Cournon-d'Auvergne

Cournon-d'Auvergne (en occitan : Cornon[1]) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire urbaine de Clermont-Ferrand.

Pour les articles homonymes, voir Cournon.

Cournon-d'Auvergne

Vue panoramique de la commune
de Cournon-d'Auvergne.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Clermont Auvergne Métropole
Maire
Mandat
François Rage
2020-2026
Code postal 63800
Code commune 63124
Démographie
Gentilé Cournonnais
Population
municipale
20 322 hab. (2019 )
Densité 1 094 hab./km2
Population
agglomération
274 141 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 32″ nord, 3° 11′ 50″ est
Altitude Min. 314 m
Max. 542 m
Superficie 18,58 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Clermont-Ferrand
(banlieue)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cournon-d'Auvergne
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cournon-d'Auvergne
Géolocalisation sur la carte : France
Cournon-d'Auvergne
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Cournon-d'Auvergne
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Cournon-d'Auvergne
Liens
Site web www.cournon-auvergne.fr

    Ses habitants sont appelés les Cournonnais et les Cournonnaises.

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    La ville, contiguë de Clermont-Ferrand, fait partie de la métropole Clermont Auvergne Métropole. Elle est la deuxième ville du Puy-de-Dôme[2] en nombre d'habitants.

    À vol d'oiseau, elle est située à 9,6 kilomètres au sud-est de Clermont-Ferrand[3], à 6,6 km à l'est d'Aubière[4], à 2,3 km au nord du Cendre[5] et à 30,1 km au sud-sud-ouest de Thiers[6].

    Communes limitrophes

    Sept communes jouxtent Cournon-d'Auvergne[7] :

    Communes limitrophes de Cournon-d'Auvergne
    Lempdes Mezel, Dallet
    Aubière
    Orcet Le Cendre Pérignat-sur-Allier

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière Allier, en rive gauche. L'est de la commune, à la frontière avec Mezel, est en zone inondable[8].

    Voies routières

    L'avenue de la Libération (route départementale 8) en 2008.

    Plusieurs routes départementales desservent la commune[7].

    La route départementale 212 est l'un des principaux axes de circulation traversant la ville, reliant Aubière et Clermont-Ferrand à l'ouest, Billom et à Peschadoires, près de Thiers, à l'est. Elle emprunte la route de Clermont puis l'avenue de la République et l'avenue du Pont.

    À l'ouest, la RD 772 dessert les zones industrielles des Acilloux et des Manzats ainsi que la commune du Cendre. Elle croise la RD 137 offrant à la ville un accès à l'autoroute A75, au reste de l'agglomération clermontoise par la sortie 3, ainsi qu'à la Grande Halle d'Auvergne.

    Enfin, les départementales 8, 8a et 52, axes secondaires, relient Lempdes au Cendre.

    Aménagements cyclables

    De nombreux aménagements cyclables arpentent la ville :

    • D 212 vers Pérignat-sur-Allier et Saint-Bonnet-lès-Allier ;
    • avenue de la Libération (chemin séparé et partagé) ;
    • avenue du Midi ;
    • D 52 (boulevards Pasteur, Émile-Roux puis Louis-de-Broglie) et vers Lempdes (chemin séparé et partagé) ;
    • boulevard Charles-de-Gaulle (chemin séparé et partagé) ;
    • Avenue Maréchal-Joffre (sens unique est-ouest) ;
    • Avenue Maréchal-Foch et avenue des Dômes (sens unique ouest-est) ;
    • ancienne D 8 en direction de Lempdes.

    Transport en commun

    La commune est desservie par les bus du réseau de transport urbain T2C. Ici, un bus de la ligne C quittant l'arrêt Oradou Gantière, hors des limites communales de Cournon.

    Quatre lignes du réseau urbain T2C desservent la commune. L'une de ces lignes, la ligne C, est exploitée avec des bus à haut niveau de service ; celle-ci relie Tamaris (Clermont-Ferrand) au quartier des Toulaits par la place Joseph-Gardet et fonctionne tous les jours. Les trois autres lignes desservent d'autres quartiers, mais ne fonctionnent que du lundi au samedi[9] :

    • ligne 22 : Lycée Lafayette – Cournon Pasteur – Cournon Hortensias ;
    • ligne 23 : Lycée Lafayette – Cournon Grande Halle ;
    • ligne 34 : Cournon Lycée Descartes – Le Cendre Route des Martres.

    Les lignes C, 22 et 23 permettent la correspondance, à la station Lycée Lafayette, avec le tramway (ligne A).

    T2C assure des services scolaires entre Lempdes, Le Cendre et le lycée René-Descartes[9]. La commune assure aussi la desserte de ses écoles[CRN 1].

    Aucune ligne régulière du réseau Transdôme ne dessert la commune[10].

    Transport ferroviaire

    À l'ouest de la commune, sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac, les trains express régionaux d'Auvergne desservent la gare SNCF de Sarliève - Cournon, entre Clermont-Ferrand et Vic-le-Comte, voire au-delà de ces gares précitées.

    Urbanisme

    Typologie

    Cournon-d'Auvergne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-Ferrand, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[14] et 274 141 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est classée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Cournon-d'Auvergne est intégrée dans la métropole Clermont Auvergne Métropole.

    Les élus de la commune ont adopté le plan local d'urbanisme le 15 octobre 2003. Celui-ci comprend un rapport de présentation, le projet d'aménagement et de développement durable, des orientations d'aménagement ainsi que des documents graphiques comprenant les différents secteurs qui peuvent être urbanisés[CRN 2].

    Il repose sur quatre objectifs : préservation d'un « cadre environnemental et paysager de qualité », entre les coteaux et la vallée de l'Allier ; création d'un habitat diversifié proche des équipements et des services ; la mise en œuvre d'une politique globale de déplacement ; et le confortement de la vocation économique de la commune[CRN 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (54,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,5 %), zones urbanisées (33 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,6 %), forêts (5,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    La ville est composée des quartiers suivants :

    • Vieux Cournon ;
    • Cournon ZI ;
    • Le Lac ;
    • Les Baladères ;
    • Les Loubatières ;
    • Les Toulaits ;
    • Le Stade ;
    • La Croix Blanche ;
    • Le Cornonet ;
    • Les Vergers ;
    • La Motte ;
    • Le grand ensemble des Neuf Tours (3 tours plus anciennes et 6 autres plus modernes) ;
    • La Fontanille ;
    • La Ribeyre
    • La Poëlade ;
    • Le Grand Mail (2013) ;
    • Le Palavezy (2014).

    Logement

    En 2012, la commune comptait 9 073 logements, contre 8 301 en 2007. Parmi ces logements, 95,2 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 65,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 33,7 % des appartements[INS 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 66,5 %, en baisse sensible par rapport à 2007 (69,3 %). La part de logements HLM loués vides était de 16,5 % (contre 18,1 %)[INS 2].

    Projets d'aménagement

    La ville porte plusieurs projets urbains, tels la création de l'écoquartier du Palavezy ou la construction d'une nouvelle entrée de ville dans le secteur de « la Poëlade ». La ZAC des Toulaits est quant à elle sur le point d'être achevée[CRN 4].

    Le secteur de « la Poëlade », s'étendant sur vingt hectares, étend l'entrée de ville à l'ouest. Le Grand Mail I, dont les travaux ont débuté en 2007, ont permis la construction de 76 logements, l'aménagement « d'une place publique minérale » ainsi qu'un multi-accueil de 39 places. Le Grand Mail II (2009), s'organise autour d'une voie principale et d'une coulée verte ; il mixe les habitats individuel et collectif. Une troisième phase portera sur la création d'un parc urbain de sept hectares[CRN 5].

    Le Palavezy est une zone d'aménagement concerté, de type écoquartier, en cours de réalisation. La concertation s'est tenue en 2011 ; cette ZAC est créée par délibération du conseil municipal du 26 avril 2012[CRN 6].

    Risques naturels et technologiques

    La commune est soumise à plusieurs risques naturels :

    • feu de forêt[20] ;
    • inondation par crue à débordement lent de cours d'eau[20] ;
    • mouvement de terrain[20] par affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines, glissement de terrain (dernier événement en 2004[8]), tassements différentiels, retrait-gonflement des sols argileux à aléa fort[8] ;
    • phénomène lié à l'atmosphère[20] ;
    • phénomènes météorologiques[20] ;
    • séisme[20] : la commune est en zone de sismicité de niveau 3 ou modérée selon la classification probabiliste de 2011[8] ;

    ainsi qu'aux risques technologiques suivants :

    • risque industriel[20] : la commune possède trois établissements classés SEVESO (ANTARGAZ en seuil haut, TOTAL et CALDIC en seuil bas)[8] ;
    • rupture de barrage[20] : la rupture du barrage de Naussac constitue un risque majeur pour la rivière Allier ;
    • transport de matières dangereuses[20] (aléa + risque de rupture de canalisation de gaz naturel[8]).

    Des procédures de plan de prévention des risques ont été approuvées par arrêté préfectoral[8] :

    • PSS Allier approuvé le 17 octobre 1969 ;
    • PER le 14 février 1989 ;
    • PPRi sur la rivière Auzon le 9 mai 2007.

    Toponymie

    On doit à Grégoire de Tours, dans son Histoire des Francs au VIe siècle, les premières attestations de Cournon avec les appellations de Chrononense, Chrononense monasterium, monasterium Chrononensim entre 575 et 594, et Crodomnum. On trouve ensuite les formes suivantes : Cornonensi (1030) Cornonus (1060) de Cornonio (1260) Cornonum (1286-1309) chez Ambroise Tardieu[21], Cornonium en 1392, Cournon en 1401, puis Cornon (1793).

    Nom d'origine gauloise, construit sur krosno- signifiant « excavation » et un suffixe de lieu -one.

    La ville domine un vaste espace marécageux dont l'ancien lac de Sarliève, aujourd'hui asséché, mais qui est à l'origine de ce nom.

    Cournon s'appelle Cournon-d'Auvergne depuis 1919 pour distinguer la ville de son homonyme du Morbihan.

    Histoire

    Époque romaine

    Atelier de poterie antique de Cournon-les Queyriaux

    Le site[22] se trouve sur une haute terrasse alluviale dominant l'Allier par environ 20 m, très proche de la confluence de l'Allier avec le ruisseau l'Auzon. Les ateliers de poterie antique de Lezoux sont à une vingtaine de km au nord-est, celui des Martres-de-Veyre à environ km au sud[23]. La via Agrippa de Lyon à Saintes traverse l'Allier à Cournon[24].

    En 1997, Philippe Bet met au jour des traces de fabrication de poterie : éléments de bâti de four, outils d'enfournement, ratés de cuisson... L'ensemble du site s'étend sur 14 ha ; mais les ateliers n'apparaissent que sur un tiers de cette surface. En 2001, la question reste ouverte sur la nature des installations couvrant les deux autres tiers : dépendances et habitations, bâtiments agricoles ? Contemporains de l'atelier antérieurs ou postérieurs[25] ? Les fragments de sigillée recueillis sont insuffisants pour déterminer une réponse[26].

    Moyen-Âge

    Le centre-ville de la cité chef-lieu est clairement marqué par son passé viticole. Très en pente, il a été fortifié au XIIIe siècle, quelques vestiges en ont été conservés (porte de la ville avec une tour carrée). S'y trouve aussi une église romane : l'église Saint-Martin.

    Dans la carte de Cassini (vers 1777) et dans la carte d'état-major, la commune s'appelait « Cournon ».

    Politique et administration

    Élections nationales

    Aux élections présidentielles, la droite recueille la majorité des suffrages exprimés en 2002 (88,25 % des voix pour Jacques Chirac, contre 11,75 % pour Jean-Marie Le Pen[MIN 1]) ; la gauche l'emporte en 2007, avec 55,99 % pour Ségolène Royal[MIN 2] battue par Nicolas Sarkozy et en 2012 avec la victoire de François Hollande et 62,25 % des suffrages exprimés dans la commune[MIN 3], ce dernier étant alors élu président de la République. Moins d'un électeur sur six s'est abstenu, avec des taux de participation respectifs de 83,68 %[MIN 1], 88,94 %[MIN 2] et 87,08 %[MIN 3].

    Lors des trois dernières élections législatives, Alain Néri a été élu au second tour en 2002 avec 56,72 % des voix dans la commune[MIN 4] et en 2007 avec 60,88 %[MIN 5]. En 2012, Odile Saugues obtient 67,55 % des voix[MIN 6]. Les taux de participation sont respectivement de 62,01 %[MIN 4], 61,14 %[MIN 5] et 56,36 %[MIN 6]. Le canton de Cournon-d'Auvergne fut concerné par le redécoupage des circonscriptions législatives de 2010, en basculant de la deuxième à la première circonscription du département.

    Aux élections européennes, les taux de participation sont inférieurs à 50 % en 2004[MIN 7], 2009[MIN 8] et 2014[MIN 9]. En 2004, les deux meilleurs scores sont détenus par Catherine Guy-Quint (44,45 %) et Brice Hortefeux (18,63 %) et [MIN 7] ; en 2009 : Henri Weber (24,82 %) et Jean-Pierre Audy (23,78 %)[MIN 8] ; en 2014, la liste Union de la gauche (21,60 %) suivie de la liste FN (19,15 %)[MIN 9].

    Élections locales

    Aux élections régionales de 2004, Pierre-Joël Bonté obtient 57,55 % des voix. Le taux de participation s'élève à 69,80 %[MIN 10]. En 2010, René Souchon obtient 67,77 % des voix, avec un taux de participation plus faible (56,82 %)[MIN 11]. En décembre 2015, la liste de Jean-Jack Queyranne obtient 44,27 % des voix, alors qu'au premier tour, celle de Laurent Wauquiez arrivait en tête. Plus de 65 % des électeurs ont voté au second tour[MIN 12],[27].

    Aux élections départementales de 2015, le binôme Bertrand Pasciuto - Monique Pouille, élu dans le canton, a recueilli 58,21 % des suffrages exprimés. Le taux de participation est de 53,38 %, soit 6 972 votants sur 13 072 inscrits[MIN 13].

    Aux élections municipales de 2008, deux candidats s'opposaient : Bertrand Pasciuto, maire sortant, dirigeant une liste de gauche (« Cournon passion Cournon »[MIN 14]), et Pierre Cheron, tenant une liste de la majorité (« Cournon ensemble »[MIN 14]). Le premier est élu au premier tour avec 71,09 % des suffrages exprimés et 29 sièges gagnés, contre quatre pour le perdant. Près de deux tiers des électeurs ont voté[MIN 15].

    Bertrand Pasciuto s'est représenté à nouveau en 2014. Le maire sortant a été réélu au premier tour avec 60,59 % des suffrages exprimés, avec 27 sièges dont cinq au conseil communautaire. Il bat Michel Renaud qui acquiert les six sièges restants. 65,40 % des électeurs ont voté[MIN 16]. En revanche, il ne s'est pas représenté en 2020[28].

    Administration municipale

    Hôtel de ville.
    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2017). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    En 2011, Cournon-d'Auvergne comptait 19 063 habitants[INS2 1]. Ce chiffre a été retenu pour déterminer le nombre de membres du conseil municipal ; compris entre 10 000 et 19 999, il s'élève à 33. Six, dont un d'opposition, sont élus au conseil communautaire de Clermont Auvergne Métropole.

    Le conseil municipal a désigné le 28 mars 2014[CRN 7] neuf adjoints[CRN 8], sept conseillers municipaux délégués[CRN 9], dix conseillers municipaux[CRN 10] et six conseillers d'opposition[CRN 11].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1790 mars 1794 Jean Maugue    
    mars 1794 mars 1798 Jacques Boyer   Président de l'administration municipale
    mars 1798 mars 1800 Jean Vigier   Président de l'administration municipale
    mars 1800 mars 1802 Pierre Pinard    
    mars 1802 mars 1806 Antoine Laville    
    mars 1806 mars 1807 Gilbert Perrin    
    mars 1807 mars 1814 Sebastien De Strada    
    mars 1814 mars 1824 Jean-Marie Chardon du Ranquet    
    mars 1824 mars 1826 Michel Dolly    
    mars 1826 mars 1831 Jean-Marie Chardon du Ranquet    
    mars 1831 mars 1833 Antoine Moulin-Desmanèches    
    mars 1833 mars 1840 Claude Perrin-Salvage    
    mars 1840 mars 1849 Michel Chambon-Duperelle    
    mars 1849 mars 1850 Claude Perrin-Salvage    
    mars 1850 mars 1852 Antoine Farnoux-Beldon    
    mars 1852 mars 1858 Michel Chambon-Duperelle    
    mars 1858 mars 1861 Coizet-Chaleteix    
    mars 1861 mars 1871 Pierre Lhomet de Rioux    
    mars 1871 mars 1872 Delpiroux et Julien   Commission municipale
    mars 1872 mars 1875 Pierre Lhomet de Rioux    
    mars 1875 mars 1879 Antoine Julien    
    mars 1879 mars 1887 Fargheon-Fontsainte    
    mars 1887 mars 1888 Antoine Julien    
    mars 1888 mars 1904 Jean Farnoux-Maugue    
    mars 1904 mars 1912 Gilbert Ollier-Farnoux    
    mars 1912 mars 1919 Jean-Baptiste Lavergne-Legot    
    mars 1919 mars 1942 Annet Farnoux    
    mars 1942 mars 1944 Antoine Coillot   Président de délégation spéciale
    mars 1944 mars 1947 Félix Thonat   Président de délégation spéciale
    octobre 1947 juillet 1982 Joseph Gardet
    (1913-1982)
    SFIO puis PS puis DVG[29] Conseiller général du canton de Pont-du-Château (1949-1982)
    puis du canton de Cournon-d'Auvergne (1982)
    Décédé en fonction
    octobre 1982[30] mars 1989 Jean Chaleteix
    (1921-2012)
    UDF-PRV Professeur agrégé
    Conseiller général du canton de Cournon-d'Auvergne (1982-1992)
    mars 1989 mars 2001 Catherine Guy-Quint PS Biologiste
    Conseillère régionale d'Auvergne (1998-1999)
    Députée européenne (1999-2009)
    mars 2001 Bertrand Pasciuto PS puis DVG[31]
    puis GRS[réf. nécessaire]
    Technicien en informatique
    Conseiller général (1998-2015) puis départemental du canton de Cournon-d'Auvergne (depuis 2015)
    1er vice-président de CAM chargé des finances et du développement économique[32]
    En cours François Rage[33] PS Professeur des écoles
    1er Vice-président de CAM chargé des mobilités durables
    Président du syndicat mixte des transports en commun de l'agglomération clermontoise

    Politique environnementale

    L'eau alimentant les foyers de la commune provient des puits de la rivière Allier au sud-est de la commune. Certaines rues sont alimentées par les réservoirs communaux ou de ceux de la ville de Clermont-Ferrand pour certains secteurs[CRN 12].

    Les eaux usées sont traitées par les stations d'épuration de Clermont-Ferrand et du Val d'Auzon[CRN 13].

    Clermont Auvergne Métropole assure la gestion des déchets et gère une déchèterie, accessible sous conditions, et permettant aux particuliers et aux professionnels de déposer des déchets de nombreux types[34].

    Jumelages

    Cournon-d'Auvergne est jumelée avec deux villes :

    Population et société

    Évolution démographique

    Avec 20 126 habitants en 2016, Cournon-d'Auvergne est la deuxième commune la plus peuplée du département du Puy-de-Dôme derrière le chef-lieu de département, Clermont-Ferrand, dont elle est limitrophe, mais devant Riom (19 029 habitants) et Chamalières (17 282 habitants).

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 20 322 habitants[Note 4], en augmentation de 5,37 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1242 1552 5912 7892 6642 6672 6072 6102 539
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5112 5222 5442 4132 3482 2702 2072 2612 075
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8111 6831 5031 5521 6911 5841 4741 6162 061
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 1355 58712 58316 94919 15618 86618 35619 06320 126
    2019 - - - - - - - -
    20 322--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,5 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 9 500 hommes pour 10 657 femmes, soit un taux de 52,87 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    1,4 
    8,6 
    75-89 ans
    10,3 
    19,6 
    60-74 ans
    22,1 
    18,6 
    45-59 ans
    20,3 
    18,1 
    30-44 ans
    17,0 
    15,7 
    15-29 ans
    12,7 
    18,8 
    0-14 ans
    16,2 
    Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    2 
    7 
    75-89 ans
    10,2 
    17,6 
    60-74 ans
    18,3 
    20,4 
    45-59 ans
    19,5 
    18,5 
    30-44 ans
    17,4 
    18,6 
    15-29 ans
    17,2 
    17,2 
    0-14 ans
    15,5 

    Enseignement

    Cournon-d'Auvergne dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

    Elle possède cinq écoles maternelles publiques : Henri-Bournel, Henri-Matisse, Léon Dhermain, Lucie-Aubrac et Pierre-Perret[40],[CRN 15], ainsi que quatre écoles élémentaires publiques : Félix-Thonat, Henri-Bournel, Léon-Dhermain et Lucie-Aubrac[40],[CRN 15].

    Avant 2013-2014, la semaine scolaire se composait de quatre jours (lundi, mardi, jeudi et vendredi)[CRN 16]. De 2013-2014 à 2017-2018, 4,5 jours été programmés (lundi-mardi, mercredi matin, jeudi-vendredi). Depuis 2018-2019, le passage à quatre jours (avant 2013-2014) est revenu[réf. souhaitée].

    Le conseil départemental du Puy-de-Dôme gère les collèges de La Ribeyre et Marc-Bloch[40],[CRN 15] (anciennement Le Stade).

    Le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes gère le lycée René-Descartes[CRN 15].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Marchés nocturnes en juillet et août.
    • Foire internationale de Clermont–Cournon, en septembre.
    • Foire de la Saint-Maurice, en septembre.
    • Marché de Noël, en décembre.
    • Festival jeune public Puy-de-Mômes, en avril. Il existe depuis 1995[CRN 17].
    • Sommet de l'élevage.

    Santé

    Cournon-d'Auvergne a été en 2009 la ville ambassadrice du Téléthon dans les régions Auvergne et Rhône-Alpes.[pertinence contestée]

    Sports

    La ville dispose d'installations sportives à l'est :

    • le lac de Cournon-d'Auvergne, situé à l'extrémité est et à proximité de la rivière Allier (canoë-kayak) ;
    • le stade de la Plaine de Jeux.

    Le long de l'avenue de l'Allier, la commune disposait d'une piscine de type "tournesol" avenue de l'Allier. Trop vétuste, elle a été fermée le soir du 21 janvier 2011 et démolie en 2013[41]. La piscine L'Androsace, gérée par Clermont Auvergne Métropole, la remplace. Ouverte le 29 janvier 2011[42], elle comprend trois bassins[CRN 18].

    Club de football : Football Club de Cournon-d'Auvergne.

    La ville possède un club de handball (Handball Club Cournon-d'Auvergne) évoluant en National 1.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 30 914 , ce qui plaçait Cournon-d'Auvergne au 14 209e rang des communes de plus de quarante-neuf ménages en métropole[INS2 2].

    Emploi

    En 2012, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 12 115 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,6 % d'actifs dont 63,7 % ayant un emploi et 7,9 % de chômeurs[INS 3].

    On comptait 8 977 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 7 799, l'indicateur de concentration d'emploi est de 115,1 %, ce qui signifie que la commune offre plus d'un emploi par habitant actif[INS 4].

    En fonction de la catégorie socio-professionnelle, la majorité des 8 678 actifs étaient des employés (2 706), suivis par les professions intermédiaires (2 376) et les ouvriers (1 949). Sur les 7 725 actifs possédant un emploi, cet ordre demeure inchangé[INS 5].

    La répartition des 8 852 emplois par catégorie socio-professionnelle et par secteur d'activité est la suivante :

    Répartition des emplois selon la catégorie socio-professionnelle en 2012
    Échelle Agriculteurs exploitants Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres et professions intellectuelles supérieures Professions intermédiaires Employés Ouvriers
    Commune[INS 6] 0,2 %5,6 %11,8 %24,4 %29,4 %28,6 %
    Département[INS2 3] 2,5 %6,5 %15 %24,6 %28,3 %23,1 %
    France[INS2 4] 1,8 %6,4 %17 %25,5 %28,2 %21,1 %
    Répartition des emplois selon le secteur d'activité en 2012
    Échelle Agriculture Industrie Construction Commerce, transports, services divers Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Commune[INS 7] 0,3 %9,1 %6,7 %60,9 %23 %
    Département[INS2 3] 3,5 %16,1 %6,9 %41,1 %32,4 %
    France[INS2 4] 2,8 %12,8 %6,9 %46 %31,4 %

    La commune affiche un fort taux d'emplois dans le secteur du commerce.

    7 191 des 7 799 personnes âgées de 15 ans ou plus (soit 92,2 %) sont des salariés[INS 8]. 74 % des actifs travaillent hors de la commune du résidence, en grande partie dans une autre commune du département[INS 9].

    Entreprises

    Au , Cournon-d'Auvergne comptait 997 entreprises : 77 dans l'industrie, 109 dans la construction, 647 dans le commerce, les transports et les services divers et 164 dans le secteur administratif[INS 10].

    Elle dispose d'un important tissu industriel et commercial et abrite le siège de 14 grandes entreprises (réalisant plus de 10 M€)[43]

    En outre, elle comptait 1 221 établissements[INS 11].

    Agriculture

    Au recensement agricole de 2010, la commune comptait 12 exploitations agricoles, un nombre en nette diminution par rapport à 2000 (18) et à 1988 (21). La commune était orientée dans les céréales et les oléoprotéagineux[44].

    La superficie agricole utilisée sur ces exploitations était de 587 hectares en 2010, dont 585 ha sont allouées aux terres labourables[44].

    Industrie

    • Zones industrielles de la commune : le long de la D 772.

    Commerce et services

    La base permanente des équipements de 2014 recense 92 commerces : quatre supermarchés, deux grandes surfaces de bricolage, une supérette, sept boulangeries, cinq boucheries-charcuteries, une poissonnerie, quatre librairies-papeteries ou vendeurs de journaux, seize magasins de vêtements, huit magasins d'équipement du foyer, un magasin de chaussures, sept magasins d'électroménager et de matériel audio/vidéo, neuf magasins de meubles, trois magasins d'articles de sports et de loisirs, sept drogueries/quincailleries, une parfumerie, une horlogerie/bijouterie, sept fleuristes, cinq magasins d'optique et trois stations-service[45].

    Tourisme

    Au , la commune possédait un hôtel deux étoiles de 13 chambres[INS 12] ainsi qu'un camping trois étoiles (Le Pré des Laveuses[CRN 19]) avec 145 emplacements[INS 13].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Cournon-d'Auvergne possède trois édifices dans la base Mérimée[46] :

    • château de Sarlièves (XVIIe siècle) : inscrit aux monuments historiques le 5 mars 1992[47] ;
    • église Saint-Martin (XIe siècle) : classement aux monuments historiques le 14 septembre 1912[48] ;
    • château de la Ribeyre (XVIe et XVIIe siècles) : inscrit aux monuments historiques le 20 février 1980[49].

    Infrastructures culturelles

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    De gueules à la Champagne ondée d'azur,à la crosse d'or brochant sur le tout,adextrée d'une croix ancrée et senestrée d'une couronne de lauriers le tout du même.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marcellin Boudet, Cournon, ses franchises et ses chartes (avant 1244 et mai 1244) : chartes de coutumes d'Auvergne inédites, Paris, Champion, , monographie imprimée, 26 cm (lire en ligne)
    • Pierre Pascuito, La Grandeur de Cournon-d'Auvergne : de l'Antiquité à l'an 2000, G. de Bussac,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Insee

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    4. EMP T5 – Emploi et activité.
    5. EMP T3 – Population active de 15 à 64 ans selon la catégorie socioprofessionnelle.
    6. EMP T7 – Emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2012.
    7. EMP T8 – Emplois par secteur d'activité.
    8. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.
    9. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
    10. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
    11. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
    12. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
    13. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
    • Autres références :

    Ministère de l'Intérieur

    Site de la mairie

    1. « Le transport scolaire » (consulté le ).
    2. « Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) » (consulté le ).
    3. « Les quatre grands objectifs du PLU » (consulté le ).
    4. « Projets d'urbanisme » (consulté le ).
    5. « Le secteur de « la Poëlade » : la construction d'une entrée de ville à l'ouest » (consulté le ).
    6. « La concertation » (consulté le ).
    7. « Réunion du conseil municipal du vendredi 28 mars 2014 » [PDF], Délibérations (consulté le ).
    8. « Le maire et ses adjoints », Les élus > Liste de la majorité municipale (consulté le ).
    9. « Conseillers municipaux délégués », Les élus > Liste de la majorité municipale (consulté le ).
    10. « Conseillers municipaux », Les élus > Liste de la majorité municipale (consulté le ).
    11. « Conseillers municipaux », Les élus (consulté le ).
    12. « L'eau » (consulté le ).
    13. « L'assainissement » (consulté le ).
    14. « Les villes jumelées », Jumelage (consulté le ).
    15. « Écoles, collèges et lycée » (consulté le ).
    16. « Réforme des rythmes scolaires et nouvelles activités éducatives » (consulté le ).
    17. « Festival Puy-de-Mômes » (consulté le ).
    18. « Piscine L'Androsace » (consulté le ).
    19. « Camping*** Le Pré des Laveuses » (consulté le ).

    Autres références

    1. Jean-Pierre Chambon, Christian Lauranson-Rosaz, « Le censier de Saint-Martin de Cournon-d'Auvergne pour le chapitre cathédral de Clermont (première moitié du XIe siècle) : édition et étude de l'occitan en émergence », Lengas - revue de sociolinguistique, Montpellier, Presses universitaires de la Méditerranée (Université Paul-Valéry « Emergences, effacements et résistances de l'occitan (XIe-XXe siècles) », no 58, , p. 43-87.
    2. « Recensement : quelles communes du Puy-de-Dôme ont gagné le plus d'habitants ? », sur La Montagne, (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Cournon-d'Auvergne et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906.
    4. « Orthodromie à vol d'oiseau entre Cournon-d'Auvergne et Aubière », sur Lion 1906.
    5. « Orthodromie entre Cournon-d'Auvergne et Cendre », sur Lion 1906.
    6. « Distance à vol d'oiseau entre Cournon-d'Auvergne et Thiers », sur Lion 1906.
    7. Carte de Cournon-d'Auvergne sur Géoportail.
    8. « Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Puy-de-Dôme », Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    9. Site Internet de T2C (consulté le 20 octobre 2018).
    10. « Horaires TRANSDÔME », Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Dans le champ « Communes de départs », taper « Cournon » : aucun résultat.
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Clermont-Ferrand », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Risques pour la commune sur macommune.prim.net.
    21. Ambroise Tardieu, Grand Dictionnaire Historique du département du Puy-de-Dôme, p. 151
    22. Richard Delage, « Essai de caractérisation de la période d'activité du centre de production des Queyriaux (Puy-de-Dôme) à partir de la sigillée moulée », RACF, t. 40, , p. 115-132 (ISSN 1951-6207, lire en ligne, consulté le ).
    23. Philippe Bet, Gilbert Boudriot, Christophe Chappet et Pierre Vallat, « Un nouveau centre de production de céramique sigillée en Gaule. Le site des Queyriaux à Cournon d'Auvergne (Puy-de-Dôme) », dans Lucien Rivet (éd.), Actes du congrès d'Istres, 21-24 mai 1998, Marseille, Société française d'étude de la céramique antique en Gaule, (lire en ligne), p. 263-269.
    24. Bet et al. 1998, p. 265.
    25. Delage 2001, p. 116.
    26. Delage 2001, p. 117.
    27. Anne Bourges, « Droite au premier tour, demi-tour au second et quelques enseignements : la gauche reprend les devants », La Montagne, , p. 22 (édition de Clermont-Métropole).
    28. « Municipales 2020 à Cournon (Puy-de-Dôme) : le maire Bertrand Pasciuto tourne la page », sur La Montagne, (consulté le ).
    29. « En mars 1977, Joseph Gardet avait été exclu du P.S. pour avoir présenté une liste contre celle d'union de la gauche. »
    30. « Une élection cantonale », Le Monde, (lire en ligne)
      « M. Jean Chaleteix (soutien R.P.R.-U.D.F.), maire de Cournon ».
    31. Marc Taubert, « Puy-de-Dôme : le maire de Cournon quitte le Parti socialiste », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
    32. « PASCIUTO BERTRAND », Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
    33. « François Rage élu officiellement maire de Cournon-d'Auvergne (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
    34. « Déchetterie de Cournon », Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cournon-d'Auvergne (63124) », (consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Puy-de-Dôme (63) », (consulté le ).
    40. « Annuaire : Résultats de recherche », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    41. « PSS / Piscine Tournesol de Cournon-d'Auvergne (Cournon-d'Auvergne, France) », sur www.pss-archi.eu (consulté le )
    42. G.-V. Berthier, « Une piscine démocratique et durable », La Montagne, (lire en ligne, consulté le ) (éditions de Clermont-Ferrand).
    43. « Créer des listes personnalisées d'entreprises avec Verif.com », sur www.verif.com (consulté le ).
    44. « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Cournon-d'Auvergne commune », Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
    45. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
    46. Index des édifices de Cournon-d'Auvergne dans la base Mérimée.
    47. « Château de Sarlièves », notice no PA00092552, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Eglise Saint-Martin », notice no PA00092091, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Château de la Ribeyre », notice no PA00092090, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Médiathèque Hugo Pratt (Cournon) », sur bibliotheques-clermontmetropole.eu (consulté le )
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail du Puy-de-Dôme
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.