Thédirac
Thédirac est une commune française, située dans l'ouest du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Thédirac | |
Mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Cazals-Salviac |
Maire Mandat |
Jean-Marie Cournac 2020-2026 |
Code postal | 46150 |
Code commune | 46316 |
Démographie | |
Population municipale |
290 hab. (2019 ) |
Densité | 18 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 36′ 06″ nord, 1° 19′ 06″ est |
Altitude | Min. 205 m Max. 332 m |
Superficie | 16,51 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Cahors (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Causse et Bouriane |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de l'Ourajoux et par un autre cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Thédirac est une commune rurale qui compte 290 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 196 habitants en 1800. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Thédiracois ou Thédiracoises.
Géographie
Commune située dans le Quercy, en Bouriane.
Hydrographie
La commune est traversée par les ruisseaux de Malemort et de Pont-Barrat. L'Ourajoux, le ruisseau de la Ville, le ruisseau de Salvezou sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazals - Dde », sur la commune de Cazals, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 940,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 16 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[18] : les « landes, bois et zones tourbeuses du Frau de Lavercantière, hauts-vallons des ruisseaux du Degagnazès, de la Malemort et du Rivalès » (1 406 ha), couvrant 6 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Thédirac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[I 1],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,7 %), zones agricoles hétérogènes (31,9 %), prairies (27,3 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Géologie
Se trouve à Thédirac un gisement de sables et galets qui fait partie d'une vaste zone d'épandage détritique issue du socle du Massif central. La particularité du gisement vient qu'on y trouve des galets de quartz, et non des galets de roche de socle, et que les sables ne contiennent presque que du quartz. La composition de ce gisement vient probablement de ce que le matériau érodé du socle s'est déposé dans un fossé et a subi une altération de climat chaud entraînant une dégradation des matériaux autres que le quartz. Le gisement repose sur un socle de calcaire portlandien. Ce gisement est exploité par la société Quartz et sables du Lot appartenant au groupe Imerys[23],[24],[25].
Toponymie
Le toponyme Thédirac d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Theutherus. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. D'après l'origine de celle-ci, le nom daterait d'avant le XIIe siècle. C'est le domaine de Theutherus[26].
Histoire
Si le nom est d'origine gallo-romaine, la première mention du village apparaît dans un acte de donation de la famille de Luzech datant de 1135 avec un chevalier de Thédirac du nom de Gaucelin. La seigneurie de Thédirac appartient à la famille de Luzech.
La guerre de Cent Ans, entre 1337 et 1453, fait de nombreux ravages dans le Quercy, même dans les petits villages, en entraînant une dépopulation aggravée par la peste de 1505-1506. L'activité rurale a repris rapidement la paix revenue. Le , Guillaume Amalvin v, baron de Luzech, a rendu hommage à Guillaume de Beaufort, vicomte de Turenne, pour la terre et la baronnie de Thédirac. Le , le château de Thédirac a été cédé par Bertrand de Luzech à Jean du Maine[27]. La famille de Luzech a conservé la seigneurie jusqu'à la fin du XVIe siècle. En 1566, Jean de Luzech a fait réparer le château de Thédirac pour que sa mère, Claude de Caumont, veuve de Guy de Luzech, puisse y résider.
La seigneurie élevée en baronnie est détachée de celle de Luzech en 1595 par Jean de Luzech pour la donner à sa mère, Jeanne de Prouillac, remariée à Gabriel de Guiscard, seigneur de Cavagnac. Elle a laissé la baronnie aux enfants de son beau-fils Pierre de Guiscard.
Pendant les guerres de religion, les Guiscard sont devenus protestants. Dans sa lutte contre les protestants révoltés, Louis XIII a commandé à Pierre de Bordeaux d'occuper le château. Son propriétaire, Gabriel de Guiscard, s'est opposé à cette occupation. Devant ce refus, le roi a envoyé une armée de 2 000 hommes avec 2 canons pour réduire le châtelain à l'obéissance.
Les Guiscard de Cavagnac sont restés barons de Thédirac jusqu'en 1779, quand ils vendent la baronnie à Marc-Antoine de La Grange-Gourdon, marquis de Floirac et de Lavercantière.
Le château est saisi à la Révolution et vendu comme bien national à la famille Delsol qui l'a conservé jusqu'en 1960. Le château a été brulé en 1796 par les habitants qui sont pris de fureur contre le profiteur qui l'a acheté.
Le village avait encore 572 habitants en 1880, mais 262 en 1996. La première Guerre mondiale a coûté la vie à 32 habitants du village. Puis, après la seconde Guerre mondiale, l'exode des campagnes vers les villes a dépeuplé le village.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29]. En 2019, la commune comptait 290 habitants[Note 7], en diminution de 8,52 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 133 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 275 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 640 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,5 % | 3,9 % | 7,2 % |
Département[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 154 personnes, parmi lesquelles on compte 83,9 % d'actifs (76,8 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs) et 16,1 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 76 emplois en 2018, contre 74 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 124, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,2 %[I 10].
Sur ces 124 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 38 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
17 établissements[Note 10] sont implantés à Thédirac au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,4 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 17 entreprises implantées à Thédirac), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans la « Bourianne », une petite région agricole occupant une partiede l'ouest du territoire du département du Lot[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 30 | 16 | 14 | 10 |
SAU[Note 12] (ha) | 614 | 604 | 687 | 754 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 30 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 16 en 2000 puis à 14 en 2010[34] et enfin à 10 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 67 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[35],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a augmenté, passant de 614 ha en 1988 à 754 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 75 ha[34].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Roch de Thédirac. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1913[36]. Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[36]. L'église est dédiée à saint Roch.
- Chapelle de Mazer.
- Dolmen de Surgès : dolmen situé à cheval sur les communes de Lavercantière et Thédirac. Classé MH (2013) « Site archéologique du dolmen de Surgès », notice no PA46000063 44° 37′ 13″ N, 1° 18′ 17″ E.
- Château de Thédirac[37]
Église Saint-Roch, côté sud, avec le clocher à gauche et le réduit fortifié à droite Intérieur de l'église Saint-Roch Château de Thédirac
Voir aussi
Bibliographie
- Eugène Grangié, Thédirac et son église, dans Le Journal du Lot,
- R. Granié, Le siège et la reddition de Thédirac (Lot) en 1622, p. 219-226, dans Bulletin de la Société d'Études du Lot, 1931, tome 52
Article connexe
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Thédirac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Thédirac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Thédirac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Thédirac » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Thédirac et Cazals », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cazals - Dde - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Éric Massy-Delhotel, Des galets du Quercy pour l'électrométallurgie, p. 2-8, dans Mines & Carrières, juin 2004, no 105
- Le gisement de Thédirac : Quartz et Sables du Lot (groupe Imerys), p. 81-84, dans Géologues, no 155 (lire en ligne)
- Thédirac. Journée portes ouvertes à la carrière d'Imerys, dans La dépèche, 19/05/2013
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 125.
- Louis Combarieu, Dictionnaire des communes du Lot.. : contenant la nomenclature des villages, hameaux, châteaux, moulins, métairies, maisons isolées.. : précédé d'une introduction sur le département du Lot avant et après 1789, p. 247, 1881
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Thédirac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
- « Église Saint-Roch », notice no PA00095270, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Patrimoines Midi-Pyrénées : château
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