Saint-Denis-de-Vaux

Saint-Denis-de-Vaux est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Saint-Denis-de-Vaux

Vue du village.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Fabienne Saint-Arroman
2020-2026
Code postal 71640
Code commune 71403
Démographie
Gentilé Dionysiens
Population
municipale
260 hab. (2019 )
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 47″ nord, 4° 41′ 54″ est
Altitude Min. 230 m
Max. 431 m
Superficie 3,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Givry
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Denis-de-Vaux
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Saint-Denis-de-Vaux
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Saint-Denis-de-Vaux
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Saint-Denis-de-Vaux

    Géographie

    La commune est située en Bourgogne, dans le département de Saône-et-Loire, à environ 13 kilomètres de Chalon-sur-Saône. C'est un village viticole de la côte chalonnaise, faisant partie de la vallée des Vaux.

    Communes limitrophes

    Accès et transports

    Le village est situé à proximité des grands axes de circulation, à 16 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 10 kilomètres des voies ferrées ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles et 18 kilomètres de LGV Sud-Est (TGV) (Le Creusot) et à 6 kilomètres de la route nationale 80 Chalon-Moulins. Le village est aussi desservi par la ligne D du réseau Zoom des transports en commun du Grand Chalon.

    Géologie et relief

    Le territoire de la commune, essentiellement viticole, s'étend dans un paysage vallonné. Le vignoble a été implanté sur des sols où se sont déposés les sédiments marno-argilo-calcaires des mers jurassiques (230 à 135 millions d'années). L'altitude du village varie entre 230 et 431 mètres.

    Hydrographie

    Il y a une rivière, l'Orbise qui borde le village sur 75 mètres de sa rive droite.

    Climat

    C'est un climat tempéré à légère tendance continentale avec des étés chauds et des hivers froids[RP 1], avec une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogènes sur l'année, avec un mois de mai le plus pluvieux de l'année. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise. Les gelées tardives sont peu fréquentes sur le village en général. Il y a bien quelques lieux-dits où les risques de gelées sont plus importante (on parle de zones gélives). De violents orages peuvent s'abattre sur la commune avec rarement de la grêle.

    Valeurs climatiques de Dijon et Mâcon, car Saint-Denis-de-Vaux est située entre ces deux villes.

    Dijon

    Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'à 1990 :

    Relevés Dijon ????-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −1 0,1 2,2 5 8,7 12 14,1 13,7 10,9 7,2 2,5 −0,2 6,3
    Température moyenne (°C) 1,6 3,6 6,5 9,8 13,7 17,2 19,7 19,1 16,1 11,3 5,6 2,3 10,5
    Température maximale moyenne (°C) 4,2 7 10,8 14,7 18,7 22,4 25,3 24,5 21,3 15,5 8,6 4,8 14,8
    Précipitations (mm) 49,2 52,5 52,8 52,2 86,3 62,4 51 65,4 66,6 57,6 64,2 62 732,2
    Source : Infoclimat : Dijon (????-1990)[1]
    Mâcon

    Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :

    Relevés Mâcon 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,6 0,7 2,5 5,2 8,9 12,3 12,4 13,9 11,1 7,5 2,9 0,1 6,6
    Température moyenne (°C) 2,1 4 6,8 10 13,9 17,5 20,1 19,4 16,4 11,7 6 2,7 10,9
    Température maximale moyenne (°C) 4,9 7,3 11,1 14,8 18,9 22,8 25,7 24,9 21,7 15,9 9,1 5,3 15,2
    Précipitations (mm) 66,3 60,9 58,7 69,4 85,9 74,7 58,1 77,1 75,7 71,7 72,7 70,4 841,4
    Source : Infoclimat : Mâcon (1961-1990)[2]

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Denis-de-Vaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,6 %), forêts (27,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,1 %), cultures permanentes (8,9 %), zones urbanisées (7,6 %), prairies (2 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Histoire

    Antiquité

    Il a été retrouvé lors des fouilles au début du XXe siècle dans la grotte des Teux Blancs un biface de type acheuléen prouvant que l'homme a séjourné dans cette caverne, du moins temporairement[MATB 1]. Il a été également découvert des sépultures d'un cimetière mérovingien dans ce village[MATB 1].

    Moyen Âge et Renaissance

    Au XIIIe siècle, l'évêque Girard de La Roche de Beauvoir acquiert presque tous les fonds de la seigneurie de Saint-Denis de Vaux[RP 2]. Sanctus Dyonisius in Vallibus est mentionné au XIIe siècle dans le cartulaire de l'évêché d'Autun ; le village est alors le siège d'un prieuré bénédictins qui a droit de justice[MATB 1].

    Époque moderne

    Pendant les dernières années du XVe siècle, aux XVIe et XVIIe siècles, les catastrophes comme la famine, la peste, les gelées tardives, la sécheresse, les inondations et les passages de gens d'armes se sont abattues sur le village[MATB 2].

    XIXe siècle

    En 1812, le vignoble représentait 206 hectares, plantés en gamay blanc et noir, mais en 1879, le phyloxera a presque entièrement détruit le vignoble implanté sur la commune[MATB 3]. À la fin du XIXe siècle, le village comptait deux exploitants de carrière, deux maçons, un forgeron, un sabotier, deux cordonniers, deux épiciers-merciers, un loueur d'alambics, un bouilleur d'eaux-de-vie, trois aubergistes, deux voituriers et une société musicale[MATB 4].

    XXe siècle

    Dans les années 1920-1930, il est recensé deux aubergistes, un bouilleur d'eaux-de-vie, un receveur-buraliste-tabac, un tonnelier, un maçon, un voiturier-messager et un garde champêtre[MATB 4]. Le , lors de la Deuxième Guerre mondiale, les Allemands perquisitionnent une ferme du village où ont séjourné des maquisards, puis incendient cette ferme et arrêtent deux personnes qui seront déportées par la suite[MATB 5].

    XXIe siècle

    Depuis 2002, par l'intermédiaire du regroupement pédagogique intercommunal, la commune voit ses enfants scolarisés dans une des quatre communes, le village lui-même, Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Jean-de-Vaux et Barizey[MATB 5]. En , la commune a rejoint la communauté d'agglomération de Chalon Val de Bourgogne.

    Politique et administration

    Tendances politiques

    Saint-Denis-de-Vaux est une commune qui vote majoritairement à droite. Depuis 1997, la droite est arrivée en tête dans 14 élections, la gauche dans 9 élections, le centre dans une et l'extrême-droite dans une aussi[Jsl 1],[Jsl 2],[Jsl 3],[Jsl 4],[Jsl 5],[Jsl 6],[Jsl 7],[Jsl 8],[Jsl 9],[Jsl 10],[Jsl 11],[Jsl 12],[Jsl 13],[Jsl 14],[Jsl 15],[Jsl 16],[Jsl 17],[Jsl 18],[Jsl 19].

    Administration municipale

    Saint-Denis-de-Vaux dépend de la sous-préfecture de Saône-et-Loire à Chalon-sur-Saône. Le conseil municipal est composé de 11 membres conformément à l’article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[10]. À l'issue des élections municipales de 2014, Fabienne Saint-Arroman a été réélue maire de la commune[Jsl 20].

    Listes des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Jacqueline Desprey    
    juin 1995 en cours Fabienne Saint-Arroman UMP-LR Viticultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Canton et intercommunalité

    Cette commune fait partie du canton de Givry, comptant 12 057 habitants en 2007. En intercommunalité, ce village fait partie du Grand Chalon. Pierre Voarick est conseiller général de ce canton depuis 1998.

    Instance judiciaire et administrative

    Dans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi[Quoi ?] de la commune de Chalon-sur-Saône qui possède un tribunal d'instance et un tribunal de grande instance, d'un tribunal de commerce et d'un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Dijon[11].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[13].

    En 2019, la commune comptait 260 habitants[Note 3], en diminution de 9,09 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    324406396350259360343337346
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    344369362359359402423400375
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    364343290236215203222184215
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    178175190194204245261285264
    2019 - - - - - - - -
    260--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramides des âges

    École.

    Enseignement

    La commune de Saint-Denis-de-Vaux est située dans l'académie de Dijon. Il existe une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Jean-de-Vaux et Barizey. Le collège le plus proche est situé à Givry et les lycées les plus proches à Chalon-sur-Saône.

    Sports, loisirs

    La randonnée, la chasse.

    Santé

    Il n'y a pas de docteur, pas de pharmacie, pas de kinésithérapeute, pas de dentiste dans ce village. Les plus proches se trouvent à Givry, Mercurey ou Mellecey. Le centre hospitalier se trouve à Chalon-sur-Saône.

    Cultes

    Culte catholique en alternance avec d'autres paroisses.

    Écologie et recyclage

    Le Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères.

    Vignes.

    Économie

    La viticulture avec la présence de cinq domaines viticoles (Domaine Laugerotte-Gunia, GAEC Duchesne, Domaine de l'Évêché, Domaine Landré et Domaine Le Meix de la Croix)[RP 3]. Il y a de nombreux gîtes dans le village, une Maison d'Hôtes et de Table d'Hôtes, et aussi une entreprise de travaux publics[RP 4].

    Vignoble

    Ce village viticole produit les appellations Bourgogne Côte Chalonnaise (vin rouge et vin blanc), Bourgogne (vin rouge, vin blanc, vin rosé), Bourgogne Passetougrain (vin rouge), Bourgogne Aligoté, crémant de Bourgogne (vin effervescent) ainsi que l'AOC Coteaux Bourguignons.

    Église.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    Parti: au 1er d'azur semé de fleurs de lys d'or chargé en chef d'un lambel à l'antique de trois pendants de gueules, au 2e bandé d'or et d'azur et à la bordure de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs, éditions JPM, 2005, 400 p. (ISBN 2-84786-036-3)
    • La Saône-et-Loire. Les 573 communes, éditions Delattre, Granvilliers, 2006, 255 pages, (ISBN 2-915907-23-4)
    • Eugène Leclerc, Une promenade en vallée des Vaux, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 48 (hiver 1981), pp. 3–6.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Le Journal de Saône-et-Loire

    1. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 28 mars 2011, Canton de Givry, p. 9.
    2. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 21 mars 2011, Canton de Givry, p. 10.
    3. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2010, Canton de Givry, p. 8.
    4. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 15 mars 2010, Canton de Givry, p. 7.
    5. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 8 juin 2009, Canton de Givry, p. 7.
    6. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 11 juin 2007, Canton de Givry, p. 18.
    7. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 18 juin 2007, Canton de Givry, p. 20.
    8. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 7 mai 2007, Canton de Givry, p. 18.
    9. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 avril 2007, Canton de Givry, p. 19.
    10. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 2004, Canton de Givry, p. 4.
    11. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 29 mars 2004, Canton de Givry, p. 10.
    12. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2004, Canton de Givry, p. 10
    13. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du mardi 23 mars 2004, Canton de Givry, p. 8.
    14. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 10 juin 2002, Canton de Givry, p. 16.
    15. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 17 juin 2002, Canton de Givry, p. 14.
    16. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 avril 2002, Canton de Givry, p. 14.
    17. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 1999, Canton de Givry, p. 4.
    18. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 mars 1998, Canton de Givry, p. 6.
    19. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 26 mai 1997, Canton de Givry, p. 24.
    20. Le Journal de Saône-et-Loire, édition Chalon du 2 avril 2014, p. 11

    Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs

    1. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  313.
    2. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  314.
    3. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  316.
    4. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  317.
    5. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  318.

    Livres, ouvrages, sources papier

    1. André Dominé : Le vin, « La Bourgogne », p. 181.
    2. La Saône-et-Loire : Les 573 communes (page sur Saint-Denis-de-Vaux), p.  179.
    3. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire, 2010, Vins, p.  608.
    4. Annuaire Pages blanches de Saône-et-Loire, 2010, Saint-Denis-de-Vaux, p.  734.

    Autres sources

    1. Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990) Consulté le 17 décembre 2008
    2. Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990) Consulté le 17 décembre 2008
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. « nombre des membres du conseil municipal des communes », sur Legifrance (consulté le ).
    11. « Annuaire des juridictions », sur le site du ministère de la justice (consulté le ).
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    16. Les reproductions de la grotte de Lourdes dans notre diocèse : la fin de l'enquête, revue « Église d'Autun » n° 20 du 6 décembre 2019, pages 668-669.
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