Brem-sur-Mer

Brem-sur-Mer (prononcer [bʁɛmˑsyʁˑmɛʁ]) est une commune du Centre-Ouest de la France, située à proximité de la « Côte de Lumière », dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

Brem-sur-Mer

Vue générale du quartier Saint-Nicolas.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Agglomération
Maire
Mandat
Yann Thomas
2020-2026
Code postal 85470
Code commune 85243
Démographie
Gentilé Bremois
Population
municipale
2 817 hab. (2019 )
Densité 174 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 20″ nord, 1° 49′ 47″ ouest
Altitude 27 m
Min. 0 m
Max. 55 m
Superficie 16,17 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Bretignolles-sur-Mer
(banlieue)
Aire d'attraction Les Sables-d'Olonne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Hilaire-de-Riez
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Brem-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Brem-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Brem-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Brem-sur-Mer
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Le territoire municipal de Brem-sur-Mer s’étend sur 1 617 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 27 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 55 mètres[1],[2].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Altitude : 53 m sur le secteur de la Bourdallière et 49 m à la Crulière.

    Environnement

    La commune présente la particularité de ne pas donner directement sur la mer malgré son nom, mais sur la partie nord du marais d'Olonne, la façade maritime formée par un cordon dunaire se trouve en effet sur le territoire de la commune de Bretignolles-sur-Mer.

    Accès routiers

    La commune est traversée par la route départementale 38, cet axe routier qui relie les stations balnéaires est très fréquenté en période estivale et lors des longs week-ends.

    De nombreux projets au cours des années 2000 et 2010 se sont proposé de dévier l’agglomération de Brem voire celle de Bretignolles.

    Parallèlement, la mise en voies rapides de la route départementale 32 raccourcit le temps de parcours entre Brem et Challans ou Nantes.

    Transports en commun

    Les gares les plus proches sont situées à plusieurs kilomètres de la ville. Celle de Saint-Gilles-Croix-de-Vie permet de rejoindre Nantes, chef-lieu de région, par un TER. Celle des Sables-d'Olonne permet de rejoindre Saumur et Nantes aussi avec un arrêt à La Roche-sur-Yon, chef-lieu de la Vendée, qui assure une correspondance avec la ligne de Nantes-Orléans à Saintes.

    La gare des Sables-d'Olonne est la gare TGV la plus proche. Depuis 2008, des trains assurent quotidiennement la liaison avec Paris-Montparnasse, mettant ainsi la capitale française à 3 h 20 du littoral vendéen.

    Transport aérien

    Bien qu'il existe des aérodromes à Talmont-Saint-Hilaire (Les Sables-d'Olonne-Talmont) et à La Roche-sur-Yon (aux Ajoncs), aucun n'assure pour l'instant de ligne régulière avec d’autres aéroports. L'aéroport international le plus proche est celui de Nantes-Atlantique.

    Urbanisme

    Typologie

    Brem-sur-Mer est une commune rurale car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bretignolles-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 7 389 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Sables-d'Olonne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    La commune, bordée par l'estuaire de l'Auzance, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].

    Le territoire est composé de plusieurs secteurs :

    • le « Bourg », appelé également centre-ville, qui regroupe autour de l’église Saint-Martin, la plupart des commerces et des services (santé ou administratif). Autour de ce bourg se sont construits à partir des années 1970, plusieurs quartiers résidentiels, dont les Remelières, le Four-à-Chaux ou encore le Moulin-Blanc ;
    • le quartier de Saint-Nicolas, un quartier encore typique construit autour de l’église Saint-Nicolas.

    Le territoire communal compte de nombreux villages, parmi lesquels :

    • la Gâchère, un ancien village typique de pêcheurs bordé par l’Auzance, qui a été le théâtre, le , d'une escarmouche entre les Bleus républicains et les Blancs insurgés dirigés par Guerry du Cloudy.
    • la Corde, un village d’artisans ;
    • la Frémière et la Mignotière ;

    Un nouveau quartier pavillonnaire a été créé il y a une dizaine d'années à la sortie de l’agglomération le long de la D38 en direction de Brétignolles qui comporte une centaine de pavillons dont certains sont habités à l'année.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,4 %), zones agricoles hétérogènes (32,7 %), zones urbanisées (17,9 %), zones humides côtières (6,1 %), prairies (4,4 %), forêts (4,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune de Saint-Martin-de-Brem porte le nom de Havre-Fidèle[16] et celle de Saint-Nicolas-de-Brem celui de Bellevue[17].

    En poitevin, la commune est appelée Brém[18].

    Histoire

    Réalisé en 1899, un pont, celui du Havre-de-la-Gachère, relie Olonne à Saint-Martin[19]. Quelques années plus tard, en 1904, les premiers estivants arrivent pour la première fois sur les communes du pays brémois[20].

    Alors que la ligne de Bourgneuf aux Sables traverse la commune de Saint-Martin-de-Brem, une gare est implantée dans le bourg en 1920[21]. Celle-ci est par la suite transformée en bureau de poste[22]. Correspondant approximativement à l’actuelle route départementale 38, le tracé de la ligne de chemin de fer reliait la gare de Saint-Martin-de-Brem à celle de Brétignolles-sur-Mer et de l’Île-d’Olonne.

    Par arrêté préfectoral du avec effet au , les communes de Saint-Martin-de-Brem et de Saint-Nicolas-de-Brem sont réunies en une même entité  Brem-sur-Mer  sous le régime de l’association. Saint-Martin accueille alors le chef-lieu et Saint-Nicolas-de-Brem est transformé en commune associée. En 1999, le conseil municipal souhaite transformer le regroupement en fusion simple, impliquant la suppression de la commune associée[23]. Un référendum est organisé le , et les Brémois appuient la décision du conseil. Le changement de régime est opéré par un arrêté préfectoral du et entre en vigueur à partir du suivant[24],[25].

    Alors que la commune n’a jamais disposé d’un accès à l’océan Atlantique depuis sa création malgré sa dénomination[26], un conseil municipal réuni le sollicite le préfet de la Vendée pour le rattachement d’une bande du littoral au détriment de la commune de Bretignolles-sur-Mer[27].

    • 1927 : installation de la première cabine téléphonique
    • 1932 : arrivée de l'électricité
    • 1957 : arrivée de l'eau potable
    • 1963 : construction de la Poste
    • 1964 : mise en place du service de collecte des ordures ménagères
    • 1976 : arrivée des services de santé
    • 1984 : classement des vins de Brem en VDQS

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires de Saint-Martin-de-Brem
    Période Identité Étiquette Qualité
    1871 1881 Achille Gaudin    
    1881 1884 Jean Nobiron    
    1884 1886 François Roux    
    1886 1899
    (décès)
    Jean Nobiron    
    1899 1935 Henri Marcetteau de Brem    
    1935 1953 Pierre Gaudin    
    1953 1971 Isaïe Raffin    
    1971 1973
    (démission)
    Robert Gaudin    
    Liste des maires successifs de Brem-sur-Mer
    Période Identité Étiquette Qualité
    Claire Bourcereau[28]    
    Robert Biron[29]    
    Christian Praud[30] Modem[31]
    puis UDI[32]
    Inspecteur des impôts
    [33] En cours Yann Thomas DVD Directeur général des services de la CC du Pays des Achards
    6e vice-président de la CC du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (2020 → )

    Instances administratives et intercommunales

    Administrativement, la commune dépend de l’arrondissement des Sables-d’Olonne et du canton de Saint-Hilaire-de-Riez.

    Historiquement, du début de 1974 à 2015, Brem-sur-Mer appartient au canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie[34], supprimé à la suite d’un redécoupage opéré en 2014.

    À partir du et jusqu’au , la commune est membre de la communauté de communes Côte-de-Lumière. Depuis le , Brem-sur-Mer appartient au Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Agglomération.

    Jumelages

    Population et démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2019, la commune comptait 2 817 habitants[Note 3], en augmentation de 8,06 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    521539690663649697682654656
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    695739726733733718686743798
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    852888831746737800770757780
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    8348261 1611 4251 7092 0542 4322 5392 607
    2018 2019 - - - - - - -
    2 7802 817-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 46,9 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 347 hommes pour 1 433 femmes, soit un taux de 51,55 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ou +
    3,1 
    13,9 
    75-89 ans
    16,6 
    30,1 
    60-74 ans
    29,2 
    17,1 
    45-59 ans
    16,7 
    14,6 
    30-44 ans
    12,6 
    10,1 
    15-29 ans
    10,2 
    13,3 
    0-14 ans
    11,5 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2,1 
    8,4 
    75-89 ans
    11 
    19,5 
    60-74 ans
    20,4 
    20 
    45-59 ans
    19,4 
    18 
    30-44 ans
    17,1 
    14,9 
    15-29 ans
    13,2 
    18,5 
    0-14 ans
    16,8 

    Enseignement

    La commune compte deux groupes scolaires qui font office à la fois d'école maternelle et d'école primaire : une école publique (Sol-et-Vent), une école privée (Notre-Dame-de-l’Espérance).

    Les collèges privés et publics les plus près sont ceux d'Olonne-sur-Mer et de Saint-Gilles-Croix-de-Vie.

    Santé

    • Le pôle médical, regroupe l’ensemble des médecins généralistes et spécialistes au sein d’un même bâtiment.

    Sports

    • Le stade municipal Le terrain de football est équipé d'une pelouse synthétique.
    • La salle omnisports avec courts de tennis en plein air.

    Économie

    Agriculture et artisanat

    Les exploitations agricoles sont principalement situées au nord-est de la commune. L’élevage et la viticulture en sont les principales activités.

    L’artisanat s’est fortement développé dans la ville, principalement dans le secteur du bâtiment mais également de la logistique. La zone artisanale, située en bordure de la départementale 80bis, regroupe à ce jour 14 entreprises.

    Un parc éolien est situé en bordure de la route départementale 32.

    Le secteur industriel n'y est en revanche pas représenté.

    Secteur tertiaire

    Le service aux personnes et le commerce

    Le tourisme est une activité très importante. La commune compte quatre terrains de camping, un hôtel, une colonie de vacances ainsi que plusieurs résidences de vacances.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin était une chapelle de pèlerinage construite par les moines au XIe siècle. Le transept, la façade et le clocher en bec d'hirondelle datent du XIXe siècle. Elle est devenue depuis la fusion avec Saint-Nicolas-de-Brem, l'église paroissiale de la commune.
    • L'église Saint-Nicolas[40] est l'une des plus anciennes de Vendée. Elle a été construite durant le XIe siècle. Son existence est attestée dès 1020. Elle a été un sujet de conflit entre l'abbaye de Marmoutier, près de Tours, et l'abbaye Sainte-Croix de Talmond. Un accord entre les deux abbayes a été obtenu en 1098. L'église a été durement endommagée pendant les guerres de religion notamment lors de l'expédition de Soubise en 1622 qui se termine par la victoire de Riez remportée par Louis XIII. Il ne reste aujourd'hui que la nef centrale, l'abside et les absidioles du XIe siècle. Elle est pauvrement reconstruite au XVIIe siècle.
      Sur le portail, on peut voir dans un fronton triangulaire la statue de Saint Nicolas entourée de plusieurs motifs mystérieux. Une étude récente avance pour ces sculptures l'hypothèse d'une origine templière[41].
      À l'intérieur deux fresques du XIIe siècle représentent la Crucifixion du Christ (très effacée) ainsi que l'arrivée des Saintes Femmes au Tombeau.
    • Près de l'église Saint-Nicolas, une motte féodale surmontée d'un calvaire conserve les vestiges d'un château fort édifié pour la défense de l'ancien port du Bram[42].
    • le vin de Brem est, avec Mareuil, Vix et Pissotte, l'une des quatre régions qui forment les fiefs-vendéens.
      C'est à l'époque romaine que furent introduits les premiers plants avec la fondation du port d'Hebromagus.
      Durant le Moyen Âge, les moines de Saint-Nicolas vont alors développer l'activité viticole qui sera l'une des richesses de ce port aujourd'hui disparu.
      En 1963, les vins obtiennent l'appellation d'Origine Simple et en 1973 les Vins des Anciens Fiefs du Cardinal s'appelleront désormais Les Vins des Fiefs vendéens.
      En 1984, les efforts fournis par les viticulteurs ont été récompensés par l'obtention de l'AOVDQS puis de l'AOC en 2011.
      Le vignoble s'étend sur 150 hectares situés sur Brem et les communes environnantes. Il est constitué de vignes basses pour la vendange manuelle et de vignes hautes pour la vendange mécanique.
      Les cépages utilisés pour les vins blancs sont le Grolleau gris et le Chenin blanc. Ces vins secs se dégustent avec les fruits de mer. Les rosés et les rouges sont élaborés avec les cépages Gamay, Cabernet et Pinot noir.
    • le menhir de la Crulière est un mégalithe datant de l'époque du Néolithique essentiellement composé de quartz blanc dont le poids avoisine les huit tonnes. Il est classé monument historique depuis le .
    Le village de la Gâchère, sur les bords de l'Auzance.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Budaille (1836-1909), instituteur et communard, est né à Saint-Nicolas-de-Brem.

    Héraldique, devise et logotype

    Blasonnement :
    Écartelé : au premier, d'or au manteau gonfalonné d'azur chargé d'une épée du champ ; au deuxième, de gueules à la chapelle campanée d'argent, ouverte et ajourée de sable ; au troisième, de gueules au bateau de sable, habillé et flammé d'argent ; au quatrième, d'or à la grappe de raisin de gueules, tigée et feuillée de sinople.

    La devise de Brem-sur-Mer : Caritas.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Commune 19174 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Brem-sur-Mer », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Bretignolles-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Les Sables-d'Olonne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Nicolas-de-Brem », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    18. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 63.
    19. « Travaux sur le pont de la Gachère : circulation interdite », Ouest-France, .
    20. « Une promenade contée pleine de souvenirs », Ouest-France, .
    21. « Le bureau de poste retrouve son cachet », Ouest-France, .
    22. « Une visite nocturne contée à Brem-sur-Mer », Ouest-France, .
    23. « Le conseil veut réformer les statuts de la fusion », Ouest-France, .
    24. « Fusion de communes : union sans passion », Ouest-France, .
    25. « Nouvel adjoint pour le secteur Saint-Nicolas-de-Brem », Ouest-France, .
    26. Selim Chtayti, « La mer, bel et bien absente du territoire communal », Ouest-France, .
    27. « La commune revendique un accès à la mer », Ouest-France, .
    28. « Claire Bourcereau regarde dans le rétroviseur », Ouest-France, (lire en ligne).
    29. « Remise de médailles et décorations », Ouest-France, .
    30. « Christian Praud, nouveau maire », Ouest-France, .
    31. Jean-Marcel Boudard, « Au centre, le Modem retrouve du jus », Ouest-France, (lire en ligne).
    32. Marylise Kerjouan, « “Je ne suis pas déçu, je suis en colère” », Ouest-France, (lire en ligne).
    33. « Brem-sur-Mer. Premier mandat pour Yann Thomas », Ouest-France, (lire en ligne)
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Brem-sur-Mer », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brem-sur-Mer (85243) », (consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    40. Michel Dillange, Vendée romane, Bas-Poitou roman, pp. 50-58, Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" no 44), La Pierre-qui-Vire, 1976
    41. Jacques Troger - Jean Pain. L'église Saint Nicolas de Brem-sur-Mer - Histoire Architecture Symboles Éditions de l'Association Saint Nicolas-2008
    42. Panneau explicatif sur le site.
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