Saint-Georges-lès-Baillargeaux

Saint-Georges-lès-Baillargeaux est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Georges, Saint Georges (homonymie) et Georges.

Saint-Georges-lès-Baillargeaux

L'église Saint-Georges.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Grand Poitiers
Maire
Mandat
Éric Ghirlanda
2020-2026
Code postal 86130
Code commune 86222
Démographie
Population
municipale
4 233 hab. (2019 )
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 40′ 18″ nord, 0° 24′ 03″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 143 m
Superficie 33,90 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Georges-lès-Baillargeaux
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jaunay-Marigny
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-lès-Baillargeaux
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-lès-Baillargeaux
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Saint-Georges-lès-Baillargeaux
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Georges-lès-Baillargeaux
Liens
Site web www.saint-georges-les-baillargeaux.fr

    Géographie

    Au nord de l'agglomération, les terrasses du Clain sont exploitées de part et d'autre de la route. Ces carrières présentent un décor étrange, rougeâtre, ocre avec des parois qui changent de couleur en fonction des travaux. On y a trouvé de l'outillage et des ossements d'animaux datant de la préhistoire.

    Communes limitrophes de Saint-Georges-lès-Baillargeaux
    Dissay
    Jaunay-Marigny Bonneuil-Matours
    Chasseneuil-du-Poitou Montamisé La Chapelle-Moulière

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 700 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marigny Brizay », sur la commune de Jaunay-Marigny, mise en service en 1991[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 614 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 13 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Georges-lès-Baillargeaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-lès-Baillargeaux, une unité urbaine monocommunale[17] de 4 168 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33 %), forêts (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), zones urbanisées (8 %), prairies (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du bourg proviendrait de baillarge qui est le nom d'une orge de printemps ramenée par Charlemagne[23].

    Histoire

    Antiquité

    La crête au-dessus du Clain, proche de la ville actuelle, est occupée au Néolithique[24].Au lieu-dit Varennes, une enceinte a, en effet, été découverte. Elle est délimitée par un double fossé. De nombreux ossements humains et d’animaux y ont été retrouvés ainsi que des outils en pierre.

    Une importante résidence aristocratique gauloise a été retrouvée aux Gains. L’enclos, parfaitement carré, avait une superficie de 7 200 m2 ; il était protégé par un fossé de 4,5 m de largeur et 2,5 m de profondeur[24]. L’entrée était défendue par un monumental porche en bois, et la résidence, de 80 m2, était décorée d’enduits peints[24]. Elle est incendiée à la fin du Ier siècle[24] et le site est abandonné environ 20 ans plus tard[25].

    D'autres découvertes proches (tombe féminine du Mia, très proche) témoignent également de la présence d'une riche aristocratie à la fin de la période d'Indépendance gauloise[24].

    Révolution française

    Saint-Georges-lès-Baillargeaux accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires[26]. Un peu plus tard, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour la Montagne, hommage à la Montagne, courant dominant auquel appartenait Robespierre[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1870 septembre 1875 Louis Marsault   Décédé en fonction
    janvier 1876 mai 1884 Augustin Bergier   Nommé maire par décret présidentiel
    mai 1884 mai 1896 Auguste Boutin    
    mai 1896 avril 1905 Hippolyte Berger    
    avril 1905 mai 1912 Isidore Bruneau    
    mai 1912 décembre 1919 Fernand Berger    
    décembre 1919 mai 1925 Auguste Barbier    
    mai 1925 juin 1925 Roger Delétang   Décédé en fonction
    juillet 1925 mai 1945 Ernest Amiet    
    mai 1945 1952 Fernand Guérin   Décédé en fonction
    mars 1952 mai 1953 Georges Demarty    
    mai 1953 mars 1971 René Allamachère MRP Exploitant de carrières, ancien minotier
    mars 1971 mars 1977 Jean Loosfeld    
    mars 1977 mars 1983 Michel Delayre    
    mars 1983 mars 1989 André Granger[28]   Ancien adjoint (1977 → 1983)
    mars 1989[29] juin 2020 Jean-Claude Boutet DVD Cadre automobile retraité
    Président d'Eaux de Vienne (SEA Vienne)[30] (2015 → 2020)
    Réélu en 1995, 2001, 2008[31] et 2014
    juin 2020[32] En cours Éric Ghirlanda DVD Cadre administratif et commercial, ancien adjoint (2001 → 2020)[33]
    Conseiller municipal (1995 → 2001)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[34].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2019, la commune comptait 4 233 habitants[Note 8], en augmentation de 5,9 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7989478809961 0281 1311 1991 2091 304
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2971 3181 3401 3701 4141 4751 5071 4061 381
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4141 4331 3831 3161 2371 2201 2131 2951 333
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 5061 5422 0502 4472 8583 1763 5743 6263 993
    2015 2019 - - - - - - -
    4 0494 233-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 49 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[39], il n'y a plus que 18 exploitations agricoles en 2010 contre 39 en 2000.

    Développement durable

    La commune abrite l'un des trois centres de tri des déchets ménagers du département de la Vienne. Sa capacité est de 12 000 tonnes par an alors que pour l'ensemble du département, elle est de 30 000 tonnes par an en 2011[40].

    La commune accueille aussi l'une des cinq installations de stockage de déchets non dangereux d'une capacité de 150 000 tonnes. La capacité des cinq sites est de 474 000 tonnes en 2011[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    • Le château de Vayres date des XVe et XVIIe siècles. La façade et la toiture sont inscrites comme monument historique depuis 1959. Le classement du jardin date de 1966 et la fuie du château de 1994. Le château occupe, à l'ouest de la route D 4, les pentes qui conduisent au Clain. Le domaine occuperait le site d'une ancienne villa gallo-romaine et un certain Varius lui aurait donné son nom. Le manoir actuel se dresse à l'emplacement d'un château fort roman. Au bout d'une allée, le châtelet avec ses deux tours rondes, reconstruites par les seigneurs de Gennes au XVIIe siècle, conserve l'appareillage de l'ancienne forteresse. En contrebas, dans les jardins à la française, le pigeonnier (ou fuie) a des dimensions imposantes. Il accueille 2 620 boulins. Il aurait été offert par la reine Anne d'Autriche (1601-1666) en remerciement de l'accueil qu'elle reçut au château en compagnie du cardinal Mazarin (1602-1661) et de son fils Louis XIV (1638-1715), en 1656.
    • La Pierre levée d'Aillé : dolmen classé comme monument historique en 1932  Classé MH (1932) [41].
    • La Roche aux Oies : dolmen totalement ruiné, dont il ne reste qu'une dalle.
    La forêt de Moulière

    Forêt de Moulière : d'une superficie de 5 000 ha, elle est située au nord-est de Poitiers et couvre neuf communes : Bignoux, Bonneuil-Matours, La Chapelle-Moulière, Dissay, Liniers, Montamisé, Saint-Cyr et Vouneuil-sur-Vienne.

    Le bois de Vayres

    Le bois de Vayres est situé sur la rive droite du Clain. C’est un bois d’une centaine d’hectares, dont la topographie est très plane. Il occupe des terres de "groies".

    Le bois de Vayres est largement exploité, de nos jours, par l’homme, notamment par la sylviculture du pin sylvestre. Toutefois, le bois a pu conserver, surtout sur ses lisières, quelques traces du peuplement forestier d’origine. Le chêne pubescent en est l’essence caractéristique. Toutefois, on trouve, aussi, quelques alisiers et sorbiers. De petites clairières résiduelles abritent les plantes typiques des pelouses calcicoles sèches de la région poitevine.

    Le bois de Vayres doit essentiellement son classement pour sa flore qui comprend quatre espèces de plantes rares.

    La plante la plus rare recensée dans le bois de Vayres est la goodyère rampante. C’est une orchidée montagnarde qui n’a été observée que dans trois sites dans le département de la Vienne. Il s’agit d’une plante vivace qui prospère sur la litière épaisse et acide accumulée sous les résineux. C’est une plante nord-continentale, assez répandue dans les Alpes, les Pyrénées et le Massif central, mais très rare dans les plaines atlantiques de l’Ouest de la France. Son extension récente est peut-être due à la multiplication des plantations de résineux. Le bois de Vayres abrite plusieurs autres orchidées sauvages, moins rares mais également intéressantes, comme la limodore presque dépourvue de chlorophylle, ou la Platanthère dont la pollinisation ne peut être assurée que par des papillons dont seule la longue trompe est apte à extraire le nectar situé au fond de l’éperon.

    À la limite du bois, à la marge de certaines cultures céréalières l’entourant, existe une zone tampon qui présente un grand intérêt pour la flore. En effet, c’est là que se cantonnent plusieurs messicoles (c’est-à-dire des plantes liées plus ou moins strictement aux moissons de céréales) en voie de forte raréfaction dans toute la France. Y ont, ainsi, été recensés le bleuet, le bugle Petit Pin, l’euphorbe en faux et le caucalis fausse-carotte.

    Le bois de Vayres abrite non seulement une avifaune commune aux sites forestiers poitevins (fauvettes, pouillots et grives) mais aussi quelques espèces plus rares et plus localisées comme le pouillot siffleur qui est un passereau insectivore inféodé aux forêts âgées à canopée élevée et la Mésange huppée, cette dernière étant liée généralement à la présence des pins.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à l'aigle bicéphale au vol abaissé de sable, becquée et membrée d'or, chargée sur l'estomac d'une fleur de lys du même.

    Voir aussi

    Liens internes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    • Élisabeth Offredi-Jeulin, Les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem en Poitou au XVe siècle. La commanderie de Saint-Georges-les-Baillargeaux, Université de Poitiers, 1980

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Marigny Brizay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Georges-lès-Baillargeaux et Jaunay-Marigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Marigny Brizay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Georges-lès-Baillargeaux et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Saint-Georges-lès-Baillargeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition Flohic – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    24. Inrap, Une résidence aristocratique fortifiée de la période gauloise à Saint-Georges-lès-Baillargeaux, 2010.
    25. « Vienne. Saint-Georges-lès-Baillargeaux. Ferme fortifiée gauloise », in L'Archéologue, no 114, juin-juillet 2011, p. 8.
    26. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 186.
    27. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008
    28. « Fnaca : André Granger honoré », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    29. « Jean-Claude Boutet candidat », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    30. « J.-C. Boutet, confiance et ouverture », sur Info-Eco, (consulté le ).
    31. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    32. « Éric Ghirlanda succède à Jean-Claude Boutet », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    33. La Nouvelle République du Centre-Ouest, en date du 10 décembre 2019
    34. Site des villes et villages fleuris, consulté le 3 février 2021.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    40. Rapport de l’AREC – La gestion des déchets ménagers en Vienne – Recueil des données – Année 2011
    41. « Dolmen d'Aillé », notice no PA00105689, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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