Saint-Martin-de-Gurson

Saint-Martin-de-Gurson, précédemment orthographiée Saint-Martin-de-Gurçon, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.

Saint-Martin-de-Gurson

L'église Saint-Martin de Saint-Martin-de-Gurson.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Maire
Mandat
Marc Grandy
2020-2026
Code postal 24610
Code commune 24454
Démographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
655 hab. (2019 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 07″ nord, 0° 06′ 31″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 106 m
Superficie 24,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montpon-Ménestérol
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-de-Gurson
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Martin-de-Gurson
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Martin-de-Gurson
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Martin-de-Gurson
Liens
Site web www.saint-martin-de-gurson.fr

    Géographie

    Généralités

    Située à l'ouest du département de la Dordogne en forêt du Landais, à proximité du département de la Gironde, la commune de Saint-Martin-de-Gurson s'étend sur 24,58 km2. Elle est bordée au sud-est par la Lidoire, un affluent de la Dordogne.

    Le bourg de Saint-Martin-de-Gurson, traversé par la route départementale (RD) 33, se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-ouest de Montpon-Ménestérol et quinze kilomètres au sud-est de Sainte-Foy-la-Grande.

    Le territoire communal est également desservi au nord-ouest par la RD 9 et au sud-est par la RD 11. Le nord de la commune est brièvement traversé par l'autoroute A89 dont l'échangeur le plus proche, distant d'environ huit kilomètres par la route, est celui de Montpon-Ménestérol. À une distance équivalente se trouve la gare ferroviaire la plus proche, celle de Montpon-Ménestérol.

    Le sentier de grande randonnée 646 traverse l'est du territoire communal sur plus de six kilomètres[1].

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Martin-de-Gurson et des communes avoisinantes.

    Saint-Martin-de-Gurson est limitrophe de sept autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 550 mètres de celui de Montazeau.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Martin-de-Gurson est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Saint-Martin-de-Gurson.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 31 mètres[6] à l'extrême sud, au sud du lieu-dit la Truffière, là où la Lidoire quitte la commune et sert de limite entre celles de Carsac-de-Gurson et Saint-Méard-de-Gurçon[1], et 106 mètres[6] à l'extrême est, au nord du lieu-dit Métairie Basse de la Forêt, également en limite de la commune de Saint-Méard-de-Gurçon[1],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[10]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 24,58 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 24,92 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Lidoire, le Galant, la Bidonne, le Petit Rieu, le Fayat, le ruisseau du Cailloux et de Lavergne et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    La Lidoire, d'une longueur totale de 49,5 km, prend sa source dans la commune de Bosset et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Mouliets-et-Villemartin, Castillon-la-Bataille et Lamothe-Montravel, après avoir traversé 19 communes[17].

    Le Galant, d'une longueur totale de 10,51 km, prend sa source dans la commune de Carsac-de-Gurson et se jette dans l'Isle en limite de Ménesplet, de Moulin-Neuf et du Pizou, après avoir traversé six communes[18].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également l'EPIDOR[20]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 843 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Port Ste Foy », sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[28] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[29],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 802,2 mm pour la période 1981-2010[30]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 32 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[32], à 13,1 °C pour 1981-2010[33], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-de-Gurson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[35],[36],[37].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-Ménestérol, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[38],[39].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50 %), zones agricoles hétérogènes (34 %), cultures permanentes (7,6 %), prairies (5,5 %), terres arables (1,7 %), zones urbanisées (1,2 %)[40].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Martin[41].

    En 1992, l'orthographe du nom officiel de la commune est modifié : Saint-Martin-de-Gurçon devient Saint-Martin-de-Gurson[42].

    En occitan, la commune se nomme Sent Martin de Gurçon[43].

    Histoire

    L'église du lieu a été bâtie au XIIe siècle[44].

    En 1615, Jean-Frédéric de Foix, le comte de Gurson, et son épouse Charlotte de Caumont de Lauzun, ont fondé le couvent de Plagnac des Frères Minimes de saint François de Paule situé au nord de Saint-Martin-de-Gurson, à la limite de Carsac-de-Gurson, à l'ouest de la route allant au hameau des Gâtineaux, dans un petit vallon agreste. Ce couvent fermé en 1791, vendu comme bien national, a disparu. À son emplacement a été placée une croix qui est visible en prenant la route des Gâtineaux. Des éléments du mobilier du couvent ont été déposés dans le musée de Villefranche-de-Lonchat[45].

    Le nom actuel a remplacé celui de Saint-Martin-de-Gurçon en 1992[42].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Martin-de-Gurson est rattachée au canton de Villefranche-de-Lonchat (appelé dans un premier temps « canton de Villefranche » puis « de Villefranche-de-Loupchapt » puis « de Villefranche-de-Longchapt ») qui dépend du district de Montpon, rapidement renommé en district de Mussidan, jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[46]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de Montaigne et Gurson.

    Intercommunalité

    Saint-Martin-de-Gurson a d'abord fait partie de la communauté de communes du Gursonnais créée fin 2001. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Montaigne Montravel et Gurson.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs[49]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1801 François Robert    
    1801 1823 Étienne Durand-Fonbonne    
    1823 1855 Jean Seignolles    
    1855 1857 Jean Baptiste Baleste    
    1857 août 1860 Jean Banizette    
    1860 1861 Jean Baptiste Barbancey    
    1861 1862 Jean Bonneau    
    1862 juillet 1896 François Bonneau    
    juillet 1896 mai 1908 François Guionneau    
    mai 1908 septembre 1919 Jean Bonneau    
    décembre 1919 décembre 1929 François Guionneau    
    décembre 1929 mai 1935 François Guerrier    
    mai 1935 février 1963 Jean Bernard    
    mars 1963 septembre 1990 Pierre Lebret    
    octobre 1990 juin 1995 Michel Bossamot    
    juin 1995 mars 2001 Jacques Lafond-Grellety    
    mars 2001 mars 2008 Michel Bossamot    
    mars 2008[50] mai 2020 Bernard (ou Jean-Louis) Goyer SE[51] Retraité
    mai 2020 octobre 2020 Jean Lafond-Grellety[Note 9]    
    octobre 2020[52] En cours Marc Grandy   Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Martin-de-Gurson relève[53] :

    Démographie

    Les habitants de Saint-Martin-de-Gurson se nomment les Saint-Martinois[54].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

    En 2019, la commune comptait 655 habitants[Note 10], en augmentation de 1,71 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 048752914917972953804863823
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    805813790767800804725666718
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    747787770719726692660655684
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    604537480526559555534553597
    2014 2019 - - - - - - -
    663655-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 316 personnes, soit 47,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (soixante-cinq) a augmenté par rapport à 2010 (quarante-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 20,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 55 établissements[59], dont 21 au niveau des commerces, transports ou services, treize dans la construction, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[60].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1) et au 4) d’or aux trois pals de gueules, au 2) et au 3) d’or aux vaches de gueules colletées et clarinées d’azur, passant l’une sur l’autre ; sur le tout en chef un lambel de sable chargé dans chacun de ses trois pendants de cinq coquilles d’argent ordonnées 1.1.3.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Ces armoiries étaient au XVe siècle celles de Gaston Ier de Foix-Grailly et son fils, Jean de Foix-Grailly, comte de Candale. Elles ont été transmises à Jean de Foix, comte de Gurson, fils cadet de Jean de Foix-Candale, vicomte de Meille (en Aragon), comte de Gurson et du Fleix. Sur les armoiries de la maison de Foix-Béarn, les cinq coquilles placées dans le lambel reprennent celles des armoiries de la famille de Grailly.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Démissionne de ses fonctions de maire mais reste conseiller municipal.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Martin-de-Gurson » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Carte de randonnée 1936 O, IGN, 2006.
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Saint-Martin-de-Gurson » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Martin-de-Gurson », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Martin-de-Gurson », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Saint-Martin-de-Gurson », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. Sandre, « la Lidoire »
    18. Sandre, « le Galant »
    19. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    20. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    23. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    24. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    25. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    26. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    28. « Station Météo-France Port Ste Foy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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