Saint-Christol-lez-Alès

Saint-Christol-lez-Alès, anciennement Saint-Christol-lès-Alès[1], est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Saint-Christol-lez-Alès

La Pyramide.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Charles Benezet
2020-2026
Code postal 30380
Code commune 30243
Démographie
Gentilé Saint-Christolens
Population
municipale
7 055 hab. (2019 )
Densité 348 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 05′ 07″ nord, 4° 04′ 39″ est
Altitude 134 m
Min. 103 m
Max. 391 m
Superficie 20,25 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Alès
(banlieue)
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Alès-1
Localisation
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Saint-Christol-lez-Alès
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Saint-Christol-lez-Alès
Géolocalisation sur la carte : Gard
Saint-Christol-lez-Alès
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Christol-lez-Alès
Liens
Site web www.saintchristollezales.fr/

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon d'Alès , l'Alzon, le ruisseau de Carriol et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Christol-lès-Alès est une commune urbaine qui compte 7 055 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération d'Alès et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Saint-Christolens ou Saint-Christolennes.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la pyramide, inscrite en 1939.

    Géographie

    Point culminant : Serre d'Avène (387 m). Autres sommets : Serre de la Cabane (289 m), Six-Sours (342 m) et Lauzière (357 m).

    Cours d'eau : le Gardon d'Alès, l'Alzon (affluent du Gardon d'Alès) et son affluent le Respéchas, le Faverol et le Carriol.

    La commune de Saint-Christol-lez-Alès est entourée des communes d'Alès, Saint-Jean-du-Pin, Bagard, Ribaute-les-Tavernes, Vézénobres et Saint-Hilaire-de-Brethmas.

    Cette commune a connu lors de l'été 2003 un record de chaleur jamais enregistré en France métropolitaine avec 44,1 °C ; record qu'elle partageait avec Conqueyrac, village de 102 âmes du Gard[2], et ce jusqu'au , lors de la canicule de juin 2019, où 46 °C furent relevés à Vérargues dans l’Hérault.

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[3] : la « vallée moyenne des Gardons » (1 848 ha), couvrant 24 communes du département[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Christol-lès-Alès est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[5],[I 1],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,6 %), zones urbanisées (25,1 %), forêts (21,1 %), terres arables (7,8 %), cultures permanentes (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), prairies (3,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Les différentes appellations de la commune

    • 1264 : Sancti-Christofori
    • 1345 : Sancto-Christoforo
    • 1346 : Saint-Christofle près d'Alest
    • 1435 : Saint-Christofle
    • 1598 : Saint-Christol
    • (Période révolutionnaire) : Auxon
    • (Période révolutionnaire) : Pont-d'Auzon

    Groupé autour de son église du XIe siècle et de son château qui forment un seul ensemble, mis à mal par les modifications architecturales du XIXe siècle, le petit bourg viticole de Saint Christol lez Alès conserve peu de traces de sa puissance et de son prestige passés.

    Créé en 1263 par Martinus Thomas qui posa la première pierre, le nom de Sancti-Christofori fut donné par son maître Rafaelo di Cuesto qui, après lui avoir enseigné l'art de la construction des obélisques, lui demanda de gérer le village. La seigneurie de Saint Christol est passee successivement entre les mains des de Serinhac,de Maubuisson,Du Puy de Cendras,de Tremolet de Robiac puis Destremx.

    Les Hospitaliers

    Le village dont le patron est saint Christophe — dont la statue veille encore au fronton de la cave coopérative, réputée pour ses vins de coteaux — naquit au XIIe siècle de l’une des premières fondations en bas Languedoc des Hospitaliers de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Cette commanderie devait rayonner pendant près de sept siècles jusqu’à la dissolution de l’Ordre en France par la Révolution.

    Guerre des Cévennes

    Au début de la Réforme, vers 1560, des destructions eurent lieu dans le quartier de Vermeil de l'église de Saint-Pierre de Vermeil.

    Les lieux eurent à souffrir des troubles causées de la Réforme protestante et sa sévère repression par les armées catholiques royales : ainsi, en 1575, la ville de Sommières, protestante, ayant été assiégée par le maréchal de Damville, le duc d’Uzès envoya au secours des Sommièrois le commandeur de Saint-Christol et le baron de Combas. Mais leur intention se solda par un échec et ils se retirèrent. L’édit de Nantes apporta son apaisement, mais lors de la reprise par Louis XIII des places de sûreté pro-protestantes, le feu des troubles se ralluma. Les protestants de Montpellier ayant alors reconnu pour leur chef le duc de Rohan, celui-ci, en 1622, aurait bien voulu atteindre l’évêque Pierre Fenouillet, retiré dans le château de Montferrand. Mais la place était bien défendue et Rohan, souhaitant limiter de telles possibilités de résistance, ordonna la destruction de toutes les fortifications des environs : ainsi à Saint-Christol furent démantelés le château et la commanderie. On ne tarda pas, toutefois, à les reconstruire.

    En , mois de la révocation de l’Édit de Nantes, plusieurs protestants Saint-Christolains prononcèrent leur abjuration. Là comme ailleurs, c’est au début qu’elles ont été les plus nombreuses. Le , destruction du temple de Rouret. Il était bâti sur une parcelle de 2 ares et 10 centiares à la section A numéro 1160 du plan cadastral. Avant 1949, ses ruines étaient encore visibles ; ses anciens propriétaires étaient Jean Pierre Gascuel puis monsieur Bouvier époux Cabot.

    , bataille du Mas Cauvy (nommée également bataille du mas de Cauvi ; du mas Rouge). Jean Cavalier, protestant natif de Ribaute les Tavernes, avec ses Camisards, mit en fuite la bourgeoisie catholique d'Alès qui trouva refuge, une partie dans le château de Montmoirac, l'autre au château de Saint-Christol.

    Époque moderne

    • Sur la carte de 1703, le géographe royal Nicolas Fer, relève seulement 3 hameaux : Montèze, Montmoiras et Vermel ; celle de Jean Cavalier Dagde en relève 4 : Montèze, Monmoirac, Vermeil et Saint Cristol.
    • La carte de Cassini, la plus complète mentionne :

    Astris, Ayroles, Boujac, Constan, Frigoulet, la Maitairie de l'Holm, Le Jardin Nouvel, Le mas Rouge, Les Clauzels, Montagnac, Monteirargues, Montèze, Montmoirac, Roulet, Saijt Christol, Saint Martin d'Arènes, Valés, Vals, Vermeils, Vermillet, Vignal.

    Sur cette dernière le Carriol porte le nom de valat de Fontvive, le Féverol se nomme le valat de Jérusalem, l'Alzon est tracé mais ne porte pas de nom.

    Époque contemporaine

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Auxon et de Pont-Auzon[8].

    Héraldique

    Blason
    Parti ondé : au premier d'azur à la tour d'or, au second d'or à la grappe de raisin feuillée d'azur ; à la pyramide de Saint Christol d'argent brochant sur la partition.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? 1967 Jean-Jacques Meynard PSU Médecin
    1967 mars 1983 Fernand Balez PCF Conseiller général du canton d'Alès-Ouest (1973-1998)
    mars 1983 mars 2008 Jean Sirvin PS  
    mars 2008 2014 Philippe Roux FDG  
    mars 2014 En cours Jean-Charles Bénézet UDI Enseignant-chercheur à l'École nationale supérieure des mines d'Alès
    Conseiller départemental depuis 2021
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[10].

    En 2019, la commune comptait 7 055 habitants[Note 4], en augmentation de 2,8 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7268268899881 1021 1621 1931 2601 287
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3111 4251 3901 3741 4211 3861 3451 3631 371
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3971 3721 3801 3751 4331 4321 5081 5801 724
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 0252 5953 3043 9704 9735 4926 0026 3906 617
    2014 2019 - - - - - - -
    6 9517 055-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[11].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 091 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 7 229 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 440 [I 7] (20 020  dans le département[I 8]). 41 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (43,9 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]10,7 %12,9 %11,9 %
    Département[I 10]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 4 004 personnes, parmi lesquelles on compte 70,2 % d'actifs (58,3 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 29,8 % d'inactifs[Note 7],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 1 789 emplois en 2018, contre 1 888 en 2013 et 1 727 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 360, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,7 %[I 13].

    Sur ces 2 360 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 605 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    668 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Christol-lez-Alès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble668100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    558,2 %(7,9 %)
    Construction14722 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    18828,1 %(30 %)
    Information et communication71 %(2,2 %)
    Activités financières et d'assurance213,1 %(3 %)
    Activités immobilières142,1 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    659,7 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    10916,3 %(13,5 %)
    Autres activités de services629,3 %(8,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune (188 sur les 668 entreprises implantées à Saint-Christol-lès-Alès), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[12] :

    • Pyramide, hypermarchés (20 907 k€)
    • Pages Agencement, agencement de lieux de vente (13 358 k€)
    • Agencement Decoration Interieur - Adi, commerce de détail de meubles (2 072 k€)
    • RP Menuiserie, fabrication de meubles de bureau et de magasin (1 914 k€)
    • Prodecran, fabrication de peintures, vernis, encres et mastics (1 654 k€)

    Agriculture

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 25 lors du recensement agricole de 2020[Note 10] et la surface agricole utilisée de 534 ha[Carte 3],[Carte 4].

    Culture locale et patrimoine

    Bâtiments et lieux publics remarquables

    La Pyramide : monument, érigé en 1777 à l'initiative de Monseigneur de Beauteville, évêque d'Alès. Cet obélisque de pierre commémore la modification des voies abruptes reliant Montpellier (voir RN 110 actuelle), Alès et Anduze en chemins carrossables. Il aurait remplacé une borne indicatrice gallo-romaine.

    Bâtiments religieux

    • L'église Saint-Christophe de Saint-Christol-lès-Alès : reconstruite en 1842 sur les ruines d'une église incendiée en 1702 par les Camisards.
    • Le temple protestant de Saint-Christol-lès-Alès : inauguré le .
    • Le prieuré de Saint-Pierre de Vermeil, construit au XVIIIe siècle, fut utilisé comme église avant d'être partiellement détruit par les protestants à la fin du XVIIe siècle. À l'heure actuelle, le bâtiment n'a plus de destination religieuse.

    Monuments civils

    • Le château de Montmoirac : château fort du XIIe siècle.
    • Le château d'Arènes : possédé au XIIIe siècle par les Barral d'Arènes, reconstruit au XIVe siècle, il faisait partie de la paroisse de Saint-Martin d'Arènes dont le seigneur, François de Soussan, fut l'un des gouverneurs de la ville d'Alès. Il devint la propriété de François de Cambis (de la famille du Baron d'Alais) le .
    • Le château de Saint-Christol : le , il abrita une partie de la bourgeoisie d'Alès, mise en fuite par Jean Cavalier et ses Camisards, au mas Cauvy.
    • Le pont d'Arènes : construit au XIVe siècle.

    Musée

    • Musée du Scribe. Un univers sur l'écriture à découvrir. Tous les supports d'écriture utilisés depuis 3000 ans av. J.-C., des collections uniques d'encriers, de plumes et de porte-plume. Reconstitution d'une salle de classe des années 1920[14].

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Saint-Christol-lez-Alès est jumelé avec Stilton (Royaume-Uni) ().

    Enseignement supérieur et recherche

    • Station de recherche INRA / CNRS : Laboratoire de pathologie comparée du département santé des plantes et environnement. Implanté depuis 1966 sur Saint-Christol-lez-Alès et Montpellier, ce laboratoire concentre aujourd'hui ses activités de recherche sur la thématique « insecte », notamment les « interactions avec les agents pathogènes » et les applications biotechnologiques qui en découlent.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    6. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[13].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 d'Alès » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Christol-lez-Alès » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Graphie fautive utilisée par le code officiel géographique entre 1943 et le .
    2. « Retour sur la canicule d'août 2003 », sur le site de Météo France
    3. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Christol-lez-Alès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « ZNIEFF la « vallée moyenne des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    10. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    11. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    12. « Entreprises à Saint-Christol-lez-Alès », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    13. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    14. Site web du musée.
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