de rivalités entre la Provence et le Dauphiné en cours de constitution et envieux d’annexer cette région de transition[17].

    Les barons de Mévouillon, devenus seigneurs du Val d’Oule sont vassaux de l’abbé de l'Île Barbe, représenté par le prieur de Saint-May. Raymond de Mévouillon lui rend hommage en 1251 pour le château de Remusa, hommage renouvelé en 1293 et 1305[18].

    Une date importante pour Rémuzat est le 5 novembre 1305, quand le baron de Mévouillon endetté vend au comte de Provence, roi de Naples et de Sicile, Charles II d'Anjou, les fiefs et châteaux du Val d’Oule[19].

    Le Val d’Oule devient une châtellenie dont le chef-lieu est Cornillon et va constituer une enclave provençale en Dauphiné lorsque les baronnies de Mévouillon et de Montauban sont acquises en 1314 et 1317 par le dauphin Humbert Ier de Viennois[20].

    De 1305 jusqu’en 1790, Rémuzat dépend donc de la Provence et de ses institutions administratives : chambre des comptes puis parlement d’Aix, intendance de Provence et viguerie de Sisteron.

    Le comte de Provence, d’après un état des biens de la claverie du Val [21], détient à Rémuzat, de 1329 à 1345, la haute seigneurie, la moitié du fournage et des revenus du moulin, la moitié du péage du col de Soubeiran, la moitié des amendes, ainsi que 15 maisons en toute propriété et 28 en communauté avec le prieur de Saint-May. Le Val d'Oule est inféodé à différents seigneurs : les d’Agoult, puis les Grolée-Mévouillon, enfin en 1615 les La Tour-Gouvernet (René de La Tour du Pin Gouvernet), le prieur de Saint-May conservant ses droits seigneuriaux.

    En 1729, par exemple[22], le prieur de Saint-May possède la moitié de Rémuzat en pariage avec un La Tour Gouvernet, marquis de La Charce, et « a comme lui ses juge, chatelain, greffier et procureur d’office, exerçant à tour de rôle leurs fonctions chacun pendant une année. »

    De la Révolution à nos jours

    L'Assemblée Nationale décrète en 1790 que « la vallée de Rémuzat, enclavée dans le département du bas Dauphiné, est réunie à ce département pour faire partie du district dans l'enclave duquel elle se trouve[23]».

    Rémusat devient le chef-lieu d'un canton du district de Buis-les-Baronnies, comprenant la Charce, Cornillac, Cornillon, la Fare-et-Lemps, Montferrand, Pommerol et Verclause, mais la réorganisation de l'an VIII (1799-1800) fait entrer ce canton dans la composition de l'arrondissement de Nyons et y joint les communes de Chauvac, Laux-Montaux, Montréal, Pelonne, le Poët-Sigillat, Roussieux, Sahune et Saint-May.

    Politique et administration

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1971 Louis Latil DVD  
    1971 1977 Louis Latil   maire sortant
    1977 1983 Louis Latil   maire sortant
    1983 1989 Louis Latil   maire sortant
    1989 1995 Louis Latil   maire sortant
    1995 2001 Philippe Puvilland DVD  
    2001 2008 Philippe Puvilland   maire sortant
    2008 2014 Bernard Bailly DVG[24] cadre
    2014 2020 Bernard Bailly   maire sortant
    2020 en cours Olivier Salin[25] LR  

    Politique environnementale

    La commune ne fait pas partie du Parc naturel régional des Baronnies provençales créé en 2014, bien que située dans son périmètre[réf. souhaitée].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2019, la commune comptait 329 habitants[Note 2], en diminution de 0,9 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600514616655688697681715732
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    706725680641641616595550555
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    507528517507430421404337317
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    288301332364364283309317332
    2018 2019 - - - - - - -
    334329-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête : le dimanche après le [1].

    Loisirs

    • Randonnées : GR de Pays Tour des Baronnies Provençales[2].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : pruniers, truffes, ovins, caprins (Agneaux des Préalpes)[1].

    • Foire mensuelle (sauf en janvier, mai, juillet et septembre)[1].

    Tourisme

    • Syndicat d'initiative (en 1992)[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village de Rémuzat au pied du rocher du Caire. Sous le rocher, l'ancienne église Saint-Michel.
    • Rocher du Caire (de Kʰar, racine qui signifie « pierre ») : muraille rocheuse verticale face au village de Rémuzat, haute de 125 mètres, longue de 1 000 mètres, qui supporte le plateau de l'ancienne abbaye de Bodon. En 1995, une colonie de neuf vautours fauves a été réimplantée, suivie en 1998 de vautours moines qui avaient pratiquement disparu de France. Depuis, le vautour percnoptère, beaucoup plus rare, y est réapparu de façon spontanée, en 2000. Il y a aujourd'hui plus de 300 individus qui s'alimentent sur une superficie de plus de 6 000 km2. Une promenade sur la crête du rocher permet d'observer ces oiseaux impressionnants et peu farouches. Leur envol pour la journée se fait entre 10 h et midi, quand l'air est suffisamment chaud pour leur permettre de prendre assez d'altitude et de partir à la recherche de carcasses, souvent à des distances importantes.
    • L'ancien village : progressivement abandonné au cours de la première moitié du XVIIe siècle, il n'en reste que la chapelle romane Saint-Michel (XIIIe siècle) et des pans de l'enceinte du bas Moyen Âge (qui valait à Rémuzat le titre de Castrum dans le cartulaire de l'Île-Barbe en 1251). La chapelle Saint-Michel (XIIIe siècle) possède une table d'autel taillée dans un bloc d'architrave gallo-romain présentant une frise de rinceaux corinthiens, provenant sans doute du site plus ancien de Saint-Auban, deux kilomètres au nord sur la même rive de l'Oule[30]. Ses ornements, cloches et fonts baptismaux sont transférés en 1644 dans la nouvelle église Saint-Sébastien construite dans le village moderne. Des réparations ont lieu en 1754 : le mur du chœur du côté de la rivière est abattu (mais la voûte est épargnée, formant abri) et un nouveau mur est construit entre la nef et l'ancien chœur, avec la porte de taille qui se trouvait auparavant au nord de l'édifice[31].
    • L'église Saint-Sébastien, devenue trop étroite pour une population accrue, est rasée vers 1850 et remplacée à quelque distance par la vaste église actuelle dédiée à Saint-Michel. Sa décoration intérieure est un bon exemple du style sulpicien de l'époque de sa construction.
    • Grotte de Saint-Eutrope : par son orientation plein est et son nom (Saint-Eutrope est un évêque d'Orange du Ve siècle mais signifie aussi : bien orienté), la grotte, simple anfractuosité au pied du rocher du Caire, pourrait avoir été, dès la préhistoire, un lieu de culte solaire : à l'aube du 24 juin, le soleil se lève très exactement à la cime de la montagne Saint-Roman où se trouve la grotte de la Baume Ecrite[32]. La grotte de Saint-Eutrope fut un lieu de pèlerinage des habitants de Rémuzat, à la suite de la guérison miraculeuse, inscrite dans le registre paroissial de 1745, d'un petit infirme, Pierre Plumel, âgé de 11 ans, monté à bras par ses parents jusqu'à la grotte [33].

    Patrimoine naturel

    • Géodes cristallines[1].

    Personnalités liées à la commune

    • Lucien Van Damme (1901-1989), né en Belgique, curé de Rémuzat pendant plus de 54 ans de 1933 à 1987. Homme érudit, botaniste et archéologue, il écrivit sur son village et l'histoire locale de nombreux articles et plusieurs publications. Il fut fait chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres en 1984[34].
    • Jean Besson, (né en 1948), sénateur de la Drôme (1989-2014), conseiller général de Rémuzat (1979-2004), Chevalier de la Légion d'honneur.
    • L'écrivain allemand Christoph Meckel (de) (1935-2020) a habité une partie de l'année à Rémuzat pendant plus de 30 ans.
    Un de ses livres traduits en français, Un inconnu (Le Temps qu'il fait, 2007) , est consacré à son voisin et ami, cultivateur de lavande de Rémuzat, figure d'un monde paysan du siècle dernier.

    Héraldique, logotype et devise

    Rémuzat porte pour armes : d'azur à une croix haussée et perronnée de trois marches d'or[35].

    Annexes

    Bibliographie

    • Lucien Van Damme, curé de Rémuzat de 1933 à 1987, il écrivit sur son village et sa région de nombreux articles dans la Revue Drômoise, Peuple Libre, Cahiers d'histoire des Baronnies (Rémuzat aux confins de trois diocèses, La grotte Saint Eutrope, Trouvaille archéologique à Rémuzat, etc.) et plusieurs publications :
      • Le château de Cornillon, 1968.
      • Trente curés de Rémuzat racontés par le 31e, 1971.
      • Curés de Cornillac et de Cornillon au fil des siècles, 1975.
      • Servantes de curés aux confins Diois-Baronnies, 1977.
      • Curés d'autrefois et leurs ouailles à Sahune, 1984.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Rémuzat.
    2. https://www.geoportail.gouv.fr/
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
    9. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 299 (Remuzat).
    10. Cahiers de l'Oule, no 3, 1er trimestre 1967,, p. 3-5.
    11. H.Desaye, Trouvaille archéologique à Rémuzat, 1975.
    12. Idem, note introductive p.2.
    13. Ne pas confondre avec Marius d'Avenches.
    14. Marie-Pierre Estienne, Les Baronnies au moyen âge, Les Alpes de Lumière, Mane, 1997, p.122.
    15. Marie-Pierre Estienne, p.105 et 122.
    16. Abbé Van Damme, Trente curés de Rémuzat, 1971, p.1. et Rémuzat aux confins de trois diocèses, 1961, p.3.
    17. Marie-Pierre Estienne, p.20.
    18. André Lacroix, L’arrondissement de Nyons : histoire, topographie, statistique, Hachette, 1888, p.270.
    19. André Lacroix, p.272.
    20. Marie-Pierre Estienne, p.55.
    21. André Lacroix, p.274.
    22. André Lacroix, p.277.
    23. Courrier de Paris dans les provinces du 28 février 1790 (site de presse de la BNF - retronews.fr)
    24. https://www.lemonde.fr/auvergne-rhone-alpes/drome,26/remuzat,26264/
    25. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Marie-Pierre Estienne, Les Baronnies au moyen âge, Les Alpes de Lumière, Mane, 1997, p. 117.
    31. Abbé Van Damme, Trente curés de Rémuzat, 1991, p. 15 et 25.
    32. Patrick Ollivier, Les Baronnies, Aubanel, 1986, p. 339.
    33. Abbé Van Damme, La grotte de St-Eutrope, 1967, p. 2.
    34. Dewez et van Mons, Biographie de l'abbé Van Damme, édité en Belgique, p. 31.
    35. André Lacroix, Arrondissement de Nyons, Archéologie, Histoire et Statistique, Jules Céas, Valence, 1901, t. II, p. 268.
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