Saint-Pal-de-Chalencon
Saint-Pal-de-Chalencon est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est labellisée Petite cité de caractère depuis .
Saint-Pal-de-Chalencon | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Yssingeaux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron | ||||
Maire Mandat |
Pierre Brun 2020-2026 |
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Code postal | 43500 | ||||
Code commune | 43212 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 009 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 21′ 27″ nord, 3° 57′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 700 m Max. 978 m |
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Superficie | 28,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Plateau du Haut-Velay granitique | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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La commune est jumelée avec la commune Italienne de Belvedere Ostrense dans la région des Marches.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Pal-de-Chalencon se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
St-Pal-de-Chalencon se situe au sud des Monts du Forez, au cœur de la Vallée de l’Ance, à 887 m d’altitude.
Elle se situe à 51 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 36 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture, et à 12 km de Craponne-sur-Arzon[3], bureau centralisateur du canton du Plateau du Haut-Velay granitique dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Usson-en-Forez (3,9 km), Apinac (4,1 km), Boisset (4,2 km), Merle-Leignec (5,1 km), Tiranges (6,3 km), Saint-Hilaire-Cusson-la-Valmitte (6,8 km), Saint-Julien-d'Ance (6,8 km), Sauvessanges (7,7 km).
Urbanisme
Typologie
Saint-Pal-de-Chalencon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[5],[I 2],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,2 %), prairies (27,2 %), forêts (27,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), zones urbanisées (1,3 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux
De nombreux hameaux sont rattachés à cette commune : Bost-Buisson, le Grangeon, le Pontrenard, la Fleur, Cossanges, Brandy-Haut, Epinassolles, Malbost, Brandy-Bas, le Moulin du Sap, le Sap, la Montzie, les Gouttes, Boisset-Haut, Boisset-Bas, Ricou, Pansier, Bois de Montclair, Méalet, les Garays, Combreaux, Bouffelaure, Montchany, le Vialaron, le Villard, Trespeyres, Châturanges, les Grenouilloux, le Bouchet, Montalet, Conches, Pieyres, l'Étang, Lavaur, la Grenouille, Blaise, le Betz, le Breyre, Tanlas.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 731, alors qu'il était de 736 en 2013 et de 701 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 61,1 % étaient des résidences principales, 23,3 % des résidences secondaires et 15,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,7 % des appartements[I 6].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Pal-de-Chalencon en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (23,3 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].
Typologie | Saint-Pal-de-Chalencon[I 5] | Haute-Loire[I 8] | France entière[I 9] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 61,1 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 23,3 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,6 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
Au sud du village de Trespeyres, se trouve un lieu-dit le Chier Gros : il s’agit en nord-occitan d’une grosse pierre, dont la légende dit qu’elle s’ouvre les soirs de Noël, à minuit, et qu’on peut alors voir un trésor[8].
Histoire
La maison de Chalencon est une famille féodale originaire du Velay, attestée dès 1179 en la personne de Bertrand de Chalencon. Selon Régis Valette, sa filiation est suivie depuis 12051. Sa branche ainée prit le nom de Polignac après 1349, devenant ainsi la seconde maison de Polignac.
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Montalet[9],[10].
Une des branches cadettes de la famille a accédé en 1949 au trône de Monaco, sous le nom de maison Grimaldi, en la personne du prince souverain Rainier III (1923-2005), fils de Pierre de Polignac (1895-1964) et de Charlotte de Monaco (1898-1977), fille naturelle du prince souverain Louis II de Monaco (1870-1949), issu de la famille de Gouyon. La maison de Polignac conserve le trône monégasque en la personne du prince souverain Albert II de Monaco (né en 1958), fils de Rainier III.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Pal-de-Chalencon est membre de la communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Monistrol-sur-Loire. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[11].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Plateau du Haut-Velay granitique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[12].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[14].
En 2019, la commune comptait 1 009 habitants[Note 4], en diminution de 2,04 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 43,4 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 500 hommes pour 515 femmes, soit un taux de 50,74 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
- Course de côte de Cacharat[17],[18],[19], remportée par Jean-Luc Thérier en 1972
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 451 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 974 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 710 €[I 13] (20 800 € dans le département[I 14]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 15] | 3,9 % | 4,7 % | 3,1 % |
Département[I 16] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 17] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 540 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 3,1 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 6],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 18]. Elle compte 382 emplois en 2018, contre 378 en 2013 et 413 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 392, soit un indicateur de concentration d'emploi de 97,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,1 %[I 19].
Sur ces 392 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 186 travaillent dans la commune, soit 47 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 75,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 13,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Cité médiévale, Saint-Pal-de-Chalencon possède plusieurs croix sculptées : calvaire du Lurou au hameau de « Boisset-Haut » (classée), croix monumentale de Trespeyres (XVe siècle), croix inscrite à l’inventaire des monuments historiques, à double face sculptée aux hameaux de .Cossanges et Bost-Buisson (XVIe), croix maltée au hameau du Villard, chapelle de Lorette.
Au village, l’enceinte fortifiée du bourg conserve encore quelques tours et trois portes (dont deux classés et une inscrite), vieilles maisons à tourelles dans le bourg ou avec fenêtres à meneaux mais aussi maison d’assemblée, four à pain du hameau de Combreaux.
Personnalités liées à la commune
- Maurice Monier (1952), prélat et canoniste, pro-doyen de la Rote romaine, y est né.
Héraldique
Blason | Inconnu. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Bibliographie
- Roger Darcissac, Une municipalité sous la Terreur, Montalet, ci-devant Saint-Pal-en-Chalencon : in Cahiers de la Haute-Loire 1979, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Adrien Lascombe, « Foires et marchés à Saint-Pal-de-Chalencon (sous Louis XIV en 1673) », Tablettes historiques du Velay, no des années 1875-1876, , p. 346-347 (lire en ligne [sur gallica]).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Pal-de-Chalencon (43212) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pal-de-Chalencon et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pal-de-Chalencon et Yssingeaux », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pal-de-Chalencon et Craponne-sur-Arzon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Pal-de-Chalencon », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., p. 79, notice 1533
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Pal-de-Chalencon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Roger Darcissac, Une municipalité sous la Terreur, Montalet, ci-devant Saint-Pal-en-Chalencon : in Cahiers de la Haute-Loire 1979, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne).
- « communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Route en lacets située sur les communes d'Apinac, Saint-Pal-de-Chalencon et Merle-Leignec
- Historique de la montée de Cacharat
- Montée Historique de Cacharat
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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