Saint-Florent-sur-Cher
Saint-Florent-sur-Cher est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Florent.
Saint-Florent-sur-Cher | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Cher | ||||
Arrondissement | Bourges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes FerCher - Pays Florentais (siège) |
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Maire Mandat |
Nicole Progin 2020-2026 |
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Code postal | 18400 | ||||
Code commune | 18207 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
6 442 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 287 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 59′ 47″ nord, 2° 15′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 164 m |
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Superficie | 22,41 km2 | ||||
Unité urbaine | Saint-Florent-sur-Cher (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Bourges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chârost | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | ville-saint-florent-sur-cher.fr | ||||
Géographie
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Champagne berrichonne
Localisation
Villeneuve-sur-Cher | Morthomiers | |||
Civray | N | Le Subdray | ||
O Saint-Florent-sur-Cher E | ||||
S | ||||
Lunery | Saint-Caprais |
Axes ferroviaires
La gare de Saint-Florent est située sur la ligne Bourges - Montluçon, avec notamment deux trains directs pour Paris chaque jour.
Axes routiers
D'autre part, la commune est desservie par la ligne d'autocars TER Centre-Val de Loire : Châteauroux ↔ Bourges, ainsi que par la ligne 8 du réseau urbain de Bourges et par la ligne V du Réseau de mobilité interurbaine[1].
Urbanisme
Typologie
Saint-Florent-sur-Cher est une commune urbaine[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Florent-sur-Cher, une unité urbaine monocommunale[5] de 6 537 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,4 %), forêts (21,9 %), zones urbanisées (17,9 %), prairies (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[10].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Florent-sur-Cher est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997 et 1999[13],[11].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[14]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 89,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 770 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2052 sont en en aléa moyen ou fort, soit 74 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[16].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2002, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[11].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[17].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].
Histoire
Saint-Florent-sur-Cher est une ville qui existe depuis la période gallo-romaine (« vicus aureus », le village doré, puis Bourg-Doré). Le premier monument construit fut l’église paroissiale au XIe siècle. Au XIIIe siècle s’est installée une seigneurie connue[19],[20], dépendant directement de la Grosse Tour de Bourges.
Vers la mi-XIIIe siècle, le seigneur est Jean des Barres d'Oissery[21], fils de Guillaume III (et de sa 2e femme Héloïse Britaut de Nangis plutôt que de la 1re, Béatrice de Thiern comtesse de Chalon ?) et petit-fils de Guillaume II des Barres ; il vend St-Florent et Villeneuve en 1278 à Pierre Leroy, et la famille Leroy (ou Le Roy)[22] va garder St-Florent jusqu'au XVIIe siècle, avec St-Caprais. Le château est pillé et brûlé lors du début des Guerres de religion en octobre 1562 (par les Protestants menés par Jean d'Hangest sire d'Ivoi et Genlis : le seigneur Jacques IV Le Roy doit s'enfuir) ; puis en septembre 1590 (le château est mis en défense par le ligueur Claude de La Châtre, gouverneur du Berry, secondé par Gabriel Le Roy de Moulin-Neuf, frère puîné de Jacques IV ; pris par des partisans du nouveau roi huguenot Henri IV ; mais repris par le sieur de Richemont, de la Ligue).
Les derniers Le Roy sont les enfants de Jacques IV Le Roy (né vers 1527 ; fils de Jacques III) : Claude (sire en 1592-† 1624 sans postérité), et ses frères et sœur Charlotte (épouse de Charles de Saint-Avit d'Aigues-Mortes), Jacques/Claude (abbé de Chaumont, comme son oncle paternel Claude, frère puîné de Jacques IV), Jean (prieur de Dame-Sainte, abbé d'Epernay en 1596-1606 et de Selincourt ; son oncle paternel Jean, autre frère puîné de Jacques IV, avait été prieur de Dame-Sainte, chanoine de St-Etienne et Grand-vicaire de Bourges), et le chevalier de Malte Gabriel Le Roy ; ces derniers vendent Saint-Florent en janvier 1625, contre 50 300 livres, à Henri II (1588-1646), prince de Condé, gouverneur du Berry, acquéreur d'immenses possessions en Berry et Bourbonnais (dans l'Indre et le Cher) ; son fils, le Grand Condé, puis son petit-fils Henri-Jules lui succèdent.
Les Condés (la duchesse du Maine, fille d'Henri-Jules ? ou sa nièce, Mlle de Vermandois ?) vendent en 1729 à François Thabaud de La Terrée (conseiller du roi, receveur des tailles à Issoudun, lieutenant au bailliage de Berry), dont la fille Catherine Thabaud, née en 1717, épouse en 1733 avec postérité Pierre-Joseph de L'Estang[23], né en 1711. Ce dernier vend en 1779 à Charles-Joseph Patissier de Bussy (né vers 1718/1720-† 1785), marquis de Castelnau et gouverneur des Etablissements français de l'Inde, dont la nièce Charlotte-Catherine-Sophie, fille de son frère Bouchard Patissier de Bussy, marie en 1775 Antoine-Charles-Gabriel marquis de Folleville (1749-1835).
Le château servait de centre de contrôle du travail des mariniers et des flotteurs de la Marine Royale, pour lesquels deux ports furent construits de chaque côté du pont. Des liens avec les villages voisins se créent grâce à la création d’une route entre Bourges et Saint-Florent en 1803, d’un nouveau pont en 1832, d’un viaduc en 1892 et l'arrivée du chemin de fer en 1893.
En 1793, sous la Révolution, St-Florent est rebaptisé Marat-sur-Cher, en l'honneur du révolutionnaire assassiné.
En septembre 1825, Mme de Folleville vend le domaine avec le château à Scipion Bourguet marquis de Travanet (1794-1847 ; maire d'Asnières puis conseiller général du canton de Chârost, il demeure actif à St-Florent après le vente de 1835 évoquée ci-après, puisqu'il construit en 1842 le haut-fourneau des Lavoirs[24] ; son oncle paternel Jean-Joseph-Guy Bourguet 1er marquis de Travanet industrialisa Royaumont[25]) et à son beau-frère Jacques-Joseph Lon(g)champt (époux de sa sœur Marie-Josèphe Bourguet de Travanet).
En janvier 1835, vente à Carpentier, négociant à La Charité, † 1845 ; sa fille unique épouse en 1839 Jules Brunet, industriel orléanais, qui transforme complètement le château pour lui donner son aspect actuel de style Louis XII[26], et devient maire de St-Florent. En 1890 : vente au comte de Courcelles, qui restaure et crénelle le donjon ; en 1899 : vente à Renevey, industriel, puis son gendre Malapert hérite. En 1936, la municipalité communiste achète le domaine à monsieur Malapert (le château et le parc de 13 ha, pour 500 000 francs par souscription publique). Le château devient Hôtel de Ville, et en septembre 1936, sous le Front populaire, la liesse populaire célèbre cette prise de possession démocratique — aube d'une nouvelle vie pour le domaine — d'autant que la commune y accueille des réfugiés espagnols.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages et échanges
- La commune adhère à l'association des « Saint Florent de France » regroupant 7 communes intégrant Saint Florent dans leur nom.
- Saint-Florent-le-Jeune (Loiret).
- Saint-Florent (Haute-Corse).
- Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire).
- Saint-Florent-des-Bois (Vendée).
- Saint-Florent-sur-Auzonnet (Gard).
- Saint-Florent (Deux Sèvres), ancienne commune, fusionnée avec Niort en 1969.
Les 10es échanges auront lieu les 3 et 4 juillet 2010 à Saint-Florent-sur-Cher.
- La ville de Saint-Florent-sur-Cher est jumelée aussi avec la ville allemande de Neu Anspach pour avoir la chance d'effectuer des échanges scolaires.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2019, la commune comptait 6 442 habitants[Note 3], en diminution de 2,82 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Cadre de vie
Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[34].
Presse écrite
Télévision
Économie
L'industrie, déjà fortement installée avec les mines de fer locales, se développe aux XVIIIe et XIXe siècles avec l’arrivée des hauts-fourneaux, de tuileries, de fours à chaux et à plâtre. Saint-Florent devient vite réputée pour son industrialisation avec les usines Labbé (1842), l'apparition du décolletage Morin (1895-96), Massicot (1897) et la Société Industrielle (1900). De nombreux emplois sont créés, ce qui permet à la ville de s’accroître avec 3 445 habitants en 1891 contre 887 en 1821.
Grâce à l’évolution du décolletage, le potentiel de l’industriel de Saint-Florent a permis à d’autres secteurs de se développer. Une industrie du caoutchouc s’est implantée de 1937 à 1997.
Aujourd’hui la zone industrielle de la Vigonnière, très diversifiée dans ses activités, est au centre de la vie économique de cette ville d’environ 7 000 habitants.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Saint-Florent-sur-Cher est inscrit au titre des monuments historiques en 1936[35].
- Viaduc.
Le viaduc a été construit en 1892-1893 pour la ligne reliant les grands établissements militaires de Bourges à l’est et à l’ouest de la France. Le tronçon de Saint-Florent à Issoudun fut inauguré le 13 décembre 1893.
Il a 15 arches de plein cintre de 30 m d’ouverture et 35 m de hauteur et passe au-dessus de 2 routes, des 2 bras de la rivière (le Cher) et de l’île qui les sépare. Cette œuvre est due à M. Dubreuil, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées[36].
- Les ponts
Depuis la conquête de la Gaule, c’est sur les ruines des ponts construits par les Romains que l’on a greffé tous les autres à Saint-Florent-sur-Cher. On voit encore aujourd’hui les restes des ruines du vieux pont de pierre près de l’île. Celui-ci fut construit sous l’impulsion du prince de Condé, réparé et renforcé en 1641 par l’architecte Jean Lejuge. 4 piles sont détruites par les crues en 1642 puis 9 arches sont emportées par le Cher en 1707. On refait alors 100 m de pont en bois. En 1823, les crues du Cher et de l’Auron détruisent, entre autres, tous les ouvrages en bois établis sur ces rivières)[36].
Un nouveau pont de 7 arches de plein cintre fut construit de 1827 à 1832. Il a profité de plusieurs améliorations depuis sa création et est toujours en service.
- Église Saint-Florent XIXe
La première construction en pierre de l’église remonte au XIe siècle. Elle est détruite en 1850 et reconstruite suivant le style néo-gothique entre 1849 et 1863[37].
- Usine métallurgique des Lavoirs est partiellement classée et inscrite au titre des monuments historiques en 1991 et 1992[24].
- Château - mairie.
- Château - mairie.
- Viaduc de Saint-Florent-sur-Cher, 1892-1893.
- Pont de 7 arches de plein cintre, construit de 1827 à 1832, Saint-Florent-sur-Cher.
- Ruines du vieux pont de pierre, Saint-Florent-sur-Cher.
- Église saint Florent XIXe, Saint-Florent-sur-Cher.
Personnages liés à la commune
Rosa Bailly (1890-1976), femme de lettres et traductrice de la littérature polonaise. Elle a été appelée « la grande amie de la Pologne ».
Les trois membres fondateurs du magazine Ciné Live (Laurent Cotillon, Grégory Alexandre et Emmanuel Cirodde), sont originaires de Saint-Florent-sur-Cher.
Héraldique
Blason | D'azur à neuf tiercefeuilles d'or ordonnées 3, 3, 2 et 1[38]. |
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Détails | Inspiré des armes de la famille Le Roy qui posséda la seigneurie de Saint-Florent du XIIe au XVIIe siècle (cf. alias). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | Armes de la famille Le Roy de Saint-Florent-sur-Cher. |
Voir aussi
Liens externes
Sources
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Notes carte
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Florent-sur-Cher », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Florent-sur-Cher », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « La seigneurie et l'ancien canton de St-Florent-sur-Cher, 2e partie, p. 3-55 (et -74), par Louis Cartier de Saint-René », sur Mémoires de la Société historique, littéraire et scientifique du Cher, 4e série, 26e volume, 1912, mis en ligne par Gallica-BnF.
- « Château-Hôtel de Ville de St-Florent-sur-Cher », sur Montjoye.
- « Maison des Barres, p. 2 et 4-6 », sur Racines & Histoire.
- « Saint-Florent, p. 687-690 : les Le Roy, notamment p. 689 », sur Histoire de Berry, par Gaspard Thaumas de La Thaumassière, chez François Toubeau, à Bourges, 1689.
- « Catherine Thabaud de La Terrée », sur Geneanet, arbre de Sophie de Roux.
- « Usine métallurgique des Lavoirs », notice no PA00096944, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les frères Travanet à Royaumont (avec tableau généalogique entre les p. 4 et 5), par Françoise Klein, août 2007 », sur Royaumont.
- « Le château-mairie de St-Florent-sur-Cher, 2008 », sur Le Jardinoscope.
- indiquée en fonctions en 1988, Brigitte Coulon, Gérard Coulon, « Les femmes à la conquête de leurs droits : autour d'une polémique dans la presse locale en 1913 », Berry no 7, automne 1988, ISSN 0985-1569, p. 8
- « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
- « Château », notice no PA00096884, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L. Cartier de Saint-René, Saint-Florent-sur-Cher et ses environs, Res Universis, collection Monographies des Villes et Villages de France, 1991 (1re édition : 1911-1912)
- Le patrimoine des communes du Cher, collaboration rédactionnelle et photographie par canton, Floric éditions T1 et T2.
- « 18207 Saint-Florent-sur-Cher (Cher) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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