Saint-Julia
Saint-Julia est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne et la région Occitanie.
Saint-Julia | |||||
Saint-Julia vu de Saint-Félix-Lauragais | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lauragais Revel Sorezois | ||||
Maire Mandat |
Christian Lagente 2020-2026 |
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Code postal | 31540 | ||||
Code commune | 31491 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Julianais | ||||
Population municipale |
413 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 29′ 28″ nord, 1° 53′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 200 m Max. 301 m |
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Superficie | 11,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Revel | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Peyrencou et par divers autres petits cours d'eau.
Saint-Julia est une commune rurale qui compte 413 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 015 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Julianais ou Saint-Julianaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la porte du Cers, inscrite en 1926, et l'église Sainte-Agathe-et-Saint-Julien, inscrite en 1925 puis en 2009.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Julia se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 39 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 9 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Revel[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Montégut-Lauragais (2,4 km), Nogaret (2,6 km), Puéchoursi (3,2 km), Falga (3,3 km), Le Cabanial (3,4 km), Roumens (3,8 km), Montgey (4,1 km), Mouzens (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Julia fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[4].
Saint-Julia est limitrophe de six autres communes dont deux dans le département du Tarn.
Géologie et relief
La superficie de la commune de Saint-Julia est de 1 146 hectares. Son altitude varie de 200 à 301 mètres[6].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Peyrencou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le Peyrencou, d'une longueur totale de 15,1 km, prend sa source dans la commune de Montégut-Lauragais et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Villeneuve-lès-Lavaur (81), après avoir traversé 7 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Revel », sur la commune de Revel, mise en service en 1928[15] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 845,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 44 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,8 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22],[23],[24].
Urbanisme
Typologie
Saint-Julia est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[I 2],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
La ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Revel.
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte les noms de Mont-Civique et Mont-Républicain[28].
Ses habitants sont appelés les Saint-Julianais.
Histoire
Saint-Julia-de-Gras-Capou est une ancienne ville libre qui existait probablement avant l'invasion romaine. Elle était fortifiée et entourée de fossés et de remparts avec 2 portes d'accès, la porte de Sers et la porte d'Autan. Le point culminant de la ville était un temple qui deviendra plus tard l'église Sainte-Agathe-et-Saint-Julien de Saint-Julia.
Le nom de Gras-Capou associé à Saint-Julia rappelle que de tout temps on a élevé des chapons. Une légende dit que, lors d'un siège du village, les villageois auraient nargué leurs assaillants des remparts avec des chapons morts pour montrer qu'ils ne manquaient pas de vivres. L'Histoire est inspirée de la légende Dame Carcas à Carcassonne[29].
Une autre légende raconte que des hommes déguisés en femmes ont caché la « grosse cloche » de l'église dans la campagne pour qu'elle ne soit pas fondue, ce qui nous permet de l'admirer aujourd'hui.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne communauté de communes du Lauragais-Revel-Sorèzois et du canton de Revel (Saint-Julia faisait partie de l'ex-canton de Saint Félix) et de la septième circonscription de la Haute-Garonne jusqu'en 2012.
Liste des maires
La mairie.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31]. En 2019, la commune comptait 413 habitants[Note 7], en augmentation de 8,97 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[33] | 1975[33] | 1982[33] | 1990[33] | 1999[33] | 2006[34] | 2009[35] | 2013[36] |
Rang de la commune dans le département | 210 | 197 | 240 | 280 | 267 | 267 | 282 | 283 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Enseignement
Saint-Julia est située dans l'académie de Toulouse.
L'école fait partie un RPI (regroupement pédagogique intercommunal) entre les communes de Montégut-Lauragais, Saint-Julia-de-Gras-Capou, Roumens, Le Cabanial et Nogaret.
Pour faire face au risque de fermeture de l'école communale, la municipalité s'est engagée dans les années 1980-1990 dans la voie du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes voisines de Montégut-Lauragais, Roumens et Le Cabanial. Ce regroupement a permis de sauvegarder les écoles et de proposer des services comme un ramassage scolaire financé par le conseil général de la Haute-Garonne. Par la suite, la commune de Nogaret a rejoint le RPI.
Le succès de cette formule, dû en partie à l'accroissement de la population, a été tel que les municipalités du regroupement ont décidé d'un unique groupe scolaire intercommunal, pour remplacer les locaux actuels. Ce nouveau groupe scolaire, dit « des Cinq Clochers », est situé sur la commune de Saint-Julia-de-Gras-Capou. Il a ouvert à la rentrée de avec un total de six classes (maternelles et primaires)[37],[38].
Culture et festivité
Fête locales.
Activités sportives
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Lauragais-Revel-Sorèzois[39].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 163 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 389 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 880 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 9,6 % | 13,3 % | 9 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 266 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 59 emplois en 2018, contre 52 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 184, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,8 %[I 11].
Sur ces 184 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 37 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,9 % les transports en commun, 1,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
32 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Julia au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 32 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 5 | 15,6 % | (5,7 %) |
Construction | 3 | 9,4 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 3 | 9,4 % | (25,9 %) |
Activités immobilières | 1 | 3,1 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 11 | 34,4 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 9 | 28,1 % | (16,6 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,4 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 32 entreprises implantées à Saint-Julia), contre 19,8 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 24 | 21 | 21 | 21 |
SAU[Note 13] (ha) | 1 113 | 1 169 | 1 190 | 1 107 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 24 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 21 en 2000 puis à 21 en 2010[42] et enfin à 21 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 12 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[43],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 113 ha en 1988 à 1 107 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 46 à 53 ha[42].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Sainte-Agathe-et-Saint-Julien et son clocher font l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le , et depuis le pour le clocher[44].
- Porte de ville, dite Porte du cers (le cers désigne le vent du nord), qui fait l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le [45], et la rue du Cers.
- Moulins à vent.
- La mairie et l'église Sainte-Agathe-et-Saint-Julien
- L'église Sainte-Agathe-et-Saint-Julien, vue intérieure
- Le parc éolien du Lauragais vu de Saint-Julia
Personnalités liées à la commune
- Marguerite de Valois, propriétaire de Saint-Julia, a habité dans une demeure à colombages près de l'actuel château.
- Pierre Pommeyrol (1744-1801), architecte
- Édouard Estaunié (1862-1942), membre de l'Académie française, ingénieur et écrivain, a habité rue Notre-Dame.
- Édouard Estaunié
- Maison d'Édouard Estaunié
Héraldique
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Les armes de Saint-Julia se blasonnent ainsi : D'azur aux trois fleurs de lys d'or surmontées d'une salamandre d'argent.[réf. nécessaire]
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Julia » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Saint-Julia » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Julia » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Julia » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Julia » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Julia » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Julia et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Julia et Revel », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Julia », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Julia », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le Peyrencou »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Saint-Julia et Revel », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Revel - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Julia », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Gauthier Langlois, « La circulation d’une légende épique de fondation sur les chemins de Saint-Jacques : la légende de Dame Carcas et ses adaptations pyrénéennes, ibériques et occitanes », dans La montagne explorée, étudiée et représentée : évolution des pratiques culturelles depuis le xviiie siècle, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, coll. « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques », (ISBN 978-2-7355-0887-7, DOI 10.4000/books.cths.11337, lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Article de la Voix du Midi Lauragais
- Article de La Dépêche
- http://www.revel-lauragais.com/fr/environnement/ordures-menageres.html
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Julia - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Église Sainte-Agathe et Saint-Julien et son clocher », notice no PA00094464, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Porte de ville, dite Porte du cers », notice no PA00094465, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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