Saint-Césaire-de-Gauzignan
Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Césaire (homonymie).
Saint-Césaire-de-Gauzignan | |
Saint-Césaire de Gauzignan, vue de la route de Saint-Maurice. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Alès |
Intercommunalité | Alès Agglomération |
Maire Mandat |
Frédéric Gras 2020-2026 |
Code postal | 30360 |
Code commune | 30240 |
Démographie | |
Population municipale |
386 hab. (2019 ) |
Densité | 56 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 01′ 50″ nord, 4° 12′ 20″ est |
Altitude | Min. 86 m Max. 202 m |
Superficie | 6,84 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Alès-3 |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Droude, le ruisseau de la Candouillère et par divers autres petits cours d'eau.
Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune rurale qui compte 386 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Césairiens ou Saint-Césairiennes.
Géographie
Saint-Césaire-de-Gauzignan se situe à 28 km de Nîmes, 17 km d'Alès, 18 km d'Uzès, 57 km d'Avignon et 61 km de Montpellier.
Les communes notables les plus proches sont :
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deaux », sur la commune de Deaux, mise en service en 1988[6] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,7 °C et la hauteur de précipitations de 991,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 25 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[I 1],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (63,9 %), zones agricoles hétérogènes (18 %), forêts (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2 %), terres arables (0,2 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Les origines du village remonteraient au VIe siècle, période à laquelle des moines arrivèrent en provenance de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille. Ils avaient défrichés des terrains pour y planter diverses cultures. Ils construisirent également sur un promontoire ce qui allait devenir plus tard l’église paroissiale, puis de nos jours le temple.
Le village doit son nom à Césaire d’Arles qui était moine puis évêque d’Arles. Il naquit vers 470 à Chalon-sur-Saône et décéda le à Arles. La trace écrite la plus ancienne qui relate la présence d’un groupe d’habitants remonte à 1033.
Le nom de la commune évolua au fil des siècles. Il faut remonter en 1295 pour y trouver une des premières nominations : Villa Santi-Cesarü. Cette année-là, le village dépendait de Vézénobres et comptait 53 feux (foyers).
Par la suite, le village se nomma Grasilhanum (1310), Sanctus-Cesarius (1384), Prieuré Sainct-Cézary de Gaussignane (1620), Saint-Césaire-de-Gauzignan (1744) et Saint-Césaire-de-Grasignan (1789).
Le blason du village est de gueules au pal losangé d’argent et de sinople.
En 1295, le village fait partie de la viguerie d’Uzès.
En 1395, on note une baisse sensible de la population avec seulement 4 feux et demi.
Au XVIe siècle, Guillaume Calvière est le seigneur de Saint-Césaire-de-Gauzignan. Il est nommé consul de Nîmes en 1574.
En 1620, le village est uni au chapitre collégial de Beaucaire. Cette même année, les protestants construisent un temple sur un terrain offert par Pierre de Calvière. L’édit de Nantes de 1598 oblige les protestants à rendre le bâtiment au culte catholique. Le temple est détruit lors de la révocation de l'édit de Nantes en 1685. L’ancienne église accueille alors l’ensemble des habitants qui souhaitent vivre leur culte.
Le village est marqué par l’histoire du protestantisme, notamment le secteur de la Gardonnenque où est situé Saint-Césaire-de-Gauzignan. Louis XIV interdit la pratique du culte protestant. En 1698, Antoine Fromental, issu du Mas Nougier (situé sur la commune) et qui enfreint la loi, est condamné aux galères, il est libéré en 1700. C’est le cas également d’Estienne Jalabert, galérien de 1698 à 1711. D’autres Saint-Césairois font les frais de ces mesures : Jacques Eynart, Michel Coste, Firmin et Jacques Isnard, Alexandre et Étienne Trial, tous camisards, torturés et condamnés.
Pendant la Révolution française, la région connait un grande crise économique avec une augmentation de 60% du prix du blé. De grandes violences avec de nombreuses destructions de châteaux se déroulent alors, appelées les Grandes Bagarres de Nîmes.
En 1802, une nouvelle organisation administrative se met en place. Chaque secteur prend le nom d’Églises consistoriales. Saint-Césaire fait partie du consistoire de Vézénobres.
1810, rénovation du four commun.
1843, travaux de rénovation et d’agrandissement du temple.
1866, le conseil municipal décide de construire une école communale.
Après des péripéties de devis, projets et subventions difficiles à trouver, le projet de l’école aboutit enfin en 1880.
1893, rénovation de la canalisation de la fontaine qui alimente le village en eau, construction également d’un lavoir.
1898, construction d’un nouveau cimetière sur un terrain acheté à M. Bourguet.
Durant la Première Guerre mondiale, de nombreux poilus du village donnèrent leur vie pour la défense du territoire.
1920, électrification de la commune.
1928, création de la coopérative viticole de Saint-Césaire-de-Gauzignan.
Fin 1928, installation d’une cabine téléphonique.
1933, inauguration de la nouvelle école et des bains douches[19].
Héraldique
Blason | De gueules au pal losangé d'argent et de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Liste des maires
- Alexandre Trial (1792 - 1797)
- Pierre Simon (1799 - 1799)
- Louis Issoire (1799 - 1800)
- Pierre Mourgues (1800 - 1802)
- Jules Liauron (1802 - 1808)
- Alexandre Trial (1808 - 1815)
- Louis Roussel (1815 - 1830)
- Jean Liauron (1830 - 1835)
- Isaac Coulon (1835 - 1856)
- Louis Aurivel (1856 - 1865)
- Julien Troulhias (1865 - 1871)
- Auguste Batte (1871 - 1874)
- Alexandre Trial (1874 - 1875)
- Casimir Privat (1875 - 1876)
- Auguste Batte (1876 - 1885)
- Louis Aurivel (1885 - 1896)
- Jean-Louis Bourguet (1896 - 1897)
- Achille Pupil (1897 - 1911)
- Albert Jalabert (1911 - 1913)
- Sully Batte (1913 - 1915)
- Raoul Levesque (1915 - 1917)
- Jules Dubois (1917 - 1919)
- Sully Batte (1919 - 1922)
- Sully Barbusse (1922 - 1947)
- Franck Valmalette (1947 - 1965)
Élections municipales de 2020
Le , la liste "Ensemble pour Saint-Césaire", conduite par Frédéric Gras, est élue dès le premier tour[20].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2019, la commune comptait 386 habitants[Note 6], en augmentation de 6,93 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 142 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 354 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 280 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 4,8 % | 5 % | 11,7 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 233 personnes, parmi lesquelles on compte 83,1 % d'actifs (71,4 % ayant un emploi et 11,7 % de chômeurs) et 16,9 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 77 emplois en 2018, contre 142 en 2013 et 185 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 170, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,7 %[I 10].
Sur ces 170 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
24 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Césaire-de-Gauzignan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,2 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 24 entreprises implantées à Saint-Césaire-de-Gauzignan), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[25]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 28 | 27 | 30 | 24 |
SAU[Note 12] (ha) | 490 | 497 | 559 | 467 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 27 en 2000 puis à 30 en 2010[27] et enfin à 24 en 2020[Carte 4], soit une augmentation de 14 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[28],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 490 ha en 1988 à 467 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à 19 ha[27].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- le temple protestant : restauré en 2015, le temple accueille maintenant les 2 800 livres de la médiathèque municipale[29].
- Église Saint-Césaire.
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Deaux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Césaire-de-Gauzignan et Deaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Deaux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Césaire-de-Gauzignan et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Grégory Viguié, Saint Césaire de Gauzignan, son histoire, ses poilus, Nîmes, Lacour Rediviva, , 70 p. (ISBN 9782750450625).
- « Résultats élections municipales Saint Césaire de Gauzignan », sur 20minutes.fr, .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- « UN JOUR, UN VILLAGE A St-Cézaire-de-Gauzignan, le temple est enfin restauré », sur Objectif Gard, .
Liens externes
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