Roqueredonde

Roqueredonde (en occitan Tiudaç) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie. C'est une petite commune rurale du nord de l'Hérault, situé sur le plateau de l'Escandorgue, en bordure du plateau du Larzac. Ses habitants sont appelés les Roqueredondais.

Roqueredonde

La mairie de Roqueredonde

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Lodévois et Larzac
Maire
Mandat
Jean Reverbel
2020-2026
Code postal 34650
Code commune 34233
Démographie
Gentilé Roqueredondais
Population
municipale
210 hab. (2019 )
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 05″ nord, 3° 12′ 46″ est
Altitude Min. 453 m
Max. 853 m
Superficie 22,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Roqueredonde
Géolocalisation sur la carte : France
Roqueredonde
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Roqueredonde
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Roqueredonde

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Orb, la Tès, le ruisseau de Tirounan et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Roqueredonde est une commune rurale qui compte 210 habitants en 2019. .

    Temple tibétain Lérab Ling

    Un important temple du bouddhisme tibétain, Lerab Ling, y est situé.

    Géographie

    Carte

    La commune de Roqueredonde se situe dans le nord du département de l'Hérault, à la limite de l'Aveyron, à 16 km au nord-ouest de Lodève et à 70 km au nord-ouest de Montpellier, chef-lieu du département.

    Le territoire communal, accidenté et boisé, est traversé par la haute vallée de l'Orb et ses affluents. Il est constitué en partie du plateau basaltique de l'Escandorgue, qui résulte d'épanchements volcaniques datés entre 2,5 et 1,5 million d'années[1].

    L'habitat est réparti en plusieurs hameaux dispersés dans le territoire communal : Autignaguet, la Borie Noble, Nogaret, le Mas de Grèze, le Mas de Mourié, le Mas Neuf et Roqueredonde situé au centre de la commune.

    Hameau de Nogaret, Roqueredonde.

    Les communications sont assurées principalement par la route départementale D 902 (ex RN 602) qui relie Roqueredonde à Lodève.

    Sur le plan ferroviaire, la ligne des Causses (Béziers - Neussargues-Moissac), ligne à voie unique électrifiée en 1 500 V continu, longe la limite communale ouest. La gare de Ceilhes - Roqueredonde, située à l'extrémité nord-ouest de la commune, est desservie par les services TER Languedoc-Roussillon[2].

    Communes limitrophes

    Paysage depuis Nogaret.

    Hameaux, Lieux-dits

    • Autignaguet ;
    • Nogaret ;
    • La Borie Noble ;
    • Le Moulin de Tirronan ;
    • Les Cabrils.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 290 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Plans », sur la commune des Plans, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 611,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 35 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[17]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[18],[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[20] : le « plateau de Guilhaumard et corniches sud » (4 068 ha), couvrant 5 communes dont trois dans l'Aveyron et deux dans l'Hérault[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[20] : le « massif de l'Escandorgue » (7 245 ha), couvrant 7 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Roqueredonde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,9 %), prairies (21,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune est connue sous les variantes « Roderanicas », « Roqueronde » et « Roquereronde-de-Tieudas »[26],[27].

    Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage (1827)

    Politique et administration

    Le conseil municipal est composé du maire et de dix conseillers dont deux sont adjoints au maire, proportionnellement au nombre d'habitants.

    Roqueredonde appartient au canton de Lunas. Le canton fait partie de la cinquième circonscription de l'Hérault, vaste circonscription qui va du centre de l'Hérault jusqu'aux limites de l'Aude et du Tarn, dont le député est, depuis juin 2002, Kléber Mesquida (PS), maire de Saint-Pons-de-Thomières.

    La commune adhère à la communauté de communes Lodévois et Larzac, qui regroupe vingt six communes majoritairement rurales autour de Lodève, pour une population totale de 13 000 habitants, dont 60 % pour la ville-centre, Lodève.

    Roqueredonde fait partie de la juridiction d’instance de Lodève et de grande instance de Montpellier, ainsi que de commerce de Montpellier[28].

    Les maires de Roqueredonde

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 En cours Jean Reverbel DVD Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2019, la commune comptait 210 habitants[Note 7], en diminution de 10,26 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    305288367335375353339380349
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    307281312313310352354350339
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    311290286224238250179164149
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    136202206196169138161163245
    2015 2019 - - - - - - -
    212210-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 66 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 130 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 380 [I 4] (20 330  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]6,5 %8,2 %6 %
    Département[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 138 personnes, parmi lesquelles on compte 50,8 % d'actifs (44,8 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs) et 49,2 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 59 emplois en 2018, contre 82 en 2013 et 67 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 62, soit un indicateur de concentration d'emploi de 95,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,1 %[I 10].

    Sur ces 62 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 77,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    13 établissements[Note 10] sont implantés à Roqueredonde au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,5 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 13 entreprises implantées à Roqueredonde), contre 6,7 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations121075
    SAU[Note 11] (ha)8781 5241 379963

    La commune est dans le Causses du Larzac, une petite région agricole occupant une partie du nord du département de l'Hérault[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (12 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 963 ha[35],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Le temple Lerab Ling.

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Les armes de Roqueredonde se blasonnent ainsi :
    « de sinople, au pairle losangé d'or et de sable »[38].
    Ces armes ont été enregistrées à la fin du XVIIe siècle dans l'armorial général de France de Charles d'Hozier. Elles appartiennent à une série de blasons au pairle losangé, attribués alors aux paroisses du diocèse de Lodève, qui ne diffèrent entre elles que par la couleur du fond d'écu et des losanges.


    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Roqueredonde » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Roqueredonde » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Roqueredonde » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Roqueredonde » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. La ligne Aubrac-Cap-d'Agde, Les volcans de France, BRGM
    2. Horaires Béziers - Millau -Clermont-Ferrand, SNCF TER Languedoc-Roussillon
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Les Plans - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Roqueredonde et Les Plans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Les Plans - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Roqueredonde et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    18. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    19. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Roqueredonde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « plateau de Guilhaumard et corniches sud » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « massif de l'Escandorgue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Eugène Thomas (1796-1871), Dictionnaire topographique du département de l'Hérault : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXI-278 p., in-4 (BNF 37326793, lire en ligne), p. 257 (consulté le 3 août 2019)
    27. Claude Motte, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire administrative et démographique : Hérault, Paris, Éditions du centre national de la recherche scientifique, , 490 p. (ISBN 2-222-04293-3), p. 364.
    28. Carte des juridictions du département de l'Hérault, ministère de la Justice - Conseil départemental de l'accès au droit de l'Hérault
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    34. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    35. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Roqueredonde - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Eglise paroissiale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    37. Programme de la visite du Dalaï Lama en France
    38. Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, 2004, p. 59
    39. La Borie Noble, l'Arche de Lanza del Vasto
    40. www.arche-nonviolence.eu
    41. Lérab Ling, site officiel

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Association des amis de Lanza del Vasto, Nougaret au fil des âges : notes sur la géologie, la préhistoire et l'histoire de l'Escandorgue, Le Bousquet d’Orb, Association des amis de Lanza del Vasto, , 43 p.
    • Emmanuelle Coulomb, « Résistance non violente et maquis héraultais : la communauté de l'Arche de la Borie Noble », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 30-32, 1999-2001, p. 297-308 (lire en ligne [PDF])

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail de l’Hérault
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.