Saucède

Saucède est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saucède
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Martine Mirande
2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64508
Démographie
Population
municipale
132 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 13″ nord, 0° 41′ 05″ ouest
Altitude Min. 153 m
Max. 266 m
Superficie 7,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saucède
Géolocalisation sur la carte : France
Saucède
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Saucède
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saucède

    Le gentilé est Saucédois[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saucède se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 12 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Aren (1,0 km), Préchacq-Josbaig (2,2 km), Geüs-d'Oloron (2,6 km), Préchacq-Navarrenx (2,7 km), Saint-Goin (2,8 km), Lucq-de-Béarn (3,0 km), Poey-d'Oloron (3,1 km), Géronce (3,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saucède fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Saucède se partage en deux parties bien distinctes. Le village rue, bâti sur un méandre du gave d'Oloron au niveau de sa confluence avec le ruisseau l’Auronce, et un habitat éclaté occupant l’espace entre Lucq-de-Béarn et Poey-d'Oloron. Saucède était un lieu de franchissement du gave d'Oloron, par une « nau » attestée depuis au moins le XVe siècle[8].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Saucède.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, l'Auronce, un bras du gave d'Oloron, le Lassabaigt, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[9],[Carte 1].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[10].

    L'Auronce, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune de Lasseube et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron sur le territoire communal, après avoir traversé 10 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 237 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Monein », sur la commune de Monein, mise en service en 1971[17] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[18],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 183,3 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 25 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 13,4 °C pour 1981-2010[22], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[25], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[26],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[27],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Saucède est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[29],[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,7 %), forêts (27,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,9 %), prairies (13,7 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Beziat ;
    • Hameau ;
    • Lannelongue ;
    • Village.

    Toponymie

    Le toponyme Saucède apparaît[35] sous les formes Villa de Sauceta (XIIe siècle, collection Duchesne volume CXIV[36]), Saussede (1385, censier de Béarn[37]) et Sent-Per de Saucede (1420, notaires de Lucq[38]).

    Son nom béarnais est Sauceda[39] ou Saucéde[40].

    Histoire

    Les premières mentions et graphies anciennes mentionnent « villam de Sauceta » (Xe siècle) et Salceta, (1114) dans le cartulaire de l'abbaye de Lucq-de-Béarn. Saucède (1420)[41],[8].

    En 1385 on dénombrait 25 maisons habitées dont l'abbaye laïque et 3 maisons vides[8].

    Paul Raymond[35] note qu'en 1385, Saucède dépendait du bailliage d'Oloron et comptait 27 feux.

    Archéologie

    Un « castéra » domine le Gave d’Oloron au niveau du village. Il est déjà cité en 1420 par les notaires de Lucq (E1407/11). En 1563 est cité le « castera de Casenave » (E1420/417)[8].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Fernand Bayaud    
    2001 2008 Martine Mirande    
    2008 2014 Martine Mirande    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de quatre structures intercommunales[42] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2019, la commune comptait 132 habitants[Note 10], en augmentation de 3,13 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    366302326321380380390402402
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    402371358353353350354302286
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    290281284253240225215209186
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    204174149125130106118111130
    2014 2019 - - - - - - -
    128132-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est principalement agricole (polyculture, élevage, pâturages, vigne). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Mairie - école.

    Fête communale fin septembre.

    Patrimoine civil

    Mairie.

    Patrimoine religieux

    Église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre. D’origine très ancienne l’église Saint-Pierre est déjà mentionnée au XIe ou XIIe siècle dans le cartulaire de l’abbaye Saint-Vincent de Lucq : « ecclesiam quae dicitur Santi Petri de Salceta ».

    Le clocher, à cinq niveaux, est recouvert d’un toit en dôme à l’impériale surmonté d’un clocheton (XVIIe ou XVIIIe siècle). Il est en fait la combinaison du tout début du XVIIIe, l’évêque Joseph de Revol ayant interdit la nudité dans la décoration du mobilier des églises de son diocèse, en 1712[8].

    • L'abbaye laïque : Saucède possédait une abbaye laïque que l’on trouve mentionnée dans les notaires de Lucq, au moins de 1370 à 1505, par Bernadine « daune proprietari deudit ostau d’Abadie », pour que l’on puisse y édifier le nouveau clocher. On peut sans doute l’identifier à l’actuelle maison Bergès[8].

    Patrimoine environnemental

    • Château : en 1443, un acte des notaires de Lucq mentionne par deux fois à Saucède, « lo castet » et « lo quam de darrer lo castet » (E1408/141). Quel était ce château dont on ne retrouve pas de mention par ailleurs ? Le mot « castet » fut-il ici employé pour « castéra »[8].
    • Les moulins : bâti au confluent du gave et de l’Auronce, le village de Saucède se prêtait à la construction de moulins. Le cartulaire de Lucq, en mentionne déjà un, bâti sur le gave par l’abbé de Lucq au XIe ou au XIIe siècle, « molendinum in villa quae vocatur Sauceta ». En 1365, (E1400/2V°) l’abbaye Saint-Vincent de Lucq possède à Saucède un ou des moulins, une « nasse », sans doute un piège à truites et à saumons ainsi qu’un « peesquer » ou bassin permettant de les conserver. En 1529, l'abbaye déclare se réserver les « pexs deus pesquers » de Saucède.

    En 1476, l’abbaye octroie à Menaud de Bartes, « peyrer de Saucède, le droit de construire un moulin « batan et arresec » soit un foulon et une scierie, sur l’Auronce « au-dessus du pont de pierre ». Ce pont existe toujours au milieu du village et les restes du moulin du XVe siècle en très bel appareil de pierre, sont encore visibles[8].

    Équipements

    • Lannepuyes : ce domaine, où existe aussi un moulin, fut la propriété successive de diverses familles bourgeoises d’Oloron, les Dombidau, Lembeye, Lafargue. Le nom de Lannepuyes est déjà mentionné dans le dénombrement de 1385[8].
    Bac sur le gave d'Oloron à Saucède.
    • La « nau » ou bac de Saucède : on ne saurait parler de Saucède sans évoquer la « nau » qui permettait aux personnes, animaux et charrois de franchir le gave vers Aren, le Josbaig et la Soule.

    Déjà citée en 1481 (E1411/148V°), la « nau et passadge de Saucede » appartenait à l’abbaye de Lucq qui s’en réservait la gratuité. Elle devait rester de jour et de nuit sur le gave et ne pas transporter de pierres pour ne pas l’abîmer. En 1546, il est refait par maître Gaillart, crestia de Saucède et son fils, avec des chênes, pris comme de coutume, au bois de Moret, de Poey et Verdets, aussi propriété de l’abbaye de Lucq.

    Le « bac public » de Saucède fut supprimé par décision ministérielle du 29 août 1891 et en 1894 concédé sous certaines conditions comme « bateau particulier » au sieur Placé-Capdepont. Il a fonctionné jusque dans les années 1940[8].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saucède » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saucède », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saucède », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Saucède », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saucède et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Saucède et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Saucède », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « HISTOIRE ET PATRIMOINE AUTOUR D’OLORON » - Promenade archéologique des Amis des Églises Anciennes du Béarn.
    9. « Fiche communale de Saucède », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
    10. Sandre, « le gave d'Oloron ».
    11. Sandre, « l'Auronce ».
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Monein - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Saucède et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Monein - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Saucède et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saucède », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saucède », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Oloron-Sainte-Marie », sur insee.fr (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    35. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    36. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
    37. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
    38. Notaires de Lucq - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    41. Notaires de Lucq de Béarn
    42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail des Pyrénées
    • Portail du Béarn
    • Portail des Pyrénées-Atlantiques
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.