Sacy-le-Petit
Sacy-le-Petit est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Sacy.
Sacy-le-Petit | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC des Pays d’Oise et d’Halatte | ||||
Maire Mandat |
François Morenc 2020-2026 |
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Code postal | 60190 | ||||
Code commune | 60563 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
595 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 80 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 21′ 42″ nord, 2° 37′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 40 m Max. 126 m |
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Superficie | 7,45 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Pont-Sainte-Maxence | ||||
Législatives | 71e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.sacylepetit.fr/ | ||||
Géographie
Localisation
La commune se situe à 64 kilomètres au sud d'Amiens, à 41 kilomètres à l'est de Beauvais, à 15 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 60 kilomètres au nord de Paris[1].
Topographie et géologie
Il s'agit d'une commune de petite étendue qui pénètre au nord par un long prolongement dans le canton d'Estrées-Saint-Denis. Elle constitue une vaste plaine vers la partie moyenne latérale de laquelle s'élève la butte boisée de Sacy qui tient aux coteaux de Grandfresnoy[2]. Son territoire est presque entièrement constitué par une grande plaine qui monte en pente douce vers le nord, en direction d'Estrées-Saint-Denis. Mais un monticule apparaît au nord-est, en limite de canton, se soudant à la butte jumelle de Grandfresnoy pour constituer « la Montagne », laquelle domine les terres voisines de 60 à 70 mètres. Les altitudes relevées sur le territoire indiquent : 44 mètres à la limite sud, vers Houdancourt, 50 à 55 mètres dans le village, 52 sur la route départementale 1017 à la limite méridionale et 70 à la limite septentrionale, 125 sur la montagne[a 1]. La ferme de la Tuilée, à l'ouest, se situe à 55 mètres d'altitude. Plusieurs fonds et vallons constituent également une partie du relief : le fond de Choisy, à l'ouest, de Saint-Martin et de Bazicourt, au sud[3].
La craie paraît au-delà de la commune, et à quelques pieds en dessous du sable. La butte de Sacy-le-Petit est formée de sable grossier, contenant vers les sommets des rognons calcaires tuberculeux, la plupart en boule ou en chapelet. Ils ont l'aspect d'un grès à cassure lamellaire ou cristalline. Ils sont disséminés en assises peu distinctes et bien moins abondant que sur la colline de Grandfresnoy qui tient cependant sans discontinuité à celle de Sacy. Il y a dans la partie moyenne de cette butte des lits de coquilles brisées, entourées d'une marne argileuse fauve, et sur les talus, de couches de sables blancs ou roux contenant des galets de toutes dimensions. Le bas de la colline est en sable grossier, rubané de fauve, de gris et de verdâtre. Il se lie au sable de la plaine[4],[5]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[6].
Hydrographie
La commune n'a pas cours d'eau sur son territoire. Ses habitants avaient toujours recours aux puits et aux mares. Mais l'adduction d'eau potable a été réalisée il y a une cinquantaine d'années[a 1]. La commune est comprise dans le bassin versant de l'Oise[3]. Les zones les plus basses du territoire se trouvent au-dessus de plusieurs nappes phréatiques[7].
Voies de communications et transports
La route départementale 1017, ancienne route nationale 17, artère à grand trafic de Paris à Lille et Ostende, passe du nord au sud dans la partie ouest du territoire[a 1]. Elle passe par la ferme de la Tuilée. Il s'agit du principal axe routier présent sur le territoire[3]. La seconde route départementale qui le traverse est celui de Catenoy à Jonquières par Sacy-le-Grand, Saint-Martin-Longueau et Grandfresnoy, qui porte le numéro 10[a 1]. Elle relie la route départementale 1017 depuis la ferme de la Tuilée au village, qu'elle traverse par les rues de Sacy-le-Grand, de la République et de la Motte avant de se diriger vers Grandfresnoy. La rue Verte se dirige vers Houdancourt et Bazicourt, la rue de Choisy rejoint la route départementale 1017. Depuis cette dernière voie, une voie secondaire rejoint la route de Blincourt à Grandfresnoy. La rue du Bois quitte le village pour s'arrêter au pied de la montagne de Sacy[3]. Autrefois, le chemin de Compiègne après avoir longé Grandfresnoy au nord, passé au sud de Blincourt, Choisy-la-Victoire et Avrigny, arrivait à Catenoy. De nos jours il n'existe plus que partiellement, formant encore la limite nord de la commune sur un kilomètre environ. Il a été remplacé par la route nationale 31, qui croise la D 1017 au Bois-de-Lihus[a 1].
La gare de Pont-Sainte-Maxence, située sur la ligne de Creil à Jeumont, est la gare la plus proche de la commune, à 5,2 km au sud[1].
Sacy-le-Petit est desservi par le réseau de bus Kéolis Oise, exploité par le conseil général de l'Oise, par la LR18 reliant le village à Pont-Sainte-Maxence, 33B et RENF de Clermont à Compiègne ainsi que par trois lignes de transports scolaire vers les établissements de Pont-Sainte-Maxence, Estrées-Saint-Denis et Brenouille[8].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 39 km à l'ouest de la commune et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe au sud à la même distance, au sud[1]. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.
Le sentier de grande randonnée 124A, branche du GR 124, de Litz à Orrouy, traverse le nord du territoire en passant au pied de la montagne de Sacy-le-Petit[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[15] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 39 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[19] à 10,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels
Hormis le bâti, qui occupe 3,8 % du territoire (27 hectares), la commune se compose 87,3 % de zones agricoles sur 645 hectares. 9 % de la surface est occupé par zones boisées, sur 66 hectares, comprises sur la montagne de Sacy-le-Petit et ses coteaux, comme le bois des Dames[4],[3],[22].
Urbanisme
Typologie
Sacy-le-Petit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[24],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,6 %), forêts (9 %), zones urbanisées (4,4 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].
Écarts et lieux-dits
En complément du chef-lieu, il existe un écart appelé la Tuilée, constituée par une ferme placée en bordure de la route départementale 1017, à quelques centaines de mètres du village[a 1].
Morphologie urbaine
Le village s'étend principalement d'ouest en est, le long de la route départementale 10, même s'il a été prolongé au sud par des habitations individuelles plus récentes[3].
Toponymie
Sacy-le-Petit (« Sacipti » dans le parler local) s'est appelée tout d'abord, comme Sacy-le-Grand, « Saciacum » en 877, « Sachy-le-Petit » au Moyen Âge[a 1]. Le nom de Sacy est gallo-romain. Ce fut au Moyen Âge un fundus ayant pris le nom romain de « Saccius ». Selon la coutume de l'époque, le nom du domaine s'est transformé en prenant l'y final[a 2]. On l'a différencié du village de Sacy-le-Grand par le suffixe « le petit ».
Histoire
De l'époque gauloise il demeure, sur le chemin de Sacy à Grandfresnoy, au calvaire, un tumulus dont la forme primitive a presque disparu. Il abriterait des tombes. Une légende veut que les chevaux qui, jadis, conduisaient la charrue à sa surface, mouraient dans un court délai, ce qui avait fait renoncer à sa culture. En 1792 il a été découvert près du village un grand nombre de sarcophages des Xe et XIe siècles . Les plus anciens souvenirs historiques concernant Sacy-le-Petit remontent à 877, époque où Charles II le Chauve, roi de France, donna ce terroir à l'abbaye Saint-Corneille de Compiègne. Au XIIe siècle, l'abbaye de Chaalis y exploitait des champs dont la liste apparaît au dénombrement de 1181 comme les champs (campum) Raimundi Balbi, Parelle et Herli. L'abbaye du Moncel, à Pontpoint, avait aussi des terres dans la paroisse. Robert de Clermont, élargissant son comté en 1284, après un arrangement avec Mathieu de La Tournelle, est devenu seigneur de Sacy-le-Petit. Plus tard, le domaine eut le titre de châtellenie. Il fut alors compris dans la duché-prairie érigée en 1653 au profit du maréchal Philippe de La Motte-Houdancourt (1605-1657), sous le nom de Fayel. Après l'extinction de cette prairie, Sacy passa à la famille de Gamaches, qui l'aliéna en 1757. Le parc du château fut défiché vers 1760[a 3]. La commune a appartenu au canton de Sacy-le-Grand de 1790 jusqu'au , puis à celui de Bailleul-le-Soc jusqu'au , ensuite à celui de Liancourt[a 1]. En 1832, une épidémie de choléra fit plusieurs victimes dans le village[a 4].
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2019, la commune comptait 595 habitants[Note 8], en augmentation de 10,19 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La population de la commune était de 240 habitants en 1780 et de 273 en 1962[a 1], dont 6 seulement hors de l'agglomération.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 282 hommes pour 292 femmes, soit un taux de 50,87 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Quentin : c'est un édifice ancien, des Xe et Xe siècles[Quoi ?], qui fut rebâti en 1787-1789. De l'époque romane il demeure en particulier le chœur et certains chapitraux. La façade, moderne, présente un fronton triangulaire. Le clocher, carré, se trouve à trouve de l'entrée[a 4]. Le monument abrite une cloche datant de 1718 classée monument historique[38].
- Château : ancienne ferme transformée en château sous le directoire avec parc à l'anglaise, potager et allée d'arbres centenaires[39].
- Montagne de Sacy-le-Petit[4].
- Calvaire, place des Acacias
- Calvaire, rue de la Motte
Personnalités liées à la commune
- Louis Lutz, prix de Rome qui vit et travaille au village[40]. Ses sculptures de bronze et ses dessins sont à la fois classiques et contemporains par leur énergie poignante et la réflexion qu'elles inspirent sur notre condition humaine.
Un musée doit lui être consacré près de l'église.
Annexes
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Ouvrages
- Lucien Charton, Liancourt et sa région, Office d'édition du livre d'histoire, , 560 p., p. 358 à 360
- p. 358
- p. 352
- p. 359-360
- p. 360
Autres sources
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Liancourt, arrondissement de Clermont (Oise), 1837, 145 pages, page 85
- « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
- « Montagne de Sacy-le-Petit », sur www.sacylepetit.fr (consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Liancourt, arrondissement de Clermont (Oise), 1837, 145 pages, pages 10 à 14
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Sacy-le-Petit », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Lignes de transports en commun desservant Sacy-le-Petit (carte et lignes) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sacy-le-Petit et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sacy-le-Petit et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Sacy-le-Petit », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale » , sur Gallica, (consulté le ).
- « Ils sont les premiers magistrats de leur commune », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606, , p. 22.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sacy-le-Petit (60563) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Cloche », notice no PM60001399, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le château de Sacy-le-Petit », sur www.chateaudesacy.com (consulté le ).
- « Louis LUTZ », sur http://www.artactif.com/ (consulté le ).
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