Rovon

Rovon est une commune française supérieure à Saint Gervais, située géographiquement dans le massif du Vercors, administrativement dans le département de l'Isère et en région Auvergne-Rhône-Alpes, autrefois rattaché au Dauphiné.

Rovon

Le bourg vu depuis la route de Riquettière.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté
Maire
Mandat
Béatrice Genin
2020-2026
Code postal 38470
Code commune 38345
Démographie
Gentilé Rovonnais
Population
municipale
611 hab. (2019 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 12″ nord, 5° 27′ 43″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 1 471 m
Superficie 11,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud Grésivaudan
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rovon
Géolocalisation sur la carte : France
Rovon
Géolocalisation sur la carte : Isère
Rovon
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Rovon
Liens
Site web rovon.sud-gresivaudan.org

    La commune de dimension modeste, essentiellement rurale et agricole, est adhérente à la Communauté de communes de Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté dont le siège est situé à Saint-Marcellin, ainsi qu'au Parc naturel régional du Vercors.

    Selon l'ouvrage de Patrick Ollivier-Elliot dénommé Vercors safari-patrimoine[1], le village fut une place forte durant le Moyen Âge et son châtelain, représentant le Dauphin contrôlait, outre la paroisse de Rovon, les paroisses voisines de Saint Gervais et de Saint-Joseph-la-Rivière rebaptisé sous le nom de La Rivière. Ses habitants se dénomment les Rovonnais[2].

    Géographie

    Plan du territoire de Rovon

    Situation

    La commune est située dans le canton du Sud Grésivaudan au pied nord du massif du Vercors sur la rive gauche de la rivière Isère. Le bourg est par ailleurs surplombé par le Bec de Neurre qui culmine à 1 474 mètres d'altitude.

    Description

    Le bourg ancien s'est édifié en grande partie sur une petite élévation qui borde l'ancienne route royale puis nationale qui va de Grenoble à Valence. Cette partie de vallée abrite de grande noyeraies, la noix étant une spécialité agricole de la région et distribuée sous l'appellation de « noix de Grenoble ».

    Le territoire communal est limité à l'ouest par le cours de l'Isère, au nord par celui de la Drevenne qui s'écoule depuis le site du canyon des Écouges. Le village est donc bordé à l'est par les falaises de la partie septentrionale du massif du Vercors, mais son territoire s'étend au-delà de ces falaises jusqu'au site des Écouges qui forme la partie nord du massif forestier des Coulmes.

    Géologie

    Au niveau de la partie orientale de Rovon, au nord-ouest du rebord du Vercors, des affleurements d'Urgonien émergent des alluvions de l'Isère, au niveau du lit de la rivière, le long de la route nationale. Ces affleurements représentent des repères sur le tracé du prolongement de l'anticlinal du Nan en direction de l'anticlinal de Poliénas.

    Le canyon des Écouges correspond à la sortie de la Drevenne du massif du Vercors. Le torrent franchit la ligne des falaises urgoniennes du flanc oriental de l'anticlinal des Coulmes par une entaille impressionnante par sa hauteur de chute et son étroitesse, connu au niveau touristique sous le nom de canyon des Écouges[3].

    Sites géologiques remarquables

    La « terrasse fluvio-glaciaire du Seuil de Rovon » est un site géologique remarquable de 48,79 hectares qui se trouve sur les communes de Rovon et de Saint-Gervais (aux lieux-dits Pacalière et Pierre-Mouton). En 2014, ce site d'intérêt géomorphologique est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[4].

    Communes limitrophes

    Climat

    La basse vallée de l'Isère à l'instar de la moitié nord-ouest du territoire de l'Isère où se situe le territoire de Rovon est formé de plaines à l'ambiance tempérée, de bas plateaux et de collines assez peu élevées au climat un peu plus rude. Du fait du relief peu accentué, les masses d'air venues du nord et du sud circulent assez aisément. La partie comprise dans le Vercors est soumise aux perturbations atlantiques parvenant par le nord-ouest.

    • Tableau des températures enregistrées en 2017
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) −5,8 1,2 4,6 4,9 10,3 15,8 15,9 15,4 9,5 6,2 1,6 −1,2
    Température maximale moyenne (°C) 2,7 13,6 17,5 19,1 23,6 29,2 28,8 28,6 21,7 20,5 10,2 5,1
    Source : Climat de Rovon en 2017 sur linternaute.com, d'après Météo France.

    Hydrographie

    Saint-Gervais et Rovon à gauche dans la vallée de l'Isère

    Le territoire de la commune est longé par une rivière notable mais aussi sillonné par de nombreux ruisseaux.

    L'Isère, un affluent important en rive gauche du Rhône. Elle prend sa source dans le massif des Alpes, en Savoie. Celle-ci borde le territoire communal au nord et au nord-ouest, ainsi que :

    La Drevenne, affluent de l'Isère est un torrent de 9,3 km de longueur[5] qui prend sa source au Col de Romeyère (1 068 m)sur le territoire de la commune de Rencurel avant de rejoindre l'Isère au nord du territoire de Rovon. Ce cours d'eau marque la limite territoriale de la commune de Rovon avec celle de Saint-Gervais et creuse de profondes gorges dénommées canyon des Écouges entre ces deux communes riveraines. Il compte également deux affluents : la Racleterre est un modeste ruisseau affluent de la Drevenne et un sous affluent de l'Isère et le Ruissant est un modeste ruisseau, affluent de la Drevenne et un sous affluent de l'Isère.

    Voies de communication

    Le village possède dix kilomètres de voirie communale et est traversé par deux routes départementales: D1532 et D35A.

    La route Grenoble-Valence

    L'ancienne route nationale 532 ou « route de Grenoble à Valence » est une route nationale française reliant Saint-Péray (Ardèche) à Grenoble (Isère). Celle-ci travers le territoire communal depuis le nord-est en limite de la commune de Saint-Gervais, vers le sud-ouest, en limite de la commune de Cognin-les-Gorges.

    En 2006, la route nationale 532 a été déclassée dans tout le département de l’Isère en route départementale route départementale 1532 ou « RD 532 ».

    Transport par autocar

    Une ligne du Réseau interurbain de l'Isère dessert la commune :

    • Ligne 5000 : Pont-en-Royans ↔ Grenoble :
    Un arrêt de cette ligne d'autocar est situé sur le territoire de la commune (route de Rovon)[6]
    • vers Grenoble
    • vers Pont-en-Royans.

    Transport ferroviaire

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Vinay de la ligne de Valence à Moirans, desservie par les trains TER Auvergne-Rhône-Alpes, en provenance de Valence-Ville et à destination de Grenoble et de Chambéry-Challes-les-Eaux.

    Urbanisme

    Typologie

    Rovon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), cultures permanentes (7,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), eaux continentales[Note 3] (2,3 %), zones urbanisées (1,6 %), prairies (0,1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Le territoire communal s'étend entre la plaine de l'Isère et les pentes occidentales du massif du Vercors et comprend un petit bourg central, entouré de nombreux hameaux.

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Rovon, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[13].

    • Biot
    • le Mollard
    • Chamounier
    • les Buissières
    • les Rez
    • le Néron
    • la Combe
    • Barat
    • Moiroudière
    • les Rivoires
    • les Gélinières
    • la Baratière
    • les Charrets
    • la Coche
    • le Grand Champ
    • Campelou
    • Pré-clos
    • Chaumartin

    Eau et assainissement

    L'eau et les assainissements du village sont gérés par la communauté de communes "Vercors Isère Communauté" regroupant trois anciens cantons : Vinay, St Marcellin et Pont en Royans.

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Rovon est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart de ses communes voisines, notamment celles du massif du Vercors[14].

    Terminologie des zones sismiques[15]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Toponymie

    Selon André Plank, auteur d'un ouvrage sur l'étymologie des communes de l'Isère, le nom de Rovon dériverait du latin Robur qui désignerait le « chêne rouvre » (Quercus petraea), un arbre connu pour sa robustesse et très répandu en Gaule, puis en France. Il est possible que son nom dérive du fait qu'il s'agissait d'un lieu de récolte des écorces de cet arbre, lesquelles sont très utiles pour procéder au tannage des peaux[16].

    Histoire

    Moyen Âge et Renaissance

    L'histoire de Rovon nous est connue grâce à son château médiéval, propriété de la famille des Rovon qui, faute d'héritiers, le légua aux Dauphins. On sait ainsi que l'évêque Jean de Chissé passa le au château de Rovon à l'occasion d'une grande visite pastorale. En 1477, Étienne du Chatel, alors propriétaire du château, est condamné par le parlement du Dauphiné pour le manque d'entretien et l'état de délabrement du château. C'est dans les années qui suivent que le château est abandonné et que les villageois utilisent ses pierres pour fortifier le village et y construire des habitations. Il ne subsiste, aujourd'hui, plus aucune trace du château médiéval de Rovon.

    L'église de Rovon serait la plus ancienne du canton de Vinay. Elle est déjà citée en 1110 lorsqu'Hugues, évêque de Grenoble, fait rédiger la liste des églises du diocèse[17]. On parle alors d'Ecclesia Rovone. Les premières traces de la construction actuelle remontent à la fin du XVe siècle. Le clocher fut reconstruit en 1670. Il est à noter qu'un rovonnais célèbre, François Morel, avocat au Parlement de Grenoble, fut inhumé sous la nef en 1666.

    La commune de Rovon est connue pour sa carrière de calcaire très pur, l'apparentant au marbre et réputé résister à l'eau de mer. La pierre de Rovon est ainsi exportée vers d'autres régions, notamment afin de servir à des aménagements portuaires. Cette pierre est également utilisée dans la construction de l'église de la Madeleine à Paris[18] (mais cependant, malgré ce que prétend une légende persistante citée par des sources erronées[18], ne constitue pas le socle de la statue de la Liberté à New York, qui est en fait constitué de béton et de granit provenant du Connecticut[19]). De nombreux habitants du village se spécialisèrent dans la taille de la pierre et une voie communale, le Chemin des Tailleurs de Marbre, leur rend hommage aujourd'hui. Un certain Pierre Veysselier, tailleur de pierre, fonda ainsi une famille à Rovon en 1638. La carrière de calcaire cessera son activité en 1914[20].

    Politique et administration

    Administration municipale

    mairie de Rovon

    En 2020, le conseil municipal est composé de quinze membres, dont un maire, trois adjoints au maire et onze conseillers municipaux[21].

    Scrutins locaux

    Les élections de 2014 ont conduit Madame Béatrice Génin à être désignée comme maire de la commune par le nouveau conseil municipal. Celle-ci a été reconduite dans ses fonctions en 2020.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1831 1860 M. Pochin La Bruyère    
    1860 1882 JeanDherbey    
    1882 1884 Félicien Terrot    
    1884 1892 Joseph Michel    
    1892 1895 Pierre Michel    
    1895 1900 Eugène Mazuit    
    1900 1912 Félicien Terrot    
    1912 1919 Joseph Mazuit    
    1919 1929 Henri Drevon    
    1929 1935 Jean Michel    
    1935 1944 Henri Drevon    
    1944 1947 Edouard Repellin    
    1947 1977 Adrien Rambert    
    1977 1978 Henri Meneroud    
    1978 1983 Henri Caitiei    
    1983 2008 M. Claude Dherbey    
    2008 En cours Marie-Béatrice Genin   Cadre de la
    Fonction Publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2019, la commune comptait 611 habitants[Note 4], en augmentation de 1,66 % par rapport à 2013 (Isère : +2,9 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    504521550514560601592633625
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    530605601501507466461440409
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    385374346329344321354332325
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    309262274310424532578591601
    2018 2019 - - - - - - -
    609611-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Rattaché à l'académie de Grenoble (Zone A) village de Rovon possède une école primaire allant du CP au CE1, école qui accueille les enfants de quatre communes (RPI): St Gervais, Malleval, Cognin-les-gorges, Rovon.

    Équipement sanitaire et social

    La commune de Rovon possède un cabinet d’infirmières. L'établissement hospitalier le plus proche de la commune est situé à Vinay.

    Presse écrite

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Cultes

    La communauté catholique et l'église de Rovon (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint-Joseph-des-deux-rives, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[26].

    Économie

    La Noix de Grenoble

    Une noyeraie

    Situé dans l'aire de l'appellation d'origine contrôlée (AOC) et de l'appellation d'origine protégée (AOP dans l'Union Européenne) noix de Grenoble, le village de Rovon comprend un certain nombre de producteurs de noix. Cette culture a cependant été très touchée par la tempête des 7 et , qui a détruit plus de mille noyers dans la région du sud-Grésivaudan[27], mais depuis l'activité a repris et reste la principale activité agricole de la vallée.

    Entreprises et commerces

    Rovon abritait en 2015 un nombre de trentre-trois entreprises, dont treize commerces et entreprises de services aux personnes. Il s'agit d'artisans allant du charpentier à l'électricien, au carreleur ou lié à la réparation automobile [28]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Comme monuments, nous pouvons trouver un monument aux morts de la Première et Seconde Guerre mondiale, un lavoir, l'église paroissiale Saint-Pierre du XIIIe siècle, les vestiges d'une porte médiévale ainsi que les vestiges d'un ancien mur de village fortifié.

    Patrimoine naturel

    Le site du Canyon des Écouges, en lisière du massif du Vercors, est partagé avec la commune de Saint-Gervais.

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    D'or au dauphin d'azur, crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules[29].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Olivier Eliott, Vercors Safari-patrimoine, Édition la Fontaine de Siloé
    2. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 15 octobre 2021.
    3. Site géol alp, page sur Rovon, consulté le 22/07/2018
    4. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Drevenne (W3210500) » (consulté le ).
    6. Site Transisère, fiche horaire de la ligne 5000 en 2018
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Site géoportail, page des cartes IGN
    14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
    15. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
    16. Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Plank, édition L'atelier, 2006, page 168
    17. Frédéric Mérit, « Un château et son bourg castral au Moyen-Âge : Rovon », La Pierre et l'Ecrit, revue d'histoire et du patrimoine en Dauphiné, numéro 25 (2014), , p. 97-123 (ISSN 1248-9166).
    18. Collectif, Histoire des Communes de l'Isère : Arrondissement de Grenoble, Roanne, Horvath, , 518 p. (ISBN 2-7171-0494-1), p. 304-306.
    19. http://www.statue-de-la-liberte.com/Origine-des-pierres-du-socle.php
    20. Collectif, « Zoom sur Rovon », Mensuel Communauté de Communes de Chambaran-Vinay-Vercors, , p. 8.
    21. Site mairie.com, page sur Rovon
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la paroisse Saint-Joseph-des-deux-rives, consulté le 4 juin 2020.
    27. F. Monteiller « La tempête des 7 et 8 novembre 1982 dans la Drôme et l'Isère », Études drômoises, (no)64, mars 1985, p. 40.
    28. Site du journal du net, page sur les entreprises de Rovon
    29. Site de la commune d « Rovon »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Collectif, Histoire des communes de l'Isère, Roanne, Horvath, , 432 p. (ISBN 2-7171-0492-5).

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail de l’Isère
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.