Vicq (Nord)

Vicq est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Vicq.

Vicq

Église de Vicq.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Valenciennes Métropole
Maire
Mandat
Jean-Charles Dulion
2020-2026
Code postal 59970
Code commune 59613
Démographie
Gentilé Vicquelots, Vicquelottes[1]
Population
municipale
1 464 hab. (2019 )
Densité 373 hab./km2
Population
agglomération
334 571 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 50° 24′ 33″ nord, 3° 36′ 21″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 23 m
Superficie 3,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marly
Législatives Vingt et unième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Vicq
Géolocalisation sur la carte : France
Vicq
Géolocalisation sur la carte : Nord
Vicq
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Vicq
Liens
Site web http://www.vicq.fr

    Géographie

    Localisation

    Hydrographie

    La commune abritait autrefois un vaste marais, conjoint à celui de Fresne et d'Escaupont, dont il reste des reliques alimentées à la fois par la nappe et les eaux de surface[2], fortement boisées par des peupliers et saules qui en rabattent la nappe.

    La toponymie et le cadastre[3] ont conservé la mémoire de ces zones humides.

    Des graves de silex ont été découvertes dans le marais de Vicq[4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 733 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 40 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,8 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Vicq est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[21] et 334 571 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), zones urbanisées (16,7 %), prairies (11,2 %), cultures permanentes (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), forêts (3,2 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Vy, Vi, Vicus[28], Vij, Vii, Wic, Wicq, selon des documents entre les XIVe et XVIIIe siècles[29]. La forme Vi proviendrait du latin vicus, signifiant bourg ou village.

    Histoire

    Des traces d'occupation préhistorique, gauloise et gallo-romaine sont nombreuses dans la région qui a ensuite été victime de nombreuses occupations, invasions, pillages, guerres et batailles, avec par exemple en 881, une expédition de Regnier au long col, comte de Hainaut qui tentait s'opposer à un chef viking à Condé-sur-Escaut. Une bataille sanglante a eu lieu à la lisière des marais de Vicq, où le Comte du Hainaut fut défait et fait prisonnier[30],[31].

    Avant la Révolution française, Vicq a donné son nom à une famille de la noblesse[32].

    Les abords du marais était autrefois desservis par une voie ferrée (déclassée[33]) qui reliait Blanc-Misseron à Saint-Amand-les-Eaux par Fresnes-sur-Escaut. Deux arrêts étaient proposés, rue de Crespin (ou de la gare) et rue Basse, avec barrière et passage à niveau. Une halte temporaire au niveau du marais existait lors des fêtes hippiques de Valenciennes célébrées dans le marais chaque année au mois d'août au 19è siècle.

    Le , le village s'est cru replongé au temps de la Seconde Guerre mondiale : pendant la nuit, un bombardier anglais en perdition percute un groupe de maisons ouvrières. L'accident fait quatre morts, une femme et deux enfants brulés vifs, et le pilote de l'avion. Celui-ci avait été volé à Portsmouth par un élève pilote de l'armée de l'air britannique, la Royal Air Force (RAF)[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[35],[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1808 Jean Pierre Coquelet sans Cultivateur
    1808 1814 Emmanuel Joseph Deleau sans Cultivateur-propriétaire
    1814 1821 Benoit Richard sans Cultivateur
    1821 1835 Pierre Antoine Mariage sans Cultivateur
    1835 1839 Pierre Joseph Deleau sans Cultivateur
    1839 1840 Pierre Joseph Roland sans Cultivateur, rue de Crespin
    1840 1855 Nicolas Joseph Richard sans Cultivateur, rue du Marais
    1855 1870 Verchain Pisson sans Cultivateur, rue du Marais
    1870 1875 Louis Roland sans Cultivateur, rue de Crespin
    1875 1878 Désiré Joseph Duplat sans Cultivateur, rue du Presbytère
    1878 1881 Nicolas Richard sans  
    1881 1891 Modeste Sizaire sans Cultivateur, rue de Fresnes
    novembre 1891 mars 1893 Adolphe Carpentier sans Propriétaire, rue de Fresnes
    avril 1893. septembre 1907 Eugène Duplat conservateur Cultivateur, rue de la Piette
    novembre 1907 mai 1908 Pierre Joseph Collet sans Cultivateur, rue du Marais, adjoint faisant fonction, puis maire
    mai 1908 novembre 1919 Louis Richard   Cultivateur, rue de la Gare
    décembre 1919 décembre 1920 Robert Richard    
    janvier 1921 1934 Louis Richard   Cultivateur, rue Nicolas Richard (rue de la Gare)
    1934 1944 Alfred Coquelet   Employé, rue de Fresnes
    1944 1950 Gaston Doye   Président de la délégation municipale en 1944, puis maire
    1950 1982 Zéphirin Mariage   Commerçant, Doyen des maires du valenciennois
    1982 mars 1990 Marcel Morchipont   Agriculteur, rue de Fresnes
    mars 1990 janvier 1996 Jeanne Dochez   Première femme, maire de Vicq
    En cours Jean-Charles Dulion   Plus jeune maire du valenciennois
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Instances religieuses

    Vicq, sous le patronage de saint Nicolas, fait partie de la paroisse Sainte-Marie-Goretti du Hainaut qui regroupe 12 villages, dont le centre est à Onnaing, au sein du Doyenné des Marches du Hainaut (centre à Bruay-sur-Escaut), comportant également les 2 autres paroisses de Saint-Jacques en Val d'Escaut (centre à Bruay-sur-Escaut) et de Saint-François en Val d'Escaut (centre à Condé-sur-Escaut), du Diocèse de Cambrai.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2019, la commune comptait 1 464 habitants[Note 8], en diminution de 0,68 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    703796810852844890860812835
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    9069109039159158948659051 232
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 3321 3021 2261 3041 3371 2641 2391 3131 379
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    1 3881 3011 2191 1961 2531 2131 3121 4151 483
    2019 - - - - - - - -
    1 464--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 722 hommes pour 756 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ou +
    0,4 
    3,1 
    75-89 ans
    5,3 
    15,7 
    60-74 ans
    15,5 
    21,5 
    45-59 ans
    19,6 
    20,3 
    30-44 ans
    21,1 
    16,4 
    15-29 ans
    17,1 
    22,9 
    0-14 ans
    21,0 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Culture Locale et Patrimoine

    Lieux et monuments

    Autres lieux : le calvaire, la chapelle Sainte Rita.

    Famille de Vicq

    • Antoine de Vicq est cité dans un texte de partage de biens du . À sa mort, il était écuyer, seigneur de Bertof, marié à Marie Descamp[32].
    • Charles Joseph de Vicq écuyer, vit au XVIIIe siècle. Il est seigneur de la Chaussée, fief situé à Comines et consistant en rentes seigneuriales. Il a pris pour femme Marie Jeanne Legillon.
    • Pierre Joseph de Vicq, fils de Charles Joseph, écuyer, seigneur de la Chaussée et de Zunebecq, bénéficie le d'une sentence de noblesse. il est né à Lille le et a épousé le Caroline Valentine Joseph de Vitry (Vitry-en-Artois?), fille d'Hippolyte Joseph, écuyer, seigneur de Malfiance, etc.[32].

    Autres personnalités

    Héraldique

    Les armes de Vicq se blasonnent ainsi : D'azur à une croix pattée et alaisée d'argent, l'écu semé de fleurs de lis du même[43].


    Culture et traditions

    • Le conte « Le Poirier de Misère », écrit par Charles Deulin (1827-1877), dans Cambrinus et autres Contes se passe au village de Vicq, sur les bords de l’Escaut. On y évoque notamment le marais de Vicq.
    • Le chôlage (Choulette ou Cholette) est un jeu de crosse pratiqué chaque année à travers le village lors du Mardi Gras. "Ce jeu consiste à lancer, avec une crosse, une bille en bois dure appelée Cholette, vers un but toujours éloigné qui est souvent, un arbre, une borne, la porte d'une maison connue" selon la description qu'en fit le lillois Edouard Boldoduc à la fin du 19è siècle.[44]
    • Le Marquis de Bitaillon, géant de la commune, inauguré et baptisé le 8 mai 2001 sur la place Carpentier après un défilé dans la commune, à l'invitation de la Mairie, de l'association des "Joyeux Choleux" et du CAT Atelier du Hainaut d'Anzin.[45]

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jean Damien, Vicq : Regards sur le temps passé, Imprimerie Lenglet, , 124 p..

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. http://www.habitants.fr/habitants_vicq_59613.html
    2. Bernard Ferry, (1992), Part des transformations naturelles et provoquées dans la nappe de la craie du nord de la France, Diplôme d'études approfondies de génie civil. USTL, Sept 92, 11 pages + annexes (46 pages au total), PDF
    3. Extrait de cadastre, avec la zone des trois marais (bas de la carte)
    4. BRGM/RR-09862-FR 85, SGN, 151, NPC BABOT.Y., LEPLAT.J. ; "GROUPE GARON - PROSPECTION GEOPHYSIQUE ELECTRIQUE D'UN GISEMENT DE GRAVE DE SILEX AU LIEU DIT ""LE MARAIS DE VICQ"" A FRESNES-SUR-ESCAUT (59)"; Source : BRGM
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    11. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Vicq et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Vicq et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. Page 421- Statistique archéologique du Département du Nord - seconde partie- 1867- Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris - archive du Harvard College Library - numérisé par Google Books
    29. Page 41 - Vicq - Regards sur le temps passé - Jean Damien - 1984 - Edition Lenglet à Caudry
    30. Page relative aux ’invasion maritime viking
    31. Les Northmands au confluent de la Haine et de l'Escaut au IXe siècle.
    32. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 111, lire en ligne.
    33. Retranchements et déclassements de lignes ou sections de ligne des chemins de fer français
    34. Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 59.
    35. Registres de l'état civil de Vicq
    36. Résultats des élections municipales
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vicq (59613) », (consulté le ).
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    43. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59613 « Copie archivée » (version du 18 février 2015 sur l'Internet Archive).
    44. cf. Article "Amusements du temps jadis" dans le journal de l'histoire des régions et des traditions "Nos racines et notre histoire"- N°3 d'octobre 1996 - Page 6.
    45. "La Voix du Nord"- Edition de Valenciennes du Mardi 8 mai 2001.
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