Virac (Tarn)
Virac est une commune française située dans le nord du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l'Albigeois, une région naturelle agricole correspondant aux environs de la ville d’Albi.
Pour les articles homonymes, voir Virac.
Virac | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Tarn |
Arrondissement | Albi |
Intercommunalité | Communauté de communes Carmausin-Ségala |
Maire Mandat |
Aline Redo 2020-2026 |
Code postal | 81640 |
Code commune | 81322 |
Démographie | |
Gentilé | Viracois |
Population municipale |
245 hab. (2019 ) |
Densité | 21 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 02′ 51″ nord, 2° 02′ 44″ est |
Altitude | Min. 200 m Max. 340 m |
Superficie | 11,44 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Albi (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Zère, le ruisseau de la Mouline et par deux autres cours d'eau.
Virac est une commune rurale qui compte 245 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 491 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Viracois ou Viracoises.
Les habitants de Virac sont nommés les Viracois et les Viracoises.
Géographie
Localisation
La commune de Virac est située sur le plateau du Ségala dans le nord-ouest du département du Tarn, entre les villes de Cordes-sur-Ciel et Carmaux, à, par la route, 30 min d'Albi et 1 h 15 environ de Toulouse.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 144 hectares ; son altitude varie de 200 à 340 mètres[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Zère, le ruisseau de la Mouline, le ruisseau de l'Escourou et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[4],[Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senouillac », sur la commune de Senouillac, mise en service en 2000[10]et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 636 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 15 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[14] à 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].
Urbanisme
Typologie
Virac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[I 1],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), prairies (11,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), forêts (0,4 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
À 4 ou 5 km à peine au sud de Salles et de Monestiés, on quitte la vallée du Cérou et ses architectures de grès pour se retrouver en plein causse, dans le village de Virac caractérisé par ses constructions de pierres calcaires. Dans la côte du Thouron, à 100 m de la route (Roc Négré), la falaise calcaire est trouée d’abris troglodytiques naturels et la roche a été taillée par endroits de main d’homme, ce qui laisse penser à une occupation humaine très reculée. La découverte de vestiges gallo-romains et de sarcophages attestent de la présence de civilisations anciennes. Deux ponts romains franchissent la Zère, dont l’un était traversé par un chemin de Saint-Jacques (Cami des Aobergnas).
La première apparition de la dénomination « Virac » dans les écrits date de 1163, époque à laquelle le comte de Toulouse donna le lieu de Virac (Abirachum Viracum) en garantie de paiement au vicomte d’Albi. Devenu propriété de Simon de Montfort pendant la fameuse croisade, le domaine de Virac fut créé en 1210 par l’évêque d’Albi qui le rattacha à la baronnie de Monestiés. En 1232, il rentra dans le domaine comtal de toulousain et resta désormais dans la circonscription de Cordes. Les habitants de Virac ont souvent remis en cause des obligations communément admises. On sait par exemple que le jour du mariage du roi Louis XIV et de la signature du traité de paix avec l’Espagne, certains Viracois refusèrent de prendre part aux festivités. Cela leur valut une amende de 100 livres.
Peu après la Révolution française, en 1792, la commune de La Gauginié s’est vue rattachée à celle de Virac, ce qui définit le territoire communal tel qu’on le connaît aujourd’hui. Quelques vieilles murailles ceinturent encore le vieux village anciennement fortifié.
Des seigneurs Alamans vécurent à Virac au XIIIe siècle, les marquis de Trévien au XVIIIe siècle, plus près de nous au XIXe siècle la famille de Fonpérouse…
Au XVIe siècle s’installèrent ici les religieuses de Notre-Dame des Fargues. Jusqu'en 1880, elles dispensaient un certain enseignement et avaient créé une école dans le village.
Virac a vu un bon nombre de commerces et d’artisans. Peu après la Première Guerre mondiale, il y avait encore deux cafés, un tailleur, un coiffeur, un forgeron, un charron, une modiste, un menuisier, deux épiciers, un chercheur de truffes connu de 20 lieues à la ronde, deux cordonniers, un boulanger…
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24]. En 2019, la commune comptait 245 habitants[Note 6], en augmentation de 12,9 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Sport
En 2006 et 2007, des courses équestres « la Ségaline » ont emprunté l'ancien itinéraire du Raid des Bastides à travers les vallons et les plateaux du Ségala et les vignobles du Gaillacois, offrant au plaisir des yeux de magnifiques paysages, avec la traversée d'Amarens, Andillac, Broze, Cahuzac, Cestayrols, Combefa, Cordes-sur-Ciel, Donnazac, Fayssac, Frausseilles, Gaillac, Labastide-Gabausse, Livers-Cazelles, Mailhoc, Milhavet, Monestiès, Montels, Noailles, Salles, Sénouillac, Souel, Villeneuve-sur-Vère et Virac.
Le village de Virac a accueilli la première étape du Tour du Tarn-et-Garonne 2002.
Culture
Association sauvegarde patrimoine viracois[27] : créée en , « l'Association de Sauvegarde du Patrimoine viracois » a pour vocation de préserver et de mettre en valeur le patrimoine bâti et non bâti de la commune.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 85 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 197 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 040 €[I 4] (20 400 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 3,3 % | 5 % | 11,3 % |
Département[I 7] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 143 personnes, parmi lesquelles on compte 81,6 % d'actifs (70,2 % ayant un emploi et 11,3 % de chômeurs) et 18,4 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 48 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 102, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,6 %[I 10].
Sur ces 102 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
17 établissements[Note 9] sont implantés à Virac au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,5 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 17 entreprises implantées à Virac), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[28]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 34 | 23 | 20 | 23 |
SAU[Note 11] (ha) | 816 | 768 | 830 | 994 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 23 en 2000 puis à 20 en 2010[30] et enfin à 23 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 32 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[31],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 816 ha en 1988 à 994 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à 43 ha[30].
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Victor de Virac
L'église fortifiée du XVe siècle Saint-Victor présente les caractères des édifices gothiques flamboyants des causses du Nord-Ouest d’Albi. Le clocher-porche, rappelle ceux de Castelnau-de-Lévis, Lincarque, Mailhoc et Noailles. Figurent les armes des évêques de la famille d’Amboise. Il est fortifié avec gargouilles et mâchicoulis ; portail en anse de panier ; voûtes d'ogives, avec liernes et tiercerons dans une chapelle ; clés de voûte et culs-de-lampe historiés. En 1943, une des deux cloches de bronze datée de 1737 a été classée. L’intérieur a été restauré en 1989. La réfection des vitraux a été achevée en .
Héraldique
Blason | Parti : au 1er d'azur à quatre épis de blé d'or posés en bandes et rangés en pal, au 2d de gueules à la grappe de raisin d'or[32]. |
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Détails | Évoque les productions de la commune. Adopté en 1950. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[29].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Virac » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Albi » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Virac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Virac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Virac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Virac » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Virac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Virac et Senouillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météofrance Senouillac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Virac et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Site www.ladepeche.fr consulté le 8 avril 2014
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Association Sauvegarde du Patrimoine Viracois », sur Association Sauvegarde du Patrimoine Viracois (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Virac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
- « 81322 Virac (Tarn) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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