Villers-Guislain
Villers-Guislain est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.
Villers-Guislain | |||||
La mairie et le monument aux morts. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Cambrai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Cambrai | ||||
Maire Mandat |
Gérard Allart 2020-2026 |
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Code postal | 59297 | ||||
Code commune | 59623 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Guislanais, Guislanaises | ||||
Population municipale |
691 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 61 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 02′ 27″ nord, 3° 09′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 86 m Max. 141 m |
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Superficie | 11,27 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cambrai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Cateau-Cambrésis | ||||
Législatives | Dix-huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Communes limitrophes
Panorama du village.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Epehy_sapc », sur la commune d'Épehy, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 764,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Villers-Guislain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,5 %), zones urbanisées (6,3 %), forêts (2,2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le village est mentionné au long des XIIe au XIVe siècles sous les noms Viliers Gueisein, Villarium Gisleni, Vilers-Gienlain, Vilers le Ghislain, Villare Gilleni. Le nom Guislain vient sans doute d'un de ses anciens seigneurs[21] et a sans doute servi à le distinguer du village voisin de Villers-Outréaux[22].
Histoire
La guerre 1914-1918
Comme d'autres villages de la région, Villers-Guislain est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement détruit [23].
Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Villers-Guislain. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne et Bapaume, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. Le village servait de base arrière pour soigner les blessés. En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. En , Villers-Guislain se trouvant juste à l'avant de cette ligne, les habitants sont évacués vers la Belgique et les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[24].
Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il sera le théâtre de nombreux combats en mars, avril et [25].Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'à partir du , lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Villers-Guislain, après une dizaine de jours d'âpres combats sera définitivement libéré par les britanniques[26].
Plus de 1 000 soldats britanniques furent tués lors des combats pour libérer le secteur de Villers-Guislain. Ils reposent dans les cinq cimetières militaires situé sur le territoire de la commune :Gauche Wood Cemetery, Meath Cemetery, Targelle Ravine British Cemetery, Villers-Guislain Communal Cemetery, Villers Hill British Cemetery.
Sur le Monument aux Morts sont écrits les noms des 70 soldats guislanais Morts pour la France ainsi que celui de 5 victimes civiles[27].
Le , la commune connait un dramatique accident, fréquent en cette période dans la région, directement lié à la guerre, aux munitions non explosées présentes dans de nombreux endroits : un tracteur fait exploser des mines, ce qui provoque la mort de neuf personnes[28].
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[29], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [30].
Après l'armistice, une partie de la population revint peu à peu s'installer et commença alors une longue période de reconstruction d'une dizaine d'années, mais de 1 732 habitants en 1911, Villers-Guislain n'en comptait plus que 721 en 1921, soit moins de la moitié.
Le front les 18 et , quelques jours avant la libération de Villers-Guislain. Les ruines du village à la fin de la guerre. Le village en reconstruction vers 1920 avec ses baraquements en bois . Carte montrant l'étendue des destructions du village lors de la guerre 14-18.
Héraldique
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Les armes de la commune de Villers-Guislain se blasonnent ainsi :
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Politique et administration
Maire en 1802-1803 : Isid. Hagard[32].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 691 habitants[Note 8], en diminution de 0,14 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 326 hommes pour 371 femmes, soit un taux de 53,23 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- Comme de nombreuses communes du département, Villers-Guislain dispose d'un monument à la mémoire des victimes de la Première Guerre mondiale.
Personnalités liées à la commune
Famille Le Sart-Van Cappel
- Nicolas de Sart (ou Le Sart), écuyer, seigneur de Prémont, Élincourt, Audencourt, Herdaing, Farnay, Lorneville, Harnaige, Fervacques, du Petit-Essigny et de Villers-Guislain (-Ghislain). Il commanda dans les armées françaises (officier dans les Chevau-légers comme son père et son fils). Époux de Jeanne Mallet, fille de Chrétien Mallet, de Cambrai (Nord). La légende raconte « qu'il aurait trouvé,lors des guerres,un mulet chargé d'argent,en sortant de Paris ! ». Il fut le premier seigneur de Villers-Guislain (-Ghislain).
- Charles-François de Sart, seigneur de Prémont, Élincourt et Villers-Guislain, capitaine au régiment de Touraine-Infanterie, lieutenant pour le roi des provinces de Cambrésis, Flandres et Hainaut, pair du Cambrésis; décédé au dit Prémont le , âgé de 73 ans, époux de Marie-Charlotte-Josèphe-Nicole Petit; inhumé en l'église du dit Prémont le , en la Chapelle des Seigneurs de Prémont. Il fut le dernier seigneur de Villers-Guislain.
- Louis-Charles-Ignace van Cappel de La Nieppe (né à Cassel (Nord), , décédé à Villers-Guislain le , en son château, maire de Villers-Guislain (1808-1813), époux de Marie-Charlotte-Josèphe de Sart de Prémont, fille de Charles-François de Sart, chevalier, seigneur de Prémont, Élincourt et Villers-Guislain et de Marie-Charlotte-Josèphe-Nicole Petit; d'où
- Marie-Charles-Hubert van Cappel de Prémont (né à Prémont (Aisne), , décédé à Paris, boulevard du Montparnasse, (transcription de décès à Villers-Guislain le ) ; maire de Prémont (1808-1813) puis maire de Villers-Guislain (1813-1830), époux de Louise-Marcelline de Langlois de Brouchy.
Autres personnages
- Michel de Buissy, écuyer, mari de Jacqueline de Collencourt, était seigneur de Louwez, Villers-Guislain, Homelin. Michel de Buissy a toujours bien servi son souverain (l'empereur Charles Quint puis son fils Philippe II). Il s'est trouvé avec la compagnie du seigneur de Noircarmes à la journée de Wattrelos près de Lannoy où en 1566 furent défaites les troupes de séditieux et de brise-images (furie iconoclaste), puis aux prises de Valenciennes, Groningue, Gertruydenberg, Tergoes , Haarlem, Amsterdam, Mons, Tournai, Marcoing, Lens, Cambrai (guerre de Quatre-Vingts Ans). En 1578, il a assisté à la délivrance du magistrat (autorités de la ville) d'Arras. Il est le fils de Claude de Buissy,, chevalier, seigneur de Louwez, homme d'armes sous Charles Quint,..., gouverneur de Philipheville en 1558, et de Louise d'Allesme, fille de François, écuyer, seigneur de Lannoy-en-Tournaisis et de Catherine de Dion. Il est le père de Michel de Buissy, seigneur de Teneur, de Pierre de Buissy, mort à l'assaut du château de Doullens et de Gabrielle de Buissy, mariée à Jean de Hainin (maison de Haynin), seigneur du Maisnil[40].
- Guillaume de Buissy, grand-père de Michel, écuyer, marié à Marguerite de Le Val, a été seigneur de Villers-Guislain et prévôt de Cambrai.
- Robert de Buissy, arrière-grand père de Michel, écuyer, marié à Marguerite de Beaulaincourt, a également été seigneur de Villers-Guislain. il est le fils de Jean de Buissy et de Sainte de Griboval. Jean de Buissy a réparé à ses frais en 1435 une chapelle de l'église Saint-Nicolas de Bapaume, où il fut longtemps représenté avec ses armes « D'azur au chevron d'or chargé de 5 tourteaux d'azur »[40].
- Paul-Pierre Prévot, artiste-peintre, né à Villers-Guislain le , officier d'Académie, officier de l'Instruction publique, professeur honoraire à la Ville-de-Paris, peintre du musée du Val-de-Grâce. Il passa son enfance au village où il fut apprenti-forgeron jusqu'à ses seize ans, entra à l'École des Beaux-Arts dès 1906, il exposera à Paris au Salon-des-Artistes-français jusqu'en 1914, fut surnommé le « Peintre des tisseurs » qu'il représenta; peindra également des notables guislanais; en 1914-1918, il exécutera des tableaux sur les atrocités de la guerre, exposés au musée du Val-de-Grâce; il décèdera à Versailles (Yvelines) en 1961, âgé de 82 ans; est inhumé au cimetière communal de Villers-Guislain.
Pour approfondir
Bibliographie
- Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
- Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Autres références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Epehy_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Villers-Guislain et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Epehy_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-Guislain et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Mannier 1861, p. 315.
- Boniface 1866, p. 312.
- « Carte spéciale des régions dévastées. 13 NO, Cambrai [Nord-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
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- « Le Rappel / directeur gérant Albert Barbieux », sur Gallica, (consulté le ).
- https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=159273&individu_filter=DUBOIS&rubrique=monuments
- Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 41
- « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- GASO - Banque du blason - 59623.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
- https://reader.cafeyn.co/fr/1978716/21599238
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-Guislain (59623) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 24-25, lire en ligne.
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