Jonquières (Oise)
Jonquières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Jonquières.
Jonquières | |||||
La mairie, rue de l'Archerie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Chireux 2020-2026 |
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Code postal | 60680 | ||||
Code commune | 60326 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Jonquièrois, Jonquièroises | ||||
Population municipale |
602 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 82 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 23′ 26″ nord, 2° 43′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 153 m |
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Superficie | 7,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-2 | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
La commune est située dans le département de l'Oise, dans la plaine d'Estrées, entre Clermont et Compiègne, sur l'itinéraire de la RN 31 Rouen - Reims et non loin de l'autoroute A1 et de la LGV Nord, à l'ouest. Jonquières est une commune résidentielle à caractère rural, peu industrialisée, en dehors de toute agglomération dans le sens de l'Insee[1], ce qui ne l'empêche évidemment pas d'adhérer à l'agglomération de la région de Compiègne. Le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne est éloigné de 9 km[2], et le chef-lieu d'arrondissement de Clermont de 21 km[3]. La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 64 km[4], et le chef-lieu de département Beauvais est distant de 46 km[5]. Jonquières comporte un hameau, Montplaisir, à 2 km au nord-nord-est du village. Aucun cours d'eau n'est présent sur le territoire communal.
Quatre buttes boisées cantonnent le village, dont trois se situent, au moins en partie, sur le territoire communal : le Bocquet au sud-est (Le Meux), le Mont Hart au sud-ouest, le Mont Clerge au nord-ouest et le Mont d'Huette, le plus élevé, culminant à 157 m au-dessus du niveau de la mer. Sur cette butte se trouvait un camp chasséen[8]. Dans le cadre du plan d'urbanisme du grand Compiègne un lotissement devait y être aménagé. Le maire de l'époque, Jean-Jacques Carluy, s'est opposé à ce projet avec succès[9] . Hormis ces buttes, d'autres parties de la commune sont couvertes de forêts, la plus étendue étant le bois de Caubrières au nord du hameau de Montplaisir. Le relief de la commune est vallonné autour du village, mais devient plus plat vers le nord.
Sur le plan des voies communication, le principal axe routier est représenté par la RN 31, qui passe à plus d'un kilomètre de distance au nord du village, dans un sens est-ouest. Sur la commune voisine de Canly, existe un échangeur avec l'autoroute A1. Le village lui-même est traversé du nord au sud par une route départementale, la RD 98. En direction du sud, elle se dirige vers Le Meux et l'échangeur avec la voie rapide de la RD 200 Compiègne - Creil. Depuis le carrefour au centre de Jonquières, part la RD 10 en direction de l'ouest, vers Canly et Sacy-le-Petit où elle donne accès à la RD 1017, près de Pont-Sainte-Maxence. Une voie communal relie Jonquières aux différents hameaux de sa commune voisine à l'est, Jaux.
Jonquières ne possède plus de gare sur son territoire, la gare la plus proche, celle du Meux - Lacroix-Saint-Ouen, étant éloignée de 4,0 km. Elle est desservie par les trains omnibus TER Picardie de la relation n° 12 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent huit trains pour Paris et neuf trains pour Compiègne, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 57 min pour Paris et de 8 min pour Compiègne[10]. Sur le plan des transports en commun, Jonquières est desservi par une ligne d'autocars du réseau du conseil général de l'Oise : la ligne 33B Clermont - Compiègne, à vocation essentiellement scolaire. Elle propose toutefois deux aller-retours pour Compiègne en transport sur réservation pendant les vacances scolaires, du lundi au samedi[11].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[18] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[19],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 45 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[22] à 10,6 °C pour 1981-2010[23], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[24].
Urbanisme
Typologie
Jonquières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,3 %), forêts (34,5 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2019, la commune comptait 602 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 298 hommes pour 307 femmes, soit un taux de 50,74 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
Jonquières est une ville fleurie : deux fleurs lui sont attribuées en 2007 puis une troisième en 2017 par le Conseil des villes et villages Fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[39],[40]. La commune compte un seul monument historique sur son territoire.
Monument historique
- Église Saint-Nicolas (classée monument historique par arrêté du [41]) : c'est une petite église rurale qui a été bâtie entre la fin du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle, et largement reconstruite après la guerre de Cent Ans, au premier quart du XVIe siècle, avec une nouvelle consécration au début de l'année 1522. À l'extérieur, c'est le style gothique qui domine. À l'intérieur, il se mêle au style gothique flamboyant, qui est d'une facture rustique dans la nef et ses bas-côtés, et plus soigné pour la voûte de la croisée du transept et les clés de voûte du transept et de l'abside. Il n'y a pas de clocher à proprement parler, mais seulement une flèche de charpente ; le portail est presque fruste ; et les rares chapiteaux sculptés sont d'une grande simplicité. Sur le plan architectural, l'église Saint-Nicolas est donc de faible intérêt, d'autant plus que les voûtes de la nef et des bas-côtés sont des pastiches néogothiques de 1879. Toute la richesse de l'église sont ses seize vitraux polychromes, que l'abbé Deligny, curé de Jonquières, a confectionné lui-même entre 1849 et 1859. Autodidacte, il déploie un style très personnel, naïf, influencé par l'art du vitrail du XIIIe siècle mais à contre-courant des réalisations de son époque, et préfigurant l'Art nouveau par l'éclat des couleurs, la stylisation des motifs, et leur caractère ornemental. Ceci vaut surtout pour les chefs-d'œuvre, le vitrail du Rosaire au nord, et le vitrail des Apôtres au sud du transept. Pratiquement tous les vitraux sont figurés, mais aucun ne représente un personnage à part entière, et tout le dessin est suggéré par la juxtaposition de fragments de différentes couleurs, sans aucun recours à la peinture sur verre[42].
Autres éléments du patrimoine
- Le couvent des Carmélites de Compiègne a été bâti sur la commune en 1991 ; il accueille actuellement treize sœurs carmélites (2010) et l'on peut assister aux offices quotidiens dans la chapelle du couvent.
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[15].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
- « Orthodromie entre Jonquières et Compiègne », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
- « Orthodromie entre Jonquières et Clermont (Oise) », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
- « Orthodromie entre Jonquières et Paris », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
- « Orthodromie entre Jonquières et Beauvais », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
- « Communes limitrophes de Jonquières (Oise) » sur Géoportail..
- « Communes limitrophes de Jonquières (Oise) » sur Géoportail..
- Jean-Claude Blanchet, « Le camp chasséen du « Mont d'Huette » à Jonquières (Oise) : I. Présentation liminaire », Revue archéologique de Picardie, nos 1-2, , p. 213-215 (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Mauron, « Le mont d'Huette a failli disparaître », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
- [PDF] « Horaire de la ligne 33B Creil-Clermont » sur le site « Fiches horaires », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Jonquières et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Jonquières et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Jonquières », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Jonquières (60326) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard, édition de l'Oise, .
- « Jonquières (Oise) », sur Site officiel des villes et villages fleuris, (consulté le ).
- Notice no PA00114721, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Philippe Bonnet-Laborderie et Jean-Marie Caudron, « Les vitraux de l'abbé Deligny : un précurseur de l'art nouveau, un curé du diocèse de Beauvais au XIXe siècle », Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, nos 119-120, , p. 1-88 (résumé).
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