Saint-Crépin-d'Auberoche

Saint-Crépin-d'Auberoche est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Crépin.

Saint-Crépin-d'Auberoche

Le village de Saint-Crépin-d'Auberoche.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Clovis Tallet
2020-2026
Code postal 24330
Code commune 24390
Démographie
Gentilé Saint-Crépinois
Population
municipale
342 hab. (2019 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 27″ nord, 0° 53′ 22″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 241 m
Superficie 9,56 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Isle-Manoire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Crépin-d'Auberoche
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Crépin-d'Auberoche
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Crépin-d'Auberoche
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Crépin-d'Auberoche
Liens
Site web saint-crepin-dauberoche.fr

    Géographie

    Généralités


    Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune de Saint-Crépin-d'Auberoche se situe à la limite du Périgord noir et du Périgord central. S'étendant sur 9,56 km2, elle est traversée d'est en ouest sur environ trois kilomètres par le Manoire, un affluent de l'Isle.

    La route départementale 6089 (l'ancienne route nationale 89) dessert la commune, traversant le village de Saint-Crépin-d'Auberoche qui se situe, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres à l'ouest de Thenon et quinze kilomètres au sud-est de Périgueux.

    Le sentier de grande randonnée GR 36 tangente le territoire communal à l'est, sur une centaine de mètres, en limite de Milhac-d'Auberoche.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Crépin-d'Auberoche et des communes avoisinantes en 2016, avant la création de la commune nouvelle de Bassillac et Auberoche.

    Saint-Crépin-d'Auberoche est limitrophe de trois autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Crépin-d'Auberoche
    Bassillac et Auberoche
    Saint-Pierre-de-Chignac
    Saint-Geyrac

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Crépin-d'Auberoche est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4a-c, date du Santonien inférieur à supérieur, composée de calcaires crayeux gris glauconieux en plaquettes évoluant dans le secteur sud avec apparition de silex noirs ou bruns et de rudistes (formation de Saint-Laurent-sur-Manoire). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 783 - Thenon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Saint-Crépin-d'Auberoche.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 140 mètres[6] à l'ouest, là où le Manoire quitte la commune et entre sur celle de Saint-Pierre-de-Chignac, et 241 mètres[6] au nord, au lieu-dit Petit Vertiol[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 9,56 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,82 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Manoire[15],[Carte 1].

    Le Manoire, d'une longueur totale de 27,07 km, prend sa source dans la commune de Thenon et se jette dans l'Isle à Boulazac Isle Manoire, après avoir traversé sept communes[16].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 946 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[25] et qui se trouve à 36 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 44 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 13,1 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Crépin-d'Auberoche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,1 %), zones agricoles hétérogènes (41,2 %), prairies (4,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), terres arables (2,6 %)[37].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2012 pour le Manoire et ses rives, concernant la zone entre la route départementale 6089 et la ligne ferroviaire[38],[39].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Saint-Crépin-d'Auberoche proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :

    • Bas Russa
    • la Basse Picaudie
    • la Bombarie
    • la Borie
    • Chabaneix
    • la Charbonnière
    • le Cluzeau
    • Combas
    • Font de Vertiol
    • Fontaine de Chabaneix
    • la Forêt
    • la Gaillardie
    • la Gassia
    • les Gillerdies
    • le Grand Chemin
    • Haut Russa
    • l'Hébrardie
    • Lac Berche
    • Maison Neuve
    • la Merlatie
    • le Pech du Lys
    • Petit Vertiol
    • le Pey du Luc
    • la Picaudie
    • le Pigeonnier
    • le Pinier
    • la Place Ronde
    • Puygolfier
    • la Queue du Pré
    • la Renaudie
    • la Sigonie
    • la Tuilière
    • la Tuilière Basse.

    Toponymie

    Le nom de la commune fait référence à saint Crépin, martyr au IIIe siècle[41]. La seconde partie du nom s'explique par son appartenance à l'ancienne châtellenie d'Auberoche[41].

    En occitan limousin[42], la commune porte le nom de Sent Crespin d'Auba Ròcha[43].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu apparaît au XIIIe siècle sous la forme Sanctus Crispinus[41].

    Au XIVe siècle, Saint-Crépin (Saint Crespi) faisait partie de la châtellenie d'Auberoche[44].

    Les 24 et , le vicomte Arnaud de Bourdeille, gouverneur du Périgord, et sa troupe mettent en déroute les croquants à Saint-Crépin[45],[41].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Crépin-d'Auberoche a été rattachée au canton de Saint-Pierre-de-Chignac qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[46]. La commune est alors rattachée au canton d'Isle-Manoire, dont le bureau centralisateur est fixé à Boulazac.

    Intercommunalité

    En 2001, Saint-Crépin-d'Auberoche intègre dès sa création la communauté de communes Isle Manoire en Périgord. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par une intercommunalité élargie, Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981  ? Pierre Labrue    
             
    juin 1995[49]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Clovis Tallet SE[50] Contrôleur territorial

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Crépin-d'Auberoche relève[51] :

    Jumelages

     Valderredible (Espagne) depuis 2019[52]

    Démographie

    Les habitants de Saint-Crépin-d'Auberoche se nomment les Saint-Crépinois[53].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[55].

    En 2019, la commune comptait 342 habitants[Note 9], en augmentation de 10,32 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    289234247280284323312357345
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    347369365347379396390401353
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    349366352298290293269283263
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    246191175237229227261273294
    2015 2019 - - - - - - -
    341342-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 140 personnes, soit 41,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-huit) a fortement augmenté par rapport à 2010 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt établissements[58], dont dix au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un dans l'industrie[59].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Galerie de photos

    Distinction culturelle

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Crépin-d'Auberoche » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Saint-Crépin-d'Auberoche » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Crépin-d'Auberoche », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Crépin-d'Auberoche », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Saint-Crépin-d'Auberoche », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. Sandre, « le Manoire »
    17. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    22. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    23. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    24. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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    28. « Orthodromie entre Saint-Crépin-d'Auberoche et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    30. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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