Seyssins

Seyssins est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Seyssins

La mairie de Seyssins en août 2020.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Grenoble-Alpes Métropole
Maire
Mandat
Fabrice Hugelé
2020-2026
Code postal 38180
Code commune 38486
Démographie
Population
municipale
7 827 hab. (2019 )
Densité 978 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 09′ 46″ nord, 5° 41′ 09″ est
Altitude Min. 219 m
Max. 1 897 m
Superficie km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Grenoble
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Fontaine-Seyssinet
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Seyssins
Géolocalisation sur la carte : France
Seyssins
Géolocalisation sur la carte : Isère
Seyssins
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Seyssins
Liens
Site web mairie-seyssins.fr

    La commune, qui se situe dans l'aire urbaine de Grenoble, est adhérente de la métropole Grenoble-Alpes Métropole depuis la création de cette communauté d'agglomération. À la suite d'un nouveau découpage territorial mis en application à l'occasion des élections départementales de 2015, le territoire de la commune est rattaché au canton de Fontaine-Seyssinet. Ses habitants sont appelés les Seyssinois(es)[1].

    Géographie

    Situation et description

    La commune de Seyssins est située au flanc du massif du Vercors, donnant sur Grenoble. Une partie de Seyssins est située dans la plaine à l'ouest du Drac, alors qu'une autre est située dans le bas de la montée menant à Saint-Nizier-du-Moucherotte, situé à 1 162 m d'altitude.

    Le centre de Seyssins (hôtel de Ville) est situé, par la route, à environ km du centre de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, 108 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, 95 km de Valence, 312 km de Marseille et 578 km de Paris[2].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    La commune de Seyssins est séparée de Grenoble et d'Échirolles par le Drac à l'est (avec une légère incursion du territoire en rive droite du Drac, sur la zone commerciale de Comboire). Elle est bordée au nord par la commune de Seyssinet-Pariset et au sud par la commune de Claix (hameau de Cossey). À l'ouest, Seyssins est située au flanc du massif du Vercors, sur la face est du Moucherotte, et se trouve en contact plus lointain avec les communes du plateau.

    Climat

    Le climat des communes du bassin Grenoblois se situe entre le climat océanique et le climat continental, avec une légère influence méditerranéenne, ce qui entraîne des étés assez chauds mais plutôt humides. Le bassin grenoblois comporte un bon ensoleillement (2100 heures par an) mais des précipitations généralement abondantes (entre 900 et 1 000 mm par an).

    L'amplitude thermique annuelle est une des plus élevées de France, avec 19 °C d'écart entre janvier et juillet. Les montagnes environnantes particularisent beaucoup le climat car elles impliquent un effet de cuvette avec des chaleurs quelquefois torrides, l'été, et un froid assez important, l'hiver. D'autres phénomènes liés aux vents tels que l'effet de foehn sont également bien connus dans la région.

    Hydrographie

    Le territoire communal est sillonné de plusieurs cours d'eau : une rivière (le Drac) au débit torrentiel et quelques rus ou ruisseaux (ruisseau du Bessay, ruisseau de Cossey) qui sont tous ses affluents.

    Le Drac, principal affluent de l'Isère, traverse la partie orientale de la commune et est en fait la "limite naturelle" de la commune à l'est. Cette rivière, parfois qualifiée de torrent, naît dans le Champsaur, dans le département des Hautes-Alpes à un peu plus de 2 000 mètres d'altitude et finit par se jeter dans l'Isère, à la limite nord du territoire de la commune voisine de Fontaine[3].

    Voies de communication

    carte de l'échangeur du Rondeau. Le territoire de Seyssins se situe dans la partie gauche

    Située dans l’agglomération grenobloise, le territoire de Seyssins se situe à un point de convergence de plusieurs lignes routières et autoroutières, notamment en raison de sa proximité avec l'échangeur entre l'A480 et la Rocade Sud.

    L'autoroute A480 (rocade ouest de Grenoble), autoroute urbaine totalement gratuite desservant l'ouest de l'agglomération de Grenoble sur une distance de 12,5 km possède une sortie vers Seyssins à la hauteur de l'échangeur du Rondeau par l'intermédiaire du pont du Rondeau.

    •  5b : Seyssins, Seyssinet-Pariset Z.I.

    La Rocade Sud, nom donné à la RN 87 contourne la ville de Grenoble du sud-ouest au nord-est sous une forme autoroutière. D'une longueur de 10,5 km, elle relie la ville de Seyssins et l'A480 à l'ouest à l'A41 au nord-est.

    En septembre 2016, Christophe Ferrari obtient un accord historique sur l'aménagement de l'A480, qui passera à deux fois trois voies en 2022 entre l'échangeur du Rondeau et sa connexion avec l'autoroute A48 au niveau de St Egrève[4]. Le réaménagement de l'échangeur du Rondeau pour un montant de 80 millions d'euros faisant partie de l'accord.

    Le territoire communal est traversé par plusieurs routes secondaires

    • la RD6, petite rocade de contournement du bas-Seyssins qui relie le Rondeau à Seyssinet-Pariset.
    • la RD106 permet de relier le centre du village ancien à la commune de Lans-en-Vercors, au nord-ouest et la commune de Fontaine, au nord-est.
    • la RD106d permet de relier le centre du village ancien à la commune de Claix.

    Transports

    Le tramway de la ligne C à son terminus de Seyssins

    Le territoire communal est traversé par plusieurs lignes de bus et une ligne de tramway du réseau de Transports de l'agglomération grenobloise qui la relie avec les autres communes de l'agglomération grenobloise.

    La ligne C du tramway de Grenoble relie la commune de Seyssins à celles de Saint-Martin-d'Hères et Gières sur 9,4 km de long. Cette ligne traverse une grande partie de la commune dans une direction est-ouest. Elle permet notamment de relier Seyssinet-Pariset avec Grenoble et son hôtel de ville, la bibliothèque d'étude de Grenoble et le Stade des Alpes, après avoir franchi le pont de Catane.

    La ville héberge également un espace de stationnement mis à la disposition des usagers des transports en commun de la SEMITAG et dénommé « Parking-Relais »[5]

    P+R Seyssinet-Pariset Hôtel de Ville Seyssins 120 places CC62149

    Urbanisme

    Typologie

    Seyssins est une commune mi-urbaine et mi forestière en raison de sa partie haute, non urbanisée, et en grande partie constituée de forêts. Elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 49 communes[9] et 450 501 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (44 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,3 %), zones urbanisées (26,8 %), prairies (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), eaux continentales[Note 3] (3,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits et écarts

    La commune est composée de quatre quartiers. Le village, le centre, la plaine et enfin Pré Nouvel situé sur les rochers de Comboire, à la limite avec Claix et dont l'urbanisation a démarré en 2013.

    Risques sismiques

    Le territoire de Seyssins est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme l'ensemble des territoires des communes de l'agglomération grenobloise[15].

    Terminologie des zones sismiques[16]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Autres risques naturels

    Seyssins est une des trente-sept communes du département de l'Isère classée pour le risque incendie de forêt[17].

    Toponymie

    Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Seyssins doit son origine au terme latin « Saxeus » qui signifie rocher[18].

    Histoire

    Moyen Âge et Temps modernes

    Seyssins fut jusqu'à une période récente un petit village adossé aux derniers contreforts du massif du Vercors à l'abri des crues dévastatrices du Drac, affluent de l'Isère. Le village n'a connu son agrandissement, au niveau de la plaine, qu'après l'endiguement de cet important torrent alpin (au XVII°) avec la construction d'une digue.

    En 1753, le village et la région de Grenoble connaissent le premier tremblement de terre dont l'histoire ait gardé trace[19].

    Époque contemporaine

    Ancien tramway à Seyssins.

    Entre 1790 et 1794, la commune de Seyssins absorbe les communes éphémères de Mont-Rigaud[20] et Roux-de-Commiers[21].

    • Jusqu'à l'empire de Napoleon III, le territoire communal s' étendait sur la rive droite du Drac, jusqu' à l'actuelle place Hubert Dubedout à Grenoble au nord et à Eybens et Pont de Claix au sud, englobant le village d'Echirolles, le lieu dit du Rondeau et une grande partie des quartiers actuels de Chorrier - Berriat sur Grenoble, avant la création de la commune d'Echirolles, et l’intégration du Rondeau, à la commune de Grenoble (à l' époque site totalement rural, où se trouvaient des bâtiments religieux, comme le couvent de la Rédemption, démoli en 1974, et le petit séminaire du Rondeau, devenu Lycée Vaucanson, dans les années 1920).

    Seyssins fut de 1920 à 1950, le terminus de l'une des lignes de l'ancien tramway de Grenoble.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Fabrice Hugelé, actuel maire de Seyssins, ici au départ de la première étape du Critérium du Dauphiné 2012.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 juin 1995 Michel Segaert CDP-DVD  
    juin 1995 mars 2010 Didier Migaud PS Député (1988-2010)
    Conseiller général (1988-2001)
    mars 2010 2012 Michel Baffert PS  
    2012 En cours Fabrice Hugelé PS puis
    DVD-LREM
    Cadre supérieur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La ville a été jumelée jusqu'en 2021 avec une autre ville de l'Union européenne :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2019, la commune comptait 7 827 habitants[Note 4], en augmentation de 12,7 % par rapport à 2013 (Isère : +2,9 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6696237247688339141 1961 1621 387
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3742 238659654675669700641605
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    566577540502528532513500762
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0071 5733 9115 0217 0286 8506 8616 8877 352
    2019 - - - - - - - -
    7 827--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Festivités et animations

    • Salon des vins organisé par l'association Vins en fêtes de la vallée du Rhône, en février à la salle le Prisme.
    • Salon de minéralogie à l'initiative du club dauphinois de minéralogie et de paléontologie[27] le dernier week-end de septembre à la salle le Prisme.
    • Kermesse du sou des écoles, en juin dans le parc François-Mitterrand.

    Rugby à XV

    Le Rugby club de Seyssins évolue en Fédérale 3

    Équipements culturels

    • La salle du prisme
    Le Prisme est une salle modulable, accessible aux personnes à mobilité réduite et permettant l’accueil de 960 personnes en configuration salle de spectacle. Elle permet également l'accueil d'expositions, de foires et des séminaires [28].

    Parcours de golf

    Dénommée Golf Bluegreen Grenoble Seyssins, cette installation est constituée d'un parcours de neuf trous[29].

    Médias

    Historiquement, le quotidien régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble-Isère Sud, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales.

    Économie

    La commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[30].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin de Seyssins.

    Patrimoine civil

    • Le château Le Harivel du Rocher, hôtel de ville depuis 1985.
    • Le monument aux morts communal : C'est en 1920, au lendemain de la Première Guerre mondiale, que le conseil municipal de Seyssins a pris la décision d'ériger un monument aux morts, pour huit cent mille francs de l'époque. C'est pendant l'après-midi du 2 juillet 1921 qu'est inauguré le monument : les 28 noms gravés dans la pierre sont lus pour la première fois. S'ensuivent le discours du secrétaire de mairie de l'époque et celui du maire : Joseph Moutin. Le monument aux morts est situé à côté de l'église Saint-Martin de Seyssins, dans l'ancien cimetière.
    • Motte castrale présumée du Châtelard[31].
    • Plusieurs maisons anciennes, à l'allure noble, selon l'écrivain Éric Tasset, auteur d'un ouvrage sur les châteaux forts de l'Isère, pourraient cacher des maisons fortes, notamment[31] :
      • La Tour Saint-Ange, à l'est de la rue du Bournet, était de propriété de Jean Gauchet au XVIe siècle ;
      • la maison forte du Châtelard ;
      • la Maison Blanche, du début du XVIe siècle ;
      • le château de Montrigaud, au sommet du parc François-Mitterrand, cité en 1368 dans un texte que le roi Charles V adresse à Didier de Sassenage ;
      • le château de la Beaume, situé entre le golf et le collège Marc-Sangnier, au XVIIe siècle appartint au conseiller du roi Raymond Espeautre ;
      • le Castel Monjoie, de la famille Perrachon en 1638.
    • Le château de Seyssins, dit La Bâtie, disparu, cité dans l'enquête delphinale de 1339 et propriété de Didier de Sassenage en 1522, se trouvait en amont du village[31].
    • Maison forte de Comba, située sur la butte au lieu-dit de Comba et aujourd'hui disparue, est citée dans l'enquête delphinale de 1339[31].
    • Maison forte aux Trois Tours, du XIIIe ou XIVe siècle, appelée aussi maison des Trois-Tours, la Bâtie, château Ponnat et château du Grand-Près[31].
    • Maison ou Bâtie d'Argout, cité en 1520[31].
    • Ancien prieuré bénédictin ou maison du Priou[31].
    • Maison de la Colombière, dans le quartier des Charrières, propriété de Saint-André de Grenoble au XVIe siècle[31].
    • Maison dite du Parlement, de la famille Collonge au XVIe siècle[31].
    • Maison de la Croix de la Baume, rue Joseph-Moutin, qui présente une tourelle d'escalier[31].

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Martin : église de style roman construite entre le IXe siècle et le XIIe siècle, de plan basilical et dont les chapiteaux des colonnes de la nef sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 9 septembre 1908[32].

    Patrimoine naturel

    Seyssins dans les arts

    Chemin près de Seyssins, tableau de Jean Achard.

    Le village est représenté sur une peinture de l'artiste dauphinois Jean Achard.

    Espaces verts et fleurissement

    En mars 2017, la commune confirme le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[33].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules semé de fleurs de lys d'or, à la bande d'argent brochante[35].
    Devise
    « Plutôt avec le cœur, qu'avec les armes ».
    Détails
    Armes de la famille Alleman.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site les habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 3 août 2019
    2. Site annuaire-mairie.fr, page "Distances des grandes villes avec Seyssins", consulté le 3 août 2019
    3. Site de la ville de Fontaine / page sur le Drac.
    4. « Rondeau/A480 : la fin des bouchons ? », sur www.ledauphine.com (consulté le ).
    5. Site Grenoble Tourisme, page sur le Praking relais de Seyssins, consulté le 3 août 2019
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Grenoble », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    16. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    17. Site isere.gouv.fr page sur les arrêtés préfectoraux du 02 juillet 2007.
    18. Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Planck, (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 53
    19. Fontaine au temps jadis de Serge Echalon et Jean Escalon, page 171
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Mont Rigaud », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Roux-de-Commiers », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    22. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Cdmp
    28. Site Grenoble-Tourisme, page sur le prisme, consulté le 4 août 2019
    29. Site bluegrren, page sur le Golf Bluegreen de Grenoble Seyssins, consulté le 3 août 2019
    30. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
    31. Éric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 553-560.
    32. « Eglise », notice no PA00117288, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    34. Guy Allard, Dictionnaire historique, chronologique, géographique, héraldique, juridique, politique et botanographique du Dauphiné : Manuscrit original de 1684 publié par H. Gariel, t. deuxième : L - Z, Grenoble, (lire en ligne), p. 630.
    35. « 34486 Seyssins (Isère) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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