Saint-Thomas (Haute-Garonne)
Saint-Thomas est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Thomas.
Saint-Thomas | |||||
La route traversant le village avec les douves à droite. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Muret | ||||
Intercommunalité | Le Muretain Agglo | ||||
Maire Mandat |
Alain Palas 2020-2026 |
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Code postal | 31470 | ||||
Code commune | 31518 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Thomasains | ||||
Population municipale |
576 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 30′ 55″ nord, 1° 04′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 185 m Max. 315 m |
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Superficie | 14,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Plaisance-du-Touch | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | saint-thomas-31.fr | ||||
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aussonnelle, le ruisseau l'Aiguebelle, le ruisseau de Bajoly, le ruisseau de Mescurt et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Thomas est une commune rurale qui compte 576 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. .
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Thomas se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 31 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 21 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 18 km de Plaisance-du-Touch[3], bureau centralisateur du canton de Plaisance-du-Touch dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Lys[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Empeaux (1,8 km), Seysses-Savès (3,4 km), Bragayrac (3,8 km), Saiguède (5,2 km), Sainte-Foy-de-Peyrolières (5,6 km), Sabonnères (5,6 km), Pompiac (6,1 km), Auradé (6,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Thomas fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[5].
Saint-Thomas est limitrophe de sept autres communes donc deux dans département du Gers.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 401 hectares ; son altitude varie de 185 à 315 mètres[7].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par l'Aussonnelle, le ruisseau l'Aiguebelle, le ruisseau de Bajoly, le ruisseau de Mescurt, le ruisseau de Bachet, le ruisseau de Saint-Thomas, le ruisseau du Friant, le ruisseau du Peyrigué, le ruisseau du Ticoulet et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[9],[Carte 1].
L'Aussonnelle, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Seilh, après avoir traversé 12 communes[10].
Le ruisseau l'Aiguebelle, d'une longueur totale de 16,3 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans le Touch à Saint-Lys, après avoir traversé 4 communes[11].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Isle-Jourdain », sur la commune de l'Isle-Jourdain, mise en service en 1967[17] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 705,4 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 21 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[21], à 14,1 °C pour 1981-2010[22], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] : les « bois de Goujon et de Bonrepos » (240 ha), couvrant 4 communes dont trois dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[25] et le « cours de l'Aussonnelle et rives » (76 ha), couvrant 12 communes du département[26].
Urbanisme
Typologie
Saint-Thomas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[I 2],[28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,4 %), zones agricoles hétérogènes (37,9 %), forêts (7,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Hameaux et lieux-dits
La Marquise, En Berduquet, Horgo Paillo, Bédats, Mouréou, les Bichous, En Pouillac, En Pallas, Pécail, Poutet, Sauvage, En Gachot, Friant, la Bordes du Bosc, Empiron, la Cabane, Rentin.
Voies de communication et transports
La ligne 343 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Sabonnères.
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Le Désert[30].
Ses habitants sont appelés les Saint-Thomasains.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[31],[32].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, du Muretain Agglo et du canton de Plaisance-du-Touch (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Thomas faisait partie de l'ex-canton de Saint-Lys) et avant le à la communauté de communes rurales des Coteaux du Savès et de l'Aussonnelle.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 576 habitants[Note 8], en augmentation de 3,78 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
selon la population municipale des années : | 1968[37] | 1975[37] | 1982[37] | 1990[37] | 1999[37] | 2006[38] | 2009[39] | 2013[40] |
Rang de la commune dans le département | 308 | 279 | 276 | 238 | 217 | 214 | 213 | 223 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Vie pratique
Enseignement
Saint-Thomas fait partie de l'académie de Toulouse.
Saint-Thomas fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal avec les communes d'Empeaux, Sabonnères et Bragayrac.
Culture et festivité
Fête locale Mi-août.
Activités sportives
Chasse, pétanque (boulodrome couvert)[41], randonnée pédestre,
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes rurales des Coteaux du Savès et de l'Aussonnelle[42].
La commune possède une déchèterie est gérée par la communauté de communes[43].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 216 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 591 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 26 040 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 7,7 % | 7,3 % | 4,1 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 386 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (75,4 % ayant un emploi et 4,1 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 47 emplois en 2018, contre 46 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 294, soit un indicateur de concentration d'emploi de 15,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67 %[I 11].
Sur ces 294 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 89,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Secteurs d'activités
40 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Thomas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 40 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 3 | 7,5 % | (5,7 %) |
Construction | 9 | 22,5 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 9 | 22,5 % | (25,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,5 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 4 | 10 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 7 | 17,5 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 5 | 12,5 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 2 | 5 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,5 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 40 entreprises implantées à Saint-Thomas), contre 25,9 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
L'économie de la commune est essentiellement basée sur la viticulture et l'agriculture.
Agriculture
La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 27 | 19 | 17 | 13 |
SAU[Note 14] (ha) | 1 014 | 956 | 797 | 736 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 27 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 19 en 2000 puis à 17 en 2010[46] et enfin à 13 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[47],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 014 ha en 1988 à 736 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à 57 ha[46].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Thomas, chapelle Notre-Dame-de-Pitié (route d'Empeaux), château d'eau, douves.
- Chapelle Notre-Dame-de-Pitié (route d'Empeaux),
- Château d'eau, douves.
- Église Saint-Barthélemy
- Chapelle Notre-Dame-de-Pitié
- Les douves avec nénuphars
- L'église et les douves
Héraldique
Blason | Parti : au 1er d'azur à une dourne (cruche de tête) contournée d'or d'où meuvent deux épis de blé du même, le dextre posé en bande, le senestre plus petit et posé en barre, au chef cousu* de gueules chargé d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au 2d d'or à la façade de l'église du lieu de sable, ouverte et ajourée du champ[49]. |
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Détails | * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Thomas » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Saint-Thomas » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Thomas » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Thomas » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Thomas » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Thomas » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Thomas et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Thomas et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Thomas et Plaisance-du-Touch », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Thomas », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Thomas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Aussonnelle »
- Sandre, « le ruisseau l'Aiguebelle »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031518.html
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k204222j/f494.image
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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