Le stéthoscope est un instrument médical utilisé pour entendre les sons produits par le cœur, les poumons et les intestins. L'utilisation de cet appareil pour entendre ces sons est appelée « auscultation [1]  ». Les professionnels de la santé sont formés à son maniement, mais vous pouvez aussi apprendre à en utiliser un.

Méthode 1
Méthode 1 sur 7:
Choisir et régler le stéthoscope

  1. 1
    Procurez-vous un stéthoscope de très bonne qualité. Il est important d'en avoir un de très bonne qualité. Plus il est bon, plus il vous sera facile d'entendre les bruits dans le corps du patient.
    • Les stéthoscopes à tube simple sont meilleurs que ceux à double tube. Lorsqu'il y a deux tubes, ceux-ci pourraient frotter l'un contre l'autre. Le bruit alors créé pourrait cacher le bruit du cœur [2] .
    • Le mieux serait de trouver un tube épais, court et relativement rigide, à moins que vous vouliez le porter autour du cou. Dans ce cas-là, il vaut mieux vous procurer un tube plus long [3] .
    • Assurez-vous que le tube n'a pas de fuites en tapotant sur la membrane (la partie plate sur le pavillon). Lorsque vous tapotez dessus, servez-vous des tubes auriculaires pour écouter les sons produits. Si vous n'entendez rien, il y a peut-être une fuite.
  2. 2
    Ajustez les embouts auriculaires. Il est important de vous assurer que les embouts auriculaires sont bien droits et adaptés à vos oreilles. Autrement, vous pourriez ne rien entendre pendant l'utilisation de l'appareil [4] .
    • Assurez-vous que les embouts sont droits. S'ils sont tordus, vous pourriez ne rien entendre [5] .
    • Assurez-vous aussi que les embouts rentrent bien dans vos oreilles pour les boucher et étouffer les sons externes. Si les embouts ne vous vont pas bien, la plupart des stéthoscopes permettent de les retirer et de les changer. Rendez-vous dans un magasin de matériel médical pour en trouver [6] .
    • Sur certains appareils, il est possible de manipuler les embouts auriculaires pour les ajuster [7] .
  3. 3
    Vérifiez la tension des embouts sur le stéthoscope. En d'autres termes, vous devez vous assurer que les embouts sont proches de la tête, mais pas trop proches. Si les embouts sont trop serrés ou trop détendus, ajustez-les [8] .
    • Si les embouts ne sont pas assez serrés, vous pourriez ne rien entendre. Pour les ajuster, appuyez sur les tubes auriculaires près des embouts [9] .
    • Si les embouts sont trop serrés, cela pourrait vous faire mal aux oreilles et vous aurez du mal à utiliser le stéthoscope. Pour réduire la tension, tirez doucement sur les tubes auriculaires pour les séparer [10] .
  4. 4
    Choisissez un pavillon approprié. Il existe différents types de pavillons disponibles. Choisissez-en un adapté à vos besoins. Il en existe de différentes tailles, pour les adultes et les enfants.
    Publicité

Méthode 2
Méthode 2 sur 7:
Se préparer à utiliser le stéthoscope

  1. 1
    Choisissez un lieu au calme pour vous en servir. Utilisez le stéthoscope dans un lieu sans bruit. Trouvez un lieu calme pour vous assurer que les bruits dans le corps que vous voulez entendre ne sont pas couverts par les bruits ambiants.
  2. 2
    Mettez le patient en position. Pour écouter le cœur et l'abdomen, vous devez commencer par demander au patient de s'allonger. Pour écouter ses poumons, vous devez lui demander de s'assoir. En d'autres termes, demandez-lui de s'allonger [11] . Les sons produits par le cœur, les poumons et les intestins pourraient être différents selon sa position, par exemple s'il est assis, debout, couché sur le côté, etc [12] .
  3. 3
    Décidez d'utiliser la membrane ou la cloche. La membrane, la partie plate du pavillon, est plus appropriée pour entendre les sons moyens ou aigus. La cloche, la partie ronde du pavillon, est plus appropriée pour entendre les sons plus graves [13] [14] .
    • Si vous voulez un stéthoscope avec une très bonne qualité de son, vous devriez envisager de vous en procurer un électronique. Celui-ci vous apportera une amplification qui permet de mieux entendre le cœur et les poumons. L'utilisation d'un appareil électronique rendra plus facile l'écoute du cœur et des poumons du patient, mais n'oubliez pas que ce genre d'appareil coute cher [15] .
  4. 4
    Exposez la peau du patient. Demandez-lui de s'habiller avec une robe d'hôpital ou de relever ses vêtements pour voir la peau. Vous devez utiliser le stéthoscope sur la peau nue pour éviter d'entendre le bruit du pavillon qui frotte contre les tissus. Si le patient est un homme avec des poils sur le torse, maintenez l'appareil sans le faire bouger pour éviter les bruits de frottement [16] .
    • Pour mettre le patient à l'aise, réchauffez l'appareil en le frottant contre votre manche ou envisagez d'acheter un appareil spécialisé de chauffage.
    Publicité

Méthode 3
Méthode 3 sur 7:
Écouter le cœur

  1. 1
    Maintenez la membrane sur le cœur du patient. Installez la membrane sur la partie en haut à gauche de la poitrine à la jonction entre la quatrième et la sixième côte, presque directement sous la poitrine. Maintenez-le en place avec l'index et le majeur et appuyez doucement dessus pour ne pas entendre les doigts frotter [17] .
  2. 2
    Écoutez le cœur pendant une minute. Demandez au patient de se détendre et de respirer normalement. Vous devriez entendre les sons normaux du cœur humain, quelque chose comme « pom-pom ». On appelle aussi ces sons « systolique » et « diastolique ». « Systolique » se réfère au premier battement et « diastolique » au deuxième.
    • Le son systolique se produit lorsque les valves mitrales et tricuspides dans le cœur se referment.
    • Le son diastolique se produit lorsque les valves aortiques et pulmonaires se referment.
  3. 3
    Comptez le nombre de battements par minute. Le nombre normal de battements cardiaques au repos chez les adultes et les enfants de plus de dix ans se situe entre 60 et 100 par minute. Chez les athlètes entrainés, le rythme cardiaque normal au repos se situe entre 40 et 60 battements par minute [18] .
    • Pour les patients de moins de dix ans, il existe plusieurs fourchettes de battements cardiaques à prendre en compte. Les voici [19]  :
      • pour les nouveau-nés jusqu'à un mois : 70 à 190 battements par minute
      • pour les bébés d'un à onze mois : 80 à 160 battements par minute
      • pour les enfants d'un à deux ans : 80 à 130 battements par minute
      • pour les enfants de trois à quatre ans : 80 à 120 battements par minute
      • pour les enfants de cinq à six ans : 75 à 115 battements par minute
      • pour les enfants de sept à neuf ans : 70 à 110 battements par minute
  4. 4
    Écoutez les sons anormaux. Pendant que vous comptez les battements cardiaques, vous devez aussi écouter la présence de sons anormaux. Tous les sons en dehors du « pom-pom » caractéristique sont considérés comme anormaux. Si vous entendez quelque chose de bizarre, le patient doit passer d'autres tests auprès de son médecin [20] .
    • Si vous entendez comme un sifflement ou un son qui ressemble plutôt à « pom... chhhhh... pom », le patient pourrait souffrir d'un souffle au cœur. Le souffle au cœur se produit lorsque le sang passe trop vite à travers les valves. De nombreuses personnes souffrent de ce qu'on appelle un souffle au cœur « innocent [21]  ». Cependant, certains d'entre eux indiquent aussi des problèmes de valves, c'est pourquoi il est conseillé de consulter un médecin si vous en entendez un [22] .
    • Si vous entendez un troisième bruit qui ressemble à une vibration basse fréquence, le patient pourrait souffrir d'un défaut au ventricule. Ce troisième son cardiaque est souvent appelé B3 ou galop ventriculaire. Conseillez au patient d'aller consulter son médecin si vous entendez un troisième son [23] .
    • Essayez d'écouter des exemples de battements cardiaques normaux et anormaux en ligne pour vous aider à savoir si ce que vous entendez est normal.
    Publicité

Méthode 4
Méthode 4 sur 7:
Écouter les poumons

  1. 1
    Demandez au patient de s'installer. Il doit se tenir assis droit et respirer normalement. Pendant que vous l'auscultez, vous pouvez lui demander de prendre des inspirations profondes si vous ne pouvez pas entendre les bruits de sa respiration ou s'il n'y en a pas suffisamment pour détecter une anomalie.
  2. 2
    Utilisez la membrane pour l'ausculter. Écoutez les poumons du patient au niveau du lobe supérieur et inférieur, sur le devant et l'arrière du torse.
    • Pendant que vous écoutez, posez le stéthoscope sur la partie haute de la poitrine, puis au milieu de la ligne de clavicule et pour finir en bas de la poitrine. Assurez-vous d'écouter le devant et l'arrière de ces zones.
    • Assurez-vous de comparer les deux poumons du patient pour y noter des murmures anormaux.
    • En écoutant depuis toutes ces positions, vous pourrez entendre tous les lobes des poumons [24] .
  3. 3
    Écoutez les bruits normaux de respiration. La respiration normale ressemble à un souffle continu, comme lorsque quelqu'un souffle sur une tasse de café chaud. Écoutez un exemple de son de respiration en ligne et comparez-le à ce que vous avez pu entendre pendant l'auscultation.
    • Il existe deux types de sons pulmonaires normaux [25]  :
      • les sons de respiration bronchique sont ceux que vous entendez dans la trachée
      • les sons de respiration vésiculaire sont ceux que vous entendez dans les tissus pulmonaires
  4. 4
    Entendez des sons anormaux. Les sons anormaux incluent de nombreux types, des sifflements, des stridors, des rouchis et des râles. Si vous n'entendez aucun bruit, le patient pourrait avoir de l'air ou des fluides autour des poumons, une grosseur dans le torse, le passage de l'air pourrait être ralenti ou les poumons pourraient être trop gonflés [26] .
    • Il existe quatre types de sons anormaux.
      • Les sifflements sont des sons aigus qui se produisent lorsque le patient expire et parfois aussi lorsqu'il inspire. De nombreux patients qui souffrent d'asthme présentent aussi des sifflements et il est parfois possible de les entendre sans utiliser de stéthoscope [27] .
      • Les stridors sont des sons aigus musicaux, semblables aux sifflements, qu'on entend surtout lorsque le patient inspire. Les stridors sont provoqués par un blocage à l'arrière de la gorge. Il est aussi possible d'entendre ce son sans stéthoscope [28] .
      • Les ronchi sont des sons qui ressemblent à des ronflements. Il est possible aussi de les entendre sans stéthoscope, car l'air suit une voie « rugueuse » le long de poumons ou à cause d'un blocage [29] .
      • Les râles sont des sons qui ressemblent à celui produit par les bulles que vous percez sur le papier bulle ou par un raclement dans les poumons. On les entend surtout lorsque le patient inspire [30] .
    Publicité

Méthode 5
Méthode 5 sur 7:
Écouter les sons abdominaux

  1. 1
    Posez la membrane sur le ventre du patient. Servez-vous de son nombril comme d'un point central et divisez les différentes zones d'écoute en quatre autour du nombril. Écoutez dans la partie en haut à gauche, en haut à droit, en bas à gauche et en bas à droite [31] .
  2. 2
    Écoutez les sons normaux. Les sons normaux des intestins ressemblent aux bruits que fait votre estomac lorsque vous avez faim [32] . Un son différent pourrait indiquer un problème et le patient doit être alors ausculté par un professionnel [33] .
    • Vous devriez entendre ces « gargouillis » dans les quatre zones. Parfois, après une intervention chirurgicale, les sons produits par les intestins peuvent prendre un moment avant de revenir à la normale [34] .
  3. 3
    Écoutez les sons anormaux. La plupart des sons que vous allez entendre provenant des intestins du patient ne sont que des bruits de digestion. Même s'il est normal d'entendre des bruits, il existe des anomalies qui pourraient indiquer un problème. Si vous n'êtes pas sûr que les bruits que vous entendez soient normaux ou non ou si le patient présente d'autres symptômes, vous devriez lui demander d'aller consulter un médecin [35] .
    • Si vous n'entendez pas de bruit, cela pourrait indiquer un blocage dans les intestins (ou occlusion). Le patient pourrait être constipé et les bruits intestinaux pourraient revenir tout seuls. S'ils ne reviennent pas, il pourrait y avoir une occlusion plus grave. Dans ce cas-là, il doit se faire ausculter par son médecin [36] .
    • Si le patient présente des sons hyperactifs suivis d'une absence de sons, cela peut indiquer une rupture ou une nécrose des tissus intestinaux [37] .
    • Si vous entendez des bruits très aigus, cela peut aussi être le résultat d'une occlusion dans les intestins [38] .
    • Des bruits plus lents peuvent être provoqués par des médicaments sur ordonnance, une anesthésie de la colonne vertébrale, une infection, une blessure, une intervention chirurgicale à l'abdomen ou un gonflement des intestins [39] .
    • Des bruits rapides ou hyperactifs peuvent être provoqués par la maladie de Crohn, une hémorragie gastro-intestinale, une allergie alimentaire, de la diarrhée, une infection ou une rectocolite hémorragique [40] .
    Publicité

Méthode 6
Méthode 6 sur 7:
Entendre un murmure

  1. 1
    Déterminez la nécessité de trouver un murmure. Si vous avez trouvé un son qui ressemble à un souffle au cœur, vous devez vérifier la présence d'un murmure. Puisque les murmures et les bruits du cœur sont semblables, il est important que vous vérifiiez la présence des deux si vous pensez qu'un des deux est présent.
  2. 2
    Posez la membrane du stéthoscope sur l'une des artères carotides. Celles-ci se trouvent sur le devant du cou du patient, de part et d'autre de la pomme d'Adam. Si vous posez votre index et votre majeur et les faites glisser le long de la gorge sur le devant, vous allez passer sur les deux artères carotides [41] .
    • Faites attention de ne pas appuyer trop fort sur l'artère ou vous pourriez couper la circulation sanguine et le patient va s'évanouir. N'appuyez jamais sur les deux artères en même temps [42] .
  3. 3
    Écoutez la présence de murmures. Un murmure produit comme un sifflement qui indique qu'une des artères est plus étroite. Parfois, un murmure pourrait être confondu avec un souffle parce qu'ils sont similaires, mais si le patient présente un murmure, le sifflement sera plus fort lorsque vous écoutez la carotide que lorsque vous écoutez le cœur [43] .
    • Vous devriez aussi écouter la présence de murmure au niveau de l'aorte abdominale, des artères rénales, des artères iliaques et fémorales.
    Publicité

Méthode 7
Méthode 7 sur 7:
Vérifier la pression sanguine

  1. 1
    Installez le brassard. Enroulez le brassard sur le bras du patient, juste au-dessus du coude. Relevez la manche si elle vous empêche de le faire correctement [44] . Assurez-vous que le brassard est bien installé sur le bras du patient. Vous devez pouvoir l'enrouler tout autour de son bras pour qu'il soit bien serré sans être trop étroit. Si le brassard est trop petit ou trop grand, trouvez-en un autre d'une taille plus appropriée [45] .
  2. 2
    Appuyez la membrane sur l'artère brachiale. Appuyez la membrane du pavillon sur l'artère brachiale juste en dessous du bord du brassard. Vous pouvez aussi utiliser la membrane si vous avez du mal à entendre avec la cloche. Vous allez entendre les sons de Korotkoff, des battements sourds qui indiquent la présence d'une pression sanguine systolique [46] .
    • Trouvez le pouls dans l'intérieur du bras pour déterminer l'emplacement de l'artère brachiale [47] .
  3. 3
    Gonflez le brassard. Gonflez le brassard à 180 mmHg ou 30 mm au-dessus de la pression sanguine systolique attendue [48] . Vous pouvez trouver la mesure en regardant le sphygmomanomètre, la jauge sur le brassard. Ensuite, libérez l'air du brassard à une vitesse modérée (3 mm/sec). Pendant que vous le faites, écoutez dans le stéthoscope et continuez de lire le sphygmomanomètre [49] .
  4. 4
    Écoutez les sons de Korotkoff. Le premier battement que vous entendez correspond à la pression sanguine systolique du patient. Notez ce nombre et continuez de regarder le sphygmomanomètre. Lorsque ce bruit s'arrête, notez le nombre auquel cela s'est produit. Ce dernier indique la pression diastolique [50] .
  5. 5
    Retirez le brassard. Dégonflez le brassard et retirez-le du bras du patient dès que vous avez obtenu le deuxième nombre [51] . Lorsque vous avez terminé, vous devriez avoir deux nombres qui vous permettent de connaitre la pression sanguine de l'individu. Notez ces deux nombres l'un à côté de l'autre en les séparant par une barre oblique, par exemple 110/70 [52] .
  6. 6
    Attendez avant de recommencer. Attendez quelques minutes si vous voulez vérifier une nouvelle fois sa pression sanguine. Vous pourriez la mesurer une nouvelle fois si sa pression est élevée [53] .
    • Une pression sanguine systolique au-dessus de 120 ou une pression sanguine diastolique au-dessus de 80 indique un cas d'hypertension. Dans ce cas-là, l'individu doit consulter son médecin pour savoir quoi faire.
    Publicité

Conseils

  • Nettoyez souvent le stéthoscope. Vous devez le nettoyer après chaque utilisation pour éviter une infection. Utilisez des lingettes à l'alcool ou un chiffon imbibé d'isopropanol pour désinfecter l'appareil [54] .
  • Assurez-vous toujours qu'il n'y a pas de bruit autour de vous, que vous êtes à l'écoute d'anomalies éventuelles et si vous avez un doute, demandez à l'individu d'aller consulter un médecin qualifié.
Publicité

Avertissements

  • Ne plongez pas le stéthoscope dans l'eau et ne l'exposez pas à une chaleur ou un froid extrême. Vous pourriez l'abimer.
  • Ne parlez pas dans le stéthoscope ou ne tapotez pas la membrane lorsque vous avez les embouts dans les oreilles. Vous pourriez vous abimer les oreilles selon la force à laquelle vous tapotez dessus ou parlez dedans.
  • Consultez toujours un médecin si vous entendez des bruits inhabituels pendant l'auscultation.
Publicité

Éléments nécessaires

  • Un stéthoscope de bonne qualité
  1. https://www.littmann.ca/3M/fr_CA/littmann-stethoscopes-ca/my-stethoscope/using-your-stethoscope/
  2. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=auscultation
  3. https://www.dispositif-sante.com/diagnostic/stethoscope/
  4. https://www.dispositif-sante.com/diagnostic/stethoscope/
  5. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=auscultation
  6. https://www.girodmedical.com/blog/guide-dachat-stethoscope/
  7. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=auscultation
  8. https://www.dispositif-sante.com/diagnostic/stethoscope/
  9. https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=frequence-cardiaque-repos-mort-prematuree
  10. https://www.doctissimo.fr/html/forme/sports/articles/15281-frequence-cardiaque.htm
  11. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=auscultation
  12. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Symptomes/Fiche.aspx?doc=souffle-coeur-symptome
  13. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Symptomes/Fiche.aspx?doc=souffle-coeur-symptome
  14. https://www.doctissimo.fr/sante/dictionnaire-medical/bruit-de-galop
  15. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=auscultation
  16. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=auscultation
  17. https://fr.wikipedia.org/wiki/Murmure_v%C3%A9siculaire
  18. https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/asthme-comprendre/asthme-comprendre
  19. https://www.chuv.ch/fr/voies-aeriennes/orva-home/patients-et-familles/glossaire/stridor/
  20. http://campus.cerimes.fr/semiologie/enseignement/esemio9/site/html/6_4.html
  21. https://palli-science.com/content/les-rales-en-dyspnee-et-en-detresse-respiratoire
  22. https://www.revmed.ch/RMS/2016/RMS-N-537/Examen-de-l-abdomen-et-si-nous-refaisions-nos-gammes
  23. https://www.revmed.ch/RMS/2016/RMS-N-537/Examen-de-l-abdomen-et-si-nous-refaisions-nos-gammes
  24. https://www.revmed.ch/RMS/2016/RMS-N-537/Examen-de-l-abdomen-et-si-nous-refaisions-nos-gammes
  25. https://www.revmed.ch/RMS/2016/RMS-N-537/Examen-de-l-abdomen-et-si-nous-refaisions-nos-gammes
  26. https://www.riisiq.qc.ca/download/examen_abdomen.pdf
  27. https://www.doctissimo.fr/sante/diaporamas/consultation-a-quoi-servent-ces-gestes-pratiques-par-votre-medecin/auscultation-abdomen
  28. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=occlusion_intestinale_douleurs_abdominales_pm
  29. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=occlusion_intestinale_douleurs_abdominales_pm
  30. https://www.topsante.com/medecine/digestion-et-transit/ballonnements/ballonnements-ce-n-est-pas-forcement-un-intestin-irritable-59815
  31. https://www.sante-sur-le-net.com/maladies/hepato-gastro/rectocolite-hemorragique/
  32. http://campus.cerimes.fr/cardiologie-et-maladies-vasculaires/enseignement/cardio_3/site/html/3.html
  33. http://campus.cerimes.fr/cardiologie-et-maladies-vasculaires/enseignement/cardio_3/site/html/3.html
  34. https://www.msdmanuals.com/fr/professional/troubles-cardiovasculaires/prise-en-charge-du-patient-cardiaque/auscultation-cardiaque
  35. https://www.doctissimo.fr/html/dossiers/hypertension_arterielle/sa_4861_hta_secrets.htm
  36. https://www.doctissimo.fr/html/dossiers/hypertension_arterielle/sa_4861_hta_secrets.htm
  37. https://www.hug.ch/procedures-de-soins/mesure-de-la-pression-arterielle
  38. https://www.hug.ch/procedures-de-soins/mesure-de-la-pression-arterielle
  39. https://www.hug.ch/procedures-de-soins/mesure-de-la-pression-arterielle
  40. http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/ATP/pressio.htm
  41. https://metrologie-francaise.lne.fr/sites/default/files/media/document/02_chaine-mesure-pression-arterielle.pdf
  42. https://www.hug.ch/procedures-de-soins/mesure-de-la-pression-arterielle
  43. https://www.hug.ch/procedures-de-soins/mesure-de-la-pression-arterielle
  44. https://www.hug.ch/procedures-de-soins/mesure-de-la-pression-arterielle
  45. http://www.votre-sante.net/2016/10/26/comment-entretenir-un-stethoscope-medical/

À propos de ce wikiHow

Michael Corsilles, ND
Coécrit par:
Naturopathe et médecin adjoint
Cet article a été coécrit par Michael Corsilles, ND. Le Dr Corsilles est naturopathe et médecin adjoint à Washington. Il a terminé sa formation en naturopathie à l'université Bastyr en 2003, et a obtenu son certificat de médecin adjoint auprès de l'université de Washington en 2010. Cet article a été consulté 48 252 fois.
Catégories: Médecine humaine
Publicité