Une belle-mère difficile peut être très problématique. Elle peut se mêler de votre façon d'élever vos enfants, vous mettre mal à l'aise lorsque vous êtes avec votre famille et même provoquer des conflits entre votre époux(se) et vous-même. La plupart du temps, ses problèmes seront surtout dus à ses peurs et à son manque de confiance. Faites donc de votre mieux pour ne pas les prendre à cœur ou les intérioriser. Pour supporter une belle-mère pénible, parlez-en à votre époux(se) afin que vous puissiez mettre au point une stratégie ensemble. Une fois que vous vous êtes mis d'accord sur une bonne façon de gérer la situation, affirmez-vous pour transmettre le message que vous comptez sérieusement régler le problème et que vous méritez d'être respecté(e).

Méthode 1
Méthode 1 sur 5:
Apaiser une belle-mère traditionnelle

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    Discutez en privé. Cela vous permettra d'identifier la source du problème. Proposez d'emmener votre belle-mère prendre un café ou un déjeuner et demandez-lui de parler du problème avec vous lorsque vous êtes assises. Commencez par expliquer que vous n'êtes pas vexée ou en colère, mais souhaitez simplement comprendre pourquoi elle est aussi critique . Il est possible qu'il y ait un problème sous-jacent qui la travaille et en ayant une discussion constructive sur le sujet, vous aurez plus de chances de trouver une solution [1] .
    • Ramenez le problème vers vous. Dites : « Je voudrais prendre le temps de discuter avec vous de quelque chose qui m'embête. » Cela donnera l'impression que c'est vous et non elle qui avez un problème, ce qui préviendra une dispute potentielle.
    • Si ses problèmes sont dus à des questions culturelles ou religieuses, faites de votre mieux pour rester calme. Vous pouvez dire quelque chose comme : « Je respecte vos croyances et je pense qu'il serait juste que vous respectiez les miennes. »
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    Traitez les critiques comme des conseils. Si votre belle-mère critique votre style ou vos croyances, faites comme si sa critique était un conseil et non un commentaire objectif. Vous donnerez ainsi moins de force à ses propos en donnant l'impression qu'ils sont complètement subjectifs. Cela réduira également un peu la tension, car la conversation pourra progresser plus facilement [2] .
    • « Je vais devoir y réfléchir », « Votre point de vue est intéressant » et « Je vois où vous voulez en venir, laissez-moi y réfléchir » sont de bonnes réponses qui donneront l'impression qu'il n'y a rien de plus à dire.
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    Définissez des limites. Si votre belle-mère fait un commentaire ou une critique sur votre religion, votre culture, vos croyances politiques ou votre classe sociale, réagissez afin de poser une limite ferme. Si vous lui montrez systématiquement que vous ne tolèrerez pas ses commentaires, elle sera obligée de se confronter à ses points de vue injustes et de les justifier. Si elle refuse de le faire (le cas de figure le plus probable), elle évitera simplement les sujets polémiques à l'avenir [3] .
    • Adoptez une attitude ferme, mais respectueuse. Par exemple, si votre belle-mère dit que vous devez commencer à aller à la messe, dites : « Je ne critique pas vos croyances religieuses et vous n'avez pas le droit de critiquer les miennes. Je ne tolèrerai pas vos critiques. Je vous prie d'arrêter maintenant pour que nous puissions passer à autre chose. »
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Méthode 2
Méthode 2 sur 5:
Gérer une belle-mère qui vous contredit ou vous critique

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    Communiquez avec elle. Demandez-lui quel est le vrai problème. Invitez-la à déjeuner ou à prendre un café avec vous et expliquez que vous la respectez et que vous souhaitez bien vous entendre avec elle. Dites-lui calmement que vous trouvez qu'elle vous contredit souvent et demandez-lui ce que vous pouvez faire pour aider à remédier au problème. Ses réponses ne vous plairont pas forcément, mais vous aurez au moins une idée de la source du problème [4] .
    • Si elle refuse d'admettre qu'elle vous contredit, il est possible qu'elle ne se rende pas compte qu'elle le fait. Cela peut signifier qu'elle ne cherche pas délibérément à vous critiquer. Dans ce cas, changez de sujet et essayez de voir si son comportement change à présent que vous lui avez fait remarquer le problème.
    • Si elle dit simplement qu'elle ne vous aime pas, vous ne pouvez pas faire grand-chose. Évitez de vous disputer avec elle et de la contredire pour lui montrer que vous êtes digne d'être dans une relation avec son enfant.
    • Il se peut que le problème n'ait rien à voir avec vous. Peut-être qu'elle s'entend mal avec son époux ou qu'elle est contrariée par des problèmes au travail. Dans ce cas, proposez de l'aider comme vous le pouvez. Il est possible qu'elle arrête alors de s'en prendre à vous.
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    Demandez à votre époux(se) d'intervenir. Si votre belle-mère n'est même pas capable de discuter calmement du problème sans se disputer, demandez à votre autre moitié de lui parler et de la calmer pour que vous puissiez communiquer avec elle. Il est possible que le fait de vous parler de ses problèmes la mette mal à l'aise [5] .
    • Si elle refuse d'avoir une conversation constructive, ne vous disputez pas avec elle. Elle fait probablement exprès d'essayer de commencer un conflit et vous entrerez simplement dans un cercle vicieux où vous lui donnerez exactement ce qu'elle veut.
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    Défendez-vous en public. Si elle s'en prend à vous devant votre époux(se) ou vos enfants, défendez-vous pour lui faire comprendre que vous refusez de la laisser vous traiter de manière aussi injuste. Parlez sur un ton ferme, mais respectueux et faites-lui remarquer qu'elle se comporte de manière irresponsable. Ciblez son comportement plutôt que ses propos [6] .
    • Imaginons qu'elle vous dise : « Tu n'as vraiment aucun sens de l'organisation. Pourquoi es-tu aussi incapable ? » Répondez : « Mme Giraud, je ne sais pas pourquoi vous trouvez raisonnable d'essayer d'humilier la compagne de votre enfant, mais c'est inacceptable. Je vous prie d'arrêter. »
    • Faites-lui remarquer que vous ne pouvez pas avoir une conversation difficile à n'importe quel moment. Dites : « Nous pouvons en parler en adultes dans un cadre privé, mais je refuse de me disputer avec vous devant nos invités. »
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    Ne vous laissez pas provoquer. Prouvez que ce n'est pas vous qui avez un problème. Si elle essaie de vous entrainer dans une dispute devant des invités et que le sujet de la conversation est absurde ou sans intérêt, laissez-la simplement parler et contentez-vous de lui donner des réponses brèves. Elle montrera à tout le monde à quel point elle est colérique tandis que vous vous montrerez à quel point vous êtes calme et raisonnable. Si elle se rend compte que vous refusez de réagir, il est également possible qu'elle se calme [7] .
    • Si vous avez du mal à convaincre votre autre moitié qu'il y a un problème, cette stratégie peut être particulièrement efficace.
    • Si votre belle-mère vous dit quelque chose comme « Je n'arrive pas à croire que tu n'aies pas inscrit tes enfants en colonie de vacances. Pourquoi te fiches-tu à ce point de leurs besoins ? », répondez : « Je vous en prie, expliquez-moi ce que vous voulez dire » et laissez-la continuer de se ridiculiser. Vous passerez pour une personne raisonnable qui est ouverte aux conseils tandis qu'elle passera pour une gamine capricieuse.
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Méthode 3
Méthode 3 sur 5:
Gérer une belle-mère trop protectrice

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    Ne lui parlez pas en privé. Une belle-mère trop protectrice envers son enfant est susceptible d'agir de façon impulsive simplement pour le protéger. Si vous abordez le sujet avec elle lorsque votre époux(se) n'est pas présent(e), elle se dira automatiquement que vous trahissez la confiance de son enfant et que vous n'agissez pas pour son bien [8] .
    • Il se peut également qu'elle ne se fie pas à votre capacité à prendre de bonnes décisions. Si vous essayez de lui parler en tête-à-tête, ce peut être contreproductif et vous finirez peut-être par vous disputer.
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    Expliquez pourquoi vous ne l'écoutez pas. Si elle a tendance à exiger beaucoup de choses de vous, expliquez-lui calmement pourquoi vous ne faites pas ce qu'elle veut pour essayer de lui faire comprendre que vous n'essayez pas simplement de la contrarier. Si vous faites simplement comme si elle n'était pas là, elle se sentira obligée d'insister encore plus. En vous expliquant, vous lui montrerez non seulement que vous êtes prête à vous affirmer, mais il est possible que vous lui fassiez remarquer quelque chose qui ne lui avait pas traversé l'esprit et qu'elle vous donne raison [9] .
    • Par exemple, si elle prétend que vous n'appréciez pas votre époux à sa juste valeur, vous pouvez dire calmement : « Je lui montre sans cesse à quel point je l'apprécie en privé, je ne le fais simplement pas devant vous. Je ne veux pas vous manquer de respect en m'exhibant en votre présence. »
    • Si elle ne cesse de vous demander quand vous allez faire des enfants, focalisez-vous sur la vie que vous pouvez leur offrir pour donner l'impression que vous y avez réfléchi. Dites : « Nous attendons d'avoir économisé assez pour les études de notre enfant afin de lui offrir le meilleur avenir possible. »
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    Ne parlez pas de choses importantes. Attendez que votre belle-mère soit absente pour parler de décisions importantes. Si elle a tendance à s'incruster dans ces discussions, attendez simplement qu'elle ne soit pas là ou allez ailleurs dans votre maison pour parler. Si elle n'est pas présente, elle ne pourra pas exprimer son opinion [10] .
    • « Nous pourrons en parler plus tard » est une phrase simple qui permet d'éviter les conversations difficiles devant elle.
    • Essayez de trouver un signe que votre époux(se) et vous-même pouvez vous faire pour indiquer que vous souhaitez parler en privé. Vous pouvez simplement vous tirer sur l'oreille ou dire quelque chose comme : « Il va falloir qu'on fasse des courses bientôt. » Vous éviterez ainsi que votre belle-mère soit contrariée en apprenant que vous allez avoir une discussion sans elle.
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    Exprimez votre reconnaissance envers votre époux(se). Si vous êtes souvent la cible des critiques de votre belle-mère, essayez de faire preuve de beaucoup d'affection envers votre autre moitié lorsqu'elle est présente. Si elle pense que vous faites tout pour contribuer au bienêtre de son enfant, il est possible qu'elle se détende un peu [11] .
    • Des commentaires simples comme « Merci d'avoir récupéré les enfants aujourd'hui. Tu es vraiment le meilleur des maris ! » permettront de vous faire apprécier davantage de votre belle-mère facilement.
    • Si elle a exprimé une inquiétude au sujet de votre fidélité ou de votre dévouement, cette stratégie peut être particulièrement efficace. En lui montrant que vous tenez à son enfant, vous la mettrez plus à l'aise et elle se sentira moins obligée de se mêler de votre relation.
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Méthode 4
Méthode 4 sur 5:
Collaborer avec son époux(se)

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    Identifiez la nature du problème. Demandez à votre autre moitié si sa mère a toujours été ainsi. Si elle a toujours été critique ou exigeante ou a toujours eu l'esprit de contradiction, il faudra peut-être mettre au point une stratégie pour réduire ces comportements et les supporter. S'il s'agit d'un nouveau comportement qu'elle a uniquement envers vous, il y a sans doute un problème sous-jacent à résoudre. Discutez avec votre époux pour mieux comprendre votre belle-mère [12] .
    • Si vous hésitez à aborder le sujet, dites quelque chose comme : « Je voudrais parler du comportement de ta mère, mais je ne veux pas qu'on se dispute. Je veux juste qu'on parle du problème pour voir si on peut trouver une solution. »
    • Si vous travaillez sur le problème à deux, vous aurez plus de chances de trouver une solution. Votre autre moitié pourra vous apporter beaucoup d'informations utiles. Si vous vous comportez de manière inattendue envers votre belle-mère, vous risquez de provoquer un conflit dans votre couple.
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    Demandez-lui de vous défendre. Si vous êtes unis, cela montrera à votre belle-mère que son comportement est inacceptable. Si votre époux signale le problème en premier, cela montrera que vous le reconnaissez tous deux. Demandez-lui de parler à sa mère en privé pour essayer de découvrir la source du problème. S'il n'a pas envie de s'en mêler, demandez-lui au moins de vous défendre lorsque sa mère va trop loin [13] .
    • Demandez-lui de vous faire un bilan après avoir parlé avec sa mère en privé. Il est possible qu'il découvre des informations importantes sur la source du problème.
    • Dites-lui : « Je pense vraiment que tu arriveras à lui parler plus facilement que moi. Si tu discutes avec elle en premier pour savoir pourquoi elle se comporte de façon injuste, je pourrai discuter avec elle plus facilement. »
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    Mettez au point une stratégie ensemble. Évitez de parler ou de vous disputer avec votre belle-mère sans consulter votre époux(se). Si vous allez trop loin ou vous laissez entrainer dans une dispute sans vous mettre d'accord avec votre époux sur une stratégie au préalable, il est possible que vous vexiez votre autre moitié. Décidez ensemble si vous allez affronter, contourner ou éviter le problème pour optimiser vos chances de réussir [14] .
    • Même si vous voulez parler du problème avec votre belle-mère en privé, consultez votre compagnon au préalable. Il pourra peut-être vous donner des conseils pour lui parler et c'est une bonne idée de le prévenir au cas où sa mère irait lui parler après sa conversation avec vous.
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Méthode 5
Méthode 5 sur 5:
Gérer les problèmes liés à l'éducation des enfants

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    Demandez l'avis de votre belle-mère. Même si vous ne comptez pas les suivre, demandez-lui des conseils. Elle a beaucoup d'expérience avec les enfants. Il est possible qu'elle se comporte mal parce qu'elle trouve que vous lui manquez de respect en ne l'écoutant pas ou en ne lui demandant pas conseil. Demandez-lui comment elle s'y prendrait pour apprendre aux enfants à nager ou trouver une école maternelle. Même si vous ne faites pas ce qu'elle vous dit, il est possible qu'elle soit plus agréable après avoir vu que son avis était important [15] .
    • Accordez-lui quelques victoires. Si elle vous dit que le gingembre est plus efficace que le thé contre un rhume, donnez simplement une infusion au gingembre à votre enfant. Vous aurez ainsi plus de marge pour prendre les décisions importantes.
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    Essayez d'être d'accord avec elle. Cherchez une façon de montrer que vous prenez en compte ses propos, même si elle vous critique. Si elle vous dit que vous devez commencer à chercher une bonne école privée, vous pouvez l'apaiser en disant simplement : « Je vais y réfléchir » ou « L'éducation est importante. On va y réfléchir ! » Vous réduisez ainsi l'impact de ses commentaires en les rendant insignifiants [16] .
    • Si elle fait un commentaire avec lequel vous êtes d'accord, dites-le. Par exemple, si elle vous dit que vos enfants grandissent vite, répondez : « Oui, n'est-ce pas ? »
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    Laissez-la les garder à sa façon. Si vous donnez une longue liste de consignes à votre belle-mère lorsqu'elle garde vos enfants, il est possible qu'elle ait l'impression que vous essayez de la contrôler. À toute évidence, elle a bien élevé votre époux(se). Essayez donc de lui faire confiance. Il peut être effrayant de laisser vos enfants avec quelqu'un d'autre lorsqu'ils sont jeunes, mais si vous lui donnez une liste interminable de consignes et d'avertissements, elle pensera peut-être que vous lui manquez de respect [17] .
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Conseils

  • Si le problème dégénère et que vous ne parvenez pas du tout à le résoudre, vous pouvez déménager plus loin pour que votre belle-mère ait plus de mal à se mêler de votre vie.
  • Si votre époux(se) refuse de vous soutenir et de vous défendre, il y a un problème plus important dans votre relation. Songez à suivre une thérapie de couple pour essayer de résoudre vos problèmes.
  • Si vous appelez votre belle-mère « maman », arrêtez tout de suite. Vous lui donnez peut-être une fausse impression d'intimité qui la fait penser qu'elle a le droit d'être critique, malpolie ou même méchante.
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À propos de ce wikiHow

Michelle Shahbazyan, MS, MA
Coécrit par:
Coach de vie et fondatrice de The LA Life Coach
Cet article a été coécrit par Michelle Shahbazyan, MS, MA. Michelle Shahbazyan est la fondatrice de The LA Life Coach, un cabinet d'accompagnement personnel, familial et professionnel, situé à Los Angeles, en Californie. Elle a plus de 10 ans d'expérience dans le domaine du coaching de vie, du conseil, du discours motivant et de la mise en relation. Michelle est titulaire d'une licence en psychologie appliquée et d'un master en gestion de la construction et de la technologie des bâtiments de l'université Georgia Tech, ainsi que d'un master en psychologie avec une dominante sur la thérapie conjugale et familiale de l'Université Phillips Graduate. Cet article a été consulté 69 149 fois.
Catégories: La famille
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