Guéret

Guéret (en occitan : Garait[1]) est une commune française, préfecture du département de la Creuse dans la région Nouvelle-Aquitaine. Après avoir été la capitale du comté de la Marche, la ville est le chef-lieu du département de la Creuse depuis 1790. Ses habitants sont appelés les Guérétois.

Pour les articles homonymes, voir Guéret (homonymie).

Guéret
De haut en bas et de gauche à droite : office de tourisme ; palais de justice ; église Saint-Pierre-et-Saint-Paul ; présidial ; fontaine des Trois-Grâces ; musée d'Art et d'Archéologie ; théâtre à l'italienne.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
(préfecture)
Arrondissement Guéret
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Guéret
(siège)
Maire
Mandat
Marie-Françoise Fournier (SE)
2020-2026
Code postal 23000
Code commune 23096
Démographie
Gentilé Guérétoise, Guérétois
Population
municipale
12 734 hab. (2019 )
Densité 486 hab./km2
Population
agglomération
13 783 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 46° 10′ 17″ nord, 1° 52′ 09″ est
Altitude 518 m
Min. 350 m
Max. 685 m
Superficie 26,21 km2
Unité urbaine Guéret
(ville-centre)
Aire d'attraction Guéret
(commune-centre)
Élections
Départementales Cantons de Guéret-1 et de Guéret-2
(bureau centralisateur)
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Guéret
Géolocalisation sur la carte : France
Guéret
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Guéret
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Guéret
Liens
Site web ville-gueret.fr

    Géographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Guéret est située sur un vaste plateau entre la Creuse et la Gartempe, au pied du Puy de Gaudy et du Maupuy qui atteignent 651 et 683 m. Elle est arrosée par la Naute qui y prend sa source, alimente l'étang de Courtille (ou de Courtilles), puis marque la limite communale à l'ouest, avec Saint-Sulpice-le-Guérétois. Un autre affluent de la Creuse, le ruisseau de la Fontaine aux Sangliers prend sa source dans le sud de la commune, en forêt de Chabrières.

    La ville s'incline sur les pentes de la colline de Guéret Grancher où l'altitude atteint 571 m.

    Elle marque la limite entre la prédominance du bocage marchois dans le nord de la Creuse et du domaine forestier dans le sud.

    Guéret se situe dans le centre-ouest de la Creuse. Elle est bordée par la RN 145 qui traverse le département selon un axe ouest - nord-est. En voiture la ville est à environ 1 heure de Limoges, 1 h 50 de Clermont-Ferrand et de Vichy, 2 heures de Poitiers, 2 h 30 d'Orléans, 3 h 15 de Lyon, 3 h 30 de Bordeaux, 3 h 40 de Toulouse et 4 heures de Paris ; elle est également à environ 45 minutes de Montluçon et d'Aubusson, à 1 h 15 de Châteauroux, et à 1 h 50 de Brive et de Tulle.

    Communes limitrophes

    Climat

    Guéret connaît un climat plutôt frais et humide en hiver du fait de l'ouverture vers l'ouest du pays ainsi que du relief. Malgré tout, de belles périodes de temps ensoleillé et chaud se produisent régulièrement en été mais également en automne où, bien souvent, on observe un été de la Saint-Martin tout comme dans une grande partie du Limousin.

    La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1975 à 2018 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[2]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records GUERET BONGEOT (23) - alt : 402 m 46° 10′ 48″ N, 1° 52′ 42″ E
    Records établis sur la période du 01-08-1975 au 30-12-2017
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,5 0,4 2,4 4,3 8 11 12,8 12,4 9,4 7,3 3,2 1,3 6,1
    Température moyenne (°C) 3,7 4,3 7,1 9,4 13,3 16,5 18,8 18,5 15,1 11,9 6,9 4,4 10,9
    Température maximale moyenne (°C) 7 8,3 11,7 14,4 18,7 22,1 24,8 24,6 20,8 16,5 10,6 7,5 15,6
    Record de froid (°C)
    date du record
    −23,2
    09.01.1985
    −17
    06.02.12
    −14,7
    01.03.05
    −4,8
    22.04.1991
    −2
    15.05.1995
    1
    08.06.1984
    4
    17.07.1980
    2
    31.08.1986
    −1,6
    25.09.02
    −8
    31.10.1997
    −12
    23.11.1993
    −13,6
    16.12.01
    −23,2
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,7
    05.01.1999
    23
    20.02.1998
    24,5
    16.03.12
    29,6
    30.04.05
    31,5
    27.05.05
    37
    27.06.11
    38
    16.07.15
    39,1
    18.08.12
    33,5
    17.09.1987
    28,5
    12.10.01
    25,4
    08.11.15
    20,5
    03.12.1985
    39,1
    2012
    Précipitations (mm) 93,2 83,1 79,1 88,2 105,4 78 70,5 65,2 84,9 90,3 88,6 97,1 1 023,6
    Source : « Fiche 23096001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Réseau routier

    À l'origine, la route nationale 145 reliait Guéret à Moulins, via Montluçon. Celle-ci n'est pas immédiatement déclassée à la suite de la réforme de 1972. Lors de la mise en service de la voie rapide à l'est du Montet, jusqu'à Toulon-sur-Allier (au sud de Moulins), celle-ci porta le numéro 145 et la section du Montet à Moulins est déclassée RD 945.

    Après la réforme de 1972, certaines sections sont récupérées par la nouvelle RN 145 : le tronçon de Bellac au Maubert issu de la RN 151BIS et celui de Maubert à Guéret issu de la RN 142.

    Voies ferroviaires

    La gare de Guéret est une gare ferroviaire de la ligne de Montluçon à Saint-Sulpice-Laurière. C'est une gare voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français, desservie par des trains régionaux TER Nouvelle-Aquitaine.

    Transports urbains

    Logo du réseau de bus.

    Agglo'Bus est le réseau de transport en commun de la communauté d’agglomération du Grand Guéret qui dessert les 25 communes du territoire autour de 7 lignes urbaines et d'un service de transport à la demande.

    Guéret possède également un aéroport servant Landouges.

    Nous pouvons également retrouver "Les cannassons creusois" chevaux a la crinière de feu cavallant à pret de 15 km/h.

    Toponymie

    Attesté sous la forme Waractus au VIIe siècle, de Garait vers 1140, Garag 1140 (forme sud-occitane), Garactum vers 1315, Garet en 1451[3]. Le toponyme en occitan (dialecte marchois) est Garait [ɡɒ.ˈraj, ɡɒ.ˈre]).

    Selon Albert Dauzat, l'enfant du pays[4] : « [Guéret] doit son origine à un monastère fondé en 669 dans un vaste guéret. »

    Ernest Nègre[4] y voit le sens de « friche », précédant la fondation du monastère. Le terme français guéret a plusieurs significations paradoxales :

    • terre inculte, en jachère, pâturage maigre ;
    • terrain labouré ;
    • (poétique) champ cultivé, champ couvert de moisson.

    Le terme est issu du bas latin vervactum / bervactum « terre en jachère, friche » altéré en varactum, puis waractum par influence du germanique sur l'initiale, d'où garet / guéret[5]. Le sens est donc « jachère », même si le mot a également pu indiquer une « friche », vers 700, lorsque le monastère de Guéret est fondé.

    Urbanisme

    Typologie

    Guéret est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guéret, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[9] et 13 783 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (35,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (36,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,8 %), zones urbanisées (24,5 %), prairies (23,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Pour des raisons de statistiques et de recensement de la population, la commune de Guéret est découpée par l'INSEE en cinq quartiers qui sont[15] :

    • centre-ville ;
    • Champegaud ;
    • Jouhet ;
    • la Rodde ;
    • Maindigour.

    Logement

    La population de Guéret était de 14 114 habitants au recensement de 1999, 13 789 en 2006, 14 066 en 2007 et 13 844 en 2009. La densité de population de la ville est de 528,20 hab./km2.

    Le nombre de logements dans la commune a été estimé à 8 206 en 2007. Ces logements se composent de 7 317 résidences principales, 245 résidences secondaires ou occasionnelles ainsi que 643 logements vacants[16].

    Histoire

    Moyen Âge

    C'est au VIIe siècle que Lantarius (Lanterius, vers 670), comte de Limoges, persuade le moine Pardulphe (qui deviendra saint Pardoux) de rejoindre son domaine rural de Waractus. Pardulphe, jusqu'alors ermite réputé pour ses pouvoirs de thaumaturge, y devient abbé d'un monastère autour duquel un village se construit. L'ensemble est rasé par les Vikings au IXe siècle, mais une modeste cité y est reconstruite, donnant naissance à Guéret.

    Des guerres de religion à la Révolution française

    En 1514 la ville devient capitale de la Marche. Puis en 1790 sa vocation de siège administratif se voit confirmée lorsque la ville est choisie comme chef-lieu de département. Entre ces deux dates, Guéret connaît plusieurs insurrections contre l’impôt, la maltôte : le , suivant l’exemple des habitants de Limoges, plusieurs centaines d’émeutiers attaquent les employés des fermes générales et les huissiers, tous chargés de prélever l’impôt. Dans la mouvance, la foule lapide l’entrepôt de la ferme des tabacs[17]. Dans ces affaires, la solidarité populaire se manifeste et les autorités municipales préfèrent ne pas agir[18]. En 1785, à nouveau, plusieurs centaines d’habitants de la ville réussissent à libérer une femme[19].

    XIXe siècle

    En , les révoltés d'Ajain sont des paysans des communes d'Ajain, Ladapeyre et Pionnat qui marchent sur Guéret. Ils veulent délivrer leurs camarades emprisonnés pour s'être opposés à l'impôt que l’Assemblée conservatrice vient de voter en . À l'entrée de la ville, l'affrontement avec la Garde nationale fait seize morts parmi les manifestants[20]. Pendant la Deuxième République, la commune de Guéret est à gauche (la Montagne)[21].

    Depuis le Moyen Âge, comme dans toutes les communes du département, beaucoup d'hommes partaient tous les ans pour les grandes villes afin de s'y faire embaucher sur les chantiers du bâtiment comme maçons, charpentiers, couvreurs… C'est ainsi que les maçons de la Creuse deviennent bâtisseurs de cathédrales. En 1624, ils construisent la digue de La Rochelle. Au XIXe siècle, ils participent à la construction du Paris du baron Haussmann. Initialement temporaire de mars à novembre, l'émigration devient définitive : ainsi la Creuse perd la moitié de sa population entre 1850 et 1950. On retrouve dans les Mémoires de Léonard, ancien garçon maçon, de Martin Nadaud, et dans le roman Jeantou, le maçon creusois, de Georges Nigremont (Léa Védrine) , la description de cet exode qui marqua si fortement les modes de vie.

    XXe siècle

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, de nombreux Creusois requis pour le Service du travail obligatoire rejoignent les camps des maquisards. Parmi eux, trois jeunes Guérétois  John Allan Colomb, Robert Janvier et Jacques Nouhaud, âgés respectivement de 21, 18 et 19 ans  seront tués par les Allemands le dans le bois du Thouraud[22]. Albert Fossey alias François est en 1943 le chef départemental adjoint des Mouvements unis de la Résistance (MUR) de la Creuse, puis le chef départemental des maquis de l'Armée secrète de la Creuse. En 1944 il devient le chef départemental des FFI de la Creuse avec le grade de lieutenant-colonel. Le il dirige la première libération de Guéret puis les Allemands reprennent la ville le 9 juin. Après une guérilla dans l'ensemble du département, Guéret est de nouveau libérée le par les maquisards du commandant François[23]. C'est Roger Cerclier qui reçoit la reddition de la garnison allemande de Guéret. Président du comité départemental de Libération, il exerce ses fonctions avec sang-froid et modération.

    Un Comité d’action du Centre, dit « Comité de Guéret », est constitué en 1953 à l’occasion des importantes mobilisations paysannes. Il regroupe 18 fédérations départementales de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) et perdure de 1953 à 1968, se constituant en groupe de pression informel pour défendre les intérêts des victimes de la politique agricole[24].

    Dans les années 1960, afin de repeupler les départements métropolitains en voie de désertification, des enfants réunionnais sont déplacés de force dans la Métropole. Dirigés vers la Creuse, où ils sont placés lors de leur arrivée dans un foyer de Guéret, ils sont ensuite envoyés dans des familles d'accueil à travers le département. Aujourd'hui, à Guéret, c'est l'Espace créole qui se trouve dans les bâtiments qu'occupait ce foyer[25].

    Politique et administration

    La préfecture de la Creuse.

    Guéret est la préfecture de la Creuse depuis la création du département en 1790.

    Guéret est le chef-lieu de deux cantons :

    Tendances politiques et résultats

    Au second tour de l'élection présidentielle de 2017 à Guéret, Emmanuel Macron (En Marche!) arrive en tête du scrutin, avec 75,27 % des suffrages exprimés. Il devance Marine Le Pen (Front national) qui recueille 24,73 % des suffrages exprimés.

    Au premier tour à Guéret, Emmanuel Macron était aussi arrivé à la première place (26,34 % des voix) devant Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise), deuxième avec 22,2 % des voix, alors que Marine Le Pen n'arrivait qu'en quatrième position avec 14,93 %, derrière François Fillon (Les Républicains), troisième avec 15.19 %. Les sept autres candidats obtenant les résultats suivants : Benoît Hamon (Parti socialiste), 13,06 % ; Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France), 3,72 % ; Philippe Poutou (Nouveau Parti anticapitaliste), 1,38 % ; Jean Lassalle (indépendant), 1,25 % ; Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière), 0,9 % ; François Asselineau (Union populaire républicaine), 0,87 % ; Jacques Cheminade (Solidarité et progrès), 0,15 %[26].

    Les votes blancs ont représenté 1,8 % des votants au premier tour, et 9,97 % au second[27].

    Récapitulatif de résultats électoraux récents

    Scrutin 1er tour 2d tour
    1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e % 4e %
    Municipales 2014 PS 42,94 DVD 19,19 FG 15,28 FN 12,90 PS 54,45 DVD 31,87 FN 13,67 Pas de 4e
    Européennes 2014[28] PS 30,16 FN 16,21 UMP 16,13 FG 11,46 Tour unique
    Régionales 2015[29] PS 36,93 LR 22,79 FN 17,59 EELV 9,36 PS 53,16 LR 30,57 FN 16,28 Pas de 4e
    Présidentielle 2017[30] EM 26,34 LFI 22,20 LR 15,19 FN 14,93 EM 75,27 FN 24,73 Pas de 3e ni de 4e
    Législatives 2017[31] LREM 34,67 PS 22,85 LFI 14,88 LR 10,18 LREM 66,20 LR 33,80 Pas de 3e ni de 4e
    Européennes 2019[32] LREM 22,64 RN 17,68 EELV 11,20 PP-PS 10,84 Tour unique
    Municipales 2020 EELV 32,97 SE 27,70 PS 25,81 LREM 13,50 SE 35,68 EELV 33,18 PS 23,31 LREM 7,75

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[33].

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué trois fleurs à la commune[34].

    Jumelages

     Stein (Allemagne) depuis 1991

    Équipements et services publics

    Enseignement primaire et secondaire

    La ville dispose de quatre écoles maternelles publiques, de six écoles primaires publiques, de deux collèges publics (Jules-Marouzeau, Martin-Nadaud) et de deux lycées publics (Jean-Favard, Pierre-Bourdan)[35].

    Une école primaire privée (Notre-Dame) est aussi présente dans la commune. Le collège-lycée privé Notre-Dame a fermé en 2014[36].

    Enseignement supérieur

    L'enseignement supérieur à Guéret est composé de :

    • BTS négociation relation client (NRC) et BTS PME-PMI, au lycée Pierre-Bourdan ;
    • BTS conception et réalisation de systèmes automatiques (CRSA) et BTS domotique, au lycée Jean-Favard ;
    • BTS attaché commercial Négoventis en alternance et la licence responsable développement commercial Négoventis en alternance, à la chambre de commerce et d'industrie (CCI) ;
    • DUT carrières sociales ;
    • licence professionnelle autonomie et domotique et licence professionnelle contrôle technique de l'immobilier, santé et sécurité de l'habitat (CTI) ;
    • master domotique ;
    • master économie sociale et solidaire ;
    • école supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE)[35] ;
    • institut de formation en soins infirmiers (IFSI)[35].

    Santé

    Le centre hospitalier de Guéret, a (en 2018) une capacité de 509 lits et places dont[37] :

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 12 734 habitants[Note 5], en diminution de 3,11 % par rapport à 2013 (Creuse : −3,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 3793 1253 4344 0143 9214 7964 8495 4045 033
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5 1505 1395 1365 7255 8596 7497 0657 7997 457
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8 0838 0588 2817 9637 9847 8908 78910 19210 131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    11 38412 84914 85515 72014 70614 12313 78913 56313 275
    2019 - - - - - - - -
    12 734--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (25,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,1 % la même année, alors qu'il est de 38,4 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 5 900 hommes pour 6 989 femmes, soit un taux de 54,22 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,47 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    2,6 
    7,4 
    75-89 ans
    12,6 
    20,0 
    60-74 ans
    20,3 
    19,3 
    45-59 ans
    20,6 
    17,7 
    30-44 ans
    14,9 
    20,4 
    15-29 ans
    16,7 
    14,6 
    0-14 ans
    12,2 
    Pyramide des âges du département de la Creuse en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3 
    90 ou +
    3,4 
    10,5 
    75-89 ans
    14,8 
    23,9 
    60-74 ans
    22,8 
    22 
    45-59 ans
    20,8 
    15 
    30-44 ans
    14 
    13,5 
    15-29 ans
    11,2 
    13,8 
    0-14 ans
    12,9 

    Dans Guéret

    • Le conservatoire à rayonnement départemental (CRD) Émile-Goué de Guéret qui forme les jeunes musiciens jusqu'au diplôme d'études musicales (DEM) en cordes, bois, cuivres, piano, orgue, clavecin, percussion, chant, guitare, accordéons diatonique et chromatique, vielle à roue, cornemuse et formation musicale, et organise régulièrement des concerts de très grande qualité dans son auditorium ainsi que dans tout le département ;
    • Un cinéma de cinq salles dont une équipée pour la 3D ; la gestion en est assurée par une association en affermage avec la ville de Guéret[43] ;
    • La Fabrique[44] présente des spectacles de danse, théâtre, musique, lecture et culture urbaine ;
    • Une bibliothèque multimédia intercommunale (BMI) ou médiathèque, avec un auditorium, des ordinateurs en libre-service et un large choix de livres, de DVD… ;
      L'étang de Courtille , été 2020
    • Une boîte de nuit
    • Les Nuits d'été de Guéret : plusieurs concerts sont organisés sur les places Varillas, du Marché ou Bonnyaud.
    • Chaque année, une grande soirée sur la plage de la Courtille, organisée par l'association Adasmusic, réunit parfois plus de 4 000 personnes.

    Autour de Guéret

    Sports et loisirs

    • Piscine municipale avec un bassin de 25 m et un plus petit avec jacuzzi, douche massante et toboggan pour enfants ;
    • Entente sportive guérétoise (ES Guéret), club de football local ;
    • Rugby club guérétois Creuse a longtemps joué en deuxième division et a même perdu le match décisif pour la montée en première division contre le Stade nantais en 1959[47] ;
    • Les Wolves : club de baseball guéretois[48].

    Cultes

    Catholicisme :

    • Église Saint-Pierre et Saint-Paul.
    • Paroisse Saint-Pardoux.

    Protestantisme :

    Islam :

    • Mosquée Masjid Al taqwa

    Presse locale

    Radios locales

    Télévision

    Le site d'émission de Saint-Léger-le-Guérétois, détenu par l'opérateur TDF, permet de diffuser les chaînes de la TNT, parmi lesquelles France 3 Limousin, pour toute la Creuse[55]. Télim TV, la chaîne locale privée de la région a arrêté ses émissions le à la suite de difficultés financières[56]. Elle diffusait ses programmes sur les trois départements de l'ancienne région Limousin.

    Économie

    Généralités

    Quai de la gare.
    • Guéret est aussi le siège départemental de nombreuses banques et assurances (Crédit mutuel, Assurance maladie, Groupama…) ;
    • Les principaux employeurs de la ville sont l'hôpital, la mairie, les entreprises Sauthon Industries (création-décoration de chambres de bébés) et A.M.I.S. (Groupe SIFCOR, production de pièces de voitures)…
    • L'aérodrome de Montluçon Guéret se trouve à Lépaud ;
    • La gare de Guéret.

    Plusieurs grands projets y ont été portés à terme, notamment la bibliothèque multimédia du Grand Guéret (dite BMI), la rénovation de la salle polyvalente devenue espace André-Lejeune, le conservatoire départemental Émile-Goué, le centre de secours principal de Guéret, l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) Anna-Quinquaud, l'hôpital de jour (annexe du centre hospitalier spécialisé La Valette) et, plus récemment, le centre de loisirs sans hébergement (CLSH) du quartier de Jouhet.

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 408 , ce qui plaçait Guéret au 27 913e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[57].

    En 2012, 58,1 % des ménages fiscaux étaient imposables[58].

    Emploi

    Le taux de chômage pour la commune, en 2013, s'élève à 15,9 %[58], un chiffre nettement supérieur aux moyennes départementale (12,3 %)[59] et nationale (10,4 %)[60].

    Culture et patrimoine

    La place Bonnyaud

    La fête de la Trinité place Bonnyaud.
    • La fête foraine dite « de la Trinité » sur la place Bonnyaud ;
    • L’hôtel de ville ;
    • La fontaine des Trois-Grâces (en bas à gauche sur la photo) ;
    • Le palais de justice (à droite sur la photo) ;
    • Les locaux de la poste (en haut à droite) ;
    • La cour et une partie de l'école Roger-Cerclier (derrière l'hôtel de ville) ;
    • L'esplanade François-Mitterrand (devant l'hôtel de ville) ;
    • Les toits et une partie de l'office de tourisme de la Creuse (en bas à droite).

    Guéret possède deux monuments historiques[61] :

    • l'hôtel des Moneyroux[62] (appelé aussi mais à tort « château des comtes de la Marche »[62], aucun comte n'ayant jamais résidé à Guéret). Cette bâtisse de style gothique flamboyant fut construite au XVe siècle par Antoine Allard, seigneur de Moneyroux et trésorier du comté de la Marche. C'est aujourd'hui le siège du conseil général de la Creuse. On peut le visiter lors des journées du patrimoine. L'hôtel est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du , à l'exception des éléments suivants : les façades et toitures depuis l'escalier circulaire à l'est, la chapelle des Pénitents, les salles et les cheminées de l'ancien donjon et l'escalier sur plan carré de l'aile ouest qui sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du [62] ;
    • le Présidial du XVIIe siècle[63]. Les parties du XVIIe siècle (portail sur la place du Marché, façades en retour d'équerre en granit et décorées de pilastres et cartouches, escalier en pierre et salle au rez-de-chaussée de l'aile en avancée) sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [63].

    La ville abrite d'autres lieux notables.

    • Le musée de la Sénatorerie, musée d'art et d'archéologie, avec différents départements : sciences naturelles, armes, tapisseries, sculpture, peinture, émaux, pièces archéologiques… En partie édifié au XVIIIe siècle, l'hôtel de la Sénatorerie servait de résidence aux sénateurs sous Napoléon. Dès 1832, la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, l'une des plus vieilles sociétés savantes de France, y réunit des collections d'histoire naturelle et d'œuvres d'art. En 1907, l'hôtel de la Sénatorerie devient un musée, entouré d'un parc aux arbres centenaires[64] ;
    • Le monument aux morts d'inspiration pacifiste a été inauguré le . Jean Lagrue en est l'architecte. La sculpture, représentant une pleureuse[65] est du Limougeaud Henri Coutheillas (1862-1928)[66] ;
    • Le théâtre à l'italienne, joyau architectural construit en 1837, rénové en 1928 et devenu salle de cinéma en 1932 jusqu'au , date de sa fermeture[67].

    Édifices religieux

    Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
    • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, rue de l'Église ;
    • La chapelle Notre-Dame du collège Notre-Dame, allée du Chanoine-Plazanet ;
    • La chapelle de la Providence, rue de la Sénatorerie ;
    • La chapelle Saint-Sylvain (conseil général), place Louis-Lacrocq ;
    • La chapelle du cimetière de Chandonnet, rue de la Madeleine ;
    • La chapelle du cimetière des pénitents de Chandonnet, rue des Chrysanthèmes ;
    • La chapelle, place de Maindigour, à Maindigour ;
    • La chapelle du lycée Pierre-Bourdon, place Molière ;
    • L'église évangélique, place Bonnyaud ;
    • La salle du royaume des témoins de Jehovah, rue de Beauregard.

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'azur à la forêt de sinople sur une terrasse du même, au cerf passant d'or brochant sur le tout.
    Il s'agit d'armes à enquerre, c'est-à-dire non conformes la règle héraldique d'alternance des émaux et métaux.


    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Notes

      Références

      1. (oc) « Garait / Guéret ; entrée du Diccionari deus noms pròpis (Dictionnaire des noms propores et toponymes en occitan) », sur http://dicesp.locongres.com/ ; Diccionari deus noms pròpis sur le site du Congrès permanent de la lenga occitana (Congrès permanent de la langue occitane), .
      2. « Fiche du Poste 23096001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
      3. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. I, Genève, Librairie Droz, , 1871 p. (présentation en ligne), p. 345.
      4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, , 2e éd., 738 p. (présentation en ligne), p. 336.
      5. Étymologie du mot « guéret ».
      6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      9. « Unité urbaine 2020 de Guéret », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
      12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      15. (en) « Commune Guéret - Commune ou arrondissement municipal - SIG Politique de la Ville », sur sig.ville.gouv.fr (consulté le ).
      16. « Guéret- Carte plan hotel ville de Guéret 23000 », sur www.cartesfrance.fr (consulté le ).
      17. Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris, Gallimard, coll. « Folio », , 1076 p. (ISBN 978-2-07-035971-4, présentation en ligne), p. 108.
      18. Jean Nicolas, p. 161.
      19. Jean Nicolas, p. 111.
      20. Inauguration de la plaque commémorative.
      21. Bernard Moreau, Marianne bâillonnée : les républicains de l’Indre et le coup d’État du 2 décembre 1851, Chaillac, Points d’Æncrage, , 109 p. (ISBN 2-911853-05-9), p. 11.
      22. MemorialGenWeb.org - Maisonnisses : monument commémoratif du bois Thouraud.
      23. Ordre de la libération.
      24. Fabien CONORD, « . Mobilisation paysanne et relais politiques : le Comité de Guéret (1953-1974) In : Sociabilité et politique en milieu rural », books.openedition.org, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 9782753530669, lire en ligne).
      25. Réunionnais de la Creuse.
      26. « Guéret (23000) : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur L'Express (consulté le ).
      27. « Guéret (23000)  : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le ).
      28. « Résultats des élections européennes 2014 ».
      29. « Résultats des élections régionales 2015 ».
      30. « Résultats de l'élection présidentielle 2017 ».
      31. « Résultats des élections législatives 2017 ».
      32. « Résultats des élections européennes 2019 ».
      33. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Guéret, consultée le 26 octobre 2017
      34. Site des villes et villages fleuris, consulté le 30 janvier 2021.
      35. Michel Kinet, « Ville de Guéret - Ecoles, collèges, lycées », sur www.ville-gueret.fr (consulté le ).
      36. « Fermeture du collège et du lycée Notre-Dame à Guéret à la prochaine rentrée scolaire - France 3 Limousin » (consulté le ).
      37. « Centre Hospitalier de GUERET (Guéret) – Fédération Hospitalière de France (FHF) », sur etablissements.fhf.fr (consulté le ).
      38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guéret (23096) », (consulté le ).
      42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Creuse (23) », (consulté le ).
      43. Le Sénéchal.
      44. « La Fabrique/Scène conventionnée de Guéret », sur www.lafabrique-gueret.fr/ (consulté le ).
      45. Labyrinthe Géant des Monts de Guéret, site officiel.
      46. Loups de Chabrières, parc animalier des Monts de Guéret.
      47. Site du Rugby club de Guéret.
      48. « Les Wolves - Baseball club de Guéret : site officiel du club de baseball de Saint-Léger-le-Guérétois - clubeo », sur wolves-gueret.clubeo.com (consulté le ).
      49. Fiche de Magic la Radio sur SchooP
      50. Elle a racheté la radio Tempo, basée à Henvic, en 2013.
      51. Fiche de RCF Email Limousin sur SchooP
      52. Fiche d'RPG sur SchooP
      53. Fiche de Virgin Radio Limousin sur SchooP
      54. Fiche de Virgin Radio Brive sur SchooP
      55. Emetteurs TNT dans la Creuse
      56. François Clapeau, Télim TV c'est terminé sur francetvinfo.fr
      57. « Revenus fiscaux localisés des ménages-Année 2010 », sur site de l'Insee, (consulté le ).
      58. « Insee - Chiffres clés : Commune de Guéret (23096) », sur www.insee.fr (consulté le ).
      59. « Insee - Chiffres clés : Département de La Creuse (23) », sur www.insee.fr (consulté le ).
      60. « Insee - Bases de données - Données locales », sur www.statistiques-locales.insee.fr (consulté le ).
      61. « Liste des monuments historiques de la commune de Guéret », base Mérimée, ministère français de la Culture.
      62. « Hôtel des Moneyroux », notice no PA00100086, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      63. « Présidial », notice no PA00100087, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      64. Le musée de la Sénatorerie.
      65. Guéret : photo du monument aux morts.
      66. « Henri Coutheillas et le monument aux morts de Guéret », sur histoire-gueret.fr.
      67. L'association Masquarades, créée en juillet 2014, œuvre pour sa sauvegarde, sa restauration et son exploitation.

      Voir aussi

      Bibliographie

      • Guy Avizou, Une Histoire de Guérêt, Les Ardents Éditeurs, 2011. (ISBN 978-2-917032-25-1).
      • Maurice Favone, Histoire de la Marche, Dorbon aîné éditeur,
      • Vincent Noyoux, Tour de France des villes incomprises, Paris, Editions du Trésor,

      Articles connexes

      Liens externes

      • Portail des communes de France
      • Portail de la Creuse
      • Portail du Massif central
      Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.