Saint-Pierre-des-Tripiers

Saint-Pierre-des-Tripiers est une commune française, située dans le sud-ouest du département de la Lozère en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Pierre.

Saint-Pierre-des-Tripiers

L'église Saint-Pierre.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes Gorges Causses Cévennes
Maire
Mandat
Emmanuel Adely
2020-2026
Code postal 48150
Code commune 48176
Démographie
Gentilé Saint-Pierriers, Saint-Pierrières
Population
municipale
90 hab. (2019 )
Densité 2,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 11′ 58″ nord, 3° 15′ 31″ est
Altitude Min. 392 m
Max. 1 065 m
Superficie 34,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Florac Trois Rivières
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Saint-Pierre-des-Tripiers
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Saint-Pierre-des-Tripiers
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Saint-Pierre-des-Tripiers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Pierre-des-Tripiers
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Tarn, la Jonte, le ravin des Bastides et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « causse Méjean » et les « gorges du Tarn et de la Jonte ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Pierre-des-Tripiers est une commune rurale qui compte 90 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 461 habitants en 1821. Ses habitants sont appelés les Saint-Pierriers ou Saint-Pierrières.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Pierre-des-Tripiers occupe la majeure partie de l'extrémité sud-ouest du causse Méjean. Sur trois de ses côtés, elle est délimitée par des phénomènes naturels : les gorges du Tarn à l'ouest, les gorges de la Jonte au sud, et le ravin des Bastides à l'est. Elle est limitrophe du département de l'Aveyron.

    Communes limitrophes

    Saint-Pierre-des-Tripiers est limitrophe de six autres communes dont trois dans l'Aveyron.

    Carte de Saint-Pierre-des-Tripiers et des communes avoisinantes, avant 2017 et la création de la commune nouvelle de Massegros Causses Gorges.

    Hameaux et lieux-dits

    Elle abrite un certain nombre de curiosités naturelles d'exception, ainsi sur les gorges de la Jonte : le balcon du Vertige, les vases de Sèvres et de Chine, notamment ; et sur le causse : les arcs de Saint-Pierre, magnifiques rochers ruiniformes, la grotte de l'Homme mort, etc.

    La commune compte de multiples hameaux :

    • sur le causse Méjean on trouve :
      • Cassagnes,
      • la Viale,
      • la Volpilière,
      • le Courby,
      • les Bastides,
      • Saint-Pierre-des-Tripiers,
      • Volcégur,
      • Campdoulens,
    • sur les gorges de la Jonte :
      • la Caze,
      • le Truel,
    • et sur les gorges du Tarn :
      • la Sablière,
      • Plaisance.

    La mairie présente la particularité de se trouver non pas dans le village, mais au Truel, dans les gorges de la Jonte.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2],[3]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[4].

    Les Cévennes sont également un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[5],[6].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

    • le « causse Méjean », d'une superficie de 1 269 ha, un site avec des milieux représentatifs des habitats naturels caussenards à dominante dolomitique présentant un Mesobromion riche en orchidées[9]

    et un au titre de la directive oiseaux[8] :

    • les « gorges du Tarn et de la Jonte », d'une superficie de 41 801 ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de réintroduction de cette espèce[10].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[11] :

    • les « Arcs de Saint-Pierre » (166 ha)[12] ;
    • les « gorges de la Jonte » (2 578 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aveyron et quatre dans la Lozère[13] ;
    • le « versant ouest du causse Méjean » (775 ha), couvrant 3 communes du département[14] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 3],[11] :

    • le « causse Méjean » (33 342 ha), couvrant 13 communes du département[15] ;
    • les « gorges de la Jonte » (4 568 ha), couvrant 8 communes dont deux dans l'Aveyron et six dans la Lozère[16] ;
    • les « gorges du Tarn » (14 434 ha), couvrant 19 communes du département[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-des-Tripiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[I 1],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Dans les actes antérieurs au XVIe siècle, Saint-Pierre-des-Tripiers est connu sous le nom de Sanctus Petrus de Stirpetis. Lorsque le français fut substitué au latin dans les actes publics, de stirpetis devint d’Extrepieds, Destrepiers, d'Estripiers, des Tripiés (par déglutination)[réf. nécessaire].

    On traduisait ces dénominations par « trois pieds, pieds droits, trois pierres », ce qui n'est conforme ni à l'étymologie, ni à la réalité.[réf. nécessaire]

    Une meilleure traduction serait donc « Saint-Pierre des Défrichements » ou « Saint Pierre des Essarts »[réf. nécessaire]

    Histoire

    Au sommet du mont Buisson (1 065 m, point culminant de la commune), au nord-ouest de Saint-Pierre, à 1,5 km à vol d’oiseau, subsiste une enceinte protohistorique d'origine celte (VIe siècle av. J.-C.), vestige d'un oppidum. Elle aurait été un lieu de culte, et le siège d’un temple rustique.

    En contrebas du mont Buisson, on trouve une doline cultivée dont le fond plat a été obtenu en bouchant l'entrée d'un aven, comme le montre le mur de soutènement édifié à l'intérieur de l'aven de Baume Fromagère.

    Le village est né au Moyen Âge autour d'un prieuré roman dont subsiste la belle église Saint-Pierre.

    Sur le causse, on trouve des ruines d'un village de résiniers de la période gallo-romaine et la grotte de l'Homme mort qui a fait l'objet de fouilles archéologiques.

    Politique et administration

    Liste des maires de Saint-Pierre-des-Tripiers
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1798 Antoine Agulhon    
    1798 1821 Antoine Blanc    
    1821 1843 Étienne Caussignac    
    1843 1852 Augustin Lapeyre    
    1852 1865 Jean Caussignac    
    1865 1870 Pierre-Louis Arragon    
    1870 1874 Célestin Caussignac    
    1874 1876 Omer Lapeyre    
    1876 1881 Célestin Caussignac    
    1881 1883 Jean-Antoine Caussignac    
    1881 1896 Jules Girbes    
    1896 1929 Justin Pouget    
    1929 1945 Victorin Brunel    
    1945 1950 Léon Agrinier    
    1950 1959 Casimir Lapeyre    
    1959 1965 Armand Costecalde    
    1965 1989 Brigitte Boudillon-Chabanier    
    1989 1995 Josette Gal    
    1995 2014 André Vernhet    
    2014 2018 Pierre Granat    
    2018
    (réélu en mai 2020)
    En cours Emmanuel Adely    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

    En 2019, la commune comptait 90 habitants[Note 5], en augmentation de 15,38 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    349408371461441441405401369
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    436397389379356356405395391
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    342407304255270256187146130
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1208073696379767676
    2017 2019 - - - - - - -
    8890-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]11,1 %10,6 %4,3 %
    Département[I 5]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 48 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7 % d'actifs (74,5 % ayant un emploi et 4,3 % de chômeurs) et 21,3 % d'inactifs[Note 6],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 7]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 13 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 36, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 8].

    Sur ces 36 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 58 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 63,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 16,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Les arcs de Saint-Pierre sont des arches naturelles remarquables du causse Méjean.

    Personnalités liées à la commune

    Édouard-Alfred Martel, fondateur de la spéléologie moderne, a logé régulièrement à la Sablière, hameau à partir duquel il a exploré le causse Méjean, avec Louis Armand, forgeron au Rozier, et notamment découvert l'aven Armand.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Coupé : au I) d'azur aux clés de saint Pierre, au II) d'argent au vautour de sable de face et contourné, aux col et membres du champ, posé sur un mont de 3 coupeaux de sinople mouvant d'une champagne ondée coupée d'azur et d'azur.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gil Jouanard, Les Arcs de Saint-Pierre, Tertium Éditions 2001
    • Mathieu Riboulet, Avec Bastien, Éditions Verdier, 2010

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    5. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    6. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9101379 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « site Natura 2000 FR9110105 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF les « Arcs de Saint-Pierre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF les « gorges de la Jonte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « versant ouest du causse Méjean » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « causse Méjean » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF les « gorges de la Jonte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF les « gorges du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    25. « Eglise paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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