Saint-Geyrac
Saint-Geyrac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Cet article concerne une commune du département de la Dordogne. Pour le cours d'eau, voir Saint-Geyrac (ruisseau).
Saint-Geyrac | |||||
L'église Saint-Cyr de Saint-Geyrac. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Nils Fouchier 2020-2026 |
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Code postal | 24330 | ||||
Code commune | 24421 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint Geyracois | ||||
Population municipale |
197 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 18″ nord, 0° 54′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 153 m Max. 257 m |
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Superficie | 17,10 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Isle-Manoire | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Généralités
La commune de Saint-Geyrac est incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1].
Communes limitrophes
Saint-Geyrac est limitrophe de six autres communes.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Geyrac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 783 - Thenon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | ||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent | ||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 153 mètres et 257 mètres[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,10 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,87 km2[4].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le ruisseau de Saint-Geyrac[15],[Carte 1].
Le Saint-Geyrac, d'une longueur totale de 20,36 km, prend sa source dans la commune de Bars et se jette dans le Manoire à Boulazac Isle Manoire, après avoir traversé neuf communes[16].
- Réseaux hydrographique et routier de Saint-Geyrac.
- Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Saint-Geyrac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[26] et qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 43 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].
Urbanisme
Typologie
Saint-Geyrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[36],[37].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59 %), zones agricoles hétérogènes (32,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6 %), prairies (2,6 %)[38].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
Le saint tutélaire et patron de la paroisse est saint Cyr, martyr à Tarse en Cilicie. C’était un enfant de trois ans. Il mourut avec sa mère sainte Juliette. On le fête le 16 juin. Le nom grec Kyrikos est souvent déformé en Cirice, Cirq, Cricq, Ciers, Ciergues. Geyrat pourrait bien être aussi une déformation de Cyr.
À cent mètres de l’église se trouvait une chapelle dédiée à saint Cirice. Le lieu est resté dit de la Chapelle Saint-Cirice. L’église possède une statue de Saint-Cirice et de sa mère : statue fort ancienne en bois qui se trouve actuellement au musée d’art religieux de Chancelade.
Le nom a évolué :
- En 1273, dans les archives des comtes du Périgord (Archambaud III, mort en 1295) : Sengeyrac.
- Un document pontifical d’Innocent VI (1352-1362) écrit aussi Sengeyracum.
- En 1365, Sanctum Geyracum.
- En 1380, ecclésiastiques de Sengeyraco (PV de Pierre des Mortiers).
- En 1555, Sengeirat.
- En 1688, sur un acte notarié, S Geira.
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Geyrat[39].
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom d'Union[6].
Histoire
Le curé Farginel, dans le but d’éviter toutes polémiques, met par écrit le plan des tombeaux en l’église de Saint-Geyrac le . Voici la transcription telle quelle, la compréhension du texte original ne posant pas de difficultés particulières[41] :
Saint-Geyrac le .
- Voyci ceux qui ont droit de tombeaux et de chapelle
- Mr de la vidalie droit de chapelle et de tombeaux
- en icelle du cotte de lepitre
- Le Sr reynaud a droit de chapelle et de tombeaux
- ‘Il y a dans la chapelle 2 poutres et six chevrons et 22 tables ou planches’
- Le Sr brassat de la grelerie droit de chapelle
- et de tombeaux sil fait paver et couvrir la chapelle
- Les Srs montayaud lestelou et ladel droit de
- chapelle et de tombeaux avec dautres dont les places
- sont interdites
- Dans la nef de leglise du cotte de levangile brassac
- sive lapeyriere sont en pocession de six pieds
- de large et six en long ‘pres’ la grosse pile de la chapelle
- de raynaud
- plus bas les sengilion famille eteinte
- succederent les escaliers six pieds de large et
- six pieds en long famille estainte encore
- plus bas la chapelle famille etainte toutes
- ces places qui estoint serviles ont recouvert
- leur liberte en faveur de leglise
- plus bas sont les tombeaux de fondalby six
- pied de large et six en long
- plus bas sont les tombeaux des deux
- famille de tibal de laureille en indivis de
- six pied de large et six pied de long sous la rante ‘annuelle’
- plus bas et pres les fons baptismeaux plasses
- vaquantes et interdites
- du cotte de lepitre pres la pile de la chapelle
- de notre Dame sont les tombeaux du Sr larue
- six pieds de large et six pieds en long
- plus bas les tombeaux du Sr chabasse sivé
- forty de loubiat trois places vaquantes entre
- deux et ledit sieur la rue et le sieur chabasse
- de six pieds de large et six en long
- plus bas les tombeaux de pierre de loubiat sivé
- de monsieur peyly par succession de six pieds de
- large et six en long
- plus bas une place qui a eté vandue a pierre
- lacombe marguillier aux conditions quil payeroit
- et quil fairoit paver il na jamay voulu faire ny
- lun ny lautre laquelle place est interdite six
- pieds de large
- plus bas sont les tombeaux de doujnisou destreguilh
- soubs une rente obituelle dont les arrerages sont grands,
- pres le benitier six pieds de large et six en long
- le milieu de leglise de six pieds de large depuy
- la porte jusques au sanctuaire libre toutes les places
- non pavées demeurent interdites
- Farginel curé a my ces memoires pour eviter les
- contestations ordinaires qui arrivent ordinairement
- entre les curés et les parroissiens a quoy on doit ajouter
- foy il ny a qu’a appeler les enciens en foy de quoy
- jay signé. Le 18 may 1735
- Farginel, curé
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Geyrac relève[48] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Les habitants de Saint-Geyrac se nomment les Saint Geyracois[49].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].
En 2019, la commune comptait 197 habitants[Note 10], en diminution de 10,45 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 92 personnes, soit 45,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (douze) a augmenté par rapport à 2010 (neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,8 %.
Établissements
Au , la commune compte 21 établissements[54], dont sept au niveau des commerces, transports ou services, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[55].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
À droite sur la route départementale 6 en venant de Périgueux, le château de Montferrier du XVIIe siècle est accosté de communs et d’un pavillon Louis XIII. Sur les collines, en face du château, la chartreuse de la Côte (ou gentilhommière de la Cotte) conserve des boiseries intéressantes du XVIIIe siècle. Avant le château, se situe la chartreuse de la Grêlerie du XVIIIe siècle.
L'église Saint-Cyr, romane, retouchée au XVe siècle, ornée d’un portail du XIIIe siècle, est inscrite aux monuments historiques depuis 1974[56]. Elle conserve une cuve baptismale du XIIe siècle, un Christ en bois du XVIIe siècle, un autel de bois doré du XVIIIe siècle et, placé au-dessus de la porte, un portrait de saint François de Sales offert par un habitant de Saint-Geyrac en 1739.
Le portail de l'église. La nef.
Personnalités liées à la commune
- Madame Gaillard Lacombe née de Bernières, de son nom d'artiste Marie Bernières-Henraux, sculptrice, ancienne élève de Rodin. Elle offrit à la cathédrale Saint-Front de Périgueux un tableau intitulé « Le Couronnement de la Vierge » de l'artiste italien Simone di Filippo. Ce tableau a été classé par les monuments historiques le [57].
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Décédé en fonctions.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Geyrac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Geyrac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Geyrac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Geyrac », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Geyrac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « le ruisseau de Saint-Geyrac »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
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- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « St. Geyrat » sur Géoportail (consulté le 2 octobre 2010)..
- Le nom occitan des communes du Périgord - Sengeirac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Archives Départementales de la Dordogne ( ADD - E DEP 1350 ) retranscrit par Gabriel Foglia le 25 juin 2007
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
- [PDF] Les Maires de la Commune de St Geyrac, Saint-Geyrac en Périgord !, consulté le 20 mars 2021.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 28 août 2014.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 22.
- https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-24-07-2.pdf
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Fiche commune Saint-Geyrac, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Dossier complet - Commune de Saint-Geyrac (24421) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Geyrac (24421) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
- « Église de Saint-Geyrac », notice no PA00082841, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 2 octobre 2010.
- « Tableau : Le Couronnement de la Vierge », notice no PM24000671, base Palissy, ministère français de la Culture. Consultée le 30 septembre 2010.
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