Troubat

Troubat est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie, connue pour son site d'escalade.

Pour les articles homonymes, voir Troubat (homonymie).

Troubat

Le village de Troubat.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Neste Barousse
Maire
Mandat
Alain Porte
2020-2026
Code postal 65370
Code commune 65453
Démographie
Gentilé Troubatais, Troubataises
Population
municipale
75 hab. (2019 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 37″ nord, 0° 34′ 52″ est
Altitude Min. 519 m
Max. 1 052 m
Superficie 2,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de la Barousse
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Troubat
Géolocalisation sur la carte : France
Troubat
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Troubat
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Troubat

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Ourse. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Troubat est une commune rurale qui compte 75 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 438 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Troubatais ou Troubataises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Troubat se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 50 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 36 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 23 km de Lannemezan[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montréjeau[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Bramevaque (0,5 km), Thèbe (1,4 km), Gembrie (1,6 km), Samuran (1,7 km), Sacoué (1,9 km), Cazarilh (2,1 km), Antichan (2,1 km), Mauléon-Barousse (2,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Troubat fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

    Troubat est limitrophe de six autres communes. Au sud, le territoire communal n'est distant que de 150 mètres de celui de Cazarilh.

    Carte de la commune de Troubat et des proches communes.
    Communes limitrophes de Troubat[6]
    Gembrie Antichan Samuran
    Bramevaque
    Mauléon-Barousse Thèbe

    La commune de Troubat se trouve dans les Pyrénées françaises, en Barousse, en bordure orientale du département des Hautes-Pyrénées (le département de la Haute-Garonne est à 2,6 km à l’est du village)[7]. Saint-Bertrand-de-Comminges est à km au nord, Tarbes à 67 km au nord-ouest[8].

    Elle est arrosée par l'Ourse, affluent de la Garonne et qui s'écoule dans le sens sud-nord dans une vallée glaciaire[7].

    Routes

    Elle est desservie par la petite route départementale D 925, qui sur la commune suit le fond de la vallée de l'Ourse et à laquelle le village est relié par le chemin du Saradet. La D 925 relie Saint-Bertrand-de-Comminges et Loures-Barousse au nord, à Bourg-d'Oueil et sa station de sports d'hiver en Haute-Garonne au sud (la section en Haute-Garonne est prise en relais par la D 51d) ; elle franchit le col du Port de Balès à 1 755 m d'altitude[8].
    La D 22 dessert divers lieux de la commune, jusqu'au village voisin Thèbe au sud-est[7].

    Les routes plus importantes les plus proches sont la RN 125 (Gourdan-Polignan au nord - Fos puis l'Espagne et le val d'Aran au sud) et la D 825 (Montréjeau au nord - Marignac au sud-est)[8].
    L'autoroute la plus proche est la A645 ou ou « bretelle du Val d'Aran », avec son entrée à 11 km au nord sur Seilhan (près de Gourdan-Polignan). Cette autoroute longue de km relie le sud de la ville de Montréjeau à la sortie no 17 (« Montréjeau ») de l'autoroute A64, évitant la difficile traversée de la ville de Gourdan-Polignan[8].

    Trains

    La gare la plus proche est Saléchan (7,2 km au sud-est ; ligne de Montréjeau - Gourdan-Polignan à Luchon), desservie par le TER Midi-Pyrénées[7]. La ligne Toulouse-Bayonne est directement accessible à la gare de Montréjeau - Gourdan-Polignan (Haute-Garonne, 14 km au nord). Des trains directs existent de Paris à Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne, 28 km au sud-est).

    Aéroports

    Les aéroports les plus proches sont l'aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées (80 km par l'autoroute A64) et celui de Toulouse-Blagnac (122 km par la A64)[8].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[9]. Elle est drainée par l'Ourse, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[10],[Carte 1].

    L'Ourse, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune de Ferrère et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Loures-Barousse, après avoir traversé 12 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 8,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 153 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mauléon-Barousse », sur la commune de Mauléon-Barousse, mise en service en 1995[17] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 121,4 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 54 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,6 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :

    • « l'Ourse et ses affluents de Ferrère à Izaourt » (85 ha), couvrant 18 communes du département[25] ;
    • les « rochers calcaires et milieux associés du Mail de Maubourg à la montagne de Gert » (1 354 ha), couvrant 11 communes dont une dans la Haute-Garonne et dix dans les Hautes-Pyrénées[26],
    • le « vallon de Sarroumagna, bois du Pradet et soulane d'Ourde » (614 ha), couvrant 6 communes du département[27] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :

    • les « Garonne amont, Pique et Neste » (1 788 ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[28] ;
    • les « montagnes sèches et rocheuses en rives gauche et droite de l'Ourse et à Saint-Bertrand-de-Comminges » (5 147 ha), couvrant 24 communes dont deux dans la Haute-Garonne et 22 dans les Hautes-Pyrénées[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Troubat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[I 2],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,4 %), prairies (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Troubat au nord de Mauléon-Barousse.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[33] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Étymologie : peut-être participe passé du verbe trobar (= trouvé) ; peut-être nom de personnage.

    Nom occitan : Trobath.

    Histoire

    La grotte du Moulin, sur versant nord du mont Gouardère, a été occupée du Magdalénien moyen à l'âge du bronze[34].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
        Henri Gouaux    
    mars 1989
    (réélu en mai 2020)
    En cours Alain Porte    

    Historique administratif

    Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, Vallée de la Barousse, canton de Barousse (1801-2014)[35].

    Intercommunalité

    Troubat appartient à la communauté de communes Neste Barousse créée en et qui réunit 43 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

    En 2019, la commune comptait 75 habitants[Note 8], en augmentation de 19,05 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    347366333368415423431438434
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    407360343329306298255233211
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2002051971431441481469480
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    787751413553535358
    2015 2019 - - - - - - -
    7375-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2019[41].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]12,9 %9,1 %7,1 %
    Département[I 6]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 41 personnes, parmi lesquelles on compte 81 % d'actifs (73,8 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 19 % d'inactifs[Note 9],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 17 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 32, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,5 %[I 9].

    Sur ces 32 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 9,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Activités

    L'économie de la commune est basée sur l'agriculture. La société Millet Culinor, fabricant de mobilier urbain et aménagement urbain, y est implantée depuis plus de 30 ans[42].

    Protection environnementale

    Depuis 2009, la zone des Rochers calcaires et milieux associés du Mail de Maubourg à la Montagne de Gert est répertoriée en ZNIEFF de type 1. Avec une superficie de 1 353,97 hectares, elle s'étend sur une partie de la commune de Troubat[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La falaise de Troubat qui domine le village est un important site d'escalade, « endroit mythique des Pyrénées centrales.. le fleuron du secteur ». En 1985 et 1986 s’y sont déroulés les championnat de France d’escalade[44].
    • La grotte de Sainte-Araille, à 500 m à l’est du village sur le flanc ouest du Sommet d'Herbe Rouge (montagne du Gert), jouxte un des secteurs du site d'escalade (secteur de la Carrière). D'accès libre, son développement[Note 10] est de 250 m. Avec un dénivelé de seulement −15 m[45], elle peut être visitée par un public non averti, enfants compris, accompagné par un guide professionnel (durée environ 1 h 30).

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur au mont cousu de sinople sommé d'une épitaphe de sable chargée d'une croisette latine d'argent, au chef d'or chargé de trois pals de gueules[46].
    Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. En spéléologie, le développement correspond à la longueur cumulée des galeries interconnectées qui composent un réseau souterrain.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Troubat » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Troubat et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Troubat et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Troubat et Lannemezan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Troubat », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Troubat, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances à vol d'oiseau et les surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    8. Troubat sur la carte de google.fr. Les distances routières entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral à gauche (voir l'onglet en haut à gauche de la carte - cliquer sur "itinéraires").
    9. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    10. « Fiche communale de Troubat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    11. Sandre, « l'Ourse »
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    17. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    18. « Orthodromie entre Troubat et Mauléon-Barousse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Troubat et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Troubat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF « l'Ourse et ses affluents de Ferrère à Izaourt » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « rochers calcaires et milieux associés du Mail de Maubourg à la montagne de Gert » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « vallon de Sarroumagna, bois du Pradet et soulane d'Ourde » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF les « montagnes sèches et rocheuses en rives gauche et droite de l'Ourse et à Saint-Bertrand-de-Comminges » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Ggénéral des Hautes-Pyrénées, 2000.
    34. Célia Fat Cheung, L'Azilien pyrénéen parmi les sociétés du tardiglaciaire ouest-européen : apport de l'étude des industries lithiques (thèse de doctorat en Préhistoire), Université Toulouse le Mirail - Travaux et Recherches Archéologiques sur les Cultures, les Espaces et les Sociétés (UMR 5608 T.R.A.C.E.S), , 437 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 169.
    35. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    36. « Liste des juridictions compétentes pour Troubat », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
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    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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    45. J.-P. Cassou, « Grotte Sainte Arailles, Troubat », sur karsteau.org (consulté le ). Noter que l'emplacement de la grotte tel qu'indiqué sur la carte dans cette page liée, est décalé de quelque 200 m vers l'ouest ; la grotte de Sainte-Araille est celle indiquée à l'est de la route sur la carte IGN.
    46. Passion Bigorre

    Voir aussi

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