Reynès
Reynès est une commune française, située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Les habitants de Reynès sont appelés les Reynésiens, Reinesencs.
Reynès | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Vallespir | ||||
Maire Mandat |
Guy Gatounes 2020-2026 |
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Code postal | 66400 | ||||
Code commune | 66160 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Reynésiens, Reynésiennes | ||||
Population municipale |
1 255 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 28′ 34″ nord, 2° 42′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 132 m Max. 1 440 m |
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Superficie | 27,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Céret (banlieue) |
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Aire d'attraction | Céret (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Canigou | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Reynès est une commune rurale qui compte 1 255 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Céret et fait partie de l'aire d'attraction de Céret. Ses habitants sont appelés les Reynésiens ou Reynésiennes.
Géographie
Localisation
La commune de Reynès se trouve dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[I 1]. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tech, l'Ample, la Palmère, le Mondony, la rivière de Calsan, la rivière de Reynès, la rivière de Vaillère et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Tech ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 4 km de Céret[2], sous-préfecture, et à 3 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Céret[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Amélie-les-Bains-Palalda (3,0 km), Céret (3,8 km), Montbolo (4,5 km), Arles-sur-Tech (6,4 km), Taillet (6,5 km), Vivès (7,5 km), Oms (7,7 km), Saint-Jean-Pla-de-Corts (8,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Reynès fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[5].
Géologie et relief
Le point culminant de Reynès est le Roc de France.
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[9].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Amelie-les-Bains », sur la commune d'Amélie-les-Bains-Palalda, mise en service en 1977[14]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 15,6 °C et la hauteur de précipitations de 889,6 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 29 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[22], d'une superficie de 1 467 ha, hébergeant le Barbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par le Desman des Pyrénées[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 2[Note 6] sont recensées sur la commune[24] :
Urbanisme
Typologie
Reynès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[I 2],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Céret, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 3] et 13 888 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Céret dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6],[I 7].
La commune compte plusieurs écarts et hameaux (veïnats) :
- le Bourg de Reynès ;
- la Forge (La Farga) ;
- le Pont de Reynès ;
- les Andreuics ;
- la Cabanassa ;
- le Vila (El Vilar) ;
- Mas de Sant Pau et Sant Pau ;
- Buçac ;
- can Borrell
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,1 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), zones urbanisées (3,8 %), cultures permanentes (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Les lignes 530 (Arles-sur-Tech - Gare de Perpignan), 531 (Prats-de-Mollo-la-Preste - Gare de Perpignan) et 532 (Coustouges - Gare de Perpignan) du réseau régional liO desservent la commune.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Reynès est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[31],[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[33].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[34]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[35]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[36].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations et mouvements de terrains[37].
- Carte des zones inondables.
- Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
Risque particulier
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[39].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Reynès est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Notes :
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].
En 2019, la commune comptait 1 255 habitants[Note 9], en diminution de 3,24 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
selon la population municipale des années : | 1968[54] | 1975[54] | 1982[54] | 1990[54] | 1999[54] | 2006[55] | 2009[56] | 2013[57] |
Rang de la commune dans le département | 74 | 79 | 73 | 71 | 68 | 70 | 72 | 69 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale : 22 janvier[58], jour de la saint Vincent. On distribuait pour cette occasion la Brena, un petit pain de seigle en forme de boule[59].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 602 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 325 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 480 €[I 8] (19 350 € dans le département[I 9]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 8,5 % | 9,1 % | 6,9 % |
Département[I 11] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 743 personnes, parmi lesquelles on compte 67,6 % d'actifs (60,7 % ayant un emploi et 6,9 % de chômeurs) et 32,4 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Céret, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 13]. Elle compte 168 emplois en 2018, contre 168 en 2013 et 167 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 465, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,3 %[I 14].
Sur ces 465 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 89 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Secteurs d'activités
93 établissements[Note 12] sont implantés à Reynès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 93 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 4,3 % | (8,7 %) |
Construction | 15 | 16,1 % | (14,3 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 25 | 26,9 % | (30,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 2,2 % | (3 %) |
Activités immobilières | 5 | 5,4 % | (6,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 19 | 20,4 % | (13 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 5 | 5,4 % | (13,9 %) |
Autres activités de services | 18 | 19,4 % | (8,5 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,9 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 93 entreprises implantées à Reynès), contre 30,5 % au niveau départemental[I 18].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[60] :
- MCB, hôtels et hébergement similaire (196 k€)
- Gomez Consulting, activités des sièges sociaux (156 k€)
- Euro Negoce Automobiles, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (121 k€)
- Barcares Presqu Ile SARL, location de logements (17 k€)
- Pierre & Bois, commerces de détail de charbons et combustibles (1 k€)
Agriculture
La commune est dans les « Vallespir et Albères », une petite région agricole située dans le sud du département des Pyrénées-Orientales[61]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 62 | 29 | 23 | 15 |
SAU[Note 15] (ha) | 191 | 96 | 273 | 53 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 62 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 29 en 2000 puis à 23 en 2010[63] et enfin à 15 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 76 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 73 % de ses exploitations[64],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 191 ha en 1988 à 53 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 3 à 4 ha[63].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Les lieux et monuments notables de Reynès sont les suivants[58] :
- L'église paroissiale Saint-Vincent, achevée en 1727 ;
- L'église Saint-Paul du Vila, construite au XVIIe siècle et comportant des vestiges du Xe siècle ;
- L'église Sainte-Marie du Vila, du XIIe siècle et remaniée en 1775 ;
- Église Saint-Julien de Bussac ;
- Le dolmen du Camp de Seris ;
- L'ancien moulin ;
- Le château de Saint-Paul.
- L'ancien pont du 19-Août-1944
- L'église Saint-Vincent
- Chapelle Saint-Paul
- L'église Sainte-Marie du Vila
- L'église Sainte-Marie du Vila
- L'église Sainte-Marie du Vila en infrarouge
- Mairie de Reynès
- Chapelle Saint-Paul en infrarouge (entrée)
- Le nouveau pont en infrarouge
- Stèle à l'entrée du pont du 19-Août-1944
Personnalités liées à la commune
- Gabriel Domenech (1920-1990) : homme politique né à Reynès.
Voir aussi
Bibliographie
- Étienne Roudier (dir.), Château de Reynès. Sondages archéologiques : Rapport Final d’Opération Campagne de sondages Janvier-Février 2018, Acter Archéologie, 72 p. (lire en ligne).
- (ca) Montserrat Cailà Guitart et Jean-Paul Escudero, Història dels noms de Reiners : les arrels d'un poble del Vallespir, Institut d'Estudis Catalans, , 246 p. (ISBN 84-7283-805-6, lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Un site associatif sur Reynès
- Reynès sur le site de l'Institut géographique national
- Plan de prévention des risques naturels de Reynès (lire en ligne)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[62].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Reynès » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Céret » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Céret » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Reynès » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Reynès » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Reynès » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Reynès » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Reynès et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Reynès et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Reynès et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Reynès », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
- Carte IGN sous Géoportail
- Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Reynès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101478 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Reynès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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