Salperwick
Salperwick est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Cette commune a la particularité d'être construite sur un marais.
Salperwick | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer | ||||
Maire Mandat |
Michel Martinot 2020-2026 |
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Code postal | 62500 | ||||
Code commune | 62772 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salperwickois | ||||
Population municipale |
479 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 120 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 46′ 24″ nord, 2° 13′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 71 m |
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Superficie | 4 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Omer (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Omer | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | salperwick.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 169 habitants en 2018.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[1].
Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés :
- la réserve de biosphère, zone de transition, du marais audomarois[2] ;
- le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[3].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
La commune est située, pour partie, sur un site classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) : le complexe écologique du marais Audomarois et de ses versants. Cette ZNIEFF est un élément de la dépression préartésienne, drainé par l’Aa, le marais Audomarois est un golfe de basses terres bordé à l’Ouest par la retombée crayeuse de l’Artois et à l’Est par les collines argileuses de la Flandre intérieure[4].
Urbanisme
Typologie
Salperwick est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération inter-départementale regroupant 23 communes[8] et 74 682 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,2 %), zones humides intérieures (21,8 %), prairies (14 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Histoire
Salpervick ou Salperwick est le siège d'une seigneurie dans la société d'ancien régime d'avant la Révolution française.
Le village a également donné son nom à plusieurs nobles qui font partie des personnalités de la localité.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Saint-Omer.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Postes et télécommunications
La commune, avec trois autres communes voisines que sont Saint-Omer, Tilques et Serques, a la particularité, unique en France, d'avoir le courrier distribué par un facteur en barque pour une partie des habitants demeurant dans le marais[23].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2019, la commune comptait 479 habitants[Note 3], en diminution de 6,26 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 248 hommes pour 237 femmes, soit un taux de 51,13 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Monument historique
- Le château de Salperwick, également dénommé château de Saubruit. Les bâtiments du château en totalité, y compris les décors intérieurs ; le parc (cad. AD 2, 3, 5 à 10) : inscription au titre des monuments historiques par arrêté du .
- Le château.
Autres monuments
- Le monument aux morts des guerres 1914-1918 et 1939-1945.
- L'église Notre Dame de la Bonne Fin.
- Le monument aux morts.
- L'église.
Famille de Salperwick
- Hugues de Salperwick et son fils assistent, vers 1170-1174, à Guînes, à la lecture publique des lettres du comte de Guînes Baudouin II de Guînes, énonçant l'accord entre l'abbaye Saint-Médard d'Andres et Guillaume du pays de Bredenarde[30]. En 1174, Hugues assiste de nouveau à une assemblée des barons de Guînes pour la confirmation par Baudouin II de Guînes de donations à l'abbaye de Clairmarais[30].
- Eustache de Salperwick est en 1217 un des douze pairs (pairie) de l'évêque de Thérouanne[31].
- Noël de Salpervicq, seigneur de Crehon, est reconnu noble le . Ses armes sont « Aux 1 et 4 d'argent à une aigle de sinople à deux têtes, membrée de gueules, aux 2 et 3 d'argent à un char de sable »[32].
- En 1702, Louis de Salperwick est l'époux d'Antoinette Philippe de Bassecourt, sœur de Jean-Baptiste de Bassecourt. N'ayant pas d'héritier, Jean-Baptiste de Bassecourt, fait marquis de Grigny en 1690 par le roi d'Espagne, donne la terre de Grigny et le titre de marquis, par acte passé à Naples le , à Antoinette Philippe de Bassecourt, sa sœur pour en jouir après sa mort et la laisser ensuite à François de Salperwick, son fils et neveu de Jean-Baptiste de Bassecourt[33]. En , par lettres données à Fontainebleau le roi de France Louis XIV confirme le titre et la donation, en incorporant dans le marquisat de Grigny, les terres de Fresnoy, Quisy, Marconnelle. François de Salperwick a épousé Marie Charlotte de Harchies, et en accord avec elle, en 1705, il consent à ce qu'Antoinette Philippe de Bassecourt, jouisse sa vie durant de la terre de Grigny. François est seigneur de Fresnoy, Crehem, Hestruval, Plumoison, Quichy, Ristade, Marconnelle, Héricourt et Leuzeux, mousquetaire de la seconde compagnie de la garde du roi, commandée par le sieur de Jouvelle et il a participé à la prise de Valenciennes, Cambrai, Saint-Omer, ainsi qu'à la bataille de Cassel (guerre de Hollande et traités de Nimègue)[34]. La famille de Salperwick a gardé le fief de Grigny jusqu'à la Révolution française.
Passage à Salperwick
- Le roi Henri VIII d'Angleterre, qui a débarqué à Calais le , s’arrête à Salperwick et y dort le . Il loge dans ce qui s'appelait alors la cense de Saubruit, devenue depuis le château de Saubruit[35]. Il était en route pour le siège de Thérouanne, et la Journée des Éperons : bataille de Guinegatte, .
- Lazare Carnot, "l'Organisateur de la Victoire" s'est marié à Salperwick le . Il y avait épousé Sophie Dupont de Moringhem, dont les parents habitaient le château de la Tour Blanche, situé sur la commune voisine[36]. Les jeunes mariés ont profité de la vente des biens nationaux au château de Saubruit, pour y acquérir l'essentiel de leur mobilier de ménage.
- Napoléon 1er, après avoir quitté Boulogne, s'est arrêté et a logé au château de Salperwick du 26 au . Il mit à profit son séjour pour visiter la garnison de Saint-Omer. Après son départ, le château servit de quartier général pour le camp de Boulogne, au général Bertrand[37].
- Le Duc d'Orléans, fils du Roi Louis-Philippe 1er, se rendit au château, le , pour visiter l'élevage expérimental de moutons Texel de M. Marescaux, propriétaire des lieux.
Autres
- Le , une sentence de noblesse est prise pour Jean Alexandre Vuldre, écuyer, seigneur de Salperwick, domicilié à Saint-Omer, fils d'Alexandre Vuldre, également écuyer, capitaine au service du roi d'Espagne[38].
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : de gueules à la fasce d’or surmonté d’un lambel de cinq pendants du même.
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site de la commune
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Salperwick », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Salperwick » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « espace protégé FR6500012 - Marais Audomarois », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013353 - Le complexe écologique du Marais Audomarois et de ses versants », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Chr. D., « D'Ablain-Saint-Nazaire à Zutkerque : les maires du Pas-de-Calais jusqu'en mars 2014 », sur http://www.echo62.com, (consulté le ).
- Marie Jansana, « Bilan des maires à Salperwick avec Jean-Pierre Geersen: le grand projet réalisé, il ne se représentera pas : Jean-Pierre Geersen l’a annoncé lors du dernier conseil municipal, il renoncera à son fauteuil, en mars 2014. « Il faut savoir laisser la place. » L’œuvre de son unique mandat aura été la réalisation du complexe en face de la mairie. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Salperwick : premier mandat en tant que maire pour Michel Martinot : Un seul tour aura suffi à Michel Martinot et sa liste, « Salperwick, notre village », pour former le conseil municipal. Dimanche, à l’école et devant une centaine d’habitants, il s’est réuni pour élire son maire et ses adjoints. Seul en lice pour le poste de premier magistrat, Michel Martinot a récolté quatorze voix sur quinze (un bulletin blanc) et s’est ainsi vu passer l’écharpe tricolore par son prédécesseur, Jean-Pierre Geersen. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Marie Jansana, « Effacer les années mouvementées au conseil municipal de Salperwick, l’objectif du nouveau maire Michel Martinot : Le 30 mars, Michel Martinot, salarié d’Arc International, a pris la succession de Jean-Pierre Geersen, dont il était premier adjoint. Entré au conseil municipal en 1989, le nouveau maire, âgé de 48 ans, s’appuie sur une expérience de vingt-cinq ans de conseil municipal », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Jennifer-Laure Djian, « En barque avec le facteur du marais, entre Saint-Omer et Salperwick », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Salperwick (62772) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 69, lire en ligne.
- P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 985, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 4.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 56, lire en ligne
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne
- Adolphe Joanne, Itinéraire général de la France, Paris, Librairie Hachette et Cie, (lire en ligne), P 125.
- Pierre André Wimet, Le Château de Salperwick, quartier général de Napoléon à Saint-Omer, Bulletin 22, Saint Omer, Bulletin de la Société des antiquaires de la Morinie, BT 22, pp 553-575.
- Pierre-André Wimet, Le Château de Salperwick, quartier général de Napoléon à Saint-Omer, Bulletin 22, Saint Omer, Bulletin de la Société des antiquaires de la Morinie, pp 553-575.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 55, lire en ligne
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