Vercoiran
Vercoiran est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Vercoiran | |||||
Ruines du château féodal. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat |
Gérard Pez 2020-2026 |
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Code postal | 26170 | ||||
Code commune | 26370 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vercoiranois, Vercoiranoises | ||||
Population municipale |
138 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 6,9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 18′ 11″ nord, 5° 20′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 465 m Max. 1 302 m |
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Superficie | 19,95 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | Troisième circonscription
Buis-les-Baronnies (avant mars 2015) |
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Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Vercoiranais et les Vercoiranaises.
Géographie
Localisation
La commune de Vercoiran est située dans la Drôme provençale, à 9 km au nord-est de Buis-les-Baronnies (chef-lieu du canton) et à 36 km au nord-est de Carpentras.
Hydrographie
La commune est arrosée par[1] :
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[3].
Urbanisme
Typologie
Vercoiran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (19 %), cultures permanentes (7,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,7 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
La commune est composée d'un village perché, de hameaux et de fermes réparties sur les deux rives de l'Ouvèze.
Projets d'aménagement
Le Règlement national d'urbanisme s'applique sur la commune[13].
Toponymie
Attestations
- 1120 : première mention (liste des fiefs des barons de Mévouillon)[16][réf. nécessaire].
- Entre 1270 et 1273 : mentions dans des actes d'hommages aux Montauban par les co-seigneurs Pierre Raimon, Guillaume d'Arzelier et Rostaing Amici[16][réf. nécessaire].
- 1276 : castrum seu territorium Vercoyrani (inventaire des dauphins, 224)[17].
- 1284 : castrum de Vercoirano (Valbonnais, II, 118)[17].
- 1286 : castrum de Vercoyrano (inventaire des dauphins, 220)[17].
- 1291 : castrum Verceyrani (inventaire des dauphins, 231)[17].
- 1550 : Vercoyrenc (archives de la Drôme, E 2989)[17].
- 1717 : Vercoyran (terrier de la famille Pape)[17].
- 1891 : Vercoiran, commune du canton de Buis-les-Baronnies[17].
Histoire
Préhistoire
Le site de Sainte-Luce a été occupé par les hommes il y a environ 4 500 ans[18].
Antiquité : les Gallo-romains
Présence romaine : poteries ioniennes[19].
A. Lacroix rapporte avoir vu sur un manteau de cheminée trouvé à Plan Pèlegrin une pierre carrée de 33 cm de côté qui serait un autel aux nymphes portant l'inscription : NYMPHIS L. CARINIVS CARUS V.S.L.M. « Aux nymphes, Lucius Carinius Carus, avec reconnaissance, a accompli son vœu ». Cette pierre est probablement conservée au musée de [Montélimar] (collection de Valentin du Cheylar)[réf. nécessaire].
Y. Girard (1999) signale des monnaies et des tessons de céramiques trouvées à proximité de Notre-Dame-des-Champs[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
La seigneurie[17] :
- Au point de vue féodal, la communauté formait deux terres (ou seigneurie) : Vercoiran et Autane.
- Celle de Vercoiran était de la baronnie de Montauban.
- 1316 : elle est inféodée aux Tullins par les dauphins.
- 1318 : elle passe (par mariage) aux Morges.
- 1432 : vendue aux Ambel.
- Elle passe aux Eurre.
- Vers 1500 : passe aux (des) Massues.
- 1602 : passe (par mariage) aux Pape.
- Elle passe (par mariage) aux Bimard.
- En 1789, la fille des Bimard, mariée chez les Sade, est dame de Vercoiran.
(Autre version) : à partir au XIIIe siècle, la documentation disponible sur Vercoiran se précise. Les Archives de la Drôme indiquent que les hauts seigneurs de Vercoiran furent les Mévouillon, les Montauban, les Adhémar puis les dauphins de Viennois au début du XIVe siècle.
Des familles plus modestes, vassales des hauts seigneurs, possèdent les terroirs d'Autanne et de Vercoiran. Au début du XIIIe siècle Autane et Vercoiran sont mentionnés dans un contrat de 1230 intéressant la huitième partie du château fort d'Autanne vendue à Rostaing Amic, seigneur de Vercoiran, par Rambaud d'Autanne [20][réf. nécessaire].
Plusieurs documents (Archives de la Drôme) relatent des faits concernant la famille des Massues, seigneurs de Vercoiran :
- Suite de la mort violente de François des Massues, vers 1590, sa fille Mabille des Massues épouse de Guy Pape, seigneur de Saint-Auban, demande l'inventaire des biens de son père. En 1621, l'inventaire du château de Vercoiran concerne le château lui-même, ses meubles, les granges de Justillane, Colombrette, Guérindon (ou Langoustier), le château de Bésignan et la grange de la Rochette. Ce document, écrit en écriture gothique du XVIe siècle et sa traduction manuscrite par un archiviste du début du XXe siècle sont disponibles.
- Un autre document établit l'historique de la propriété de la grange de la Rochette, héritage des Massues de Vercoiran. Pierre des Massues, dit Colonel Mas, chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, et son frère, sont morts, en 1565, durant le Grand Siège de Malte[21][réf. nécessaire].
La Réforme a un fort impact dans la région ; plusieurs seigneurs adhèrent à la religion protestante[22].
La haute Ouvèze compte deux places fortes huguenotes (Sainte-Euphémie et Saint-Auban).
Vers 1580, François des Massues, seigneur de Vercoiran et de Sainte-Éuphémie, épouse Justine du Puy-Montbrun et se convertit à l'Église Réformée (Varlet 1999)[réf. nécessaire].
En 1598, lors de la Contre-Réforme, des frères Prêcheurs viennent s'installer à Buis-les-Baronnies et suscitent l'établissement de nombreuses confréries sur l'ensemble des Baronnies[réf. nécessaire].
1755 : le rôle de tailles compte 110 habitants pour Vercoiran et une soixantaine pour Autanne (Varlet 1999). Les églises paroissiales de Saint-André (Vercoiran) et de Saint-Jean (Autanne) supporte chacune douze deniers de redevance annuelle à l'évêque de Sisteron[réf. nécessaire].
Avant 1790, Vercoiran était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage de Buis-les-Baronnies.
Elle formait une paroisse du diocèse de Sisteron dont l'église était dédiée à saint André et dont les dîmes appartenaient au curé[17].
À la veille de la Révolution française, Marie Françoise Émilie de Bimard, fille de Pierre Annibal et Elisabeth Emilie Pape de Saint-Auban, est dame de Vercoiran et de Sainte-Euphémie sous le patronyme marital de Sade. Elle ne possède pas Autanne qui est passée des seigneurs de Saint-Auban aux Autard de Bragard[réf. nécessaire].
Autanne
- 805 : Altana (testament du patrice Abbon)[23].
- 1286 : castrum de Autana (inventaire des dauphins, 220)[23].
- 1294 : castrum Autane (inventaire des dauphins, 243)[23].
- 1569 : Oultanne (inventaire Morin-Pons, I, 425)[23].
- XVIIe siècle : Aultane (inventaire de la chambre des comptes)[23].
- XVIIe siècle : Otane (rôle de tailles)[23].
- (non daté) : Autanne (pl. cad.)[23].
- 1891 : Autane, hameau de la commune de Vercoiran[23].
- 1992 : Autanne, hameau[19].
- Avant 2020 : la ferme d'Aire d'Autanne[2].
La seigneurie[23] :
- Au point de vue féodal, Autanne était un fief des barons de Montauban.
- 1284 : possession d'une famille de son nom.
- Début XIVe siècle : la terre est morcelée entre plusieurs co-seigneurs : les Adhémar, les Agoult, les Bésignan, les Rémuzat.
- 1350 : elle appartient tout entière aux Morges.
- 1447 : elle passe aux Eurre.
- Fin XVIe siècle : passe aux Massues.
- 1604 : passe (par mariage) aux Pape-Saint-Auban.
- En 1789, Autanne appartient à la marquise de Sade, fille d'un Bimard et d'une Pape-Saint-Auban.
Avant 1790, Autane était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis. Elle était comprise dans la paroisse de Vercoiran[23] :
De la Révolution à nos jours
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Sainte-Jalle. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Buis-les-Baronnies[17]. Deux communes, Vercoiran et Autanne, sont créées[24].
En 1791, les habitants d'Autanne se partagent les anciennes terres de l'église, en particulier celles de la Montagne de Serre Gros qu'ils défrichent chacun pour leur compte[réf. nécessaire].
En , la commune d'Autanne est rattachée à la commune de Vercoiran[réf. nécessaire].
En 1808, sur demande du conseil municipal de Vercoiran et Autanne, le conseil de préfecture de la Drôme annule le partage des bois communaux (décision approuvée le ).
En 1817, le conseil municipal de Vercoiran conteste à nouveau la légitimité du partage de 1791 et conclut que la Montagne de Serre Gros doit rester une réserve forestière communale. Les défrichements des habitants d’Autanne doivent cesser[réf. nécessaire].
En 1843, le conseil municipal vote un projet de construction d'une école communale[réf. nécessaire].
Politique et administration
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale.
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :
- total des produits de fonctionnement : 162 000 €, soit 1 081 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 126 000 €, soit 839 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 33 000 €, soit 219 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 71 000 €, soit 471 € par habitant ;
- endettement : 86 000 €, soit 571 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 15,39 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,88 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 74,88 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,03 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,33 %.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2019, la commune comptait 138 habitants[Note 2], en diminution de 2,13 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[31] :
- écoles maternelles à Buis-les-Baronnies[32] et à Rosans ;
- écoles primaires à Saint-Sauveur-Gouvernet et Saint-Auban-sur-l'Ouvèze ;
- collège à Buis-les-Baronnies ;
- lycée à Nyons.
Santé
Professionnels et établissements de santé[33] :
- médecins à Sainte-Jalle et Buis-les-Baronnies ;
- pharmacies à Buis-les-Baronnies ;
- hôpitaux à Buis-les-Baronnies, Nyons.
Loisirs
- Randonnées.
Cultes
Culte catholique : paroisse Saint-Joseph-des-Baronnies[34] relevant du diocèse de Valence.
Économie
Agriculture
En 1992 : lavande, tilleul, vignes, oliviers, ovins, caprins[19].
Commerces
- Commerces de proximité à Buis-les-baronnies[35].
- Bistrot de pays : Le Moulin de Vercoiran[36],[37], dans un ancien moulin à farine restauré.
Revenus de la population et fiscalité
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 644 €[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Site ruiniforme : rocher et bâtiments soudés[19].
- Ruines du château féodal perché[19],[41].
- Église Sainte-Anne[42].
- Chapelle Notre-Dame-des-Champs[43] : lieu de pèlerinage[19].
- Prieuré de Sainte-Luce (ruines)[44].
- Monument aux morts[45] des guerres 1914-1918 et 1939-1945.
- Église Sainte-Anne de Vercoiran, contemporaine[19].
Patrimoine naturel
- Source Sainte-Catherine : son eau guérirait les maladies de peau[19].
Personnalités liées à la commune
Héraldique, logotype et devise
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Vercoiran possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.
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Annexes
Bibliographie
- 1979 : Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1209 et 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3).
- 2012 : Vercoiran: mémoire d'un village des Baronnies par Mireille Bourny, Jean-Claude Ruegg, Publ. de l'Assoc. Patrimoine, Histoire et Culture des Baronnies, 287 pages, 2012.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Archives concernant la commune
- Mairie
- Patrimoine historique
- Inventaire du patrimoine historique, par Francis Cahuzac et Alain Sallet.
- Grottes, abris sous roche et mines des Baronnies GRAS, R., 1976 « Oppidum de Sainte Luce, Vercoiran (Drôme) » Union internationale des sciences préhistoriques et protohistoriques. IXe Congrès de Nice, « Néolithique et Âges des Métaux dans les Alpes françaises » pp. 65–71 et fig.
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Auvergne-Rhône-Alpes]
- Patrimoine naturel
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Diagnostic territorial, Parc naturel régional des Baronnies provençales 2 - Un périmètre d’étude pertinent, p. 3.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- L'eau dans la commune
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Table climatique
- Lieux et itinéraires
- Bus ligne 39
- Transports à la demande
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Règlement national d'urbanisme
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- ’élaboration des PPR des communes du bassin versant de L'OUVEZE : 2.2 Le périmètre d’étude et le contexte hydrologique
- Cl. Bernard (1980)
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 410 (Vercoiran).
- Site archéologique de Sainte Luce
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Vercoiran.
- Bernard (1980), Varlet (1999)
- Conférence du Dr Lubin, à Vercoiran en 2007
- Les guerres de Religions
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 15 (Autane).
- KAX conseil en urbanisme, « Carte communale-DEPARTEMENT DE LA DRÔME-Commune de Vercoiran », RAPPORT DE PRESENTATION, , p. 12 (lire en ligne [PDF])
- http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
- Les comptes de la commune
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Établissements d'enseignements
- Buis-les-Baronnies
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint Joseph des Baronnies
- Commerces de proximité
- La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
- Fédération nationale des bistrots de pays
- Gîte La Colombrette
- Maisons d'hôtes
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Vercoiran village
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
- Notre-Dame des Champs (quartier de la Viste)
- Le Pays de Buis -les -Baronnies
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