Sainte-Geneviève (Oise)
Sainte-Geneviève est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Sainte-Geneviève.
Sainte-Geneviève | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Daniel Vereecke 2020-2026 |
||||
Code postal | 60730 | ||||
Code commune | 60575 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Génovéfains, génovéfines | ||||
Population municipale |
3 344 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 417 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 17′ 23″ nord, 2° 11′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 131 m Max. 221 m |
||||
Superficie | 8,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Sainte-Geneviève (ville isolée) |
||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Chaumont-en-Vexin | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Géographie
Description
La commune de Sainte Geneviève est située au sud du département de l'Oise et fait partie du pays de Thelle.
Le bourg s'étire le long de la route nationale 1 (Paris - Calais) qui place Sainte-Geneviève à une vingtaine de kilomètres de Beauvais et à une cinquantaine de kilomètres de Paris.
Le territoire communal est formé d'un haut plateau, d'une altitude moyenne de 200 mètres, entaillé profondément par des vallées sèches au nord-ouest et au sud-est et la Falaise du Thelle, colline crayeuse qui va des bords de l'Oise, au niveau de Boran-sur-Oise, jusqu'à Gournay[1].
Communes limitrophes
Hameaux et écarts
La commune comptait quatre hameaux : le Petit Fercourt, la Fusée, la Croix et le Camp du Puits. Seuls les deux premiers subsistent, les deux derniers ayant été progressivement intégrés au village[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[8] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[10] à 10,6 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Sainte-Geneviève est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sainte-Geneviève, une unité urbaine monocommunale[16] de 3 230 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60 %), zones urbanisées (19,4 %), forêts (16,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Toponymie
La paroisse était dénommée en 1104 Sancte Genovefa, prénom latinisé d'origine germanique[1], en référence à Geneviève de Paris.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Montcailloux en 1793, avant de reprendre le toponyme de Sainte-Genevière en 1801[23].
Histoire
Sainte-Geneviève s'est implantée à proximité d'un ancien site acheuléen. La voie romaine Paris - Beauvais passait à l'emplacement du hameau de la Croix.
Fondation au Moyen Âge en 1333 d'un Hôtel-Dieu par Jean d'Osmont et sa femme Jeanne de Maignier, avec une chapelle dédiée à sain Hubert[1].
La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de La Croix. En 1835, Novillers est détaché de Sainte-Geneviève et prend son autonomie communale[23].
Sainte-Geneviève a connu une importante activité de tabletterie, puis s'est spécialisé dans la fabrication de corne et d'éventails, puis à partir de 1835 dans la production de brosses à dents et de boutons.
La commune de Sainte-Geneviève, réputée pour avoir été l'un des premiers et des principaux centres de tabletterie de la région au début du XIXe siècle, n'a laissé que peu de témoignages architecturaux significatifs de cette industrie, notamment en raison de l'organisation dispersée, particulière, et donc quasi artisanale des nombreux ateliers.
L'usine Lesieur-Lesbroussart est l'un des rares témoins industriels de cette activité. L'étude archéologique et stylistique permet de dater les bâtiments du 3e quart du XIXe siècle, notamment le grand atelier de fabrication et les bureaux attenants, ainsi que le logement patronal, dont le vocabulaire ornemental s'inscrit dans le courant néo dix-huitième de l'époque. Il semble que l'usine appartienne d'abord à Pascal Lesbroussart, dont les initiales sont sculptées au sommet de la lucarne du logement patronal. Mais en 1882, l'entreprise suit le mouvement économique de concentration amorcé quelques années plus tôt. Elle devient alors la société Lesieur-Lesbroussart et Cie, spécialisée dans la fabrication d'éventails en nacre, ivoire et bois des îles. L'activité se poursuit jusque vers 1935. L'année suivante, la cheminée est démontée. Par la suite, le site est occupé par une usine d'emboutissage avant d'être désaffecté. Les bâtiments industriels sont actuellement loués à diverses activités de service[24].
1893 : présence d'une machine à vapeur.
La commune a été desservie de 1880 à 1949 par le chemin de fer de Hermes à Beaumont, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique.
Vers 1927, un ex-prisonnier de guerre, M. Magnien, fit venir d'Allemagne trois souffleurs de verre spécialistes en thermométrie médicale. Ces souffleurs formèrent les ouvriers français au soufflage ainsi qu'à la gravure. À cette époque, les pompes à vide n'étaient pas utilisées et le remplissage des réservoirs de mercure se faisait par le " bouillage" qui consistait à porter le métal à ébullition afin qu'il grimpe dans la colonne prismatique et atteigne un réservoir supplémentaires provisoire. Chaque thermomètre était gravé à la main et les divisions entre 35 et 42° étaient tracées au tire-ligne. L'usine a employé jusqu'à une trentaine d'ouvriers (souffleurs, graveurs, fermeuses). On y fabriquait des thermomètres à usage vétérinaire, pour des souris ou des animaux plus gros. On y fabriqua aussi des thermomètres au centième de degré pour mesurer la température au moment de l'ovulation féminine. L'usine a définitivement cessé de fonctionner en [1].
En 1934, la commune comptait onze cafés[1].
La commune a connu d'autres entreprises et une industrialisation importante à compter des années 1960. Avec tout d'abord Fileca, entreprise de pointe dans le domaine de la câblerie spécialisée. Si l'entreprise existe encore sous le nom de Draka, après avoir connu un effectif de quelque 450 salariés au milieu des années 1980. Ils ne sont aujourd'hui qu'environ 170. Elle a connu quelques rachats depuis le milieu des années 1990. Autre, entreprise importante Orgarex rachetée par Esselte Dymo. Elle a connu jusqu'à 350 salariés mais à la suite de plusieurs plans sociaux, elle cessera son activité sur ce site début 2008 qui est devenu une pépinière d'entreprises. D'autres entreprises telles que Fechoz, Prévôté, Hermes ont été amenées à cesser leur activité dans les décennies 1990 - 2000[1].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noailles[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Chaumont-en-Vexin
Intercommunalité
La commune a adhéré en 2000 à la communauté de communes du pays de Thelle[25] (CCPT).
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[27],[28].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [29].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2019, la commune comptait 3 344 habitants[Note 7], en augmentation de 15,75 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 632 hommes pour 1 669 femmes, soit un taux de 50,56 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
En 2016, la commune compte une école maternelle, deux écoles primaires, un collège, un restaurant scolaire et un centre d'accueil périscolaire[1]. Compte tenu de la croissance de la population et notamment des jeunes familles, la commune engage en 2016 la construction d'une nouvelle cantine et d'une sale polyvalente qui devraient être livrées en 2018[37].
Santé
L'OPAC de l'Oise aménage en 2016 une maison médicale permettant de regrouper trois infirmiers, un dentiste et un médecin[37].
Économie
La commune accueille notamment l'entreprise Draka Fileca (groupe Prysmian), fondée en 1964 par Henri Cholley et qui, en 2016, est l'une des trois entreprises françaises qui fabriquent des câbles pour l'aviation. 80 % de sa production est destinée aux Airbus A320, A380 et autres avions commerciaux. Compte-tenu de son carnet de commandes, elle prévoit d'investir 5 à 10 millions d'euros pour agrandir l'entreprise, faisant passer les effectifs de 170 à 225 salariés[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Sainte-Geneviève du XIIIe siècle, inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1983. Elle comprend un clocher élevé sur plan carré avec sa flèche et deux nefs datant du XVe siècle. La porte sud date du XVIIe siècle et la façade du XVIIIe siècle[39].
- L'ancienne usine de tabletterie Lesieur-Lesbroussart[24]
- Paysage : « Côte de Sainte-Geneviève » et « Bois de Sainte-Geneviève ».
Héraldique
|
Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
|
---|
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Philippe Delattre, « Lieu habité depuis la préhistoire : Tout savoir sur le village de Sainte-Geneviève », L'Observateur de Beauvais, no 982, , p. 25.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sainte-Geneviève et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Sainte-Geneviève », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Usine de tabletterie (fabrique d'éventails) Lesieur-Lesbroussart », notice no IA60001329, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Arrêté préfectoral du 30 décembre 1999, mentionné page 6 des Statuts de la CCPT.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
- « Face à A. Bouillette, Jacqueline Vanbersel a été réélue largement pour son quatrième mandat de maire. L’élue a pu décompresser lors d’une fête organisée après le conseil. », L'Observateur de Beauvais, no 837, , p. 29 (ISSN 1287-7565).
- Mélanie Carnot, « À Sainte-Geneviève, l’ancien premier adjoint l’emporte et met fin à l’ère Vanbersel : Jacqueline Vanbersel, la maire sortante, élue depuis 1995, n’arrive que dernière de la triangulaire qui s’est nouée au second de l’élection municipales dimanche soir. Son ancien premier adjoint, Daniel Vereecke, sort gagnant », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Car Daniel Vereecke a bien remporté l’élection, dimanche soir, face à Jacqueline Vanbersel, maire depuis 1995, qui briguait à 83 ans un cinquième mandat (...) Celui qui a fait toute sa carrière comme enseignant au lycée Paul-Langevin de Beauvais avait démissionné l’année dernière après avoir été écarté par Jacqueline Vanbersel. Simple conseiller durant le mandat de 2008 à 2014, il était devenu premier adjoint, suivant notamment le dossier de construction de la cantine ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sainte-Geneviève (60575) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Farida Chadri, « Sainte-Geneviève : la population augmente, les infrastructures s'adaptent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- Farida Chadri, « A Sainte-Geneviève, Draka Fileca fabrique des câbles pour Airbus », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « L'église », notice no PA00114858, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Portail de l’Oise
- Portail des communes de France