Saint-Geyrac

Saint-Geyrac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Cet article concerne une commune du département de la Dordogne. Pour le cours d'eau, voir Saint-Geyrac (ruisseau).

Saint-Geyrac

L'église Saint-Cyr de Saint-Geyrac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Nils Fouchier
2020-2026
Code postal 24330
Code commune 24421
Démographie
Gentilé Saint Geyracois
Population
municipale
197 hab. (2019 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 18″ nord, 0° 54′ 53″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 257 m
Superficie 17,10 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Isle-Manoire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Geyrac
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Geyrac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Geyrac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Geyrac

    Géographie

    Généralités

    La commune de Saint-Geyrac est incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1].

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Geyrac et des communes avoisinantes en 2016, avant la création de la commune nouvelle de Bassillac et Auberoche.

    Saint-Geyrac est limitrophe de six autres communes.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Geyrac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 783 - Thenon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Saint-Geyrac.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 153 mètres et 257 mètres[6],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,10 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,87 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le ruisseau de Saint-Geyrac[15],[Carte 1].

    Le Saint-Geyrac, d'une longueur totale de 20,36 km, prend sa source dans la commune de Bars et se jette dans le Manoire à Boulazac Isle Manoire, après avoir traversé neuf communes[16].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 937 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[26] et qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 43 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Geyrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59 %), zones agricoles hétérogènes (32,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6 %), prairies (2,6 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    Le saint tutélaire et patron de la paroisse est saint Cyr, martyr à Tarse en Cilicie. C’était un enfant de trois ans. Il mourut avec sa mère sainte Juliette. On le fête le 16 juin. Le nom grec Kyrikos est souvent déformé en Cirice, Cirq, Cricq, Ciers, Ciergues. Geyrat pourrait bien être aussi une déformation de Cyr.

    À cent mètres de l’église se trouvait une chapelle dédiée à saint Cirice. Le lieu est resté dit de la Chapelle Saint-Cirice. L’église possède une statue de Saint-Cirice et de sa mère : statue fort ancienne en bois qui se trouve actuellement au musée d’art religieux de Chancelade.

    Le nom a évolué :

    • En 1273, dans les archives des comtes du Périgord (Archambaud III, mort en 1295) : Sengeyrac.
    • Un document pontifical d’Innocent VI (1352-1362) écrit aussi Sengeyracum.
    • En 1365, Sanctum Geyracum.
    • En 1380, ecclésiastiques de Sengeyraco (PV de Pierre des Mortiers).
    • En 1555, Sengeirat.
    • En 1688, sur un acte notarié, S Geira.

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Geyrat[39].

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom d'Union[6].

    En occitan, la commune porte le nom de Sengeirac[40].

    Histoire

    Le curé Farginel, dans le but d’éviter toutes polémiques, met par écrit le plan des tombeaux en l’église de Saint-Geyrac le . Voici la transcription telle quelle, la compréhension du texte original ne posant pas de difficultés particulières[41] :

    Saint-Geyrac le .

    Voyci ceux qui ont droit de tombeaux et de chapelle
    Mr de la vidalie droit de chapelle et de tombeaux
    en icelle du cotte de lepitre
    Le Sr reynaud a droit de chapelle et de tombeaux
    ‘Il y a dans la chapelle 2 poutres et six chevrons et 22 tables ou planches’
    Le Sr brassat de la grelerie droit de chapelle
    et de tombeaux sil fait paver et couvrir la chapelle
    Les Srs montayaud lestelou et ladel droit de
    chapelle et de tombeaux avec dautres dont les places
    sont interdites
    Dans la nef de leglise du cotte de levangile brassac
    sive lapeyriere sont en pocession de six pieds
    de large et six en long ‘pres’ la grosse pile de la chapelle
    de raynaud
    plus bas les sengilion famille eteinte
    succederent les escaliers six pieds de large et
    six pieds en long famille estainte encore
    plus bas la chapelle famille etainte toutes
    ces places qui estoint serviles ont recouvert
    leur liberte en faveur de leglise
    plus bas sont les tombeaux de fondalby six
    pied de large et six en long
    plus bas sont les tombeaux des deux
    famille de tibal de laureille en indivis de
    six pied de large et six pied de long sous la rante ‘annuelle’
    plus bas et pres les fons baptismeaux plasses
    vaquantes et interdites
    du cotte de lepitre pres la pile de la chapelle
    de notre Dame sont les tombeaux du Sr larue
    six pieds de large et six pieds en long
    plus bas les tombeaux du Sr chabasse sivé
    forty de loubiat trois places vaquantes entre
    deux et ledit sieur la rue et le sieur chabasse
    de six pieds de large et six en long
    plus bas les tombeaux de pierre de loubiat sivé
    de monsieur peyly par succession de six pieds de
    large et six en long
    plus bas une place qui a eté vandue a pierre
    lacombe marguillier aux conditions quil payeroit
    et quil fairoit paver il na jamay voulu faire ny
    lun ny lautre laquelle place est interdite six
    pieds de large
    plus bas sont les tombeaux de doujnisou destreguilh
    soubs une rente obituelle dont les arrerages sont grands,
    pres le benitier six pieds de large et six en long
    le milieu de leglise de six pieds de large depuy
    la porte jusques au sanctuaire libre toutes les places
    non pavées demeurent interdites
    Farginel curé a my ces memoires pour eviter les
    contestations ordinaires qui arrivent ordinairement
    entre les curés et les parroissiens a quoy on doit ajouter
    foy il ny a qu’a appeler les enciens en foy de quoy
    jay signé. Le 18 may 1735
    Farginel, curé

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[44]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    janvier 1790   François Reynaud   Avocat
    1792   M. Brassat    
    1793 (an III)   Claude Beaupuy    
    1795   M. Desmaison    
    1800 (an VIII)   Pierre Brassat Meynot    
    1807 1830 François Desmaison    
    1830   François Gérard    
    1832 1834 François Desmaison[Note 9]    
    1834 1840 Pierre Foulcon Peyli    
    1840   M. Laroche Lacoudomie   Médecin
    1842 février 1879 Joseph Brachet Lamenuze[Note 9]    
    1879   M. Foulcon Peyli    
    1881 1900 Marc de Salleneuve    
    1900 1926 Marc Fournet de Vaux    
    novembre 1926 juillet 1932 Jean Augustin Théodore[Note 9]    
    décembre 1932 1945 Louis Plazanet    
    mai 1945 février 1947 Théophile Renaudie[Note 9]    
    juin 1947 1953 Louis Bord    
    mai 1953   Gaëtan de Lorgeril    
    mars 1959 1971 André Beaupuy    
    mars 1971   Robert Théodore    
    1977 juin 1995 René Bellinet    
    juin 1995[45] juillet 2020 Jean-François Mathieu DVG[46] Retraité de l'éducation nationale
    juillet 2020 En cours Nils Fouchier DVG[47] Directeur de centre social

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Geyrac relève[48] :

    Démographie

    Les habitants de Saint-Geyrac se nomment les Saint Geyracois[49].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].

    En 2019, la commune comptait 197 habitants[Note 10], en diminution de 10,45 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600525539536696687676590662
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    712708706702680601563575587
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    551520514468432409437375306
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    265253244235212199225220242
    2014 2019 - - - - - - -
    207197-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 92 personnes, soit 45,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (douze) a augmenté par rapport à 2010 (neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 21 établissements[54], dont sept au niveau des commerces, transports ou services, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[55].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    À droite sur la route départementale 6 en venant de Périgueux, le château de Montferrier du XVIIe siècle est accosté de communs et d’un pavillon Louis XIII. Sur les collines, en face du château, la chartreuse de la Côte (ou gentilhommière de la Cotte) conserve des boiseries intéressantes du XVIIIe siècle. Avant le château, se situe la chartreuse de la Grêlerie du XVIIIe siècle.

    L'église Saint-Cyr, romane, retouchée au XVe siècle, ornée d’un portail du XIIIe siècle, est inscrite aux monuments historiques depuis 1974[56]. Elle conserve une cuve baptismale du XIIe siècle, un Christ en bois du XVIIe siècle, un autel de bois doré du XVIIIe siècle et, placé au-dessus de la porte, un portrait de saint François de Sales offert par un habitant de Saint-Geyrac en 1739.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Décédé en fonctions.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Geyrac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Saint-Geyrac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Geyrac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Geyrac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Saint-Geyrac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. Sandre, « le ruisseau de Saint-Geyrac »
    17. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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