Saint-Nicolas-de-la-Grave

Saint-Nicolas-de-la-Grave, connu sous la Révolution sous le nom de La Grave-Bec-du-Tarn et La Grave-du-Bec[1], est une commune française située dans l'ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Pour les articles homonymes, voir Saint-Nicolas.

Saint-Nicolas-de-la-Grave

Château de Richard-Cœur-de-Lion - mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes Terres des Confluences
Maire
Mandat
Bernard Bouché
2020-2026
Code postal 82210
Code commune 82169
Démographie
Gentilé Nicolaïtes
Population
municipale
2 296 hab. (2019 )
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 52″ nord, 1° 01′ 25″ est
Altitude 76 m
Min. 59 m
Max. 88 m
Superficie 29,34 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Nicolas-de-la-Grave
(ville isolée)
Aire d'attraction Moissac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Garonne-Lomagne-Brulhois
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Nicolas-de-la-Grave
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Nicolas-de-la-Grave
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Saint-Nicolas-de-la-Grave
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Nicolas-de-la-Grave
Liens
Site web www.ville-stnicolas82.fr/
    Maison natale de Lamothe-Cadillac.

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, le Tarn, la Sère, le Bourdon, le ruisseau de Millole et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste » et la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Nicolas-de-la-Grave est une commune rurale qui compte 2 296 habitants en 2019. Elle est dans l'unité urbaine de Saint-Nicolas-de-la-Grave et fait partie de l'aire d'attraction de Moissac. Ses habitants sont appelés les Nicolaïtes ou 0.

    Géographie

    Localisation

    Commune située en Rivière-Verdun au carrefour des provinces de la Gascogne, de la Guyenne et du Quercy. Bordé de vergers et de cultures, le village domine la plaine de la Garonne et de la Sère. Édifié sur la rive gauche de la Garonne, à proximité de son confluent avec le Tarn, le village se trouve à 70 km de Toulouse, à 32 km d'Agen, à 11 km de Castelsarrasin et à 8 km de Moissac et à 13 km de Valence d Agen .

    Communes limitrophes

    Saint-Nicolas-de-la-Grave est limitrophe de huit autres communes.

    Carte de la commune de Saint-Nicolas-de-la-Grave et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Saint-Nicolas-de-la-Grave[2]
    Malause Boudou Moissac
    Merles Castelsarrasin
    Le Pin Caumont Castelmayran

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 934 hectares ; son altitude varie de 59 à 88 mètres[3].

    Voies de communication et transports

    Accès avec l'autoroute A62 puis les routes départementales D 813 (ex RN 113) et D 26.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Garonne, le Tarn, la Sère, le Bourdon, le ruisseau de Millole, le ruisseau de la Mouline et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 41 km de longueur totale[5],[Carte 1].

    La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[6].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source dans la commune de pont de Montvert - Sud Mont Lozère et s'écoule d'est en ouest. Il se jette dans la Garonne sur le territoire communal, après avoir traversé 98 communes[7].

    La Sère, d'une longueur totale de 31,8 km, prend sa source dans la commune de Castéron et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelsarrasin, après avoir traversé 15 communes[8].

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Nicolas-de-la-Grave.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 736 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelsarrasin », sur la commune de Castelsarrasin, mise en service en 1990[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 691 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 27 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[19] à 14 °C pour 1991-2020[20].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[22] :

    et un au titre de la directive oiseaux[22] :

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[26] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[27] et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[26] :

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Nicolas-de-la-Grave est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[30],[I 1],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nicolas-de-la-Grave, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 2 283 habitants en 2018, constituant une ville isolée[I 3],[I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moissac, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), cultures permanentes (9,3 %), eaux continentales[Note 10] (8,8 %), zones urbanisées (7,3 %), forêts (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), prairies (0,1 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune, alors nommée Saint-Nicolas, porte les noms de La Grave-Bec-du-Tarn, La Grave-du-Bec et La République[33].

    En 1892, la terminaison de-la-Grave est ajoutée au nom de la commune[33].

    En occitan, la ville est nommée Sent Micolau de la Grava.

    Ses habitants sont appelés les Nicolaïtes[34].

    Histoire

    Les environs de Saint-Nicolas-de-la-Grave sont occupés dès l'époque gallo-romaine ; les ruines d'une villa ont été retrouvées près du lieu-dit Marcassus, sur la rive gauche de la Sère et un chapiteau corinthien en marbre blanc a été découvert au lieu-dit les Arênes. Des fragments de tuile, de poteries et d'amphores ont également été trouvés à l'ouest du village et au lieu-dit les Patots, un très vieux chemin serait une ancienne voie romaine.

    Mais c'est au XIIe siècle que les moines de Moissac édifient un château sur la rive gauche de la Garonne, face au confluent du Tarn, sur le bord du plateau qui domine la plaine d'alluvions. Car le lieu est un carrefour stratégique et il leur est disputé par les vicomtes de Lomagne. Des souterrains permettent de sortir du château et de rejoindre l'abbaye de Moissac. Autour du château, une agglomération se développe peu à peu, avec un port au pied du château. En 1135, Guillaume, Abbé de Moissac s'associe au vicomte Saxetus de Lomagne et à la vicomtesse Sybille d'Auvillar pour accorder une charte à ce bourg qui devient la « sauveté » de Saint Nicolas (une sauveté est une agglomération fondée par les monastères antérieurement au mouvement de création des bastides) : les habitants sont libres dans l'enceinte de la ville. Dans un acte additionnel à la charte, le vicomte de Lomagne jure aux moines et aux habitants de Saint-Nicolas de ne jamais leur enlever leur ville ni leur château et de les protéger contre les envahisseurs.

    Vers 1185, lors de sa campagne victorieuse en Quercy au cours de laquelle il conquiert seize châteaux, le roi d'Angleterre Richard Cœur-de-Lion aurait séjourné au château et y aurait fait construire la tour de devant dite tour des Anglais. L'abbé Bernard de Montaigu, qui occupe la chaire abbatiale de Moissac de 1260 à 1295, fait construire l'aile ouest du château et ses deux tours de quatre mètres de côtés et hautes de 25 et de 28 mètres.

    À la fin du XIIIe siècle, le château est donc achevé avec ses quatre tours ; il mesure 125 mètres dans son axe est-ouest et 100 mètres dans son axe nord-sud. Le plan du bourg est simple ; il s'agit d'un rectangle orienté est-ouest, de 440 mètres de long sur 200 de large, traversé par un axe principal et ceinturé de remparts (aujourd'hui disparus et remplacés par les boulevards) avec en son centre une vaste place.

    En 1345, Saint-Nicolas-de-la-Grave était une forteresse[35].

    Avant 1806, la commune absorbe celle voisine de Moutet[33].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[36],[37].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Terres des Confluences et du canton de Garonne-Lomagne-Brulhois (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Nicolas-de-la-Grave était le chef-lieu du canton de Saint-Nicolas-de-la-Grave) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Sère - Garonne - Gimone.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1848 1850 Jean Delbert aîné   Conseiller général du canton de Saint-Nicolas-de-la-Grave (1848 → 1852)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1871 1889 Joseph Lasserre Centre gauche Propriétaire
    Député du Tarn-et-Garonne (1876 → 1889)
    Conseiller général du canton de Saint-Nicolas-de-la-Grave (1871 → 1890)
    1889 1933 Maurice Lasserre
    (fils du précédent)
    Républicain Avocat
    Député du Tarn-et-Garonne (1890 → 1902)
    Conseiller général du canton de Saint-Nicolas-de-la-Grave (1890 → 1907)
    1933 1945 Auguste Cabrit    
    1945 1951 Henri Barre    
    1951 1959 Georges Doustin    
    mars 1959 1981 Jean Lafougère    
    1981 mars 1989 Jean-Pierre Sieurac    
    mars 1989 juin 1995 Jean-Claude Lafite    
    juin 1995 mars 2001 Claudine Saulenc PRG  
    mars 2001 mai 2020 Joël Capayrou PRG Agriculteur
    Conseiller général du canton de Saint-Nicolas-de-la-Grave (2008 → 2015)
    mai 2020 En cours Bernard Bouché RDG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2019, la commune comptait 2 296 habitants[Note 11], en augmentation de 6 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2982 3322 7612 9212 9953 0633 0333 0763 006
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 0472 9842 8892 8402 7882 8082 7422 6622 530
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4422 3102 1431 9151 8681 7421 7291 4791 578
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5601 7111 7221 7052 0242 0092 1062 1412 243
    2019 - - - - - - - -
    2 296--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 20 16 16 16 17 18 18 18
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Enseignement

    Saint-Nicolas-de-la-Grave fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par le groupe scolaire Jean Lafougère et par une école privée Saint Joseph[45].

    Santé

    La commune possède des infirmiers, des médecins généralistes, des dentistes des kinésithérapeutes un Psychologue, une pharmacie et un vétérinaire[46].

    Culture et festivités

    Médiathèque, musée Lamothe-Cadillac[47], office de tourisme,

    Activités sportives

    Football la nicolaite, basketball, gymnastique, cyclisme, tennis[48]...

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Terres des Confluences[49].

    Sur la commune, il existe une déchèterie située dans la Zone artisanale La Biarne.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 986 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 2 199 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 820 [I 7] (20 140  dans le département[I 8]). 40 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (42,6 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]7,8 %9,1 %11,2 %
    Département[I 10]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 388 personnes, parmi lesquelles on compte 75,4 % d'actifs (64,2 % ayant un emploi et 11,2 % de chômeurs) et 24,6 % d'inactifs[Note 14],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Moissac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 579 emplois en 2018, contre 489 en 2013 et 527 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 905, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55 %[I 13].

    Sur ces 905 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 301 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 86,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    154 établissements[Note 15] sont implantés à Saint-Nicolas-de-la-Grave au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble154100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1711 %(9,6 %)
    Construction1811,7 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    4428,6 %(29,7 %)
    Information et communication10,6 %(1,9 %)
    Activités financières et d'assurance31,9 %(3,4 %)
    Activités immobilières63,9 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2415,6 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2013 %(13,6 %)
    Autres activités de services2113,6 %(9,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (44 sur les 154 entreprises implantées à Saint-Nicolas-de-la-Grave), contre 29,7 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[50] :

    • Seringes Armatures, fabrication d'articles en fils métalliques, de chaînes et de ressorts (8 973 k€)
    • Distribution Verley, supermarchés (5 888 k€)
    • CCX Constructions, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (476 k€)
    • Architeck, activités des sociétés holding (265 k€)
    • Ekycom, commerce de gros (commerce interentreprises) non spécialisé (73 k€)

    Au cœur de la vallée de la Garonne, le village vit pour l'essentiel de l'arboriculture et la culture des céréales (maïs notamment). La principale usine, créée en 1968, la scierie Desmazels a connu depuis la fin des années 1990 de nombreux problèmes de gestion. Avec 44 salariés, en , l'entreprise - spécialisée désormais dans la fabrication de volets - est rachetée en 2006 par le groupe Sothoferm[51]. Mais après une première vague de licenciements (), le PDG du groupe poitevin Sothoferm, Bernard Paineau a finalement décidé de fermer cette scierie familiale et de licencier les 35 salariés restants[52].

    Agriculture

    La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations123816052
    SAU[Note 18] (ha)1 9041 8911 5811 546

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 123 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 81 en 2000 puis à 60 en 2010[55] et enfin à 52 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 58 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[56],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 904 ha en 1988 à 1 546 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 15 à 30 ha[55].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Richard-Cœur-de-Lion, château des abbés de Moissac, (XIIe siècle-XIIIe siècle), actuelle mairie, inscrite au titre des monuments historiques en 1978[57].
    • L'église paroissiale Saint-Victor de Saint-Nicolas-de-la-Grave : construite vers 1685, l'église ferme à moitié la place centrale du bourg. Elle possède un porche et un clocher octogonal de style toulousain. Son portail comporte des éléments Renaissance. Elle contient la chasse de saint Ansbert, un abbé légendaire de Moissac.
    • L'église Notre-Dame du Moutet, inscrite au titre des monuments historiques en 1978[58]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[58].
    • La chapelle Notre-Dame-de-Pitié ou des-Sept-Douleurs actuelle, construite sur une initiative privée, date de 1836. Elle était destinée à remplacer la chapelle Notre-Dame-de-Pitié détruite en 1793, qui fut jadis un lieu de pèlerinage pour les marins. En effet, la ville antique était dotée d'un port fluvial et c'est donc naturellement sous la protection de saint Nicolas que cette population de pêcheurs s'est placée. Lorsque cette population s'est déplacée, une nouvelle église lui a été affectée et la paroisse primitive s'est muée en chapelle, mais elle n'a pas été abandonnée pour autant. La dévotion des mariniers se conserva d'autant plus jalousement qu'à Auvillar, la même corporation dépendait d'une chapelle particulière : il y avait échange de pèlerinages. Cependant, avec le retrait des eaux de la Garonne, la libération de la plaine basse et l'éloignement de plus en plus grand du port, les mariniers ont disparu et, avec eux, les pèlerinages en vue des « choses de la mer ».

    À la suite probable d'une importante réparation ou d'une réfection, l'autorité ecclésiastique a alors orienté les dévotions dans un sens différent, ce qui expliquerait les pèlerinages des femmes venant prier pour une heureuse délivrance, et l'appellation suivante de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs.

    • Maison natale du chevalier de Lamothe-Cadillac, inscrite au titre des monuments historiques en 1973[59].
    • La Halle : construite en 1898 à l'emplacement d'un édifice plus ancien, la halle est située face à l'église, sur la place centrale du bourg, la place Nationale, où se tient le marché. C'est un simple parapluie métallique qui repose sur des colonnes de fonte. Elle possède deux rangées de couverts en équerre, « les cornières ».
    • Le kiosque à musique a été construit en 1932 sur les allées Joseph-Lasserre. C'est le dernier témoin de l'époque où la musique était un élément dynamique de la vie sociale. Les harmonies s'y installaient le dimanche pour un concert gratuit, suivi par un public assis sur les chaises installées à l'ombre des platanes de la Promenade.

    Il ne reste plus beaucoup de kiosques dans la région Midi-Pyrénées, celui de Saint-Nicolas est le point fort des festivités locales : carnaval, bal du 14-Juillet et concerts de la Lyre de Castelsarrasin.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la colombe d'argent tenant un rameau d'olivier de sinople en son bec.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saint-Nicolas-de-la-Grave » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Saint-Nicolas-de-la-Grave » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Moissac » (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Nicolas-de-la-Grave » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Nicolas-de-la-Grave » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Nicolas-de-la-Grave » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Nicolas-de-la-Grave » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France : listes par départements et liste générale alphabétique, Paris, Société de l'histoire de la Révolution française, (BNF 35460306), p. 67
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    5. « Fiche communale de Saint-Nicolas-de-la-Grave », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    6. Sandre, « la Garonne »
    7. Sandre, « le Tarn »
    8. Sandre, « la Sère (rivière) »
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    51. Max Lagarrigue, Plan de licenciements chez Desmazels, La Dépêche du Midi, 6/2/2009.
    52. Max Lagarrigue, Desmazels: 23 ex-salariés aux prud'hommes, La Dépêche du Midi, 05/12/2009 et Ex-Desmazels : les licenciés.. désabusés, La Dépêche du Midi, 26/03/2010.
    53. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    54. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    55. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Nicolas-de-la-Grave - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    56. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    57. « Château dit de Richard Cœur de Lion », notice no PA00095882, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. « Église Notre-Dame du Moutet », notice no PA00095883, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    59. « Maison natale du chevalier de Lamothe-Cadillac », notice no PA00095884, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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