Vaour

Vaour (en occitan Vaur) est une commune française ancien chef-lieu de canton située dans le nord-ouest du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.

Vaour

Ancienne commanderie de Vaour.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes du Cordais et du Causse
Maire
Mandat
Jérémie Steil
2020-2026
Code postal 81140
Code commune 81309
Démographie
Population
municipale
303 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 04′ 23″ nord, 1° 48′ 09″ est
Altitude 432 m
Min. 240 m
Max. 507 m
Superficie 14,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Vaour
Géolocalisation sur la carte : France
Vaour

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Bombic, le ruisseau de Duéze, le ruisseau de Las Costes et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « forêt de Grésigne et environs ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Vaour est une commune rurale qui compte 303 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 655 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Vaourais ou Vaouraises.

    Géographie

    Localisation

    Vaour est une commune du Tarn limitrophe du département de Tarn-et-Garonne. Elle est située à 18 km à l'ouest de Cordes-sur-Ciel et au sud d'une boucle de l'Aveyron.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Vaour est en zone de climat continental avec un causse au nord, la forêt de Grésigne et des vignes Gaillacoise (Campagnac) au sud. Le village est donc situé en contrebas du causse et en surplomb de la forêt de Grésigne et des vignes. La roche est un grès du Lias et le paysage est constitué de collines couvertes de forêts de chênes (pédonculés et pubescents) et parsemé de prés.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Bombic, le ruisseau de Duéze, le ruisseau de Las Costes, le ruisseau de Varon et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[4].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 937 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montels », sur la commune de Montels, mise en service en 1996[9]et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 720,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 29 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[13] à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : la « forêt de Grésigne et environs »[16], d'une superficie de 27 701 ha, un site où onze espèces de l'annexe 1 se reproduisent régulièrement sur le site, parmi lesquelles sept espèces de rapaces (dont le Faucon pèlerin et le Grand-Duc d'Europe)[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18] : le « causse d'Anglars » (3 598 ha), couvrant 4 communes dont trois dans le Tarn et une dans le Tarn-et-Garonne[19], et la « forêt de Grésigne » (4 019 ha), couvrant 7 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[18] : la « forêt de Grésigne et environs » (18 733 ha), couvrant 21 communes dont 17 dans le Tarn et quatre dans le Tarn-et-Garonne[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Vaour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), prairies (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (6 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Histoire

    L'occupation par l'Homme du pays de Vaour remonte au moins à l'âge du bronze ancien (d'environ 1800 av. J-C. à 1400 av. J-C.) marqué par la présence de dolmens, notamment celui de Peyrelevade, le plus grand du département. La construction des dolmens s'étendant de -2500 à -1500 et leur utilisation allant jusqu'à -500[25].
    Il semble également que les lieux furent occupés par des peuples celtes comme le montreraient des dalles à rigoles qui seraient vouées au culte de l'eau retrouvées sur la butte où a été bâtie la commanderie de Vaour.
    En 1140, les chevaliers de Penne firent don d'un terrain à Pierre Humbert. Une commanderie templière y fut alors fondée. On dénombrait seulement une dizaine de chevaliers, le reste s'était établi dans diverses dépendances de la région telles que : Montricoux, Cahors, Lacapelle-Livron, etc. Les chevaliers templiers étaient exonérés de droits et taxes seigneuriales en échange de leur protection envers la population locale. Le pouvoir de la commanderie s'étendait sur sept cantons et jusque dans le Quercy. Cette influence s'est mise en place grâce aux dons des religieux de Septfond et de la Chancelade ainsi qu'à ceux du comte de Toulouse. Il n'existe que peu de documents sur la vie à Vaour. En 1307, lors de la querelle entre Philippe IV le Bel et le pape Boniface VIII, le commandeur de Vaour, Bernard de Rocha, prit le parti du roi de France[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ?  ? Gaspard Duboys   Notaire - Conseiller général du canton de Vaour (1833-1845)
    décédé en fonctions
     ?  ? Pierre Vaissière Rad. Notaire - Conseiller général du canton de Vaour (1889-1913 et 1919-1925)
    1965 1974 Fernand Verdeille SFIO-PS Libraire - Sénateur (1946-1974)
    Conseiller général du canton de Vaour (1945-1974)
    Président du Conseil Général (1945-1955)
    Ancien Maire de Penne (1945-1965)
    décédé en fonctions
    1989 1999 décédé en fonction Francis Dupas   agriculteur)
    1999  ? Georges Bousquet PS Technicien en architecture
    Conseiller général du canton de Vaour (2008-2015)
    mars 2014 En cours Pascal Sorin    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2019, la commune comptait 303 habitants[Note 8], en diminution de 16,53 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    509568602635644648600646655
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    624593616573588562580569537
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    506476413365354375377361292
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    302405352310295248285290350
    2017 2019 - - - - - - -
    317303-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 144 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 307 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 230 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]10,6 %13,3 %18,6 %
    Département[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 195 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (53,8 % ayant un emploi et 18,6 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 82 emplois en 2018, contre 89 en 2013 et 77 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 107, soit un indicateur de concentration d'emploi de 76,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,8 %[I 10].

    Sur ces 107 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 60 travaillent dans la commune, soit 56 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 5,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    47 établissements[Note 11] sont implantés à Vaour au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble47100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1021,3 %(13 %)
    Construction817 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    919,1 %(26,7 %)
    Information et communication12,1 %(2,1 %)
    Activités financières et d'assurance12,1 %(3,3 %)
    Activités immobilières24,3 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    612,8 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    510,6 %(15,5 %)
    Autres activités de services510,6 %(9 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,3 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 47 entreprises implantées à Vaour), contre 13 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    L'économie de Vaour repose principalement sur l'activité de petits producteurs locaux (agriculteurs et éleveurs) et sur quelques petites entreprises du bâtiment (maçonnerie, menuiserie...). L'été de Vaour, un festival du rire qui se déroule au début du mois d'août, permet de promouvoir les producteurs locaux qui peuvent y proposer des repas à emporter. Le marché, qui a lieu tous les jeudis, est fréquenté par quelques villageois. Un bureau de poste est présent à Vaour. Malgré ses allures de village endormi, Vaour habite un milieu associatif actif.

    Agriculture

    La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole relativement pauvre et aride accueilant des élevages de brebis et agneaux en plein air, située dans le nord-ouest du département du Tarn[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations1810812
    SAU[Note 14] (ha)483439339429

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 18 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 10 en 2000 puis à 8 en 2010[33] et enfin à 12 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 33 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[34],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 483 ha en 1988 à 429 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 36 ha[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ancienne commanderie templière, située sur une butte en surplomb du village, protégée au niveau départemental.
    • Dolmen de Peyrelevade (de « pierre levée » en occitan), aussi appelé localement « Jayantière » : le plus grand du département, situé à 3 km au nord du village, classé (niveau national).
    • Église Notre-Dame de Vaour, de style roman.

    Événements

    L’événement phare à Vaour est l'été de Vaour[35]. C'est un festival international du rire qui se déroule au début du mois d'août et qui propose, durant une semaine, plusieurs spectacles qui sont joués à différents endroits du village. Si l'on ne va pas voir de spectacles, on a tout de même la possibilité d'acheter de quoi manger à de petits producteurs locaux ou d'aller boire un thé au bénéfice de l'association Familles rurales[36].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé d'argent à la croix pattée alésée de gueules et de sinople à la fasce d'or chargée de trois cors de chasse de sable, accompagnée en chef d'une hure de sanglier d'argent..

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Vaour » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vaour » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vaour » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vaour » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Vaour » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Vaour », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Montels - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Vaour et Montels », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météofrance Montels - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Vaour et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vaour », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Vaour - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
    35. voir le site de l'été de Vaour
    36. voir le site de l'association Familles rurales

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Charles Portal, Edmond Cabié, Cartulaire des Templiers de Vaour (Tarn), A. Picard et fils, Paris, 1894 ; 132p. (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

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