Sainte-Livrade-sur-Lot
Sainte-Livrade-sur-Lot (en occitan : Senta Liurada d'Òlt) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Sainte-Livrade-sur-Lot | |||||
Église de Sainte-Livrade. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Villeneuvois | ||||
Maire Mandat |
Pierre-Jean Pudal 2020-2026 |
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Code postal | 47110 | ||||
Code commune | 47252 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Livradais Sainte-Livradaises |
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Population municipale |
6 456 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 209 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 23′ 56″ nord, 0° 35′ 25″ est | ||||
Altitude | 50 m Min. 37 m Max. 194 m |
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Superficie | 30,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Villeneuve-sur-Lot (banlieue) |
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Aire d'attraction | Villeneuve-sur-Lot (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Livradais (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | Site de la mairie | ||||
Géographie
Localisation
Bastide de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot située dans la large vallée du Lot (à une trentaine de kilomètres de son confluent avec la Garonne), sur la D 811 (ex-route nationale 111) et RD 667 (ex-route nationale 667) au cœur du pays du pruneau d'Agen, à une dizaine de kilomètres de Villeneuve-sur-Lot et dans l'ancienne province de Guyenne.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1989 à 2015 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,1 | 2,3 | 4,5 | 6,6 | 10,6 | 13,6 | 15,2 | 15,2 | 11,7 | 9,4 | 5,2 | 2,6 | 8,3 |
Température moyenne (°C) | 6 | 7,3 | 10,2 | 12,3 | 16,7 | 19,9 | 21,8 | 22 | 18,2 | 14,7 | 9,3 | 6,4 | 13,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 10 | 12,2 | 16 | 18 | 22,8 | 26,1 | 28,5 | 28,7 | 24,8 | 19,9 | 13,5 | 10,1 | 19,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,1 13.01.03 |
−13 09.02.12 |
−9,7 01.03.05 |
−3,4 22.04.1991 |
0,8 06.05.02 |
4 01.06.06 |
7,5 04.07.1990 |
6,2 29.08.1998 |
1,4 25.09.02 |
−4,5 25.10.03 |
−9 17.11.07 |
−11,2 25.12.01 |
−13 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,9 02.01.03 |
24,6 15.02.1998 |
27,1 20.03.05 |
30,7 30.04.05 |
34,7 30.05.01 |
39,7 25.06.01 |
40,2 21.07.1990 |
41,6 04.08.03 |
37 03.09.05 |
32,1 04.10.04 |
25,6 07.11.15 |
20,1 15.12.1989 |
41,6 2003 |
Ensoleillement (h) | 78 | 119,5 | 167,7 | 190,9 | 213,9 | 259 | 268,9 | 239,6 | 214,2 | 136,8 | 83,7 | 75 | 2 047,2 |
Précipitations (mm) | 58,3 | 48,2 | 49,5 | 75,6 | 68,6 | 60,8 | 59,3 | 60 | 63,5 | 68,5 | 80,4 | 64,9 | 757,6 |
Urbanisme
Typologie
Sainte-Livrade-sur-Lot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[12] et 48 287 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46 %), cultures permanentes (27,5 %), zones urbanisées (12,3 %), terres arables (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), prairies (3,1 %), eaux continentales[Note 6] (2,5 %), forêts (1,3 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Le territoire actuel de la commune a été occupé par l'homme dès la plus haute Antiquité et plus particulièrement depuis le premier âge du fer. Les origines du village de Sainte-Livrade d'Olt remontent à la période gallo-romaine et il fut érigé en bastide en l'an 1289.
La dénomination occitane Santa Liurada disparut, après avec la conquête de l'Occitanie par la croisade des albigeois[réf. nécessaire], par l'application de l'édit de 1539 qui imposa le français ; ainsi Santa Liurada devint Sainte-Livrade-d'Agenais ou Sainte-Livrade. En , pour différencier de deux ou trois autres hameaux et villages de Haute-Garonne et Tarn-et-Garonne portant aussi le nom de Sainte-Livrade, le gouvernement français imposa la dénomination de Sainte-Livrade-sur-Lot.
Sainte-Livrade est devenue une ville multiculturelle étant la terre d'accueil de nombreux :
- Italiens ayant fui la misère ou le fascisme mussolinien dans les années 1920-1930 ;
- Espagnols ayant fui le fascisme franquiste dans les années 1930-années 1940-années 1950 ;
- Portugais ayant fui la misère ou le fascisme salazariste dans les années 1950-1960 ;
- 1200 Français d'Indochine (soldats et supplétifs indochinois des armées françaises) rapatriés, à la fin de la guerre d'Indochine au printemps 1956. Ils sont installés au Centre d'accueil des Français d'Indochine (CAFI), aménagé dans une ancienne poudrerie[18] ;
- Français d'Algérie (Pieds-Noirs, soldats et supplétifs algériens (Camps de transit et de reclassement pour les harkis) des armées françaises) rapatriés, en 1962-1963, à la fin de la guerre d'Algérie ;
- travailleurs émigrés qui vinrent du Maghreb dans les années 1970-années 1980-années 1990 ;
- et aussi à présent de Néerlandais et de Britanniques.
La ville est le berceau du pruneau d'Agen (comme son nom ne l'indique pas)[réf. nécessaire].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2019, la commune comptait 6 456 habitants[Note 7], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
L'agriculture et notamment l'arboriculture sont très présentes dans le secteur de Sainte-Livrade. L'industrie agro-alimentaire (à préciser) représente une part importante de l'activité industrielle.
Sports
- Le Stade saint-livradais XV engagé en championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale 2020-2021.
Lieux et monuments
- L'église Sainte-Livrade de Sainte-Livrade-sur-Lot. Chœur roman (XIIe siècle) de l'église Sainte-Livrade, remaniée au XIVe siècle. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1908[26].
- Église Saints-Martyrs-du-Vietnam du centre d'accueil aux Français d'Indochine de Centre d'accueil du Moulin du Lot.
- La Tour du Roy (XIIe siècle) : survivance d'une enceinte édifiée par Richard Cœur de Lion.
- Monument aux morts sculpté par Antoine Bourlange.
- Un des plus imposants et majestueux platanes d'Europe.
- Au nord, le camp du Moulin du Lot qui a remplacé les camps d'accueil des rapatriés d'Indochine installés depuis 1954[27],[28], inscrit au titre des monuments historiques en 2012[29],[30].
- La statue de la Déesse de la Prune[31] sculptée dans la pierre par Paul Belmondo a été installée à la fin des années 1950 au lieu-dit Saint-Martin. Cette statue représente une femme en position semi allongée tenant dans sa main gauche un bouquet de branches de Prunier d'ente. Inscrite dans la Base Palissy[32] de l'Inventaire général du Patrimoine culturel d'Aquitaine sous la référence IM47003627, elle a été injustement nommée La femme à l'oiseau. Dans les années 1980 la statue a subi des dégradations, son pied droit a été brisé ainsi que la partie supérieure du bouquet de branches de prunier. Il en résulte qu'en observant la partie inférieure du bouquet on peut penser qu'il s'agit du plumage de la queue d'un oiseau mais les photos antérieures à la dégradation (Photo1 , Photo 2) montrent bien qu'il s'agit d'un bouquet de branches portant feuilles et fruits (prune d'ente).
Personnalités liées à la commune
- Cardinal Bernard Del Garn (1285-1328), membre du Sacré Collège à Avignon.
- Jean-Baptiste d'Aurière (1741-1797), militaire.
- Alphonse Loubat (1799-1866), créateur du tramway parisien[33].
- Docteur Louis Couyba (1845-1909), écrivain.
- Gaston Carrère (1877-1936), sénateur-maire de Sainte-Livrade sous la Troisième République[34].
- Louis Dollot (1915-1997), diplomate et homme de lettres.
- Pierre Fournier alias Pierre Gascar (1916-1997), écrivain et prix Goncourt[35].
- Jacques Bordeneuve (1908-1981) : sénateur, député, président du conseil général, secrétaire d'État, ministre durant les Quatrième et Cinquième République.
- Pierre Boz (1925-2013) : évêque, exarque patriarcal de l'Église grecque-catholique melkite (chrétiens du Moyen-Orient), Père blanc, aumônier militaire, officier SAS (section administrative spécialisée) de l'Armée française, écrivain, conférencier, professeur d'université, spécialiste de l'islam et des cultures arabophones, diplomate, officier de la Légion d'honneur.
- Antoni Maria (1987-), joueur international de rugby à XIII.
- Bambou (1959-), chanteuse, mannequin, actrice, conjointe de Serge Gainsbourg, a grandi au CAFI (centre d'accueil des français d'Indochine) de Sainte-Livrade-sur-Lot.
- Selma Kouchy née à Ste Livrade
Héraldique
Blason | D’azur à Sainte Livrade auréolée d’or tenant dans sa dextre une palme du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 47252002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Villeneuve-sur-Lot », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Catherine Rollot, « Indochine-sur-Lot », Le Monde magazine, no 83, 16 avril 2011, p. 26-29
- Claire Pasut, élue en mars 2008 face à la candidate UMP Marthe Geoffroy avec plus de 58 % des voix, est la première femme élue maire de la ville. C'est également le premier maire de gauche depuis la Révolution.
- http://www.adm47.asso.fr/annuaire.php?fiche=396&type=0
- Christelle Creton, « Pierre-Jean Pudal réélu », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 18.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Eglise Sainte-Livrade », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- rapatries-vietnam.org
- ldh-toulon.net
- « Camp du Moulin du Lot », notice no PA47000081, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inventaire général : Camp d'accueil du Moulin du Lot », notice no IA47002705, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ville de Sainte-Livrade ».
- « Référence Palissy IM47003627 ».
- Les Verts de Sèvres : Hommage à Alphonse LOUBAT
- senat.fr
- gallimard.fr
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