Saint-Léger-en-Yvelines

Saint-Léger-en-Yvelines est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Léger.

Saint-Léger-en-Yvelines

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté d'agglomération Rambouillet Territoires
Maire
Mandat
Jean-Pierre Ghibaudo
2020-2026
Code postal 78610
Code commune 78562
Démographie
Gentilé Léodégariens
Population
municipale
1 394 hab. (2019 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 15″ nord, 1° 46′ 01″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 186 m
Superficie 34,52 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rambouillet
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Léger-en-Yvelines
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Saint-Léger-en-Yvelines
Liens
Site web saint-leger-en-yvelines.fr

    Géographie

    Position de Saint-Léger-en-Yvelines dans les Yvelines.

    Situation

    La commune de Saint-Léger-en-Yvelines se trouve dans le centre des Yvelines, au cœur du massif forestier de Rambouillet, à 11 kilomètres au nord-ouest de Rambouillet, chef-lieu d'arrondissement et à 37 kilomètres au sud-ouest de Versailles, la préfecture du département.

    Le territoire communal est essentiellement rural, à 94 %. L'espace rural est couvert en quasi-totalité par la forêt, à l'exception de quelques clairières dédiée aux cultures, notamment au sud du village. À ces espaces s'ajoutent 126 hectares d'espaces verts, dont le domaine du château du Planet, dans l'ouest de la commune.

    Hydrographie

    Les principaux cours d'eau sont :

    • la Vesgre, petite rivière de 45 kilomètres de long, affluent de l'Eure, qui prend sa source dans la commune des Bréviaires et s'écoule vers l'ouest, traversant le site du village[1] ;
    • le ruisseau des Ponts-Quentin, émissaire des étangs de Hollande qui coule en direction de l'ouest dans la partie nord de la commune et se jette dans la Vesgre à Gambais[2] ;
    • la Guyonne, ruisseau de 11,3 kilomètres, affluent de la Mauldre, qui naît dans le nord de la commune et s'écoule vers le nord-est[3].

    La commune compte également plusieurs étangs de petite dimension, dont l'étang Rompu sur la route de Montfort-l'Amaury, traversé par le ruisseau des Ponts-Quentin.

    Communes limitrophes

    Réseau routier

    La commune est traversée par la route départementale 936 qui mène à Condé-sur-Vesgre vers le nord-ouest et à Rambouillet vers le sud. La route départementale 138 mène à Montfort-l'Amaury vers le nord, la route départementale 111 qui débute au droit de cette RD 138 au nord du village mène à Gambaiseuil vers le nord-ouest et la route départementale 61 conduit aux Bréviaires vers le sud-est.

    Desserte ferroviaire

    La gare SNCF la plus proche est la gare du Perray qui se situe sur la ligne N du Transilien, entre Rambouillet et la gare de Paris-Montparnasse.

    Bus

    La commune est desservie par la ligne 01 de l'établissement Transdev de Rambouillet.

    Sentier de randonnée

    Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Poigny-la-Forêt au sud jusqu'à Montfort-l'Amaury au nord-est.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Léger-en-Yvelines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 95,16 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 2,85 % d'espaces ouverts artificialisés et 1,99 % d'espaces construits artificialisés[9].

    Occupation des sols détaillée

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 3,5 % 123
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 1,0 % 36
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 5,2 % 182
    Forêts de feuillus 56,9 % 1 995
    Forêts de conifères 21,9 % 768
    Forêts mélangées 4,3 % 152
    Forêt et végétation arbustive en mutation 7,1 % 249
    Source : Corine Land Cover[10]

    Toponymie

    La forme la plus ancienne de la localité remonte à la construction de l'église sous le règne de Robert le Pieux (996-1031) In Aquilina etiam silva sancti Leodegarii extruxit ecclesiam[11],[12], puis Sanctus Leodegarius en 1048[13], Sanctus Leodegarius in Acquilina au XIIIe siècle[14], Saint Ligier[15].

    L'hagiotoponyme Saint-Léger-en-Yvelines se rattache à saint Léger, évêque d'Autun, assassiné en 678, par son ennemi, Ébroïn, maire du palais de Neustrie et de Bourgogne qui aurait été noyé dans un étang d'une forêt. Selon la Vita de saint Léger, son corps fut enterré par une dame pieuse « dans une chapelle du village de Sercin-en-Artois, sur les confins des diocèses de Cambray & de Thérouanne »[16]. C'est-à-dire, non loin de l'emplacement prétendu du martyre en pleine forêt, entre le territoire de la commune de Lucheux (Somme) et de Sus-Saint-Léger (Pas-de-Calais).

    Selon certains historiens, en contradiction avec le vie du saint, situent le martyre en forêt d'Yveline[17]. Il parait plus probable qu'un oratoire aurait pu être établi en Yvelines lors de la translation de l'Artois vers le Poitou, à l'occasion d'une possible halte du convoi de sa dépouille.

    Le déterminant locatif du département -en-Yvelines marque par ailleurs son attachement à la région naturelle de l'Yveline[Note 3],[Note 4].

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Marat-des-Bois[18].

    Histoire

    Le territoire de Saint-Léger-en-Yvelines est habité depuis l'époque préhistorique comme en atteste la Pierre Ardoue, vestige d'un dolmen de l'époque Néolithique, située à environ km au nord-ouest du village. De plus les néfliers qui poussent autour du village démontreraient que les hommes, à cette époque, se nourrissaient de leurs fruits[réf. nécessaire].

    Un trésor monétaire antique de 700 pièces d'argent, fut découvert au début du XIXe siècle, il comprenait des monnaies allant de république vers - 50 av. J.-C., jusqu'à Domitien (96 ap. J.-C.)[19],[20]. De nombreux objets ont été découverts, les fondations d'un forum romain repéré par avion et deux voies romaines se croisent au sud du village. Par la suite à l'époque gallo-romaine, le site de Saint-Léger, se trouva au cœur de la vaste forêt d'Yveline, comprise dans le territoire des Carnutes qui s'étendait entre la Seine et la Loire.

    Selon certains historiens, en contradiction avec le vie du saint, situent le martyr en forêt d'Yveline[17]. En 679, sous le règne de Thierry Ier, Saint Léger, évêque d'Autun, qui s'était attiré la haine du maire du Palais Ebroïn, fut conduit et décapité dans la forêt d'Iveline. Il parait plus probable qu'un oratoire aurait pu être établi en Yvelines lors de la translation de l'Artois vers le Poitou, à l'occasion d'une possible halte du convoi de sa dépouille.

    Au Moyen Âge, Saint-Léger, alors appelé Saint-Jean Baptiste, était une cité plus importante que Montfort-l'Amaury, tandis que Rambouillet n'existait pas encore. Elle appartient, comme la forêt d'Yveline, aux Mérovingiens, puis aux Carolingiens. Hugues Capet en prend possession en 987, son fils, Robert le Pieux y fait par la suite construire un château pour domaine de chasse.

    L'église et son clocher sont construits dans la foulée. Au XIe siècle, le village prend le nom de Saint-Léger, tandis que l'église paroissiale conserve le vocable de Saint-Jean Baptiste jusqu'aujourd'hui [réf. nécessaire].

    Au début du XIIIe siècle, le territoire est récupéré par la comtesse Béatrice de Montfort. Elle y fait bâtir une aumônerie de 1 200 lits. Sa fille aînée, Yolande, récupère la partie du territoire du conté de Montfort où se situe Saint-Léger. Anne de Bretagne rapporte la châtellenie à la couronne de France en épousant Louis XII en 1499 et leur fille Claude, par son mariage à François Ier, la réunit au domaine royal en 1514.

    À partir du XVIe siècle, les maisons commencent à se regrouper autour de l'église. Sur l'ordre du roi Henri II, Philibert Delorme construit le château royal de Saint-Léger-en-Yvelines au milieu du XVIe siècle[21]. Dès 1667, l'édifice est démoli sous ordre de Louis XIV. Des études archéologiques sont venues confirmer l’exactitude de la gravure représentant le château, réalisée par Androuet du Cerceau au XVIe siècle. On a pu restituer la moitié du château. De l'autre moitié, une partie a disparu, l'autre n'a pas été réalisée. Les débris de la démolition ont permis de connaître les matériaux utilisés pour la construction : la brique et la pierre pour les murs, l'ardoise pour la couverture. Les fouilles ont également révélé que le château était situé sur un château du Moyen Âge dont une partie a été intégrée dans le nouvel édifice par Philibert Delorme.

    La citerne de la Muette.

    La citerne de la Muette, encore visible aujourd'hui, date aussi de cette époque. Fabriquée de pierre et de brique, elle alimentait le château en eau. À cette époque, l'élevage de chevaux est pratiqué depuis des siècles dans la région et les Haras Royaux naissent au château. En 1668, à la demande de Louis XIV, le château est rasé et reconstruit plus loin, sur les bords de la Vesgre. Les haras y sont transférés et y resteront jusqu'en 1715. Jusqu'à cette date, de nombreuses bêtes y étaient élevées et nécessitaient beaucoup de personnel. Les Haras Nationaux (notamment ceux des Bréviaires) en sont la descendance.

    Aux XVIIIe et XIXe siècles, la ville et les alentours se développent : construction de routes et de ponts, aménagements de la forêt à partir de 1844, installation d'une école en dehors de l'église en 1839 et d'une petite caserne de sapeurs-pompiers pour la protection de la forêt en 1876.

    Le , durant la guerre franco-prussienne, une patrouille du 16e hussards de Schleswig-Holstein tentait de se mettre en communication avec le général de Rheinbaben. Entre Saint-Léger-en-Yvelines et Condé-sur-Vesgre, au lieudit les Pins-du-Phalanstère, elle tomba dans une embuscade (l'embuscade des Pins-du-Phalanstère) dressée par des gardes nationaux des communes voisines et des francs-tireurs de Saint-Léger, et elle eut deux cavaliers tués et cinq blessés.
    Dans ce pays, couvert de forêts, les paysans s'étaient organisés pour inquiéter l'ennemi, et chaque jour ses fourrageurs étaient reçus à coups de fusil.
    Pour mettre fin à cette résistance, le duc de Mecklembourg donna l'ordre à un bataillon du 11e régiment d'infanterie bavarois, sous le commandement du général von der Tann, de faire une battue dans la forêt. Dans la matinée du , les Bavarois cernèrent la commune de Poigny-la-Forêt et se mirent en devoir de fouiller les bois.
    Aux abords de l'étang de la Cerisaie, ils égorgèrent froidement deux bergers dans la hutte desquels ils avaient trouvé un vieux fusil, puis ils les suspendirent par les pieds aux arbres de la route, le corps labouré de coups de sabre et les entrailles pendantes.
    À Saint-Léger-en-Yvelines, pour venger les pertes essuyées la veille par les hussards, ils pendirent le maire, monsieur Gabriel Alexis Jouanne, par son écharpe à la porte de sa mairie, fusillèrent un garde national et emmenèrent 16 habitants comme otages. Deux de ces malheureux, effrayés, essayent de fuir ; ils sont impitoyablement massacrés[22],[23].

    L'actuel hôtel de ville est construit en 1904.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1870  ? Gabriel Alexis Jouanne    
             
    2001 En cours Jean-Pierre Ghibaudo    

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2019, la commune comptait 1 394 habitants[Note 5], en diminution de 4,26 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    769779836703872844784771754
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    697684715710674673742745691
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    649665677636635672642673568
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    6806418069691 0741 3221 3931 4091 484
    2015 2019 - - - - - - -
    1 3881 394-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 697 hommes pour 688 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    0,4 
    5,8 
    75-89 ans
    6,3 
    18,3 
    60-74 ans
    18,0 
    22,9 
    45-59 ans
    24,1 
    16,1 
    30-44 ans
    18,7 
    15,9 
    15-29 ans
    13,5 
    20,1 
    0-14 ans
    19,0 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,3 
    5,7 
    75-89 ans
    7,7 
    13,4 
    60-74 ans
    14,5 
    20,6 
    45-59 ans
    20,3 
    19,8 
    30-44 ans
    19,9 
    18,4 
    15-29 ans
    17 
    21,5 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Jean-Baptiste.
    Dolmen de la Pierre Ardoue.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules au chêne d'argent, au chef cousu de France moderne.
    Détails

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général d'Île-de-France; cf. Le Gouvernement de l'Isle de France, carte par Damien de Templeux, 1663.
    4. Le nom de pays d'Yveline apparaît également dans plusieurs ouvrages de l'époque comme le Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne, publié en 1726.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. La Vesgre sur le site du SANDRE
    2. le ruisseau des Ponts-Quentin sur le site du SANDRE
    3. La Guyonne sur le site du SANDRE
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
    10. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    11. MIGNE (J. P.) Hugonis de Sancta Maria. Patrologiae Cursus Completus: Series Latina (1854), t. 163(2), p. 895.
    12. MOUTIE (Aug.) Saint-Leger-en-Yveline. Société archéologique de Rambouillet 1870-1872 (1873), t.1, p. 73.
    13. NEGRE (E.), Toponymie générale de la France (1998), t. 3, p. 1555
    14. COCHERIS (Hippolyte) Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    15. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 241
    16. BAILLET (Adrien) Les vies des saints (1739), t. 7, oct-15nov, 2 oct. p. 27b.
    17. BARDY (Monique), La grande histoire des Yvelines, Édijac, (1989), p. 248.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Trésors monétaires (2003), t.20, p. 166.
    20. A.D. Yvelines, monographie communale Saint-Léger-en-Yvelines, Paul Aubert, 3/72.
    21. CHASTEL (André) Les fouilles du château royal de Saint-Léger en Yvelines. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 124e année, N. 2, (1980) pp. 417-431.
    22. La guerre dans l'ouest : campagne de 1870-1871 par Louis Paul Rollin pages 57 et 58
    23. Monographie communale de Saint-Léger-en-Yvelines page 10
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Léger-en-Yvelines (78562) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    29. Bulletin municipal de Saint-Léger-en-Yvelines, octobre 2005, p.6-9 [lire en ligne (page consultée le 12 mai 2008)].
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